|
|
|
|
|
|
|
Le Vayang 8 Jangur 1510 à 16h12
|
|
|
| Presque.
Reprenons :
Avih confrère Boko, vous avez le profil type de la personne au destin tronqué par un choix initial malheureux - mais perfectible - de carrière.
Vous avez donné, vous avez souffert, vous vous êtes saigné pour le Poinçon. Et pourquoi ? En ce jour, qu'êtes-vous ? Un garde obscur, un soldat perdu, un sans-grade, un deuxième classe, au service de l'ingratitude et de la trivialité faites Horloge. Un être sous le boisseau, mais que, déjà, je pressens flamboyant...
La symbiose, monsieur. Tout est là ! Elle recèle des potentialités abyssales. Vous pouvez faire de votre esprit, déjà vif, une arme que mille épées ne sauraient contrarier, si vous le souhaitez. Vous pouvez acquérir un pouvoir à faire s'écrouler les montagnes d'un claquement de doigts, d'un clin d'Oeil, d'un mot, dans une Horloge où les élites dirigeantes ne demandent qu'à céder leur place à la conquérante jeunesse (ou pas). Vous pouvez devenir un... sorcier !
Mais il faut de la volonté. Il faut du courage. Il faut de l'audace, de la vision, de l'envergure.
La voie royale se mérite.
Vous n'avez qu'un mot à dire...
Dites-le.
Osez.
(...)
Et soyez le bienvenu, à propos.
Docteur Petrorius.
Médecin. Arracheur de dents. Aliéniste.
Sur rendez-vous.
| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|