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Le Matal 2 Marigar 1510 à 13h08
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| L'image d'un Neldas se dessine dans les esprits.
Bonjour à tous,
voici peu de temps que je suis entré en symbiose, maintenant que j'ai cette étonnante capacité de communication, j'en profite pour me présenter.
Je suis Vanenn, né Neldas à Arameth où j'ai grandit avec ma mère jusqu'à sa mort il y a quelques mois.
Je ne suis pas très expérimenté mais je me suis lancé dans l'exploration, rien n'est plus instructif que la vie.
dit :
Mois je suis Ronin, si ca vous intéresse !
Je suis son Mou ! Enchanté !
J'ai déjà l'occasion d'utiliser ma hache, hérité de mon père, à l'entré de la ville, elle est en mauvais état mais me servira d'arme jusqu'à ce que je trouve un forgeron assez doué pour la reforger et lui rendre sa splendeur d'antant.
D'ailleur, je recherche une caravane qui partirait prochainement et serait pret à m'embaucher comme escorte ou aide de camp (ou porteur...)
Si quelqu'un est intéressé, qu'il me fasse signe.
L'image de Vanenn s'estompe puis disparait. | |
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Le Luang 8 Marigar 1510 à 21h56
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| Tssss...
Et le secret professionnel dans tout ceci ? Je vous le demande. Qu'en fait-on ? Et puis, d'abord, ce ne sont que des médisances, je n'ai jamais fait rien du tout pas le monde rien à voire que dalle nenni absolument le néant le plus apocalyptiquement vide de tout quelque chose en rapport avec des armes quand j'étais au service du Chambellan Umbre.
J'étais Ordinant, voilà tout.
Je rénovais un théâtre.
Et il est très beau, pour tout vous dire.
Tellement beau, que je me réserve sa vue. Et encore, je pèse mes mots. Et dans la Confrérie, on ne fait pas dans l'approximation. 'Bsolument, mes très chers nouveaux confrères symbiosés. On pèse autant qu'on balance, à ce que je vois.
Ceci-dit, je vous souhaite, une fois n'est pas coutume, la bienvenue. Vous avez bien de la chance d'être accueillis comme cela par Edoar, qui est un excellent ami, que je salue au passage, venez donc prendre un verre à la maison. Si si, j'insiste, ce théâtre que personne n'a vu. Ca les fera rager, un peu.
De mon temps, quand j'étais jeune (sic) on était plus méchant avec les nouveaux. Je ne vise personne, bien entendu. HEIN, TRINITE ?
Tout ça pour dire qu'effectivement, j'en saigne gratuitement aux nouveaux venus les arts nobles et distingués de la décapitation et du démembrement. En revanche, si lesdits nouveaux venus souhaitent intégrer le Suaire, ce en quoi ils ont raison, car ils auraient ainsi l'opportunité de travailler à mes côtés, et bien, ils peuvent me contacter pour cela.
Mais c'est une autre paire de manches, s'ils en ont, comme dirait Cleya, que je salue au passage, on m'a laissé entendre qu'elle-même était de nouveau à l'écoute de cette satané bestiole télépathe et des messages qu'elle véhicule.
Ainsi donc, pour intégrer le Suaire, il faut solliciter un entretien, tout comme l'a fait le très sympathique Sayga.
Ah oui, au fait, patron, je suis rentré, j'ai repris le travail...
Sa santé mentale semblait toute relative... avec notamment des tendances à la mégalomanie... Et peut être aux personnalités multiples.
Ermandr, Explorateur du Suaire, à propos de son supérieur Dorian.
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Le Merakih 24 Marigar 1510 à 10h59
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| Salutation,
Je me présente Isildor (oui, je ne t’oublie pas) voici mon compagnon Questeur (adorable petit mou « un vrai petit banquier »). Je ne suis ni un aventurier, ni un tueur de créatures mais simplement un économe, la ville est mon terrain d’aventure et de combat. Mes objectifs sont claires dans un premier temps, apprendre les langues et enseigner ce qui me permettra de m’ouvrir au monde. Dans un second temps, Une ville bien gérée et une ville prospère pour nous et nos générations futures (oui Questeur, il nous faudra un grand nombre de parchemin pour voire et prévoir).
Je souhaite postuler pour entrer dans une horloge, ma connaissance en la matière étant encore trop fragile, mon cœur est partagé entre l’horloge du limonaire et l'horloge du terreau. L’horloge qui me prendra ne le regrettera pas, le travail ne me fais pas peur.
Je souhaite prospérité à chacun d’entre vous et serai honoré de faire votre connaissance dans un proche avenir. (Oui toi aussi sera honoré mon petit mou)
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