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Le Merakih 31 Marigar 1510 à 10h15
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| Hé bien cher Edoar, il semblerait que nous puissions faire affaire!
** Une lueur d'excitation s'allume dans les yeux de Silmë **
Par contre, contrairement à ce que sous-entendent vos propos, il y a peut-être légère incompréhension quant à la nature de l'objet évoqué. Bien entendu, il peut s'avérer contondant si vraiment le besoin urgent s'en fait sentir, mais ce n'est pas franchement son utilisation nominale... Non, vous pouvez à la rigueur le voir comme un accessoire croupier ornemental à verrou, mais guère comme autre chose. C'est une solution très locale au problème, voyez-vous.
(Par contre, je peux vous trouver une roulotte de nomades en mal de sport, si vous avez à faire délicatement passer un message...)
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Le Merakih 31 Marigar 1510 à 14h18
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| Eh bien, merci à tous pour ces...euh... précieux conseils.
Je crois que je vais commencer par ôter les petits pains de mon régime alimentaire, à moins que je ne les cuisine moi-même, et encore, je ne suis pas sûre que le résultat soit plus probant finalement. Non, dans le doute, ne prenons aucun risque, finis les petits pains.
Jaëlyna, votre mou semble effectivement quelque peu agité, rien de contagieux j'espère ?
Hum, pour l'instant je vais aller faire un tour du côté de la Maison du Luth pour essayer de rencontrer certains de leurs représentants, mais je serais ravie de m'entretenir avec quelques personnes du Limonaire pour en apprendre davantage sur cette horloge.
Au plaisir de vous croiser en ville.
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Le Merakih 31 Marigar 1510 à 15h10
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| Oh, oh ! Voilà bien longtemps que je n’ai laissé traîner quelques pensées dans cet espace pourtant fort agité… Que de nouveaux esprits !
Je vois d’ailleurs que mon cher frère n’a rien perdu de ses vindicatives intronisations… Si j’en doutais, me voilà rassurée.
La pensée se fait malicieuse.
Très chère Silmë, gardez donc vos accessoires à verrous : je possède moi-même certaines… méthodes très utiles pour éloigner les indélicats. Qui sont légions, rassurons donc Edoar.
Un léger rire, puis, sérieuse :
Bel Antiorn, je suis occupée certes, mais ne refuse jamais de rencontrer une postulante au Luth… En doutais-tu ?
Prudente Lyliana voici donc ce que je vous propose : suivez les pas du Blanc Nelda dans les couloirs labyrinthiques de l’Amphithéâtre, contemplez, conversez, questionnez… je vous y rejoindrais une fois qu’il vous y aura convenablement égarée…
Cela vous semble sage ?
Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.
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