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Le Julung 23 Dasawar 1510 à 09h43
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| Grrfff Grnnnnfff ...
Chambellan Edaregord, je comprend que mes paroles vous offusque au plus haut point, vous qui par votre statut vous devez d'utiliser les écrits les plus nobles, vestiges d'écritures anciennes que le commun des symbiosés ne pourra jamais entrapercevoir ...
Mais voila, derrière les plus jolies phrases et les paroles les plus consensuels se cachent souvent le poison de l'intrigue et de la fourberie.Ceux sont ces mêmes paroles mielleuses qu'utilisent les témoins du S'sarkh pour jour après jour nous pervertir ...
Je préfère donc être méfiant vis a vis des étrangers et mettre tout d'abord des distances. C'est ma façon à moi de me protéger.
Je tiens néanmoins à faire remarquer que Nay Saniden n'est pas d'Arameth mais vient du matriarcat et que l'accueillir à bras ouvert sans même connaitre ces pensées ou ce qui l'amène dans notre fier cité me dérange beaucoup...
Depuis l'attaque du Tark'nal, Arameth a beaucoup de mal à se reconstruire et récupérer tous les traine-savates de Syfaria ne me semble pas la meilleure solution ... Mais je m'égare et mes paroles vont encore être mal interprétée. Je laisse donc le soin à Aliundil à l'oeil perspicace du poinçon ou au Prévot Jhereg le soin de mieux connaitre ce nouvel individu... L'avenir seul nous apportera la clarté.
Fontanas, marchand de comptoir d'Arameth, Forgerêve invétéré maître en armes, armures, bijoux et autres merveilles
La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle.
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Le Julung 23 Dasawar 1510 à 12h02
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| Mon cher Fontanas, ne me jouez pas la partition du chambellan incapable de comprendre le « parler vrai du peuple ». Une fois de plus vous faites des raccourcis hasardeux.
Citation :Je tiens néanmoins à faire remarquer que Nay Saniden n'est pas d'Arameth mais vient du matriarcat et que l'accueillir à bras ouvert sans même connaitre ces pensées ou ce qui l'amène dans notre fier cité me dérange beaucoup...
Intéressant, sauf que vous oubliez un point important dans votre raisonnement. Nay Saniden s’adresse à nous à travers notre consensus, cela veut dire qu’il est un confrère dans son âme et cela a été décidé par quelques choses de plus grand que vous ou moi. Seul le grand chambellan du Terreau peut maintenant lui retirer ce droit, ce qu’elle ne fait que très rarement et dans des occasions très spéciales.
Dès lors l’histoire personnelle de notre ami et l’endroit d’où il vient, importent peu… A partir du moment où il s’est connecté à ce consensus il a gagné les mêmes droits que ceux que l’on vous a accordé quand vous avez fait votre apparition. C'est d'ailleurs pour cela que personne n'a enquêté sur vous pour savoir si vous êtes né à Arameth et qu'elle était votre vie avant la symbiose.
Cela n'a pas d'importance.
Le fait qu’il puisse être un fourbe, un traine savate ou un confrère exceptionnel sait on jamais, n’a rien à voir avec son appartenance à la confrérie.
Ensuite de façon plus générale, l’histoire de la confrérie a été façonnée par les parias des autres factions qui sont venus de tout temps se réfugier à Arameth. Notre chambellan de la recherche a lui-même fui le matriarcat il y a quelques cycles. Une bonne moitié des confrères qui parcourent ce consensus ne sont pas originaire d’Arameth. Ma sœur et moi-même avons été trouvés sur une route par un marchand d’Arameth alors qu’il se rendait dans une cité haut-rêvant.
Il y a de très fortes chances que je sois originaire de cette faction même si cela n’a plus aucune importance à l’heure où nous parlons. Tout comme mon nom actuel n’est pas celui avec lequel je suis né.
Allez vous aussi mettre en doute mon pédigrée de confrère ? Car après tout nous ne nous connaissons pas...
Bref tout cela pour dire que l’appartenance à la confrérie, les origines d’une personne et la confiance que vous pouvez lui accorder sont trois sujets très différents.
Citation :Mais voila, derrière les plus jolies phrases et les paroles les plus consensuels se cachent souvent le poison de l'intrigue et de la fourberie.Ceux sont ces mêmes paroles mielleuses qu'utilisent les témoins du S'sarkh pour jour après jour nous pervertir
Le langage est une arme incroyable n’est ce pas ?
~Edoar Edaregord œil du poinçon~
Frère de la superbe nelda célibataire qui a gagné le concours de poésie d'Arameth
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Le Merakih 12 Jangur 1511 à 22h45
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| Le désert.
Mais qu’est-ce que je fais là, moi ?
Il se tenait à l’ombre d’un pilier de poussière, et un rapide coup d’œil alentour lui permit d’apercevoir une cité frôlant la ruine.
Arameth ? Mais qu’est-ce qui s’est passé ?
Il y avait des signes d’activité, mais la ville avait manifestement subi une violente attaque. Restait à savoir quand, comment et… pourquoi il était là. Il avait beau se creuser les méninges, rien ne lui revenait. Pour autant qu’il puisse dire, il devait travailler pour le Suaire, voyageur qu’il était. Mais s’il sortait d’un pilier de poussière, quelque chose de particulièrement désagréable avait dû se produire.
C’est donc ça la résurrection ? Pas banal…
Le pauvre tchaë était complètement confus. Il décida de commencer par un examen de sa personne. Aucune blessure apparente, seulement quelques cicatrices familières. Une certaine raideur au cou. Il n’était pas nu, fort heureusement, et était même plus propre qu’à son habitude – sans doute un effet secondaire du retour à la vie. Il n’avait cependant pas le moindre équipement, ce qui était fort peu commode pour un explorateur de sa trempe, et aucun papier ni indication de son état. Seule lui restait une sacoche de cuir qui, au bruit, contenait quelques pierres précieuses. Mais au poids, il y avait autre chose. Quelque chose de mou, semblait-il. Curieux, il l’ouvrit…
C’est quoi, ça ? s’exclama-t-il en faisant la moue. Une espèce de petite boule de chair informe traînait à travers ses sardoines. On aurait dit une pâte à pain, mais ça sentait les fruits. Hésitant, il la tapota un peu, sans réaction.
Bon, autant faire comme si de rien n’était. Pour l’instant, c’était le choix le plus logique. En second lieu, autant se rendre en ville et voir ce qui s’y tramait, et peut-être dépenser ces quelques pierres pour se rééquiper. Ah ! et se rafraîchir, surtout ! Maudit désert.
Comme il s’approchait des murailles, il capta les courants de pensées qui s’étaient propagés récemment et parvint à en apprendre un peu sur les récents événements. Il ne lui parut même pas étrange d’entendre ces voix, jusqu’à qu’il ressorte de chez un marchand avec son nouvel attirail (assez déçu de ses maigres achats).
Hé, depuis quand je suis télépathe, moi ? Ah, ce doit être cette étrange résurrection. Il me semble bien en avoir entendu parler… Mais qu’est-ce qui a bien pu m’arriver ?
Il décida d’explorer la ville pour se refaire une idée des principaux centres d’intérêt et finir de constater les dégâts, rejoignant simultanément en pensée quelques personnes au hasard pour voir s’il reconnaissait quelqu’un et reprendre contact avec le Suaire. Il travaillait bien pour le Suaire, non ? En tout cas il n’était sans doute pas trop tard pour (re)commencer.
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Le Vayang 14 Jangur 1511 à 11h31
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| Aysh'hin frère Tchaë! Heureux d'accueillir dans notre belle cité un éminent membre de notre race.
D'autant certains diront que l'appartenance à une communauté précise n'a que peu d'importance mais sachez que pour moi, nous sommes sûrement parmi les plus compétents dans l'domaine du commerce. Que se soit pour exporter nos précieuses ressources ou pour les fabriquer !
Arkas dit :Fontanas, j'ai du mal à établir le contact avec son mou... Je sens bien un lien télépathique mais comme une certaine impossibilité de communiquer...
Sûrement du à la résurrection toute récente... Le temps de s'adapter à son nouvel "hôte".
Rhemald, je te renouvelle mes salutations et espère que tu te plairas à Arameth. Comme tu as pu le voir en sortant du pilier de poussière, la ville n'est plus aussi flamboyante qu'avant. Mais le passé, c'est le passé et fois de Tchaë, il ne nous manque que des bras puissants et des esprits vifs pour tout reconstruire...
Mais je parle, je parle et j'm'arrête plus... Faudrais pt'etre que je m'présente:
Fontanas, artisan de cette belle cité, membre du vitrail en attendant bien sûr que certains papiers soit officialisés...
Un certain remous dans le lien télépathique semble à faire penser que l'humeur de Fontanas vis à vis des lenteurs administratives ne le rend pas des plus aimables...
Je suis moi aussi symbiosé depuis peu et tente avec mes maigres ressources d'établir une petite échoppe près du souk.
Tu y es bien sûr invité si tu veux discuter plus longuement des possibilités qui s'offre à toi car si tu veux découvrir du pays, tu peux t'orienter vers le suaire mais sache que le vitrail présente aussi de bons avantages... Qui plus est, ta qualité de Tchaë et donc à n'en pas douter tes gouts pour les technologies pourront être satisfait par le fait d'accomplir soit même son travail en développant ton propre artisanat...
Je te laisse donc à tes pérégrinations à travers la ville en espérant que tu fasses le bon choix car les temps sont durs et l'erreur est souvent fatale pour ceux qui se trompent...
Fontanas, marchand de comptoir d'Arameth, Forgerêve invétéré maître en armes, armures, bijoux et autres merveilles
La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle. | |
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Le Vayang 14 Jangur 1511 à 20h14
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| Bien heureux de vous « rencontrer », cher Fontanas ! Ça fait toujours plaisir d'avoir des gens à qui on peut parler en les regardant dans les yeux sans se donner un torticolis ! Même si je n'ai pas encore eu l'occasion de voir les vôtres...
Il écoute la présentation de son collègue avec attention, mais on sent cette dernière chuter après le mot « symbiosé ». Sitôt que Fontanas a fini de parler :
Symbiosé ! Mais bien sûr ! Comment j'ai pu oublier ça ! Tout a beaucoup plus de sens, maintenant. Vous devez être confus, je vous explique : il semble qu'à ma récente résurrection, j'aie perdu une bonne tranche de mes souvenirs récents, si bien que je ne sais plus où j'étais au moment de ma mort, ce que j'y faisais ni ce qui s'est produit. Et je ne me souviens même pas de ce mou qui « dort » dans ma sacoche et qui ne donne aucun signe de vie depuis ce matin. Mais vous me donnez là une piste pour essayer de remettre de l'ordre dans ma mémoire, et je crois que c'est ce que je vais faire avant de visiter votre échoppe.
Permettez-moi cependant de me présenter d'abord, comme j'aurais dû le faire plus tôt. Au mieux de mes connaissances, du moins. Je suis Rhemald, originaire d'Oriandre, explorateur aguerri et voyageur indomptable. Je suis Confrère depuis quelques années à peine, et j'attends comme vous l'intervention des plus haut gradés pour vérifier mon rang exact, car cela m'échappe, mais je suis certainement du Suaire. Force m'est d'admettre que si j'aime effectivement les inventions, il me manque l'imagination pour en créer et la patience d'en fabriquer. Nul doute cependant que nous aurons l'occasion de collaborer, nos deux Horloges ayant tout à gagner à travailler ensemble.
Je vais donc essayer d'aller mettre de l'ordre dans tout ça, en vous remerciant, et vous pouvez attendre ma visite chez vous d'ici quelques jours !
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Le Julung 10 Fambir 1511 à 05h08
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| Un tydale se tenant bien droit à l’aire sérieuse apparut, les cheveux libres, raides et bien lissés.
- Bonjour à tous, je me nomme …
dit :REISHI!
- Non pas Reishi… je me nomme…
dit :Non Reishi c’est son demi-frère très drôôôôle! Et tu es trèèèès beau ne t’inquiète pas! Tu sais que je t’aimeeeeee!
- Oui mais cessez de dire ça demoiselle! merci Lyloo. Donc je me nomme…
Il s’arrêta un instant les joues rouge de gêner par Liloo et pensant qu’il allait encore être coupé.
dit :Mais pourquoi tu ne dis pas ton nom mon princeeee!
- Arrêtez! Lâchez-moi s’il vous plait!!! Je vous ai déjà dit mademoiselle que je ne suis pas votre prince. Et finalement… je me nomme Yokona Zyrou. Je n’ai pas encore trouvé ma voie ici, et je suis un peu perdu. Mais je la trouverais vite. Enfin, j’espère. Merci à tous!
dit :Et tu ne présente pas Reishiii!... alors je vais le faire. Tu es beaucoup trop sérieux Yoko! Il a aussi Reishi qui est très toujours avec nous. Vous pouvez aussi lui parler par moi hihi
- S’il vous plait demoiselle… ne faites pas ça. Ne racontez pas toutes notre vie à tout le monde c’est… c’est privé… vous comprenez?
dit :Rhoooo tu n’es pas drôle… et vous savez ce qu’il n’aime pas c’est quand il doit aller prendre sa douche et que la je reste à coté de lui il se fâche et …
- LYLOO!!!
***coupure*** | |
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Le Dhiwara 13 Fambir 1511 à 22h37
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| ...Et ensuite ? Il se passe quoi ? Vous faites beaucoup de choses, ensemble, comme ça ? Je trouve ça proprement fascinant. Dites m'en plus, Lyloo !
Ah, oui, bienvenue dans la Confrérie, avih Yokona ! J'espère tout autant que vous que vous saurez trouver votre place. Si vous avez des idées, ou besoin d'informations, n'hésitez pas à en parler ; je suis persuadée que moult confrères et consoeurs se précipiteront pour y répondre.
Alors, Lyloo, vous en étiez à ...?
Comme si c'était la dernière fois. La première fois.
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Le Luang 14 Fambir 1511 à 09h57
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| Aysh'in avih ... avih ... euh ... votre pensée semble quelque peu confuse... Votre mou est assez perturbant...
Arkas dit :Ouais, une vrai pipelette, un mou-lin à paroles !!!
Ouais Arkas, t'as drôlement raison, mais à part causer dans notre caboche, on se demande toujours à quoi vous servez?
Arkas dit :Ben à rien, à part vous embêter à longueur de temps. Et ça, ca me fait mou-rir de rire !!!
Bon, reprenons cette pensée... Avih Yokona, je vous souhaite la bienvenue, sachez que je ne dispose pas d'une grande influence quand à la possibilité de vous faire intégrer une horloge. De plus ce choix d'intégration est plutôt une démarche personnelle sue laquelle il faut bien se pencher.
Non, moi, j'suis plutôt un connaisseur du souk et des différents étals de la cité et je sais que votre besace doit être maigre et que les quelques pierres que vous possédez un bien modeste trésor. Alors ne laissez pas les marchands non-symbiosés de la cité profités de vos lacunes dans le domaine du commerce.
Envoyez moi plutôt une pensée si vous voulez que je vous négocie quelques articles... Je pense même avoir une épée acérée dans ma besace qui n'a plus aucune utilité pour moi. Si vous passiez par le souk, sachez que je vous offrirais cet objet en gage de bienvenue.
Fontanas, marchand de comptoir d'Arameth, Forgerêve invétéré maître en armes, armures, bijoux et autres merveilles
La vie, on est toujours à pester contre elle et quand elle nous quitte, on râle. | |
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