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Le Dhiwara 19 Otalir 1508 à 17h44
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| Grendel... ?
Tiens, vous m'étiez complètement sorti de l'esprit. Êtes-vous encore des nôtres ? Si oui, et si vivoter vous lasse, hâtez-vous de me contacter.
Enfin, ce n'est pas pour cela que je venais ...
Oui, je vous fais par de la chose un peu en avance, histoire d'alimenter le mythe du 'Luth qui sait tout avant tout le monde'.
Je compte quitter mon rang de Chambellan de la Diplomatie.
Voir même le Luth, mais ce point manque encore d'un peu de réflexion.
Je pense, enfin j'espère, pouvoir engager le Confrère Cereus avant de m'en aller, cela sera au moins qualité de marque dans le cadran de la Diplomatie.
Bien évidement, comme toujours ce genre de décision va mettre des mois à voir le jour dans les faits, mais au moins sachez qu'elle est prise.
A bon Luthiers, je tire ma révérence -aux autres, la langue-.
Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.
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Le Vayang 13 Marigar 1509 à 00h49
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| Songez, assez simplement, ma chère et tendre, au temps où vous n'étiez vous-même pas encore symbiosée. Cela vous paraît être un temps lointain et révolu, tant l'osmose avec ces légumes intelligents est porteuse de bruyants changements et de petites révolutions. Et pourtant, comment ce phénomène vous est-il arrivé ? N'était-ce pas si soudain, si étrange, si surprenant ? Partant de ce simple constat, il est facile d'imaginer que cela peut se conclure de la même manière.
La clause restrictive lors de votre symbiose, c'est le bon vouloir de votre mou, ma douce. Et l'entente cordiale (contractuelle pour certains) qui détermine vos rapports avec ce dernier. Quant aux raisons, elles leur appartiennent (et aux symbiosés aussi, un peu, forcément, consciemment ou non). Les traumatismes, eux, sont relativement connus : folie, disparition, mort... Le bazar habituel lorsqu'on perd une partie de son âme, comme vous dites. Pour le nombre, nous sommes bien logés, au Luth. Je crois que c'est le Suaire qui retient le moins de mous dans ses rangs...
Un visage est-il un masque de comédie posé sur la tragédie de l'âme ?
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