|
|
|
Le Matal 22 Manhur 1507 à 13h50
|
|
|
| Par les Six !
Que vois-je, qu’entends-je ? Ne sont-ce pas là les voix muettes et les exclamations tranquilles d’une masse anonyme qui ne goûte plus aux joies sublimes des nobles arts et de leurs cortèges d’artifices et de beautés ? Qui donc est coupable de cette vile infamie qui terrasse les fondations de nos passions et les avancées de notre société ?
L’inactivité des anciens, l’absence des nouveaux !
Il faut changer cela. Vous avez des dons pour vous exprimer avec les divins outils de l'artiste-roi ou du terrible saltimbanque ? Vous savez peindre de merveilles où s’affrontent les couleurs et les traits, vous savez sculpter des Galatée avec le souffle de vos doigts, vous savez comment créer de majestueuses symphonies où se mêlent d’invisibles forces, ou vous savez peut-être assembler les mots pour qu’il forme d’éternelles formules à tout jamais maîtresses des esprits ?
VOUS NOUS INTERESSEZ
NOUS VOUS VOULONS !
Le Luth a besoin d’Artistes, Arameth a besoin de génies, la Confrérie a besoin de VOUS !
Et n’oubliez pas, être Artiste du Luth, c’est aussi savoir écouter, entendre, connaître et s’informer. Etre artiste dans la Confrérie, c’est bien plus qu’être un damné de la création, c’est aussi savoir vendre son âme avec le sourire.
Pour toutes les formalités, contactez le Chambellan de l’Art Umbre !
Un visage est-il un masque de comédie posé sur la tragédie de l'âme ?
| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Le Vayang 7 Agur 1509 à 20h46
|
|
|
| Très bien. Venez donc me rejoindre dans mon atelier improvisé au cœur de l'Amphithéâtre ; pour y accéder c’est très simple :
Traverser le hall d’entrée, prenez le couloir à droite de l’escalier principal, prenez ensuite la deuxième à gauche, ne prenez pas l’escalier à votre droite mais continuez jusqu’au fond, là vous trouverez un escalier à colimaçon, montez un étage. À ce moment vous avez le choix : soit vous montez un étage en plus, prenez le couloir à droite, traversez l’atelier d’Aliopre (à moins que ce ne soit celui d'Eropode maintenant ?), puis l’espace scénique, avant de prendre la troisième sortie pour vous dirigez ensuite vers le sud. La salle que j’occupe est la quatrième à gauche. Si vous êtes toujours au premier étage : continuez dans le couloir qui s’offre face à vous (vous pouvez alors admirer la déconstruction des peintures murales de Dalaé, par contre, méfiez-vous, c'est assez écorchant), prenez à droite tout de suite après l’installation de verre de Coriandre, empruntez l’escalier, tournez à gauche, contournez l’espace scénique, plus qu’une cinquantaine de mètres et je suis dans la deuxième salle à droite.
(Il existe un dernier chemin très intéressant puisqu’on peut y admirer les formidables constructions de Leonard, mais il est franchement moins simple, je vais donc éviter de vous embrouiller.)
Je vous y attends donc en chair, en os et en verbe ! Et j'espère bien ne pas être déçue...
Voudriez-vous me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici ?
- Cela dépend de l’endroit où tu veux aller, répondit le chat.
- Peu importe l’endroit… dit Alice.
- Dans ce cas peu importe la route que tu prendras.
| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|