Les Mémoires de Syfaria
La région d'Oriandre

Tout un peuple en exil

ouvert à tous !
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Sujet lancé par Aedrenith
Le 20-04-1510 à 23h15
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Posté par Jeaneudon,
Le 29-04-1510 à 13h51
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Aedrenith

Le Matal 27 Astawir 1510 à 20h42

 
La pause aurait pu être pire, de bien des façons. Certes, les tchaës étaient entassés, sur ces routes étroites, mais au moins le temps semblait aller vers le redoux. L'hiver semblait derrière eux, tout comme Oriandre. Il y avait du feu, et n peu de nourriture. Un peu. Celle-ci était au cœur de la discussion entre les deux tchaës, et à juste raison. Si quelqu'un savait vraiment à quoi s'en tenir sur ce plan là, il s'était bien gardé de diffuser l'information.

Réchauffant ses mains gantées grâce au feu ou cuisait le lapin, la doctoresse écoutait, sans prendre elle-même la parole. Elle n'aurait pas rien eu à en dire, mais il était des choses qu'un Sœur Noire devait taire devant des membres des autres Bulles. Du moins, c'était ainsi qu'elle voyait les choses, aussi préférait-elle rester au dehors de cette discussion.

La seule remarque concrète, tardive, qu'elle répondit aux hommes fut à propos de l'embranchement, et vint en éludant le restant du problème.

On verra ce qu'il reste comme stocks à Jgallyl, mais pour la séparation des chemins, c'est déjà joué de toute façon, si les autres devant se sont séparés, on pourra plus empêcher le mouvement... Tout ce qu'on peut faire c'est rester nous-même groupés...

Elle laissa la réflexion en suspend, à l'intention du Commandant. C'était une insinuation de la veine de plusieurs qu'elle lui avait déjà faites, mais elle hésitait encore à formuler clairement les choses, ignorait s'il y serait réceptif.

Elle s'essaya, grimaçant à cause de sa hanche, et cessa de parler pour serrer les dents, fermant les yeux. Comme cela lui arrivait souvent ces derniers temps, pour se tenir quand la douleur se faisait plus intense.

Profiter de la pause pour se remettre était un peu tout ce qui pouvait passer par sa tête, à cet instant...


 
Bagnus

Le Merakih 28 Astawir 1510 à 16h59

 
Ne vous inquiétez pas, nous resterons groupés!

**Bagnus récupérat alors son tabac,en prit une pincée et s'empressat d'alluemer sa pipe. La soirée était calme, aucun incident majeur n'était a déplorer et il fallait espérer que le reste du voyage se passe de la méme façon. Cependant, si le conoit s'était séparé, la protection devenait encore plus aléatoire.**

Si il faut diviser les troupes, un de mes lieutenants sera chargé de tout gérer...

**Sur ces mots, le Commandant se tut, assis sur une vieille souche, il fumait tranquilement l'air pensif.**

 
Lok' Grunn

Le Merakih 28 Astawir 1510 à 19h15

 
*** Arrivé à la croisée des chemins, Lok' hésita un temps : en bas ou au-dessus? Cependant celui n'avait vraiment aucune envie de se retrouver à marcher tout seul dans des chemins boueux infestés de monstres, ni de rater la pause!
Le musard s'était calmé tout en marchant, et maintenant il redevenait lui même.

Ah il se trouvait un symbiosé à l'embranchement nord, cela devait être par là, pour la dernière fois de la journée Lok' marcha, puis, résolu de profiter de la pause, et d'une herbe moins froide, quoique encore mouillée, se posa sur la route et s'appuya les pieds sur une charrette.
Étant parvenu à récupéré de nourriture sur le chemin, il dégusta son repas en regardant les caravanes environnants, et réfléchissant un peu à sa situation, ou plutôt la situation dans le quelle se trouvait l'ensemble de la Fraternité.

Il était clair pour lui qu'il ne pourrait retrouver de boulot dans une ville qui voulait sa mort, et qu'il ne fallait mieux pas trop attendre des étrangers qui essayaient de se battre. Cela ne lui plaisait pas non plus de se retrouver bien loin dans la cité Nemen, dépendant d'eux.

Apparemment quelqu'un avait décidé qu'il ne pourrait plus glandouiller, tout lui était tombé sur la tronche d'un seul coup. C'était bien calculé, mais ça ne pouvait pas resté impunis. Raah, une pseudo-vengeance, en tout cas une réponse serait du boulot!
D'autre coté, s'il décidait de ne rien faire, il aurait à bouger de toute façon, car toute la fraternité était ciblée...
En plus, avec la symbiose, on lui avait directement demandé sur le consensus ce qu'il comptait faire, et demander d'aider à la surveillance des caravanes. A Oriandrec'était facile de gruger quand on avait que sa famille pour vous juger, mais quand vous avez un réseau social dans la tête, il était difficile d'éviter le turbin ( bon au moins on l'avait pris pour un minimum courageux, c'était déjà ça de confiance de pris).
Voilà, il était obliger de se bouger, à contre cœur, au moins cela restait un bon moyen de s'intégrer ( encore que s'il s'intégrait il n'aurait plus l'occasion de se reposer comme ile le faisait avant)
Maintenant qu'il pensait, même réfléchir à sa situation était fatiguant, l'ordure qui avait provoqué tout ça avait vraiment bien réussi son coup : il allait réellement devoir travailler, et avec de la motivation en plus : c'est pas comme les petits boulots que l'on peut encore changer si le patron était déçu, il allait falloir s'impliquer sérieusement. ***

dit :

Aaah, alors tu es comme ça?


*** Encore cette gélatine volante qui parlait? De? Qui t'as permis d'écouter? ***


dit :
Vi, tu m'as l'air d'un bon gros flemmard, puis d'abord c'ton cerveau la gelatine: c'est toi qui m'en a donné l'autorisation puisque tu as pensé.


*** Et ça y était, encore un truc pour vous faire la morale, le plan était parfait, enfin presque, puisque "Moulti la gelatine volante" pouvait quand même servir de porte pensé à très haute vitesse, et puis aussi d'assurance vie, bien qu'il n'avait pas trop l'intention de foncé sur le premier truc venu.
***

dit :
Ah tu vois, on peut quand même s'entendre, loque à poussière, enfin de poussiéreux plutôt.


 
Jeaneudon

Le Julung 29 Astawir 1510 à 13h51

 
De notre côté ... j'veux dire les prolos ... on restera groupé ....

On veut pas se disperser .... en fait j'veux surtout avoir l'oeil sur mes ouailles ...

Mélinos dit :

Mélinos "assis" sur l'épaule de Jeaneudon dit alors Il a encore peur de te faire voler ses affaires


C'est pas ça mais je dois faire attention à ce qu'on ne perde rien car la production doit pas être arrêtée trop longtemps.

Par contre on peut protéger les autres aussi .....

.... de toute manière y a déjà ma famille ainsi que des amis qui voyagent avec nous .. alors ....


Tu passera par où frère commandant?



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