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Le Vayang 13 Astawir 1507 à 16h07
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Voici déjà presqu'une semaine que j'avais fuit de Kryg, quelle stupide idée d'être partie sans rien prendre à manger. Le début du trajet avait été fort agréable malgré la neige qui rentrait dans mes chaussures me gelant les pieds, une sensation nouvellement agréable les premières heures, mais qui me laisserons un souvenir mitigé après deux jours de marche forcée à travers celle-ci. Moi qui voulait passer par les montagnes, heureusement que j'ai pris les abords de la route, sinon je ne sais pas si j'en serait un jour ressorti.
Après cette longue traversée, j'aperçois enfin les plaines à l'horizon, ainsi que la ville d'Utrynia, qui semble minuscule à cette distance, je suis en haut du dénivelé qui mène enfin dans un espace coloré, dont je n'avais eu l'occasion que d'imaginer sa beauté. Si seulement j'avais su à quel point cet horizon était loin.
Malgré ma hâte et mon enthousiasme, après une nouvelle journée de marche, je ne me retrouvais guère dans ces plaines luxuriante, mais encore à quelques lieu de marche dans la foret de pins qui borde les contrefort des montagnes qui maintenant me semblait plus immense que derrière les murs de la ruche.
Il me fallait langer, mon ventre commençait à gronder, je n'avais jamais ressentis cela, la faim m'avais rattrapée, je ne savais comment me nourrir, alors à force d'observer autour de moi, je trouvais quelques fruits rouges qui me couperaient l'appétit au moins le temps de trouver le sommeil.
Le froid me réveilla rapidement, je n'osais bouger avant le matin, ma nuit fût vraiment mauvaise, heureusement la pluie ne montra pas le bout de son nez, et seule la faim me tiraillait.
Quelques heures plus tard, après avoir avalé une poignée de fruits, je repris la route, je forçait mes jambes à avancer, si bien que je finis par avoir les mollets brûlant, mais de nouveau la faim, ici bienvenue, me fit oublier ce désagrément.
Je ne pouvais plus me cacher aussi facilement qu'avant, seule les hautes herbes constituaient une planque de choix, quand des convois de femelles remontait de la cité agricole vers Kryg. Encore une fois, mon imagination fluctuait quand à la beauté de Utrynia, mais c'était aussi un ville devenue dangereuse pour moi.
Deux jours plus tard, je réussis à atteindre ce que je qualifierai d'aérogare, des vaisseaux nemens, magnifiques engins volant, mais je n'avais pas d'argent, alors de là à voyager ...
Malgré tout je fit connaissance avec une caravane de marchand donc la contrée m'échappe, j'étais bien trop occupé à être éblouit par leur marchandise, ils ont eu la bonté de m'emmener à Utrynia, j'ai pu de nouveau manger à mon grès, et j'ai même eu le droit à un peu d'argent. Ils m'ont proposé de les suivre, mais ma route n'était pas la leur, je me demande si ils ont deviné que j'étais en fuite...
Me voilà enfin à Utrynia,j'ai du me faire passer pour une femelle, ma voix au timbre clair m'y à aidé, j'ai pu acheter des bottes et des couteaux qui m'ont manqué durant le voyage, mais j'ai évité les vêtement qui m'aurait obligés à découvrir mon visage.
A cette heure-ci je me demande bien où peu bien être Fae'thil...
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Le Sukra 14 Astawir 1507 à 00h24
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| *** Fae'thil était enfin revenue dans sa ville natale : Utrynia. Elle ne revenait pas par hasard, une expédition se préparait, dont elle était la principale investigatrice. Les danse lames qui devaient se joindre à la mission convergeaient vers Utrynia et Fae'thil voulait être là pour les accueillir.
Mais avant celà, la tydale désirait se rendre à la ruche d'Utrynia afin de présenter une requête... qu'elle appréhendait légèrement à vrai dire. ***
*** Sur la grande place d'Utrynia, Fae'thil regarde la ruche, imposante forteresse de presque cent mètres de haut, le genre de batiment qui ne souhaite pas réellement la bienvenue.
La place grouille de monde et Fae'thil se tient au milieu de ce brouhaha, immobile et silencieuse. ***
Surtout... se détendre!
Kralakan dit : Allez Fae, tout va bien se passer. Tu te présentes à l'entrée de la ruche et tu joues de ton autorité de Mère de Kryg.
Quoique... j'ai peut être une idée...
*** Fae'thil prend son courage à deux mains, l'air le plus digne dont elle est capable et se dirige d'un pas décidé vers l'immense porte, gardée par un véritable escadron de danse lames. ***
Je le sens bien, il y'en a une qui sourit presque... presque...
*** A peine a t'elle fait quelques pas, que quelqu'un la percute de plein fouet et s'écroule par terre. L'inconnu, nerveux, recouvre rapidement son visage de son capuchon, mais pas assez vite... Fae'thil identifie instantanément Cùchulainn dans la forme affalée sur le sol.
Le jeune tydal, dans sa précipitation, ne semble pas l'avoir reconnue, et s'excuse timidement. ***
Désolé.
*** La danse lame reste quelques instants abasourdie, et alors que Cùchulainn se relève, elle manifeste son étonnement. ***
Mais!!! Cùchulainn? C'est bien toi?
*** Réalisant qu'elle parle un peu fort, Fae'thil porte la main à sa bouche, réaction un peu ridicule vu que personne ne semble prêter attention à l'incident. Malgré tout, elle baisse la voix d'un ton. ***
Que fais tu ici voyons?
Quelle étrange coutume... mais non voyons ne le prenez pas mal, j'aimerais au contraire en connaître plus sur vos us et coutumes. | |
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Le Sukra 14 Astawir 1507 à 21h59
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| *** Fae'thil s'apprête à répondre au jeune Cùchulainn, quand soudain une voix raisonne dans sa tête. La vieille peau qui s'occupait de lui est en train de communiquer avec l'ensemble des tydales du Matriarcat douées de télépathie... ***
Crotte, il manquait plus que ça !
*** Face à elle, Cùchulainn se relève d'un bond, la regarde un fragment de seconde et prend ses jambes à son cou; lui aussi a du entendre la voix. Avant qu'elle n'ait le temps de réagir, le jeune tydal s'est déjà fondu dans la foule. ***
Il va se faire prendre, je dois le rattraper.
*** Fae'thil ne croit pas si bien dire. Déjà plusieurs tydales rapportent par télépathie avoir vu Cùchulainn. ***
Je ne sais pas comment elles ont pu le reconnaitre, la tydale n'avait donné que son nom et non sa description. M'enfin bon, elles savent qu'il se trouve à Utrynia, je vais le sortir de là.
*** Fae'thil se fond elle aussi dans la foule, elle a une piste... et elle ne dévoilera certainement pas la position du mâle. ***
Quelle étrange coutume... mais non voyons ne le prenez pas mal, j'aimerais au contraire en connaître plus sur vos us et coutumes. | |
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Le Dhiwara 15 Astawir 1507 à 16h35
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Je restait en retrait de la ville évitant les quelques gardes qui patrouillaient près de moi, le temps était ensoleillée ce matin, je ne voyais toujours pas Fae'thil, peut être avait elle décidé de ne plus me voir, et je ne lui en voulais pas.
Je prend le temps de descendre de mon perchoir quelque fois, pour aller chaparder quelque morceau de nourriture, je remonte alors habilement dans ma cache, attendant toujours sa venue, mais les heures passe, et j'entends raisonner dans ma tête, les mots lourds de ma mise à mort, des fois, je me dit que je préfererai être sourd!
Il est temps pour moi de partir, je prend le temps de faire transmettre un message à Dame Fae'thil, puis je reprend ma fuite, je me balance de l'autre côte du rempart, mais j'ai appris que sauté n'était pas la solution pour s'en sortir indemne, et je décent calmement, un fois arrivé en bas je respire et m'apprêtre à courir,mais Fae'thil était là, devant moi!
Dame Fae'thil! Je ... je me demandais comment Luna avait fait aussi vite pour vous transmettre mon message!
Un sourire de joie remplit mon coeur, avant que la tristesse m'envahisse.
Vous ne l'avez pas encore lu, ignorer là alors et ...
Edit Zoé : attention, les mous ne transmettent pas de missives, juste des messages télépathiques.
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Le Merakih 18 Astawir 1507 à 19h21
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Le trajet était trop rude pour moi ... des monstres, partout ... ces vils créature du S'Sark, mon corps était déjà au bout, je n'avais quitter la ville que depuis quelques jours, et déjà, un Jarilith me traînait par le bras, ses crocs dans ma chair ... puis le noir complet.
Je me réveille au milieu de la cité de Syrinth, un marchand me regarde
Enfin debout, tu as de la chance que l'on t'ai trouvé à l'ouest d'Utrynia en pleine recherche d'élément pour l'alchimie!
Tu peux te tenir debout? Tu as été soigné, mais té blessures sont encore très grave, tu devrais faire un tour en ville, nous ne pouvons te garder plus longtemps nous repartons, tu as passé deux jour inconscient, ne force pas trop.
Nous somme le Merakih 18 Astawir, bonne journée.
Je me retrouve seul le corps emplie de douleur, je me traîne dans la ville, je n'ai pas la force de demander de l'aide, je m'assois alors au coin d'un bâtiment, je me repose.
Quelques instant plus tard, mes forces revenu légèrement, je demande enfin de l'aide.
Je cherche de l'aide, j'ai fuis le matriarcat et sa prison dorée, je demande quelques soin, je suis prêt à donner tout ce que je possède contre des soins !!
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Le Merakih 18 Astawir 1507 à 19h42
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| *** La nouvelle recrue avait avertie toute la faction de la précense du matriarcat dans Syrinth. Musique tant familère pour Sumbre qui accourra a l'appelle de l'hobereau. Arrivant sur la scene il eut du mal a contenir sa surprise.
Un mâle... c'était un mâle... Qu'une femelle s'aventure hors du territoire il pouvait le comprendre mais un mâle. Surement un esclave qui s'est échapé.
En découvrant ceci, les ordres sortent facilement. "Soignez le".
Les tentatives sont infructueuse. Maehdros l'interpellem lui demandant quoi faire. Dans son état la mort serait surement plus sympatique...
Je fait signe au tydale derrière moi de se tenir prés puis je m'accroupi et j'essaye de parler au jeune garçon devant moi en le secouant doucement par l'épaule. ***
Reveille toi... tu est au milieu d'une ville de l'équilibrium. Comment est tu arrivé ici?
*** Je lui offre ma gourde, pleine d'hydromel... ***
HRP: Ne pas prendre en compte, le sujet continu dans le forum de Syrinth. | |
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