Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Vers Ulmendya, la citée des comdamnées.

L'éclaireur de l'Équilibrium en route pour Ulmendya.
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Sujet lancé par Fenrir
Le 27-09-1509 à 15h14
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Posté par Nils,
Le 20-10-1509 à 10h59
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Fenrir

Le Dhiwara 27 Saptawarar 1509 à 15h14

 
***
Fenrir était désormais parti pour rejoindre Ulmendya. Le message de Kysall parlait de la fin des Nemens, et pourtant recommandait aux Poussiéreux de se regrouper dans leur Citée. Il y avait là quelques chose que le Chevaucheur n'arrivait pas à comprendre : La fin des Nemens ne serait-il pas la fin de leur Citée par la même occasion ? Ces réfections tournaient en boucle dans la tête du Nelda alors que celui-ci avançait d'un bon pas.

Après quelques heures de route, celui-ci avait déjà accompli un tiers du trajet. Quelques jours aller suffire pour l'ammener aux portes d'Ulmendya et peut-être avoir réponses aux nombreuses questions qu'il reste à résoudre.
***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Fenrir

Le Merakih 30 Saptawarar 1509 à 05h49

 
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Le premier tiers de son trajet avait particulièrement été facile, grâce notamment à l'effort que faisait l'Équilibrium pour assainir la forêt entourant Syrinth.
Malheureusement, il n'en fut pas de même pour le deuxième tiers... Sa rencontre avec le Jytryan déchu ne lui avait pas laissé que quelques égratignures, mais également un joyeux cocktail de toxines qui se baladait dans ses veine désormais. La fièvre et la douleur qui en résultait finir par l'obliger à interrompre sa marche et à se reposer.
Le poison qu'utilisait les Jytryans était particulièrement puissant, mais Fenrir se savait avoir une assez bonne constitution pour que celui-ci ne lui soit pas fatal. L'important était pour lui de rester en dehors du territoire des nombreuses aberrations qui pullulaient désormais dans les environs : plus que le poison, c'était le combat dans ces conditions que craignait le Nelda.
Le Chevaucheur passa donc une journée et demi à boire divers décoction afin de limiter les effets du venin, et à attendre que celui-ci s'estompe. Finalement, il put reprendre la route vers Ulmendya.

Après quelques heure de marche, Fenrir finit par arriver sur l'ancienne route qui menait à la Cité Puits. Il ne lui restait donc plus qu'à la suivre jusque celle-ci.
***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Aegis

Le Vayang 2 Otalir 1509 à 19h14

 

Vingt quatre à quarante heures heures après le départ du Premier Chevaucheur, Aegis lui avait emboîté le pas.

C'était là une occasion de débuter ce tour du monde qu'il rêvait d'accomplir !


Pour être certain que tout se passe bien, ce petit groupe de Chevaucheurs qui avaient appris à se connaître et à s'apprécier restaient en contact par la pensée... Ensemble, il ne faisait qu'un !


Aegis, à ses compagnons...
Oms'hir Compagnons !

Je viens de quitter la porte OUEST de la Sainte Syrinth et me dirige à ta suite vers Ulmendya Fenrir. Je me trouve actuellement à l'orée de la forêt au nord-ouest.

Si j'ai bien compris, Nils va rester quelques temps à Syrinth pour en assurer la défense avec les Surveilleurs je suppose. Et Nerhê Livie... ? Où êtes-vous en ces temps troublés ? Mettez-vous à l'abri aussi.

On se tient au courant.

Shirom



Rapidement, l'ensemble du petit groupe avait répondu

Livie de répondre
Je te remercie de ta silicitude Aegis. Je me trouve dans les montagnes du Sud de Syfaria, un peu aprés Farnya et me dirige vers Arameth comme prévue.

Un conseil si l'un de vous passe par les bois d'Ans.... ils sont infestés d'abbérations, et j'ai essuyer de nombreuses attaque. Tatsumasaf, qui m'accompagne, ne doit sa survie qu'a la dame... et un peu de magie. Nous avons du faire escale à Laod pour nous refaire une santé avant de repartir. Si mes souvenirs sont bons, Nils avait déjà faillie perdre la vie non loin dans cette région , dans le désert qui la borde.

Alors, si vous passez par là, méfiance.

Que la dame veille sur vos pas.



Ainsi que Nils
Exact, mauvais souvenir, mais aujourd'hui je ne penses pas être plus être aussi vulnérable.

En tout cas prend gardes à toi Livie.

Fenrir tien nous au courant de ta progression.

Et Aegis, fait attention, ce n'est pas très prudent de partir à l'aventure seul. donnes régulièrement ta position au cas ou. Je ferai mon possible pour t'aider au cas ou.

Pour ma part, je vais rester un peu à Syrinth pour voir comment cela évolue, je vous dirai ce que je ferai par la suite

Pour la Dame



Et Fenrir
Si le chemin que j'ai pris jusque la route entre Minott et Lerth était calme, je ne peux en dire autant de chemin au delà... J'ai croisé un bon paquet d'aberrations qui m'ont obligé à descendre de ma monture pour passer inaperçu.
Malheureusement c'était sans compter sur un Jytryan déchu passait maître dans l'art de débusquer les gens... Résultat des courses : quelques coups et du poison qui circule dans mes veines...
Je ne puis que vous conseiller de suivre la route plutôt que de passer à travers champs une fois sorti de Hatoshal.
Pour ma part, je me repose un peu avant de continuer.


- Aegis, Chevaucheur au sein de l'Equilibrium -

 
Fenrir

Le Sukra 3 Otalir 1509 à 13h58

 
***
Fenrir était finalement arrivé à Ulmendya, sans trop de difficulté : une fois revenu sur la route, la présence d'aberrations avait franchement diminué, preuve que celle-ci était couramment emprunté.

La Cité en elle même était probablement à couper le souffle par sa beauté, malheureusement, le Nelda n'était guère versé dans ce genre d'art et n'éprouvait finalement que peu d'admiration pour la décoration. Ça préférence allait plutôt à la beauté sauvage que pouvait si facilement offrir Syfaria. Cependant, il n'en était pas de même quant à l'architecture des lieux, et celui-ci étudia durant de nombreuse minutes la structure de la Cité même. Après avoir observer tout son saoul l'architecture des lieux, le Chevaucheur se décida finalement à entrer dans Ulmendya.
***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nils

Le Julung 15 Otalir 1509 à 10h17

 
Les trois compères étaient arrivés sans trop de soucis dans la ville. Celle-ci majestueuse, offrait à ses visiteur un repos bien mérité.

Après quelques discutions, entre autres avec Amalthur qui était déjà sur place, Les Chevaucheurs allèrent visiter la ville et ses quartiers.

Nils tomba sur un maître Armurier, qui gentillement, après lui avoir donner pas mal de pierres, lui enseigna l'art de la confection d'une armure magmatique. Le tout était de se procurer la matière première.

Le temps passait et rien ne semblait troublé les Nemens. Ils se baladait et vaquait à leurs occupations quotidiennes. La rumeurs d'une attaque ne semblait pas les effrayer.

Nils remonta dons vers la Nef, il y retrouva Fenrir et Aegis qui avaient, tout deux, visités la ville. Ils sortirent de la ville pour prendre un peu l'air. là Nils débusqua deux akrotikars démenbreur et deux mégalithes de perversion. Ils décidèrent de nettoyer l'entrée d'Ulmendya.

Le mégalithe ne fit pas long feu. L'akrotikar juste un peu plus. le deuxième fut vite mis hors d'état de nuire et l'autre mégalithe n'en avait plus pour longtemps.

Les chevaucheurs commençait à constituer une force de frappe non négligeable.




Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Nils

Le Matal 20 Otalir 1509 à 10h59

 
Nils était entré en ville et après quelques instants, Il en avait eu marre de rester là sans que quelqu'un lui adresse la parole.

Dans la ville rien ne se passa, aucune remontrance sur le fait que Nils se baladait en arme.

A croire qu'ils étaient tous aveugles et sourds.

Les Nemens étaient à hauteur de leur réputation. A part un p'tit gars qui lui avait appris à confectionner une armure magmatique à un prix très élevé, 90 hyalins, il ne se passa rien.

Ils auraient pu nous recevoir, ils paraient qu'ils savent tout. Et là strictement rien, du vent dans les couloirs d'une ville semblant morte tellement ces gens sont imbues de leur personne à ne vouloir pas vous adresser la parole.

Après quelques heures, Nils reprit la direction de la sorti et avec ses compagnons pris la route de Lerth.

Il y aura, la bas, forcément plus d'animation, que dans cette ville morte.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

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