Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Hauts du bout est vraiment dangereux

Comment j'ai senti le souffle de la mort en voulant traverser Hauts du bout
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Sujet lancé par Sindar
Le 06-01-1510 à 21h59
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Posté par Sindar,
Le 08-01-1510 à 21h53
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Sindar

Le Merakih 6 Jangur 1510 à 21h59

 
Décidé de quitter Ulmédya pour rejoindre Syrinth.
Je pense à rendre le voyage utile,et de passer par le Delta d'Orénia, pour ramasser des amborcies des marais, ingrédients indispensables à mes potions.
Mais la tempête de neige qui sévit dévie ma route, et je me retrouve sur la route ZARLIF.
Je décide alors de couper à travers les collines de Hauts du bout malgré les avertissements des Nemens sur le danger de la zone.
Je subis d'abord 2 attaques d'un Flaviste Colossal, et j'en perd tout mon pouvoir magique.
Ensuite, un Kroniade de feu me blesse légèrement, puis un loup dégénéré, une Fabre et ensuite une Mandragrova Vénéneuse me paralyse avec son poison.
Le pire alors surgit de l'horizon, un Khalitzburg fonce sur moi, paralysé, horrible créature, la pire que je n'ai jamais vu, elle m'inflige plusieurs attaques dont un pourrissement du sol qui s'affaisse sous mes pieds m'entrainant lentement vers la mort.
C'est alors que mon regard se trouble, je vois apparaître l'ombre d'un manteau noir, et je sens passer juste au dessus de ma tête le souffle de la faux.
Je reviens à moi, le temps d'absorber, une potion de soin, une de cicatrisation, puis plus tard quand les forces me reviennent encore un peu, une potion anti-poison et une potion d'invisibilité. Alors les monstres me laissent tranquilles cherchant leur proie sans la voir, ils sont perdus et s'énervent.
Mais je reste embourbé dans le sol qui tangue et se défile sous mes pas. J'ai un sentiment de malaise, je tombe, me relève à plusieurs reprises, quand enfin l'esprit embué s'estompe, le sol retourve sa stabilité. Il était temps, ma vie ne tient plus qu'à un cheveu. Quelques soins d'urgence pour panser mes plaies, et je retourne sur mes pas, pour retrouver ma route. Tant pis l'amborcie des marais attendra.
Je me faufille au travers des monstres et retrouve enfin le chemin de ZARLIF. Va pour ZARLIF.
C'est alors qu'un Noosphage m'agresse au passage, mais je tiens encore le coup, juste assez de force pour m'éloigner de la zone.
Je panse encore une fois mes plaies, je ne vais pas très bien mais je devrais avoir assez de force pour rejoindre ZARLIF...
J'ai repris le chemin et je me rapproche de ZARLIF un peu u en forme, un Crabe hystérique a eu le malheur de croiser mon chemin, et de rage je lui est loge une flèche entre les pinces.
Ca a agrémenté le repas du bivouac, ca ne vaut pas le homard, mais c'est pas mauvais du tout!


Plutôt la mort que la souillure !

 
Sindar

Le Vayang 8 Jangur 1510 à 21h53

 
J'approche lentement de ZARLIF, je soigne mes blessures aussi, je vais déjà beaucoups mieux, j'ai croisé un chiroptère menaçant en chemin, une pluie de flèhe a eu raison de lui, de rage, et je lui ai arraché la cervelle, qui doit pouvoir servir à quelque chose...
Ce geste est cruel, j'en suis conscient, mais ces créatures proches de nos chemins menacent de paisibles voyageurs, ej ne peux pas laisser ces sales bêtes empestées notre monde.
Je préfère me servir de leur matière pour fabriquer des armes contre elles, que l'inverse.
La méthode peut choquer je le concède, mais ma détermination à les combattre est telle que je ne peux m'empêcher de les attaquer, je reconnais avoir eu souvent à reculer devant leur puissance, mais petit à petit je prends confiance et mes compétences s'améliorent, ce qui me permet de les affronter plus souvent sans crainte !
Vive Syfaria Libre !

Plutôt la mort que la souillure !

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