Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Les fous alliés.

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Sujet lancé par Kvethan
Le 10-03-1510 à 19h21
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Posté par Otome,
Le 27-10-1512 à 01h00
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Syin Lothar

Le Matal 4 Manhur 1510 à 23h58

 
Ce qui est parfois étrange dans l'histoire, c'est que parfois les événements sont injustifiables.

Syin n'était pas dans son état ordinaire, il fallait l'admettre, mais même s'il n'avait aucune confiance en la plupart des membres de cette association, il sut au bout de laborieux mètres que seul il ne pouvait rien faire.
Pénétrer le Palais de la Shaïm était une chose envisageable en temps normal mais jusque là toutes les informations qu'il avait recueilli donnaient le même constat : personne ne pouvait en ces temps voir la Shaïm. Il fallait donc forcer un peu les portes pour pouvoir entrer, ce groupe de déjantés pouvait certainement l'aider, au moins en diversion, et même si le Muet était là pour espionner, il n'aurait qu'à bien s'accrocher !

Le libertaire se rattrapa à la porte d'entrée, toujours ses effets non-désirés... Se retournant face à l'assemblée qui en fait était déjà bien occupé, il lança :


" Yo ! Ca va les potos ?
Bon je crois que j'ai pas besoin de me présenter... Ha si ! Alors c'est vous Silindë ? Je crois.... oui je crois que nous nous sommes jamais rencontré. Votre... Votre... heuuuu... Heltaïr m'a de nombreuse fois parlé de vous, en bien ! Je suis enchanté de vous rencontrer !
"

Puis bloquant ostensiblement un long instant sur le postérieure d'Otome :

" Dame Otome, mes respects ! "

Et après un moment à se remémorer ce qu'il avait pu entendre lors de son entrée :

" Vous êtes bien sûr de vouloir nous accompagner ? Nan je dis ça parce qu'il parait qu'il y a des gens pas fréquentable dans cet assemblée et que la justice a vite fait de condamner.
Voyez par exemple moi ! Un honnête citoyen, qui n'a jamais fait qu'œuvrer pour la Dame ! On me raille et me spolie. On m'ignore ou me méprise. On m'insulte et m'assassine ! Etes-vous bien sûr de risquer d'être ainsi accabler ?
Bon, il est vrai que j'exagère un peu mais toute mission, surtout celle-ci, peut vite déraper.
"

Puis s'approchant du centre de la pièce pour s'attabler :

" Bakean, relevez-vous bon sang ! Quelle est donc cette tenue devant ce pourtour d'invité aux grandes responsabilités !"

Le clin d'œil fut alors presque indécent.
Puis se saisissant du verre :


"A la tienne Kékette ! J'avais bien besoin d'un remontant. "

Buvant cul-sarkh avant de faire la grimace, Syin manqua de lui aussi basculer tellement la boisson était corsée.

" De l'alcool ! Mais vous êtes fou ! Cela ne va pas du tout, mais alors pas du tout, nous aider ! "

La mine triste, Syin se dit qu'il allait falloir maintenant correctement manœuvrer.

" Bon il ne va pas falloir trop tarder, ma présence en ville finit toujours par se faire remarquer...
Comment allons procéder pour entrer pendant qu'Otome fait un brin de ménage ici en attendant notre triomphal retour à la maisonnée ?
"

 
Otome

Le Merakih 5 Manhur 1510 à 22h52

 
***
A trop se balancer avec sa chaise, Bakean l'Archiviste finit les quatre pattes en l'air, dans un BLAM remarquable qui fit soudainement se lever Otome.
Quelques pas plus tard, la voila devant le Nelda.
***

Euh ... ça va ? Vous voulez de l'aide pour vous relever ?

***
Décidément, c'était accident sur accident ici. Et elle sentait qu'elle n'allait bientôt pas pouvoir retenir un autre accident quand elle entendit son frère l'ouvrir a nouveau pour ne pas dire grand chose, si ce n'est se permettre d'insulter le vieil Amalthur.
***

AMALTHUR n'est PAS un libidineux ni un pervers. Ce n'est pas parce que tu l'es toi que tout le monde doit l'être forcément ! Au lieu de l'insulter ainsi, tu ferais mieux de prendre exemple sur lui, c'est un bon équilibriste !

***
En fait, Otome était d'une bien grande naïveté.

Guère convaincue par les propos de Kvethan, elle accepta en revanche le verre de vin qu'il lui tends. Sans vraiment le savoir, son premier verre d'alcool.
***

Merci, je commençais a avoir soif.

***
A vrais dire, c'était la première fois qu'elle buvait du vin et elle prit le temps de déguster son verre.
A Syin Lothar.
***

Oui, j'en suis maintenant sure. Et il n'y a pas que des gens peu fréquentables ici.

***
Son regard se pose sur Amalthur, comme pour dire qu'elle parles clairement de lui.
Elle a saisie a nouveau une des mains de l'ancien Archonte.
***

Et, il est hors de question que je fasse le ménage pendant que vous allez voir la Shaim. Je viens avec vous.

***
C'est qu'elle devenait décidée.
Étais ce l'alcool ?
Peut être pas.En fait, elle n'avait guère l'habitude de recevoir des ordres.
Mais elle demeurait toujours inconsciente des risques.
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

 
Amalthur

Le Julung 6 Manhur 1510 à 22h21

 
Ghahahaa 'tit' jeun' fii"

Amalthur se tourne vers les mains qui se sont posées sur lui et exhale le doux fumet de la bibine qui décrasse son homme.

Mais aussitôt ce sursaut de lucidité ? non... ce creux dans son taux d'alcoolémie tout comme la marée, revient sur ses pas et engloutit de nouveau le Vioc. Ses yeux se révulsent et sa tête tombe... là où elle tombe ... entraînant plus ou moins le corps resté attaché à cet organe inanimé où la couleur rouge prédomine nettement.

On a pu voir des sorts relever un entropiste ivre mort et vice versa des sorts mettre à terre l'entropiste le plus résistant au divin nectar. Dans ce cas précis, on peut se demander si une telle tentative ne serait pas tout simplement vouée à l'échec. Et de toute façon qui voudrait que l'arcaniste commence à parler ou retrouve ses esprits ? sérieusement ?


Equilibriste au service de la Dame
Dame Grise, R’hin Assia


 
Silindë

Le Julung 6 Manhur 1510 à 23h59

 
Le cas n°1 viens d'etre reglé à la perfection. Et semble même s'etre changé en tydale sociable.

Heuu... Om'shir kielno.... Et yep, c'est bien moi. Nous n'nous étions jamais croisé mais.. c'bien la preuve qu'il n'était pas trop tard...

Les hessitations de Syin lui ammenent un laaarge sourire. Si il ne corrige pas tout de suite Heltair lui tordra le cou. Chiche? Sans la moindre hessitation.
Ah.. mon Heltichou... c'est sur que j'l'imagine mal me cassant du sucre sur le dos...

Et hop, juste de quoi ne pas faire taire la rumeur... Il va me tuer... Ou s'exiler au fin fond des collines maudites.

Quand au cas n°3.... Tient, n°1 la reluque ouvertement? Bah, c'est son probleme (on ne dira pas le probleme de qui... n°1 ou n°3)
Bon.. oh et puis S'sarkh! Si les autres s'en fichent, il ne va pas faire tout tout seul. Il pense à l'intention de tous -hormis la concernée.


Bon, je la connait elle a un caractere pire que celui d'un crapaud baveux, si si, c'est pas exageré, alors si elle a decidé de faire quelque chose, elle le fera. J'vous l'assure! Je l'ai supporté pendant huit ans, je sais de quoi je parle. On fait quoi? On l'assome et on y va ou on l'emmene?
Parce que l'Syin a pas tord. Faut plus trop tarder
.

Et de repondre à voix haute, vu que de toute façon la frangine a deja entendu...

On procede de la plus simple des manieres, qui est aussi la plus efficace. On rentre par la porte de derriere, celle de service avec les clés qui sont sur la table. Et si ça ne fonctionne pas, on l'ouvre à la maniere forte.

Vetements de grises et mous cachés parce qu'avec eux sur l'epaule, autant porter une enseigne lumineuse... ça peut nous sauver la mise une fois dans le palais si on croise des gens.

Voila à priori pour la premiere partie.

Et faudrait s'assurer que le vioc' est en état là...


Jusqu'au bout...

 
Bakean

Le Vayang 7 Manhur 1510 à 01h06

 
***
Il est temps de recentrer l'histoire, afin que le lecteur comprenne ce qu'il se passe.
Bakean aidé de Kvethan avait réussi à convaincre Syin Lothar de revenir.
Enfin en tout cas il est revenu. Et a exposer son plan, rappelant l'urgence de la situation.
Otome est partante et ne compte pas faire le ménage. Elle veut rester auprès d'Amalthur.
Amalthur est quant à lui complètement beurré et c'est pas le verre de flotte que Kvethan lui a donné qui va changer quelque chose. Vomir dehors serait la solution la plus appropriée.
Oda Nobunaga cherche toujours à comprendre dans quelle merde il s'est embarqué.
Kvethan quelque peu avare en information propose le déguisement et l'entrée par derrière.
Et Bakean ? Bakean se relève difficilement et vérifie qu'il n'a pas de commotion cérébrale. Difficile à vérifier devant l'enchainement de la situation.

Mais Silindë parle, autant écouter ce qu'il dit....
...
...
Bon il semble donner le La du départ, avec pour préambule l'acceptation d'Otome dans la troupe et une reflexion à double sens sur le Preux du crépuscule Heltaïr.
Autant dire que Bakean le regarde avec un oeil curieux, avant de se secouer et de prendre les choses en mains.
Il se lève, puisqu'il s'était rassis, et annonce de but en blanc.
***


Tout le monde a raison.
Le temps presse. Comme dit le proverbe Tchaë, "l'urgent est terminé, l'impossible est en cours, pour les miracles il faut attendre deux ou trois jours".
Là on est dans l'impossible, donc autant s'y mettre en attendant le miracle.
Hum...

***
Petite pause pour se composer une posture adéquate à la situation.
Bakean essaye de se donner l'air d'un général qui accompagné de son état-major prépare la stratégie d'attaque autour d'une table ronde où une carte de l'offensive est déroulée.
Sauf que pour tout état-major il a les types les plus atypiques de l'Equilibrium et Otome.
Pour toute carte, il a de la bière à profusion sur la Table.
Et il a mal au dos donc difficile de se tenir droit après une telle chute.
Cela ne l'empêche pas de parler avec véhémence, bien qu'il avait l'air un peu ridicule. Mais ses détracteurs diront que cela ne change pas.
***


Il est temps de changer la face du monde.
Demain nous serons des héros ou nous serons mort.
La Gloire ou l'opprobre nous attends les amis, autant ne pas faire trainer un si joli Equilibre.

Kvethan va récupérer les costumes, autant se changer tout de suite.
Otome amène Amalthur dehors et mets lui des doigts dans la bouche pour qu'il dégrise un peu.
Au pire, on prendra un seau d'eau et on le réveillera.
Silindë va d'mander au tavernier d'la boisson et d'la viande séchée ou un truc du genre.
Amalthur aura faim j'ai dans l'idée bientôt.
Syin Lothar, tu as une corde ? Sinon je te charge avec Oda d'en trouver ainsi que les autres accessoires.
il me semble que pas très loin il y a une réserve de bois attachée avec des cordes, on peut utiliser celles là peut être. En plus la chute de rondins pourrait faire diversion.
Et moi ? Bah...je sais pas j'bois un coup en attendant que tout soit prêt ?

***
Un général n'est pas sensé poser de questions.
Il est sensé aussi motiver ses troupes.
Ou en tout cas pas proposer de nouvelles conneries à faire.
Bakean s'attendait que bientôt ses compagnons seraient comme des animaux fuyant un feu de forêt, une espèce de débandade peu organisé ayant un seul but mais trente six façons d'y arriver.
***


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Otome

Le Sukra 8 Manhur 1510 à 00h19

 
***
En effet, c'était bien beau de vouloir aller voir la Shaïm, mais il fallait avant tout remettre le vieil Amalthur en l'état avant d'envisager quoi que ce soit.
Car bien sur, sa présence est indispensable.

Mais la méthode proposée par Bakean, c'est a dire fourrer ses doigts dans la bouche de l'ancien Archonte pour le faire vomir, si c'était une solution pour évacuer ce qui, du point de vue d'Otome, avait rendu malade Amalthur, semblait un peu trop brutale a mettre en œuvre, surtout quand il existait une autre façon de faire, plus efficace qui plus est, pensait elle.

Étais ce l'alcool qui lui donnait tant de force, mais tant de maladresse car elle manqua de se ramasser sur les escaliers ? Toujours est il qu'elle traîna le vénérable ancêtre dehors, le laissa allongé sur un jardin qui jouxtait le théâtre, côté contre le sol et courue de toute ses forces a la bibliothèque chercher un parchemin de purge corporelle. Hélas, ce sort n'était pas en vente et Otome s'en alla mécontente, au rire du bibliothécaire qui se demandait comment quelqu'un dans son état pourrait de toute façon apprendre un sort.

Alors, saisissant un seau d'eau, elle en déversa son contenu sur Amalthur, essayant de le réveiller.
Car, si elle semblait finalement disposée a employer la méthode suggérée par Bakéan, il serait dommage que le vieux Tydale inanimé s'étouffe dans son vomi...
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

 
Amalthur

Le Sukra 8 Manhur 1510 à 14h46

 
Le tydale est bringuebalé à travers les tables et les chaises qui le cognent et l'assomment. Sans énergie, il ne peut marcher et traîne donc sur le sol 'propre' du théâtre.

Autant avant, Amalthur dormait juste et pouvait encore réagir aux différents stimulus de la tablée; autant là désormais il est simplement K.O., inconscient de ce qu'il se passe et surtout totalement insensible.

Ça va être dur, très dur de le réveiller dans cet état là.


Equilibriste au service de la Dame
Dame Grise, R’hin Assia


 
Syin Lothar

Le Dhiwara 9 Manhur 1510 à 17h39

 
Heltichou... Après tout pourquoi pas. C'est vrai que Syin s'était toujours un peu douté du caractère ambigu du Preux mais n'avait pas établi de certitude tant qu'il n'avait pas rencontré l'autre partie concernée. Maintenant que c'était fait, plus de doute subsistait et le libertaire se réjouit de pouvoir lancer de nouvelles pics à celui qui était toujours là pour le contredire.
Un petit sourire s'esquissa en coin de son visage.

Puis écoutant le plan et les ordres exposés, Syin se relava d'un bond.


" C'est bon j'ai une corde !
Elle doit être dans mon sac par contre Bakean vous êtes un sacré vicieux parce que je sais pas ce que vous voulez en faire mais mes idées me disent de me méfier.
Pauvre Shaïm...
"

Puis contemplant Otome sortir le vieil Amalthur dehors :

" On les laisse en plan ?
Je suis pas sur qu'il nous soit d'une quelconque utilité.
"

Appelant son mou à se cacher dans sa besace, Syin contempla tous les costumes l'entourant pour choisir le mieux approprié.

 
Kvethan

Le Dhiwara 9 Manhur 1510 à 20h46

 
Si ce n'était pas malheureux d'en arriver là, en temps normal, le jeune tydale aurait laissé cuver l'ancêtre, mais là ils devaient se bouger le train et dar-dar!Il rejoignit Otome et le vioc dehors et commença par lui lancer une purge corporelle pour évacuer la bibine.Puis, constatant que la vieille épave persistait dans son coma, il décida de sortir l'artillerie.

Recule toi cocotte et pince toi l'pif!

Sur ces mots énigmatiques, il prit sa respiration avant de sortir un petit bocal bien fermé de son sac.Il l'ouvrit précautionneusement et en sortit l'artefact mythique!Sans doute craint par le P'khen en personne!Un objet d'une telle puissance que sa détention même pouvait vous tuer si vous n'y preniez pas garde....c'était la grande....la terrible....la puante chaussette d'Asgarh!Celle là même que sa mère lui avait offerte à ses douze ans et qui ne l'avait pas quitté depuis l'ors.....c'est dire!

Le chef de troupe passa rapidement la dite "chaussette qui pue" sous le nez du Vioc' avant de la rembaler, il ne fallait pas le tuer non plus notre brave ancêtre.Si avec ça il ne se réveillait pas franchement....


Bon cocotte, dis aux autres que j'vais chercher les costumes, j'les retrouve ici sous peu.

Aprèss'être assuré que le vioc s'en remettrait, il disparu dans les rue de la Sainte, dirigeant ses pas vers son tailleur atitré.

La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Amalthur

Le Dhiwara 9 Manhur 1510 à 22h25

 
Le tydale se réveilla immédiatement. En réalité, il se relava, les yeux fermés et 'éructa' sa substance stomacale en un jet droit et continu ayant une trajectoire parabolique de flèche d'environ un mètre et des cacahuètes, juste ce qu'il faut pour atteindre Otome. Soit elle est debout et seuls ses vêtements sont touchés soit elle est baissée et là...

Bref, en un ce nouvel éclat du vioc n'ira pas bien loin d'un point de vue matériel.

Aussitôt fait, aussitôt réveillé, Amalthur ouvre enfin les yeux !


Houlà ! Gné ?

Equilibriste au service de la Dame
Dame Grise, R’hin Assia


 
Otome

Le Dhiwara 9 Manhur 1510 à 23h03

 
***
Sous l'effet de l'alcool, Otome n'avait guère pris conscience de la façon surement un peu trop violente pour le pauvre vieux qui n'avait plus que la peau sur les os, qu'elle avait traînée jusqu'au jardin le plus proche.
Et, ce ne fut que quand enfin les effets de l'alcool s'estompèrent qu'elle finit par comprendre qu'il ne servait à rien de lancer des sceaux d'eau sur Amalthur car cela n'avait aucun effet sur lui.
Si ce n'est ses lamentation a elle.
***

Amalthur ...
***
Que faire, se demande t elle.
L'état de l'ancien Archonte semblait pire que ce qu'elle pensait, seule sa respiration trahissait le fait qu'il était encore en vie, mais elle avait visiblement épuisée toutes ses possibilités, elle qui n'était pas douée en magie ni en soin.
***

Outch dit :
Tiens, on dirait le conte de la Tydale au bois dormant ! Peut être qu'en l'embrassant ...

***
La réponse fut simple.
"NON !"

Heureusement, Kwethan arriva avec une solution des plus ... malodorante. Elle se releva, sans se retourner afin de voir ce qui allait se passer, pour mieux reculer. En vain, si elle pu a peine éviter l'horrible odeur de la chose que le jeune tydale pervers avait sortis, en revanche, ce ne fut pas le cas des conséquences ...
***

YEURK !

***
Sa robe et ses bottes étaient tachés et elle empestait. Sa cape avait heureusement été épargnée. Et surtout, Amalthur semblait aller mieux. Elle alla prévenir les autres que Kwethan allait chercher les costumes, tout en ne s'empêchant pas de lâcher avant, à son attention.
***

Et je ne m'appelle PAS Cocotte !

***
Ouff ! se dit elle cependant.
Elle aurait grand besoin d'un de ces costumes, plus que les autres. Et elle trouvera même sans aucun doute de quoi faire un minimum de toilette pour réparer les ravages dans sa cape, vieux vestige de son ancienne vie.
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

 
Oda Nobunaga

Le Matal 11 Manhur 1510 à 17h11

 
*** Bon, apparemment beaucoup étaient partis, et l'effroyable machine du machiavélique Baky se mettait en branle. C'était beau à voir, toute cette symbiose de Symbiosés.

Mieux valait d'ailleurs ignorer la réplique de Syin, après tout le vieux et l'excitée avaient tout à fait le droit de venir.
Et surtout de se faire un leurre de premier choix en cas de problème, voire surtout de se faire choper pour nous. ***

Pour mon costume, je connais deux ou trois professionnelles qui pourraient me prêter leur tenue de travail, mais je refuse de me servir dans quelque haillons que ce soit, héhé.

On aura qu'à aller les voir ensemble, ça vous ferait du bien, surtout avec ce qui se profile
, fis-je à ceux qui restaient encore dans le théâtre.
D'ailleurs patron, m'adressais-je ensuite à l'Archiviste, ou Mr. Blue, pour l'occasion, des précisions sur comment et quand ça va se passer, cette histoire ?


-Oda Nobunaga-

 
Bakean

Le Matal 11 Manhur 1510 à 19h46

 
***
Bon apparemment c'est pas l'heure d'un verre.
Syin Lothar et Oda Nobunaga l'assaillaient de questions.
Enfin deux questions pour être précis.

En regardant les autres tydales se barrer aux occupations prescrites par le bon docteur Bakean, lui-même essayait d'ébaucher une réponse.
***


Syin l'utilité de toute personne de notre groupe est à prouver.
Leurs actions compteront.
Au pire, on se séparera dans le palais, l'embrouille de trois équipes distinctes ne sera qu'à notre avantage, tu crois pas ?

*** Elle était belle la mission où tout le monde comptait sauver le monde. Chacun espérait que l'autre porterait le chapeau. Quelle jolie alliance par intérêt. ***


Bon...ça c'est réglé. Cependant, t'as raison Oda, même si on a pas de plan de bataille précis. Il y a quelques problèmes qu'il faut prendre en compte.
J'ai pris contact avec une source confidentielle, qui m'a dit que sans une Grise il parait impossible de se repérer dans le palais des murmures. De ce fait, nos chances d'échecs sont exponentielles.
Bien sur, c'est sans connaitre les ressources de notre groupe, insoupçonnés pour la plupart je veux bien l'admettre.
Bref, entre silindë et moi, il y a assez de puissance de feu pour démolir les portes et les allées, on pourra protéger notre fuite en cas de poursuite.
Ensuite, Kvethan et Amalthur seront capable de suivre une piste de bouffe ou de bibine à plusieurs lieues. On peut espérer que si la Shaïm est prisonnière, on lui apporte à manger. Et donc, on peut suivre la trace de son dernier repas.
Otome, j'ignore ce dont elle est vraiment faite, mais vu que c'est une artisane de renom, elle sera certainement capable de nous faire des armures et une civière pour la shaïm avec de la paille et des poutres cassées j'en suis sur. C'est pas négligeable. Elle pourra aussi repriser les costumes si des accrocs sont fait.
Syin Lothar et toi, vous êtes le cerveau, je compte bien sur votre expérience pour nous sortir des plans sans issues, bien que Syin soit renommé pour prendre toujours la mauvaise décision, vaut mieux trois mauvaises décisions que pas une seule. Oda tu sera la pour vérifier la viabilité des décisions de Syin... Heu... Sans rancunes Syin.

Bon, ça c'est le discours de motivation sur nos possibilités en tant que groupe d'aventuriers. Ensuite, le plan en soit.
Bah, comme ça été dit, on va à la buanderie, on fait sauter la porte si la clé de Silindë fonctionne pas, et on entre en catimini. Enfin on essaye.
Une fois dans le palais en lui-même, on se fait passer pour un groupe de Grise, et si le stratagème fonctionne on suit une autre grise à l'air suspect, il y en aura forcément une, qui nous conduira jusqu'à la Shaïm. S'il n'y en a pas, on se servivra du nez de Kvethan et Amalthur, et on vérifiera qu'ils nous entrainent pas là où on veut pas aller.
On sauve la Shaïm, et on est des héros simple.
Évidement, il y a pleins de plans annexes au cas où rien ne fonctionne comme prévu, ce qui est prévu, et on verra ça au moment voulu.

La corde, bah, c'est Kvethan qui en a eu l'idée, je pense que c'est au cas où on fait sauter le sol sous nos pieds, et on sera bien content d'avoir une corde pour nous sortir du trou dans lequel on s'est fourré.
Mieux vaut être prévoyant que dans la merde.

D'autres questions où on va s'habiller... hum...Oda, tes professionnelles...elles sont... non rien laisse tomber. Prends le costume que tu veux, mais pas trop voyant. ça sera délicat de voir une "professionnelle" entourée de grises. J'irai bien avec toi... ouais... mais je vais rester là, plutôt je pense...Enfin je crois... parmi tes professionnelles, y a pas de ... non rien.

*** Semblant réfléchir intensivement, Bakean se tait, enfin ! ***



Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Syin Lothar

Le Matal 11 Manhur 1510 à 23h00

 
" Voilà un beau discours Archiviste Bakean ! Et même s'il n'est pas tendre avec moi, il n'est pas pour me déplaire ! Il faut que ça bouge maintenant !
Mince... Kékette est plus là ! "
Bon, dès qu'il revient on y va !
"

Syin avait l'air très décidé, le groupe était perturbé par les effluves de l'alcool, à défaut de celles du S'sarkh, mais les esprits commençaient à retrouver de leur lucidité. Le libertaire quant à lui était toujours sous l'effet des substances mais pas ou plus ivre, seul lui restait l'euphorie et la sur-motivation pour opérer.
Posant quelques affaires dans un coin de la pièce, il ne garda que le strict nécessaire : une corde, ces gantelets, son armure... tout compte fait il ne déposa que quelques ustensiles de cuisine.


Chuuuuuuuuuuuuut ! dit :
Tu auras vraiment besoin de tout ça ?


" Attends on sait jamais ! Et si on se fait attraper par les gardes ! "

Chuuuuuuuuuuuuut ! dit :
Ha ! Mais c'est parce que tu penses à Hourou que tu gardes tout cela !


Le Kang Hourou, cela remontait maintenant à bonne date mais "Slip Lothar" n'avait pas oublié et il se doutait que le chef de la garde n'hésiterait pas à le coller au mitard.

Se dégourdissant les membres, le libertaire jeta un coup d'œil à Oda. Le Muet ne sembla pas lui en vouloir, pourtant lui n'avait pas été très doux à son égard. Voulant en quelques sortes briser la glace, il lui murmura :


" Alors Arkana ne vous a pas finalement fait la chasse ?
J'ai revu Erling depuis et il avait apparemment bien négocié son cas.
"

Il fallait bien discuter en attendant le retour de Kvethan.

 
Kvethan

Le Merakih 12 Manhur 1510 à 18h08

 
La vieille Lyne avait fait un travail superbe, les robes de grises étaient parfaites, il fallait dire que ce n'était pas non plus la chose la plus ardu au monde, les robes étant d'une sobriété à toute épreuve.Ce simple constat souleva le coeur du tydale.....sobriété....décidément c'était un mot difficile à penser!Il remercia la tailleuse et prit soin de mettre ça sur la note d'Aldarin, comme de coutume, d'ailleurs il allait devoir l'éviter quelques temps celui là....

Les robes dans les bras, il repartit en direction du théâtre, le Vioc' avait l'air réveillé, Otome répendait un fumet douteux, décidément les vieux avait une étrange façon de marquer leur territoire.....Il siffla pour attirer leur attention.


J'ai les robes!.....enfin pas pour toi ma grosse carpe d'amour!Me r'garde pas comme ça, c'est bien toi qui veut pas qu'j't'appelle cocotte non?.....'Fin bref, vu qu't'étais pas prévue au programme j'ai rien pour toi.Ceci dit, on doit pouvoir t'trouver un truc dans la réserve de costume de la troupe.

Le chef de troupe poussa ensuite la porte du théâtre avec son pied et beugla à l'assemblée qui s'était réduite.

C'est bon mes gros poulets!J'ai les robes de grises, grâce au parainage bienveillant et euh....involontaire...de notre Parangon!D'ailleurs si y vous d'mande où j'suis dans les jours qui viennent, vous s'rez gentils d'lui raconter des bobars.

Posant les robes sur l'un des bancs du théâtre.

Bon, y nous manque quoi encore?

La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Oda Nobunaga

Le Merakih 12 Manhur 1510 à 21h10

 
Arkana, avais-je répondu, revigoré par l'évocation de la douce Matriarcale, que j'imaginais sans peine prenant un malin plaisir à nous équarrir, moi, lui, et nos familles - voire même les familles de nos familles -,à un Syin apparemment suffisamment cuit, pour parler de ce point... sensible.

Nan, elle a rien fait la bougresse, y'a quand même des filles sensées là-bas, et elle a été raisonnée . Et puis bon, elle pouvait pas repartir en croisade après s'être fait botter le... enfin tu vois, une fois pas deux, quoi.

Mais bon, je te cache pas que ses partisans ont autant de mal à digérer la pilule, du coup j'aime éviter, dans les limites du raisonnable, de trainer dans leur coin sans une âme généreuse et influente pour me couvrir.


*** Je n'avais pu m'empêcher de lorgner l'homme - assez peu discrètement d'ailleurs - qui avait expédié ad patres une guerrière magique aussi balèze qu'Arkana ; ça avait été une sacré prouesse, tout de même. Comme quoi, La Déesse devait veiller sur lui. ***


Enfin, c'est le passé, hein, ça lui passera, mais elle ne fera rien, c'est gentil de demander, avais-je conclu avant que Kvethan ne déboule, encombré comme un Yloatakus.

Ah non, m'étais-je exclamé vigoureusement en me levant de ma chaise, la dernière fois que t'as choisi les fringues, on s'est retrouvés à exploser deux gardes à trente mètres au-dessus du centre d'Arameth.

*** Mais cette tirade qui réveillait un douloureux souvenir fut interrompue bien vite lorsque je vis un robe d'un violet sombre magnifique, qui m'irait apparemment comme un gant constatais-je après expertise.

" Finalement ça va bien se passer ", pensais-je avec les yeux d'un enfant le soir de son anniversaire... et surtout avec l'esprit d'un homme un peu trop imbibé. ***


-Oda Nobunaga-

 
Syin Lothar

Le Vayang 14 Manhur 1510 à 12h26

 
Syin arborait un sourire face à Oda. Pas un sourire de satisfaction dû à sa "prouesse" mais simplement le sourire de l'alcoolique un peu hagard.

" Alors je suis heureux que la Dame ou une d'autres dames veillent sur toi.
Je ne comprends pas toujours ce qui motive parfois tes actes mais je sais qu'il y a de la sagesse en toi jeune fripon et je sais reconnaitre le soutien que tu m'as de nombreuses fois apporté.
Un jour peut-être j'arriverais réellement à faire de cette histoire une tragédie du passé.
"

Le libertaire avait vu que le Muet l'avait grandement détaillé mais il n'avait pas moufté, la curiosité n'était pour une fois, il le pensait, nullement mal intentionné.
Alors que Kvethan entrait dans la demeure, Syin posa une main amicale sur l'épaule d'Oda.


" Derynn et derynn pour ce que tu fais pour la Dame. "

Puis se tournant vers le Chef de troupe :

"Je veux celle là ! " désignant une robe d'un gris banal.

Syin commença à se dépiauter, laissant apparaitre armure et médaillon macabre, puis enfila la tunique apporté par Kvethan.

" Dites donc ! Aldarin a vachement bon gout ! "

Il n'avait peut-être pas saisi la ruse, qui n'avait rien d'inhabituelle, de l'artiste spécialiste du travestissement.

Puis finalement posant un voile pour masquer en partie son visage.


" Je sais pas si on a tout mais moi je suis prêt ! ".

Et le tydale commença à se diriger vers la sortie, impatient de voir comment aller se dérouler les événements.

 
Silindë

Le Dhiwara 16 Manhur 1510 à 00h51

 
Le tydale s'était eclipsé. Rapidement.. Un passage par sa chambre puis il descends vers les cuisines.

Les reserves de boisson?

Il n'était pas sur qu'ils en aient vraiment besoin.. Enfin, avec Kve et Bak dans le groupe effectivement il faut s'attendre à tout.
Donc nous avons dit de la vinasse. Il recupere rapidement une outre remplie d'alcool dans les reserves du theatre. Et deux autres qu'il emplit d'eau. Ce n'est pas tres sain mais il fallait prendre parfois des precaussions necessaires. De même recuperer dans la cuisine de la viande sechée et des rations de voyage. Repartit entre les six ou sept participants il y avait amplement de quoi tenir plusieurs jours chacuns...

Il revint dans la piece avec tout son equipement, pour voir revenir Kvethan. Cool.

Les larges robes dissimuleraient à merveille tout ce qu'ils emportaient. Un rire leger.


L'Aldi va finir par tirer la tronche. Enfin, du moment qu'il ne m'interdit pas l'acces à sa cave à vin moi ça me va impect...

J'ai les vivres de course... juste au cas où.

Et je prend celle là!

annonce il en designant une robe au bleu sombre. Presque noir. Ca lui irait parfaitement. Rehaussant le blond de ses cheveux. Une touche de maquillage aussi sera necessaire. Qu'importe, il a tout le materiel necessaire... et la main de l'expert aidant, ça ne prendra pas trop longtemps.

L'entropiste garde un un pantalon cependant sous la robe. Au cas où. Se costumer, se travestir... no problemes.. mais une robe sous terre lui semble difficile. Il faudra la retirer lorsqu'elle deviendra une contrainte. Il tresse et noue ses cheveux avec l'aissance de l'habitude. Glisse dans plusieurs besaces viande, rations et boissons qu'il tends à certains membres de l'equipe..

Son mou a pris sa place coutumiere... invisible dans le corsage... Un long foulard pour voiler à demi ses traits, comme en portent de nombreuses equilibriennes. Enfin, il mettra le foulard en sortant, faut pas abuser non plus.

Silinde est pret egalement, l'une des besace avec lui... heureusement qu'il y en a un qui pense à emporter de quoi faire de la lumiere non?




Jusqu'au bout...

 
Bakean

Le Dhiwara 16 Manhur 1510 à 17h38

 
***
Bakean était nettement moins adepte du déguisement qu'Oda ou Kvethan, dont le travestissement est une sorte de pré-requis en cas d'action suicidaire.

Bref, dans un grand silence perplexe, il laissa choisir ses compagnons les vêtements qu'ils préféraient, incapable de se demander quel type de couleur irait avec son poil roux, ignorant des couleurs se mariant ensemble.
Il finit par prendre une robe grise pâle, remerciant la Dame pour sa petite taille, et son apparente minceur.

Il défit ses vêtements, enleva cape et bure, pour se retrouver en chemisette et pantalon de toile. Autant dire en pyjama. Avant de se recouvrir avec la robe en question. Il rangea ses vêtements dans son sac chimérique qu'il garda sur lui.

La robe tombait au niveau des pieds ce qui était parfait, ses sandales étaient tout juste discernables, alors le pantalon de toile était tout à fait invisible.
Dernière touche de discrétion, il récupéra un long foulard et le plaça sur sa tête de manière à la cacher le plus possible, puis attacha le tout sous le menton.

Il était à son avis fin prêt, aussi prêt que pouvait l'être le membre d'une troupe de mâle déguisée en Grise s'apprêtant à se fondre parmi la masse.

Amalthur n'était toujours pas réveillé, est ce qu'il allait mieux, allait il venir ?
Il fallait vérifier
***


Bon on est tous prêt.
Reste Amalthur et Otome.
Amalthur !!

***
Signe de départ de l'aventure extraordinaire, Bakean avança vers Amalthur et le secoua comme un prunier.
***

T'as dessoûlé vieux ?

Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Otome

Le Dhiwara 16 Manhur 1510 à 18h06

 
***
Grmmmllll ...
Bon, il est vrais qu'elle venait de taper l'incruste.
Mais en fait, d'un certain point, elle prenait la place du gars qui s'était désisté.
Sauf que, de la a enfiler sa robe, il y avait comme un soucis de constitution et si en tant qu'artisane, elle pouvait faire des miracles pour ce qui est de repriser un vêtement, il y avait là certains limites.
Bon, passons, elle trouvera vite une solution.
Mais l'appeler comme ça ...
Se rappelant que c'était quand même un client, elle se retint d'exploser.
***

Je ne suis PAS ta grosse carpe d'amour !
Je m'appelle Otome.


***
S'approchant des robes, elle les regardes, cherchant quelque chose de particulier, mais non, c'était bien des robes sobres ordinaires devant elle. Le genre qu'elle portait avant son voyage chez les hauts rêvant et qui pouvait se trouver, voir se fabriquer facilement. Elle avait aussi eue un casque de honte en tissu pour masquer son visage, qu'elle avait auparavant donné a son frère, et il en aura surement plus besoin qu'elle maintenant.
Oh que oui, elle avait bien ça chez elle.
***

Tout ça pour ça ...
J'ai tout ce qu'il me faut chez moi, je reviens vite !


***
Courant le plus vite qu'elle pouvait, sitôt la porte de sa maison fermée, elle laissa choir sa cape, puis quelques pas plus loin, s'arrêta dans le corridor, face a la buanderie pour retirer sa robe et ses sous vêtements, les lancer dans une corbeille vide. Ses bottes y restaient elles aussi. De toute façon, elle avait d'autres paires qui feraient tout aussi bien l'affaire.
Un bref brin de toilette firent disparaitre cette nauséabonde odeur. Aussitôt vêtue, sa cape remise, elle quitte les lieux, tenant dans ses mains trois épingles.

Un seul regret, la sobriétés du vêtements étant, il n'était pas fendu sur les côtés comme les robes qu'elle portes habituellement depuis quelques temps, ce qui rendrait l'accès a ses armes moins évident. Mais elle avait choisis un tissu de qualité moindre, permettant si besoin est de le déchirer facilement. En revanche, sous cette robe, elle avait enfilée une tunique en Lannë solide, ouverte où il fallait bien sur.

Rapidement, elle rejoint la troupe alors que ceux ci achevaient de se préparer. Tandis que Bakean secouait l'ancien archonte, elle ajouta alors la touche finale : tirant ses cheveux en arrière, elle en fit un chignon avec ses trois épingles, avant de poser un voile léger.
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

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