Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Les fous alliés.

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Sujet lancé par Kvethan
Le 10-03-1510 à 19h21
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Posté par Otome,
Le 27-10-1512 à 01h00
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Amalthur

Le Julung 27 Manhur 1510 à 12h15

 
Livide, le tydale avançait en suivant les Grises et sans aucun commentaire.

Ses nausées reprenaient du poil de la bête, toute sa concentration passe dans sa retenue.

Voilà la description du personnage : une Grise fine, âgée et très timide. Mais cela ne fait pas avancer le schmilimilimiliblick. Après avoir été porté jusqu'à l'entrée, après s'être fait tiré par Otome (au sens premier du terme bien sûr !) pour avancer, il y eu un petit déclic ! Un petit coup de magie pouvait bien l'aider non après tout ce qu'il avait fait pour elle...

Lum Y Her dit :
hum, affaire à débattre plus tard non ? là, tu me fais peur dans ton état !


T'vas voir si j't'fais peur sale bête

Une rage intérieure nait au plus profond d'Amalthur, du style à lui donner l'air féroce et à lui faire gonfler les vaisseaux sur les tempes, dans la lignée du sort de furie sanguinaire mais en beaucoup moins impressionnant. L'intention est là, il est comme neuf après quelques minutes et bien décidé à ne plus se laisser avoir de la sorte

Lum Y Her dit :
Cause toujours...


Le valdingue de Syin le réveille totalement et à l'énoncé de son nom par Oda, il est sur le devant de la scène !

Alors c'est la fête des jeunettes ! Pour passer de l'autre côté du miroir, rien ne vaut un tydale aux yeux noirs ! ahahahah


Sur ce rire il passa par le bas du miroir, espérant éviter le piège du pivot et disparu.

Pas loin puisqu'il se heurta aussitôt à Bakean, lui même sur Syin. Cela commençait à faire un peu pour le pauvre bougre.
Une roulade en avant (personne ne le voit faire heureusement car on s'en étonnerait) et Amalthur dépose ses deux pieds autour de la tête de la Grise la plus aplatie.


Et si on essayer de se relever les filles ?

Equilibriste au service de la Dame
Dame Grise, R’hin Assia


 
Otome

Le Julung 27 Manhur 1510 à 23h53

 
***
Évidemment, la question d'Oda suscita un refus d'office d'Otome. Il était hors de question qu'Amalthur, cet être cher, serve de cobaye a détection de piège au risque de se faire tuer.
En plus, il avait pas l'air d'aller bien ce qui déplaisait et peinait fortement Otome.
Donc, un léger braillement se fit entendre en guise de réponse.
***

NON, PAS Amalthur !

***
Heureusement, comme émergeant brusquement d'un profond sommeil, le vieux Tydale passa soudainement derrière le miroir a la grande surprise d'Otome qui ne s'attendait pas à ça. Alors, a son tour, elle se précipita à sa suite derrière le miroir, passant également par le bas et se retrouvant face à deux "sœur" à terre, a son plus grand étonnement.
***

Oh ... est ce que ça va ?

*** Avant que son regard se pose sur l'ancien Archonte. ***

Amalthur ...

***
Et, d'un pas léger, elle a aussitôt rejoint Amalthur dont elle ne supporte vraiment pas d'être trop éloigné.
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

 
Syin Lothar

Le Sukra 29 Manhur 1510 à 18h11

 
Le poids de la situation était lourd pour le libertaire, ajoutez à cela le poids de Bakean et il ne faisait vraiment pas le fier.
Attrapant la main tendue, Syin se releva. A la suite des chocs successifs, il n'avait pas vu la roulade du vieux tydale mais se surpris tout de même de le voir debout non loin de lui.

Le groupe était de nouveau dans un couloir mais celui-ci était bien sombre et à la lumière de l'ouverture basculante n'offrait aucune issu visible. N'écoutant pas la proposition d'Oda ni la réticence d'Otome, le libertaire se mit alors à tâtonner dans la salle longiligne. Quelques secondes ainsi à chercher et il posa les mains sur un mécanisme. Une barre horizontale, deux attaches sur les cotés, ce devait être le même principe qu’ils avaient déjà emprunté. Prévenant mentalement ses acolytes qu'il avait trouvé comment continuer, il fit basculer soigneusement le pivot de la sortie, ou de l'autre entrée.


Cruiiiiiiiiiiiic

De la lumière et une odeur lourdement chargé. Miss black franchit le seuil courbée et découvrit de la terre battue sous ses pieds. Relavant la tête, elle fut alors bien malheureuse de constater qu'un garde était en train de l'observer.

" Heuuu.. . Om'shir "

Puis scrutant ce qui l'entourait, Syin put constater qu'il était au milieu de geôles et ne voulant alors surtout pas laisser le temps au gens d'arme le tend de réfléchir ou pire encore de s'inquiéter, il lança d'un ton autoritaire :

" Nous venons voir le prisonnier. "

Il aurait pu ne pas avoir de détenu dans ces geôles ou alors il aurait pu y en avoir des dizaines mais par la grâce de la Dame Tran T'deucuii répondit du tac-o-tac :

" Le voleur de la Grande Chaussette ? "

Incroyable ! La grande chaussette !
Relique légendaire de l'Equilibrium, elle serait venue sur Syfaria au pied du Fifrelin lorsque celui-ci franchit le pilier. Bien sur les rumeurs les plus folles couraient sur elle et après avoir été perdu par son propriétaire, on disait qu'une société secrète se la transmettait de génération en génération pour conserver jalousement les faveurs qu'elle lui accordait.
Evidement, beaucoup de sceptiques mettaient en doute son existence et certains même s'amusaient à en fabriquer d'immense pour parader et se moquer. Quoi qu'il en soit, le mystère demeurait en fait entier.

N'aillant pas le choix face à l'opportunité, Syin dit "Oui ! Oui ! " et maintint la passage ouvert pour que les autres puissent entrer.


 
Amalthur

Le Sukra 29 Manhur 1510 à 22h27

 
Amalthur fut le premier à s'engouffrer et il prit encore plus les devants vis à vis du garde. de sa voix la plus chevrotante et la plus douce possible :

Om'shir mon brave, votre bras pour aider une vieille Grise. Ces passages ne sont pas de tout repos pour une Grise aussi âgée que moi. Nous sommes plusieurs et certaines sont en formations, bien jeunes les pauvrettes mais que voulez-vous, elles ont déjà choisi de servir la Dame avec honneur, c'est toujours cela non ?


Elle n'attendit pas qu'il s'exécute et lui pris le bras pour l'emmener avec elle.
Alors, voyons voir ce voleur. Que je vous explique mon petits, des signes ont été rapportés au temple ce matin voyez vous et nous tentons encore de les interpréter le plus justement possible. Et oui, c'est important et par une intuition toute féminine et une accumulation de signes nous pensons que ce terme de chaussette est important, vous comprenez ?

Ils continuent d'avancer, Amalthur compte quatre cellules de chaque côté pour le moment et pas beaucoup d'espace ni même d'autre sortie. Il faudrait rebrousser chemin ? Aïe ...

Bien, mais je m'égare, il me faut des renseignements sur sa journée. Pouvez vous me dire ce qu'il a mangé, et en quelle quantité aujourd'hui et hier. Quelle est son humeur et quelles sont ses humeurs ? S'est-il plaint et a-t-il vu le soleil au cours de la dernière semaine ?

Bon déjà s'il arrivait à répondre à ça, il serait temps d'improviser autre chose.

Equilibriste au service de la Dame
Dame Grise, R’hin Assia


 
Silindë

Le Dhiwara 30 Manhur 1510 à 00h18

 
Je l'espère aussi Kve, je l'espère sincerement... Au pire... l'plan D est toujours valide.


Et, au pire on a le couteau à saucisson... Non? C'est pas fondamentalement une pensée très rassurante, il faut bien l'avouer.
Parce que bon... les cachots il les connait.. il ne tient pas à y retourner. Enfin, qui vivra verra... Faut vivre pour ça. Et il ne peut pas franchement reprocher à son nerhe le sort... Parfois, faut bien ça pour y aller quand meme. Lui? Oh mais lui il y allait parce qu'il avait toujours revé de faire de la speleologie. Même au prix de sa vie? Bonne question....

Des yeux délicatement maquillés regardent une nouvelle fois le groupe. S'attardent sur Otome... la seule qui s'entre eux est ici sans avoir conscience de ce qui se joue. Des poids en balance derrière le masque d'insouciance. Bah, quitte à se pendre, autant le faire dans un décors comme celui-là. C'est vrai quoi, ça avait du style.
Il glousse en sourdine en manquant de se tordre la cheville.. Le sol descend. C'est traitre. Oui mais c'est lui qui l'a voulu.

Passage devant un miroir... S'il ne savait pas que c'était lui il s'aimerait. Silinde résiste à la tentation de s'envoyer des fleurs mais il se considère comme la plus jolie de toute.

Mission impossible 3, le retour du travestit.

Accompagné de ses camarades supers entrainés, notre héros s'avance dans le labyrinthe. Il ne sait pas ce qui l'attend mais est prêt à tout, surtout au pire. Des images de silindettes court vetues pretes à tout pour l'encourager passent dans son esprit. L'agent entropiste 000 est là...


Lowgli dit :
Sili reveille toi....


Mmm? Heu oui bon tu as raison.

Oh une tapisserie... La Maitresse des Clés se souvient, dans toutes les histoires sur le palais, les tapisseries sont toujours primordiales. Bon, ce n'est pas parce que celle là représente un lapin aux pommes sortant du four et prêt à etre servit à table que l'on doit la mettre de coté.
Et pendant que ses camarades commencent à se jeter sur un miroir, la jeune grise ecarte la tapisserie poussiéreuse, tousse comme une perdue et remarque triomphante une petite porte derrière ladite tapisserie. Juste à portée de son bras... Elle tend le bras, ouvre la porte en faisant de grand signe à celles restées dans le couloir... pour.... tomber sur un placard à balais de moins d'un mètre carré. Un sceau, deux trois balais, une serpillère et quelques pots de produits divers, sans doute des herbes ou du savon... Echec. L'air de rien elle referme la porte...


Lalalaaaa....

Ah ben, qu'est ce qui s'est passé ici...? Ah? Derrière le miroir lui affirme le mou..

La tydale faire une petite moue
.
Les filles... elles sont passées où là nos divas?

Faire pivoter le miroir légèrement... écouter, un seul mot parviens à ses oreilles "prisonnier"

Hein? Quoi? Comment? Déjà?


Heuuu... on continue de notre côté? Émet il vers les deux adorables tydales qui sont avec lui encore en "sécurité" dans le couloir

Jusqu'au bout...

 
Bakean

Le Luang 31 Manhur 1510 à 06h47

 
***
On est eu !! on est eu !!

Pensait Furieusement Bakean en essayant de demeurer le plus calme possible quand Amalthur gérait la situation avec le garde.
Il ne regardait pas qui suivait, qui ne suivait pas, il observait simplement le dos de Syin Lothar comme si un plan magique allait sortir du vêtement.

Par réflexe, il dégagea son bras et se mit à réfléchir furieusement.
Il ne réfléchissait pas à une solution subtile pour amadouer le garde.
Ni comment s'enfuir sans se faire remarquer.
Ni à l'occasion de tomber sur la Shaïm enfermée dans une geôle.
Ni même à qui était le voleur de la Grande Chaussette... et pourtant.

Non en situation de stress Bakean pensait à atteindre sa bouteille de gnôle et la boire d'un trait pour avoir les idées claires pour lancer un sort entropique.
Il évaluait donc un sort qui permettrait de ne pas donner l'alerte, ne pas tuer amalthur, et si possible ne pas tuer le garde. Simplement l'assommer.

Il avait bien pensé à son prototype de sort pour lui coudre la bouche, mais ça risquerait de le faire paniquer, et un garde courant dans les couloirs avec une bouche magiquement cousu... Bah ça sonne aussi l'alerte.

Il avait pensé à lui lancer une série de jambes de feu pour l'obliger à courir dans le mur le plus proche et espérer que cela soit suffisant pour l'arrêter... Mais si le garde était assez malin pour l'éviter... il y a toujours le problème de l'alerte qu'il allait donner.

Il se demandait si en lançant une frappe entropique sur Amalthur le garde ne s'évanouirait pas de peur en voyant la petite vieille qu'il avait accroché au bras se transformer en un Monsieur Muscle bavant et beuglant.... Le problème c'est qu'en lançant ça comme en lançant une furie sanguinaire, bah personne ne sait ce qui adviendrait d'Amalthur...Faudrait pas que le vieux essaye de torde le cou de Bakean.

Bref, il finit par se dire que la meilleure solution était de se planquer avec un Laplah... Heureusement son intégrité toute relative finit par l'emporter avant qu'il incante, et donc place ses compagnons dans une situation délicate...

Il leur laissa donc une chance de procéder avec la "ruse", mais si ça rate, Souffle de feu, et tant pis pour qui se trouvera dans le champs d'action.

Une fois la solution terrifiante décidée, Bakean afficha un regard déterminée et signe qu'il suivait toujours le monologue d'Almathur, il signifia sa présence d'un...
***

Hun hun

*** Onomatopée signifiant en gros " je valide tout ce qu'à dit le vieux, tu nous emmène au prisonnier garde ?" Pourquoi ne pas avoir dit ça plutôt ? Disons que les voix de Bakean sont aussi impénétrable qu'un Nemen expliquant la calligraphie à une truite. ***


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Kvethan

Le Luang 31 Manhur 1510 à 18h59

 
Le jeune tydale était resté inerte, perdu dans la contemplation des fresques en bas relief qui couraient le long des murs, elles formaient un enchevêtrement végétal telle une branche d'arbre s'étirant à l'infini jusque dans les boyaux les plus sombres du palais.Lorsque la fresque arriva prêt du fameux miroir à pivot infernal, son regard s'anima et il sortit de sa torpeur en distingant la forme d'un daim.Se remémorant les conseils du capitaine pontifiant, il le considèra d'un oeil suspicieux.Qui était-il pour remettre en cause l'avis d'un libertaire méprisé de tous, ivre et travesti de surcroit?

Il pointa le petit animal sculpté et parla avec toute l'éloquence que lui permit son état.


Daim!

Une chose était claire dans son esprit....si si c'était possible....ses compagnes à poil dru étaient tombées dans le piège tendu par cet être maléfique.Sans doute une bête pervertie du P'khen, la Shaïm l'avait sans doute accueillit en toute innocence, pensant en faire de belle chaussure bleu comme le préconisait le célèbre cordonnier El Visse.Il fallait faire quelque chose et ne pas laisser ces dames à sa merci.C'est là qu'il saisit un mot à demi étouffé par la cloison:"Chaussette!".

Ses lèvres s'étirèrent en un sourire béat.


Chaussette?

Farfouillant dans sa besace, il en sortit l'artefact le plus puant que l'équilibrium n'ait jamais vu, celui là même qui faisait retenir sa respiration à Krepion loup d'mer, et pourtant il en faut, la Chaussette d'Asgarh.Elle commençait à peine à distiller une odeur méphitique dans le couloir que le chef de troupe fit basculer le pivot et balança la chausette de la mort le plus loin possible en beuglant.

CHAUSSETTE!

*** FLOTCH!(Bruit méconnu de la chaussette sauvage gorgée de bon jus de pied s'attaquant au crâne d'un fonctionnaire équilibrien.) ***


Fort de l'aide apportée à ses consoeurs, et oui avec ceci qui oserait leur faire face, il regarda Silindë puis s'engagea dans le couloir non sans lui faire part de ses intentions de façon claires et....euh....concise?

Chaussette!

Ça c'était du plan!Une mécanique huilé qui allait s'abattre sur le palais des murmures précédée d'une nuage méphitique qui piquait les yeux.Prenant bien garde de passer au large de tous les daims que représentait la fresque murale, le tydale s'enfonça dans les tréfond du palais.Un virage puis un autre, et encore un autre.LOrsque tout à coup il stoppa net.POintant un autre daim du doigt, qui étonnament était sculpté sur le pourtour d'un miroir.Mais cette fois ci ce daim du p'khen ne s'en sortirait pas, il poussa le pivot, le balai au clair et beuglant.

CHAUSSETTE!

P'tit truc dit :
C'est le même pivot, on a tourné en rond débilos revient.....trop tard...


La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Syin Lothar

Le Merakih 2 Jayar 1510 à 00h23

 
Tran T'deucuii, le garde, après avoir offert son bras à la vieille grise qui avait bien du mal à se mouvoir, acquiesça à ses paroles tel un dindon perdu dans une foire. Les événements allaient bien vite pour lui et il se demandait maintenant s'il avait bien fait de postuler à cet emploi qui n'avait rien de dérisoire. Premiers jours, jours d'essai, et déjà cela ne se passait pas comme il l'avait imaginé, qui pouvait prévoir qu'une bonne demi-douzaine de Grises allaient se pointer dans ces geôles sombres et sales. En plus, elles lui avaient fichu la trouille en passant par un passage secret, c'était vraiment pas croyable ! Heureusement, se dit-il, son chef de garde ne tarderait pas à repasser pour voir si tout ne se passait pas trop mal.

" Formation....
Voleur...
Signe...

Etc. "

Le pauvre malheureux répétait les mots sans le vouloir comme pour mieux comprendre de quoi on lui parlait mais quand il fut questionné alors là encore une fois, il répondit machinalement :

" Le prisonnier a mangé de la salade.
A peu près un quart d'une belle laitue de type batavia, soit à peu près un quart de 345g.
Son humeur est plutôt maussade quand à ses humeurs je ne saurais le dire car ceci est seulement mon premier quart, mais pas de salade.
Il ne s'est pas plaint mais à pleurer, enfin je crois, et il a surement du voir le soleil cette dernière semaine car il n'est enfermé que depuis hier soir.
"

Tran se tenait droit comme un i et regardait bien face à lui pendant son discours, sans nul doute il avait de bonne capacité pour la mission qui lui était confiée mais il lui manquait tout de même un on-ne-sait-quoi.
Puis il reprit sa marche, de trois pas, pour poster la Grise à l'odeur de renfermé devant une grille plutôt bien verrouillée.


" Je me suis permis d'ajouter chaine et cadenas à la serrure renforcée, on ne sait jamais avec ce genre de dérangé. "

Déclara-t-il fier de lui à la petite assemblé mais alors qu'un sourire se dessinait sur son visage, une chose horrible vient sur sa tête se poser.

" Snif... Sniiiiiif... ARGH ! "

Le garde venait de s'écrouler, foudroyé par la puissance de la chaussette, tandis qu'une voix s'élevait de la cellule :

" Non ! Ne me torturez paaaaas ! "

Miss Black, quant à elle, un peu prit de panique face à l'événement et surtout pris de dégout par l'odeur qui venait de s'annoncer se blottit dans un coin du couloir les deux mains sur sa bouche posés.

" Mais que va-t-il nous arriver ?!? "

 
Bakean

Le Merakih 2 Jayar 1510 à 19h50

 
***
Miss Blue, paranoïaque comme d'habitude avait suivi l'odeur qui traversa la pièce comme un tromblon de poudre.
Il entendait de derrière, une voix qui ressemblait fort à Kvethan hurler "chaussette"... Bakean compris alors le sens de tout ceci.

Kvethan était attaqué, il hurlait le mot de code que l'Archiviste avait oublié d'écouter.... Aux proies avec des ennemis toujours plus forts toujours plus nombreux ; des natifs déguisés en Grises qui allaient lui scier la jambes avec une cuillère à soupe tout en lui plantant des épines dans les yeux... Dans l'horreur Kvethan avait voulu sauver la seule chose qui avait de la valeur pour lui, la Chaussette d'Asgarh... inimitable par rapport à l'odeur... Des pieds qui puent comme ça, il y a qu'Asgarh qui en avait.

Pris de panique, Bakean compris que les secondes étaient comptés. Il pensa donc aux personnes en vue.
***

" poussez vous les baltringues, j'vais lui régler son compte à ce natif déguisé qui a enfermé la Shaïm et lui a fait bouffer de la salade. Les Neldas sont pas des lapins, S'sarkh des païens, j'vais lui apprendre à faire faire un régime à la Shaïm. Nos amis sont torturés, pas de temps à perde."
MAZAKALA ! Chuchota-il.. .Bon d'accord au vu de l'apparente situation cela ressemble à un cri, mais tout le monde sait que les Mages n'ont pas besoin de beugler pour incanter, il n'y a qu'Heltaïr qui s'y tient, Bakean lui chuchotait toujours ses sorts, mais avec Vigueur.

*** Et heureusement pour tout le monde, il rata son sort... Comme d'habitude souffla Railleur... et le garde qui failli tourner de l'oeil avait pas du entendre l'incantation murmurée couvert par son cri de terreur.

Râlant de la disparition impromptue de toute son énergie magique, il n'en avait pas fini. Il mourrait pour sauver la relique pour laquelle Kvethan s'était sacrifié.
A l'assaut ! il sauta donc sur le garde foudroyé. Qui ne se relèverait pas avant un bon moment après avoir subie une chute frontale de Bakean sur toute la longueur de son pauvre corps écrasé. Voilà pour la rigueur militaire.
Fier de sa victoire, Bakean se releva Chaussette en Main, les bras en l'air, Victoire !

Victoire de courte durée, la chaussette est passée trop près du nez, le Nelda victorieux eut juste le temps de beugler.
***


S'sarkh des païens !!! C'pas possible une odeur pareille

*** Avant de vomir... ***


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Oda Nobunaga

Le Merakih 2 Jayar 1510 à 21h03

 
*** Tout s'était passé tellement vite, pour se finir tout aussi impétueusement, que je n'étais même pas sûr de savoir ce que j'avais fait pendant ce cours laps de temps. Je ne savais pas ce qui m'avait le plus surpris, voir Syin improviser et initier cette mascarade, ou bien la nouvelle de l'élection de Korsyne aux régionales de la destruction Tark'nalienne. La première option, quand même.
***


Oh ma Déesse... étais-je tout de même parvenu à murmurer, médusé.

*** Donc, ça faisait déjà un garde au tapis ; en si peu de temps ça tenait tout de même du record, là. ***




-Oda Nobunaga-

 
Narrateur

Le Julung 3 Jayar 1510 à 00h24

 
La pièce était de taille modeste.
Le passage secret, des portes de cellule. Une porte menant sans doute vers un couloir. Toutes fermées.
Des murmures s'échappaient des cachots.
Soudain ils se turent, laissant le silence seul emplir l'espace.

Un cliquetis.
Comme un engrenage qui se met en branle.
La porte d'une des cellules s'ouvre. La lumière de la pièce éclaire son intérieur crasseux.
Au fond, enchainé, les poussiéreux peuvent voir un enfant d'une douzaine d'année.



Il est apeuré. Juste apeuré.
Ni terrifié, ni amaigri. Ce qui pour le moins est surprenant est qu'il tient dans ses mains un instrument de musique.
Qu'il en y a plusieurs autres à ses côtés. La plupart cassés.
Et de plus, il est adossé à un coffre d'où déborde de nombreuses plaques d'argent circulaires, et quelques colliers rudimentaires. Pas des bijoux. Plus des pièces d'artisanats sommaires.
Un prisonnier barde, jeunot, plus apeuré par les nouveaux venus que terrifié à l'idée d'être enfermé.
Enfermé avec des objets qui n'avaient strictement rien à faire là, de plus...

Ajoutant du mou à la situation, Bakean s'aperçoit qu'il vomit sur un tas de vêtements.
Pas sur le garde.
Car de garde, il n'y a plus.
Juste ses vêtements.
Il a disparu. Ou n'a jamais existé ?

Soudain, l'ambiance se rafraichit sacrément, et les poussiéreux peuvent sentir le poids du palais des Murmures peser sur eux de tout son mystère...


 
Silindë

Le Julung 3 Jayar 1510 à 00h56

 
Certains se demandaient ce qui se passait... d'autres avaient (helas) compris. Rien que de tres normal connaissant les individus...

Son nerhe donc, dans un état d'hallucination averré (aurait il inclu dans sa formule de Soif l'utilisation de champignons? Il y avait à creuser dans cette direction) assenait des declarations pour le moins... succinte.

Daim...

Ca veut dire oui ou non ca?

Miss Orange grimace, se demande si elle dois elle aussi lancer ce sort pour mieux comprendre, et finalement bugue devant le large sourire qui étire les levres de Kvethan. Ca sent pas bon. Pas bon du tout. Reculer... doucement .... tout doucement..... S'sarkh! Elle heurte un truc dans son dos! Se fige! C'est la fin du monde! Des hordes de kropocle s'apprettent à conquerir le monde! Et le pire... c'est qu'ils y croient les imbeciles. Enfin, tant qu'ils feront cette taille c'est surtout de rire qu'ils risquent de nous faire mourrir. Heu, ouais mais là derriere c'est pas un kropocle...

Jme reeeennnnddd!

Lever le nez, ah tient non c'est juste un Oda, alias miss White.


M'fait pas peur comme ça ma belle!

Mon pauvre petit coeur est sensible tu sais
.

En parlant de coeur... Kvethan ... Oh non, oh non, pas la chaussette de Conscience.... C'est letal ce truc! De l'arme de destruction massive!
Il bloque sa respiration juste à temps pour eviter de respirer l'atroce parfum. Desormais c'est sur et certain, il ne rentrera pour rien au monde dans cette piece.


Je croyait qu'on tenterait de ne tuer personne remarque il neanmoins à l'attention du petit groupe. Si on utilise une telle puissance dès maintenant...

Chaussette!

Heuu... Ouaaaiiisss... Okééééé.... mais encore?

Il approuve silencieusement la declaration de Kvethan. Au fond, pourquoi s'encombrer de paroles inutiles... Partons, il a raison. De toute maniere rien n'a pu survivre dans cette piece. Et mieux ne vaut pas rester là quand les grises (les vrai!) arriveront avec leurs masques à gaz.

A tient non il revient. C'est un spectacle interessant à observer.... Depuis quand il a ce balais? C'est dangereux ça un balais dans les mains d'un entropiste... Vous etes au courant. Et qu'il charge en poussant son terrible cri de guerre.


Chaussette....

Murmure t'il. Apres tout pourquoi pas....

Il fallait bien un embleme à toutes les troupes de sauveur du monde.
La chaussette au moins... c'est original non?

Parfois, l'avantage d'avoir eut pareils antecedent est l'anesthesie totale que cela confere.


Attention, balais en approche... previent il les attaqués. Sans pour autant aller se jeter dans le piege mephitique.Quoique... ils ne sont plus que deux ici... En cas de problemes.... heuu.... Et c'est Kve là qui vient de partir... Une profonde inspiration, ecarter le miroir et commencer à s'engager. L'autre avantage de la telepathie c'est qu'il n'est pas necessaire d'inhaler l'air de l'endroit pour demander
Besoin d'aide?

mais qu'est ce qui se passe ici? Et... le regard se tourne vers la cellule... Completement largué.

Jusqu'au bout...

 
Oda Nobunaga

Le Julung 3 Jayar 1510 à 08h14

 
*** Un coffre ? Un coffre ?! Et rempli de pièces d'argent en plus ! Pour sûr, ça devait avoir une forte valeur marchande... au moins de quoi repartir sur de bonnes relations avec le banquier.
Nous avions peut-être trouvé un petit bonus, finalement.

Comme envoûté par le contenant et son contenu, j'entrais dans la cellule.

Le petit n'avait pas l'air dangereux, mais s'il était enfermé ici, il devait y avoir une bonne raison ; il valait mieux se méfier. ***


Salut l'ami, fis-je en avançant lentement, en Tydale pour avoir le plus de chances de me faire comprendre. Alors, qu'est-ce qui t'as amené dans cette geôle ? Une erreur de justice, je parie, hein ?

*** Après m'être suffisamment approché, je m'arrêtais en ayant pris le soin d'être au maximum hors de portée du gamin, si d'aventure il venait à tendre la chaine à sa cheville pour s'approcher.

Le coffre et son contenu débordant étaient désormais à quelques mètres. ***



-Oda Nobunaga-

 
Otome

Le Julung 3 Jayar 1510 à 10h53

 
***
Mais qu'est ce qu'il se passe ici ?
Telles sont les pensées d'Otome, qui décidément n'y comprenait plus rien. Au point de se demander si elle était pas tout simplement en train de rêver. Et pourtant tout ceci avait l'air bien tristement réel.

Elle était restée durant tout ce temps prés d'Amalthur.
Quand soudain, une odeur qu'elle commençait à connaitre, suivie d'un cri qui confirmait ses pire crainte la fit immédiatement réagir : saisissant la main de l'ancien Archonte, elle l'entraina rapidement le plus loin possible de l'horrible chaussette, craignant ses effets sur le vénérable Tydale.

Mais tout était verrouillé, sauf une cellule où elle s'y engouffra, percutant au passage Oda qui louchait sur le "trésor".

Lâchant enfin la main d'Amalthur qu'elle avait trainé jusque là, elle observa les objets qui jonchaient le sol. A première vu sans grande valeur, entre ses mains, elle pourrait en faire quelque chose de plus intéressant.

Sauf que c'est pas le bon moment, elle n'est pas du tout venue pour ça.
***


Travailler, c'est survivre un peu plus...

 
Bakean

Le Julung 3 Jayar 1510 à 18h33

 
***
Après avoir vomi, sans oser regarder le gardes qui n'était plus ou n'avait jamais été, Bakean essuya sa gueule de manière peu élégante en regardant ses compagnons, qui arrivaient en grand nombre préparant un début d'excuse tout en planquant la Relique d'Asgarh dans un petit sac qui irai dans une poche d'une poche au plus profond de son sac. Apparemment, on était pas attaqué, ils semblaient tous bien portant, et plutôt curieux du stress de Bakean.

Surprise cependant, personne ne le regardait, chacun avait l'œil rivé sur la cellule où on torturait la Shaïm avec de la salade.
Etait-elle en si mauvais état que tout le monde soit plongé en catatoninie.

Imaginant le pire, une Shaïm au poil dru et vieilli aux dents limées pleurant à l'aide, Bakean s'approcha de la cellule. L'ambiance était pesante, la fin de l'Equilibrium était maintenant en jeu. ou était-ce trop tard ?

Par tous les Rouages ! Ils ont osé raser la Shaïm. Quelle horreur !!

Heureusement, Bakean n'avait fait que penser ces termes... Il n'aurait certainement pas réussi à résister à l'humiliation publique de son erreur... Et pourtant il résistait à pas mal de choses.
En effet, ce n'était pas la Shaïm dans la cellule mais un espèce de gamin avec un instrument dans les mains.
Soudainement, l'Archiviste oublia la mission et se jeta contre les barreaux de la cellule et admonesta le pauvre prisonnier.
***

VOLEUR !!! c'est toi qui t'es tiré avec mon Bandolim hein ? tu bosses avec Le Mulot c'est ça ? le sale petit vaurien de Zarlif !!! Ah ben je suis bien content qu'on t'es arrê...
...
...
...
Ah, mais c'est pas mon bandolim, c'est une Sitar... Pardon Gamin, j'avais cru...Enfin, j'pensais... Mais bon, une sitar, c'est pas un vrai instrument digne de ce nom, faut passer par Bakean pour les meilleurs instruments de Lutherie... Comme dit mon slogan... y'a pas d'beauté dans la musique sans Bakean à payer...

***
Une humiliation publique évitée, une avérée, Bien fallait détourner l'attention vers quelqu'un d'autre. Soudain deuxième surprise, Oda et Otome étaient dans la cellule... et le Muet engageait la discussion avec le prisonnier.
***


S'sarkh, vous vous êtes fait arrêté vous aussi ? qu'est ce que vous foutez la-dedans ?

*** C'était pas une grande journée... ***


Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

 
Kvethan

Le Julung 3 Jayar 1510 à 21h14

 
Le jeune tydale avait chargé tête baissée avec son balai, prêt à en découdre avec le fameux daim du p'khen.Mais en fait et place du redoutable herbivaure, il était enface de ses comparses, aussi fit-il un effort cognitif incroyable pour trouver la seule solution logique!......Ils étaient dans le ventre de la bête!Et oui logique non?....enfin pour lui...Sa caboche se mit à tourner à plein régime, il fallait faire quelque chose!Oui mais quoi?Frotter les parois jusqu'à la brulure d'estomac?....Se rappelant brusquement qu'il n'était pas seul, il se dit qu'après tout ses compagnes trouveraient bien une solution.


D'ailleurs qu'est ce qu'elles fichaient à reluquer une des geôles stomacales?Poussé par la curiosité, il entreprit de jeter un oeil.

Un musicien!Des instruments!

Le paradis au milieu de l'enfer, voilà où elles devaient être.....peut être n'était il pas aussi maléfique que ça ce daim.

La geôle n'était pas grande et elle comptait déjà nombre de poussiéreux, aussi brailla-t-il.


On s'fait un buff avec ces instruments?Tu dois pouvoir réparer ça Miss Blue.....Ça chassera p't'être le daim!

La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Syin Lothar

Le Vayang 4 Jayar 1510 à 11h06

 
Dans un coin de la pièce, Miss Black fut pris d'un étrange et intense frisson. L'atmosphère des lieux s'était rafraichi et tout était devenu bien plus sombre, bien plus pesant. Un voile venait de s'abattre, ou de s'enlever, sur la réalité auquel ils étaient tous confrontés.

Clic, clic, clic...
Un bruit suspect et répétitif commença alors faire son apparition. La Grise alors tendit l'oreille et essaya de localiser son origine. Elle fit un pas et le bruit s'arrêta subitement, elle s'immobilisa elle aussi.
Puis doucement
clic, clic, clic le bruit reprit.

" Rhin Assia, protège-moi ! "

Baissant alors les yeux, car le bruit semblait en fait venir du bas, Miss Black vit ses jambes flageoler. S'sarkh ! C'était lui qui produisait ce bruit ! La bourse planquée sous sa robe devait tellement être remuée que les quelques pierres qu'elle contenait s'entrechoquaient.

" Ha ! Ha ! Ha ! " Petit rire discret pendant que le tydale percevait qu'il n'y avait plus personne autour de lui.

" Hé ! Ho ! Attendez-moi ! "

Tout le monde s'était engagé dans une geôle à la porte entrebâillée.
Tout le monde ? Non pas tout à fait.

Alors que Miss black approchait prudemment de la production organique de Bakean et du garde qui semblait s'être liquéfié, une voix s'éleva dans son dos. Surprenante et annonciatrice d'une Grise, Syin faillit défaillir.


" Non ! Épargnez ma vie ! "

Miss Orange esquissa un sourire.

" Pffff... c'est toi Silindë, tu m'as fait flipper... "

Puis retrouvant un peu de confiance puisque plus seul face à l'adversité. Miss black tenta de remettre un peu de l'ordre dans ses esprits. Passage secret, garde irréel, geôle entrouverte... geôle entrouverte ! C'est ça ! Les autres y étaient entrés !
D'ailleurs quelques voix commençaient à s'échapper de cette pièce. Du tydale ? Bakean ?!? Kvethan ?!? Mais qu'est-ce qui était en train de se passer ?

Miss Black reprit sa marche prudente vers le nouvel objectif, surtout que dans le foutoir, elle mettait en doute la capacité de quelqu'un à avoir pu crocheter.


" Soit mesuré, mon petit Syin. N'oublie pas pourquoi tu es à toutes ces racailles associées ! "

Puis glissant la tête par l'ouverture, il (ou elle) vit Amalthur, Otome, Oda, Bakean et Kvethan autour de quelque chose encerclé.

" Ho, les amis qu'est-ce que vous avez trouvé ? "

Miss Black restait alors à l'entrée bien trop consciente que tous ne pouvaient pénétrer dans la cellule sans se marcher sur les pieds et de plus qui pouvait surveiller qu'un garde, un vrai, n'allait passer par là et profiter pour tous les enfermer ?

 
Silindë

Le Sukra 5 Jayar 1510 à 00h01

 
Finalement sa réserve d'air arrive à expiration. Malheur... le voici forcé de reprendre son souffle... dans la même pièce où fut jetée la chaussette... heu la Chaussette pardon. Car nous ne parlons pas de n'importe quel artefact mythique... mais bien de la légendaire Chaussette Portée par Conscience, objet aux pouvoirs nébuleux et à l'impact certifié sur l'environnement. Certains racontaient même que c'était l'unique objet craint par le P'ken. Heureusement pour les Sauveurs Originaux de Shaim la convention d'Oriandre interdisant l'usage d'armes bacteriologiques et chimiques avait pris fin en même temps que la ville.

Oda et tous les autres étant là, il n'y avait désormais plus personne dans le couloir. Tous avaient passé le miroir qui, signe ou pas, se fêla. 7 ans de malheurs... quoique... au prorata de l'action de chacun et en y ajoutant les influences obscures des générations antérieurs divisées par le nombre d'entropistes on arrivait à la durée très honorable de 42s de poisse par personnes. A prendre quand ils y penseraient.

Miss Orange s'étonne tout de même de pouvoir respirer normalement. L'artefact a dû être contré d'une manière ou d'une autre... curieux...

Devant lui Syin tressailit et est tout blanc quand il se retourne.

Silinde sourit, tachant sans trop succès de réprimer un fou rire.

Oooouuuhhhh.... je suis la grande vilaine grise qui haaaaante ces couloirs à la recherche de petits intrus à dévorer....
Parodi il.

Quoique... t'a ptetre raison d'avoir peur.. j'ai entendu de drôles d'histoires.. Comme celle de Sal Deubin qui se serait noyée pas tres loin...


Avant de se rappeler ce qu’ils font là. Ah oui c'est vrai.

Lowgli dit :
Ne me dit pas que.... Sili!


Roohh toi hein! Et puis j'y vois rien moi avec tous ces gens devant!

Bak, t'es mignon de secouer les barreaux mais je te signale que la porte de la cellule est ouverte.

Comment résister à l'envie de lui saisir le museau et de le tourner en direction de ladite porte pour qu'il le constate de ses yeux? Impossible de ne pas succomber à la tentation...

A l'entrée de la cellule, le tydale est bien incapable d'y rentrer par contre. Trop de monde


Heee, mais laissez le respirer! Et c'est qui ce môme? Rooh vous lui faites peur! C'est pas un hall de temple ici! On se croirait chez Ludia un soir d'autodafé!

Un honnête musicien n'a rien à faire en cellule. Faites le sortir! L'vioc t'a pas de la rouille dans ton inventaire pour ses bracelets?


C'est presque un caprice. Mais on n'enchaine pas un artiste, symbole de liberté. Non. Jamais. Fallait-il y voir une hyperbole de leur propre destinée? Mouais... bon au moins il était vivant le petiot. Concentrons-nous sur les bons aspects, c'est ça, les points positifs... Tient, en passant.. le daim...

Avec une sauce au champignon c'est divin. Encore legerement rosé... mmmm.... Faut le bouffer, pas le laisser partir..


Jusqu'au bout...

 
Narrateur

Le Sukra 5 Jayar 1510 à 16h22

 
Le jeunot restait silencieux, le regard virevoltant de l'un à l'autre des protagonistes.
Il serrait son instrument contre lui, tentant par la même visiblement de se rassurer.
Dans la pièce, rien d'autre d'important.

Un bruit de miroir qui se fendille.
Puis, quelques secondes plus tard, un souffle de vent suivi d'un claquement de porte.
La porte "secrète" venait de se refermer, laissant de ce côté un bête pan de mur tout ce qu'il y avait d'infranchissable.
Le chemin de retour était compromis.

Des trois autres geôles, aucun bruit.
Elles devaient être vides.
De la dernière porte, normale celle-ci - et c'est peu de dire qu'elle en était contente de son statut de normalité, cette porte ! - aucun bruit non plus.
Sans doute un couloir qui amenait à ce lieu pour le moins surprenant.

Le jeunot déglutit.
Et se risqua à causer, peu après Silindë, frissonnant de tout son maigre corps.

Hiver des sens qui se gausse de l'avenant.
Tout en dérivant, le soufflet retombe si on n'y prend garde.
La nuit arrive.


 
Bakean

Le Sukra 5 Jayar 1510 à 16h37

 
***
Bakean venait de se rendre compte.... Que la porte était ouverte.
Expliquant donc la présence des Tydales dans l'endroit clos.
Toujours accroché aux barreaux comme à un radeau dans l'océan.
Bakean écoute le gamin parler.
Quelques secondes s'écoulent.
Le temps à Bakean de comprendre.
Et d'annoncer à l'emporte voix.
***


S'sarkh des païens, c'est un ennemi !! un rejetons, un natif ou le P'ken en personne j'sais point.
Mais le mioche, il parle aucune langue de faction, ni nemen.
L'aubaine, on va lui faire payer !!!

***
Attendant les cris de guerres de ses compatriotes, Bakean fait une pause. Et quand finalement, il arrête de causer, il semblerait que son esprit se remette en route. Nombreux diront qu'il est dommage qu'il ne puisse pas parler et réfléchir en même temps.
***


... Ah moins qu'il parle Shaïran, ou Tchaë ancien, ou Runique, ou Runique de Tshall...
j'avais oublié que ça pouvait être ça.
On l'égorge quand même pour plus de sureté ?

***
La question hallucinante flottait dans l'air alors que Bakean regardait le gamin avec un air franc et compréhensif contredisant complètement ses derniers mots.
Un piège certainement pour le gamin, s'il parlait Shaï, il comprendrait certainement qu'il fallait qu'il assomme le Muet avec son Sitar et qu'il se barre en courant en renversant Otome.
***



Bakean : Spécialiste de la découpe de chevaux en quatre... De cheveux aussi.

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