Les Mémoires de Syfaria
Autour de la cité puits Nemen

A la découverte de la civilisation nemen

deux tchaës en vadrouille
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Sujet lancé par Toufic
Le 25-03-1510 à 18h18
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Posté par Toufic,
Le 02-04-1510 à 22h16
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Toufic

Le Julung 25 Marigar 1510 à 18h18

 
Le voyage avait été long, mais passionnant.
L'inaction avait pesé à Toufic, mais le spectacle avait été grandiose.
C'était la première fois que le tchaë avait emprunté les transports nemens. C'était une sacré invention !

Syfaria vu du ciel, montrait un tout autre visage. Les montagnes, les routes, les cités et le lac intérieur, tout était différent. L'île semblait plus petite, et sa géographie se dévoilait. Rien que pour cela, Toufic ne regretta pas son voyage. Surtout qu'il avait parcouru Syfaria dans la diagonale du sud est ou nord ouest, il avait pu donc apprécier la variété des paysages.

En plus, on faisait le voyage en toute sécurité, loin de l'atteinte des nombreuses créatures ou rejetons du S'sarkh qui n'avaient pas leur pareil pour vous gâcher la vie.


Le tchaë avait retrouvé des yeux d'enfant pour observer le paysage

*** Il s'adressa à sa compatriote : ***

C'est plutôt chouette ? Non ? On en parcourt de la distance sans se fatiguer ! Et en en plus, on voyage en toute sécurité.

Tifou dit :
En toute sécurité; en toute sécurité, c'est vite dit !
T"es sûr que cette nacelle de malheur ne va pas s'écraser au sol ?


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Adwëis De Vöhjière

Le Julung 25 Marigar 1510 à 19h32

 

La jeune alchimiste était enfin arrivé à la cité puits. Cela devait faire un peu moins d'un cycle qu'elle n'y était venue.Toutefois, elle eu du mal à se concentré sur sa conversation avec Toufic, une grande partie de son attention étant tendu à la recherche de ce qui la passionnait au dessus de tout dans cette ville.C'est donc avec quelques difficulté à rester calme qu'Adwëis répondit à Toufic :



C'est vrai que ces transport sont extraordinaire ! On n'a pas du tout le temps de s'ennuyer à leur bord, même pour un long voyage. C'est dommage toutefois qu'on ne puisse faire quelques escales dans telle clairière ou telle oasis, bien que cela poserait surement des petits problèmes de sécurité.



Mais elle ne pu réprimer sa joie et perdit toute smeblant de contenance qu'en elle vit enfin
ce qu'elle préférait d'Ulmendya :




Les gondolfières enfin ! Une visite de la cité en gondolfière ! Mes potions pour un tour en gondolfière !


dit :

... On ne peut pas dire que l'altitude te réussi à toi.... Il semblerai que l'aéronefs nous ayant apporté à la cité puits ai été détourné... " Terminus, arrêt enfance profonde : tout le monde descend !" D'un certain coté Tifou, si la nacelle n'avait pas tenu, au moins cette étourdi aurait pu redescendre sur terre....


 
Toufic

Le Vayang 26 Marigar 1510 à 19h58

 
Le voyage touchait à sa fin. L'aéronef se posa en douceur à la Station Nemen un peu au sud d'Umendya, au grand soulagement de Tifou.
Le Mou avait pris une couleur bizarre, qui tournait vers le gris vert. Le mal de l'air, assurément, en était responsable.

Tifou dit :

Enfin, le plancher des gambols ! Mais quelle idée il a, ce symbiote à toujours vouloir voyager ! Il m'a déjà fait le coup du bateau, maintenant, il vient de me faire celui de l'aéronef.

Pfffuiittt ! Peux pas rester dans son atelier au chaud et à l'abri comme tout mou sensé, plutôt que de vouloir courir le monde !


Toufic admira la maitrise de l'équipage pour la manœuvre d'accostage. Ces nemens étaient vraiment étonnants ! Ils savaient tant de choses qu'il ignorait complètement.

Plein d'enthousiasme, il descendit rapidement du transport. Il avait hâte d'en voir plus sur les nemens, il avait hâte de voir leur ville si mystérieuse. A pas rapides, il se dirigea vers la cité Puits. L'air vif et le plancher des gambols redonna une couleur plus habituelle à son Mou.

Au bout d'une marche, que plein d'impatience, il avait trouvé trop longue, il arriva en compagnie d'Adwëis devant les portes de la ville. Celle-ci projetait des tours immenses, au delà de hauts murs épais, jusque dans le ciel. La cité paraissait imprenable, une vraie citadelle, et elle l'était !
Les engeances du S'sarkh n'avaient jamais pu en franchir les remparts. La ville avait résisté à tous leurs assauts. Impressionnant !


*** Intimidé devant la légende vivante qu'était la ville, et pour se donner une contenance, Toufic se retourna vers Adwëis : ***

Alors, on va les voir ces fameuses gondolfères dont tu n'arrêtes pas de me parler depuis le début du voyage ?


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Toufic

Le Dhiwara 28 Marigar 1510 à 16h55

 
Passé les portes de la cité longtemps interdite, le dépaysement n'en est que plus renforcé. L'architecture des bâtiments, des maisons, des boutiques, tout est des plus étranges.

Toufic en est un moment déboussolé, mais l'émerveillement reprend le dessus. A n'en pas douter cette civilisation est bien plus avancée que tout ce que le lieutenant a connu. Tout est étrange, tout est bizarre !

La ville est divisée en plusieurs quartiers, ou plutôt en plusieurs étages. Et pour circuler d'un quartier à l'autre, il y a ces fameuses gondolfières.


Alors, les voilà ces fameuses gondolfières ! Effectivement, elles sont bien étranges et en tous cas bien pratique pour circuler d'un lieu à un autre. Vite prenons les ! J'ai hâte de les essayer.

Et aussi dit, aussitôt fait ! Le lieutenant et la Maitre Alchimiste embarquent dans les fameuses gondolfières, direction le quartier de la bourse, le quartier des bazars et des boutiques.

Le trajet prend peu de temps, apparemment ces transports sont bien au point. Les destinations et les correspondances sont clairement indiquées. Décidément la ville s'ouvre au tourisme...


Que crois-tu que l'on va trouver dans leurs bazars. Si c'est aussi étrange que leur ville, leurs maisons et leurs moyens de locomotion, cela promet !

Toufic avait hâte de voir. Il était persuadé qu'il allait trouver des choses merveilleuses et d'autres totalement inconnues ou inattendues.


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Toufic

Le Luang 29 Marigar 1510 à 18h42

 
Dans leurs bazars et dans leurs boutiques aussi, il y avait des choses vraiment étranges, mais pas tout à fait ce que le lieutenant attendait...

Les boutiquiers nemens vendaient des écornifleurs !

C'étaient des larves parasites vraiment repoussantes et qui avaient l'incroyable faculté de se greffer sur votre peau, et d'y injecter de fortes doses de produits amplifiant vos capacités.

Elevées à Ulmendya, ces créatures étaient très courantes et très utilisées dans la cité puits.
Vendues dans un bocal scellé où elles pouvaient se conserver très longtemps, il en existait six expèces, chacune pouvant amplifier telle ou telle capacité, pour une durée d'un jour...

Il y avait :
- l'écornifleur adroit qui augmentait votre adresse.
- l'écornifleur facétieux qui augmentait votre esprit.
- l'écornifleur circonspect qui augmentait votre vigilance.
- l'écornifleur increvable qui augmentait votre constitution.
- l'écornifleur robuste qui augmentait votre force.
- l'écornifleur tenace qui augmentait votre vivacité.

Une fois son œuvre accomplie, la larve parasitaire qui s'était tapé l'incruste dans votre corps se détachait et se transformait en quelques heures en un splendide papillon.
D'ailleurs, Il n'était pas rare de voir ces papillons à Ulmendya...

A noter qu'il était impossible de cumuler les effets de deux écornifleurs. Les effets actifs étaient toujours ceux du dernier écornifleur utilisé. Mais qui voudrait se rajouter un deuxième parasite ? Un maso ?

Ces écornifleurs ne pouvaient être trouvés qu'à Ulmendya et Toufic trouvait que cela était une bonne chose car c'était vraiment trop bizarre...


Tifou dit :

Un parasite qui vous injecte des substances, qui vous tape l'incruste ! Pouah quelle horreur ! !


Quand je pense que les papillons que j'ai vu en ville étaient issus de ces larves parasitaires...Cela me donne envie d'aller acheter un filet à papillons pour aller à la chasse.
Finalement, je me demande si leur civilisation est si élevée que çà !


Tifou dit :
Ouais, là, çà calme !


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Adwëis De Vöhjière

Le Matal 30 Marigar 1510 à 17h34

 
Ce que j'adore dans ces gondolfières, c'est leur capacité à voler librement. Certes les aéronefs aussi, mais elles tire plus du navire alors que ces petits engins de transports sont comme des barques aériennes flottant librement sur l'air calme dUlmendya ....

La jeune Tchaë fut tiré de ses rêverie par l'attrait pour une marchandise locale étranges : les ecornifleurs. Toufic n'était pas le seul à avoir dévisager la chose avec curiosité.

Adwëis était partagé entre l'interet scientifique de ce parasite et le dégout de fille qu'il peut y avoir à se coller des larves, même de jolies papillons, sous la peau...



Je me demande vraiment comment cela fonctionne. Les Nemmen ne leur trouve pas d'effets indésirable, mais il est impossible, ou du moins très illogique, qu'une créature offrent quelque chose à son hote sans rien attendre en retour. Pourquoi produire cette substance si c'est pour l'injecter sans rein en échange ? C'est de la... force vitale de perdu pour rien, si vous voyer ce que je veux dire....

Personnellement je n'ai guère envie de me lancer comme cobaye pour des expérimentations sur ces choses, mais je me demande si la substance une fois extraite pourrait être stable en vu d'être stocker et injecter sans le parasite. Et si non quel bénéfice tire le parasite de cette échange, outre un foyer pour ce développer en tant que papillon....


L'alchimiste resta pensive quelques instant, un leger sourire interogateur sur les lèvres, avant de repartir d'un air enthousiaste :

Oh ! vous pensez réellement qu'on pourrai faire une chasse au papillon ? j'en faisait souvent quand j'étais enfant, en essayant de faire s'accoupler divers papillon de couleur différentes pour en faire de nouveau, même si ça n'a jamais marché... Vous pensez que ces papillons sont protéger ? est ce qu'ils survivraient dans un autre environnement que celui de la cité puits ?

 
Toufic

Le Matal 30 Marigar 1510 à 19h17

 
Finalement, je ne suis pas sûr que les nemens autorisent la chasse au papillon d'écornifleur. Ils ont l'air de les apprécier.
Ils sont vraiment trop bizarres ces nemens !
Et puis, l'espèce est peut-être protégée, c'est le seul endroit de Syfaria où on les trouve...

Oui, moi aussi, j'aime bien ces gondolfières qui flottent dans l'air telles des feuilles portées par le vent. Et puis, c'est vraiment pratique. En plus, c'est silencieux et confortable.

Je me suis aussi intéressé à une autre curiosité, celle là militaire : leur vaisseau amiral de commandement. Drôlement pratique et efficace en cas de combat.
Je comprend mieux pourquoi, qu'avec une telle technologie, les créatures et les rejetons du S'sarkh n'aient jamais pu prendre la ville.

Il y a aussi une autre chose de bizarre dans cette ville. Elle a été assiégée pendant très longtemps avec une violence heureusement inconnue de nous et pourtant tous les moyens ne sont pas tournés vers la défense de la ville, vers la guerre.
En effet, il y a de nombreuses tavernes, un centre thermal, un théâtre, plein d'échoppes. On dirait une ville tournée vers le tourisme comme si cela était le cas depuis des lustres. Vraiment étonnant !


Tifou dit :
Pour te paraphraser : je dirais qu'ils sont trop bizarres !


Après les détails militaires que Toufic voulait étudier à fond afin d'en tirer des enseignements constructifs pour la Fraternité du Désordre, il se dit qu'il irait voir le quartier des spectacles, notamment le théâtre afin de s'imprégner davantage de la culture des nemens, de mieux les comprendre.

En fait, il était surtout curieux de cette civilisation méconnue.


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Toufic

Le Merakih 31 Marigar 1510 à 19h17

 
Après avoir visité les différentes échoppes et les différents artisans, Toufic voulut aller voir ce fameux lac souterrain.

Il prit à nouveau une gondolfière.. Le trajet fût rapide. Le lieutenant prenait maintenant ces moyens de transport avec une aisance remarquable. Fini les hésitations et les craintes du premier trajet. Désormais, il prenait ces barques de l'air comme un véritable nemen.

Arrivé à destination, il fût très surpris. Le lac était loin d'être aussi beau que celui qui était au centre des Jardins d'Ykena à Farnya, mais il était beaucoup plus grand. Lorsque l'on était tout près du bord, on ne voyait pas la rive d'en face. C'était vraiment un grand lac ! Et en pleine ville !

L'eau devait être bonne, car Toufic vit plusieurs baigneurs qui nagaient au loin. A Ykena, seul Erjin avait le droit de faire trempette. Décidement cette ville ressemblait plus à une destination touristique, qu'à une ville qui se relevait d'un long siège.

Ces nemens, ils étaient vraiment trop bizarres !


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Adwëis De Vöhjière

Le Merakih 31 Marigar 1510 à 21h26

 
Tout à ses réflexion sur les constatation militaire de son frère, Adwëis le suivit dans la gondolfière menant au lac.

Je me demandais... Nous empruntons beaucoup les gondolfières pour nous déplacer dans la ville, d'ailleurs il faut les emprunter pour y entrer. La cité puits ne possède peut être par de fortification nemmen, mais je pense que ces espace béant le sont suffisamment pour permettre une défense, du moins pour mon regards de néophyte en stratégie militaire.

Ces gondolfières sont les seuls moyen de passages entres les différents niveaux, et ils sont suffisament rapides pour être mis en sureté en cas d'attaque. Cela permet au Nemmen de se retrancher dans les niveau inférieur de la cité puits, qui a si je ne m'abuse ces propres sources de vivres. Je ne pense pas qu'une civilisation soit suffisament compétente pour mettre en place un moyen de transport aérien comme ces gondolfières et aéronefs. Cela donne donc au Nemmen la suprématie militaire dans l'aire. Ces gondolfière doivent être suffisament maniable pour permettre des raids aérien dévastateur contre une armé en rang ennemie, qui tenterai de passer par dela les faille béante de ces plateformes.

C'est surement ainsi qu'il ont pu résister si longtemps au agressions extérieurs, et que maintenant leurs engins militaires sont convertis en embarcations pour touristes.


Arrivant au lac, la jeune tchäe fut ébahi. Elle n'aurait jamais pensé qu'un lac souterain pouvait être aussi grand, le bleu de l'eau se perdant à l'horizon.


Ce lac est vraiment énorme ! je pense que la cité à de quoi vivre en autarcie sans trop de problème, et qu'un siège serait inutile, sinon augmenter les pertes des assaillants de jour en jour. De plus l'absence de batiment fortifier empêche tout assaillant de maintenir une position stable, non ?

 
Toufic

Le Julung 1 Astawir 1510 à 18h44

 
Oui, c'est vrai que la disposition de cette ville lui procure un avantage défensif indéniable. Et puis n'oublions pas la hauteur des murailles et leur épaisseur : les assaillants n'ont jamais réussi à les franchir.

Et leur aéronefs leur procure un avantage considérable dans les combats. Leur vaisseau de commandement est assez impressionnant, et les gondolfières de combat nombreuses. J'ai eu l'occasion de les admirer en visitant leur arsenal.

Quand à leur autarcie : entre ce lac, source considérable d'eau potable et toutes leurs exploitations agricoles, fermes et autres, source de nourriture régulière, les nemens n'ont pas d'inquiétude à avoir de ce coté là. C'est clair. Le siège des assaillants ne les pas importunés autre mesure.

Mais tout même, avoir autant de sources de loisirs et de cultures, pour une ville assiégée et en guerre totale depuis si longtemps..., ces nemens sont vraiment trop étonnants !


*** Toufic s'interrompit soudain, son visage reflétait une inquiétude croissance. ***

Petite soeur, les nouvelles que je reçois de notre Fraternité ne sont pas bonnes. Oriandre est assiégée par de nombreuses créatures. La route entre Farnya et Oriandre est coupée. Oriandre est en état d'alerte. Je vais me rendre à la Nef d'Atterrissage en attendant plus d'informations.

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Adwëis De Vöhjière

Le Julung 1 Astawir 1510 à 19h31

 
Vous avez raison, cela est des plus troublant, je monte avec vous, même si nous sommes loin de notre fraternité, il est désagréable de rester là à contempler ce lac au calme si froid, dans les circonstance qui inquiète Oriandre.


Adwëis se précipita sur les pas de Toufic. Absorbé dans ses pensées, elle trouva le voyage en gondolfière peu plaisant, ce qui était une première.

La cité d'Oriandre avait connue bien des siège, mais jamais un qui s'annonçait aussi ardu, du moins dans les cours d'histoire qu'avait reçu la jeune alchimiste. Elle se demanda si, dans l'hypothèse où les tchaës aurait besoin d'aide, les Nemmen se dresserai avec eux en alliés, ou resterai distant de tout conflit.


 
Toufic

Le Vayang 2 Astawir 1510 à 22h16

 
Les nouvelles continuaient d'arriver de la Fraternité, et elles n'étaient pas bonnes.
Une véritable armée de créatures menaçaient d'attaquer Oriandre. Des milliers de créatures, accompagnées de centaines de vortex avait dit le maire de la ville.

Il fallait faire vite, la situation devenait très préoccupante.
Toufic avait pensé dans un premier temps rejoindre au plus vite le territoire de la Fraternité, mais il se ravisa. Puisqu'il était à Ulmendya, il devait en profiter pour tenir les nemens au courant de la situation et leur demander leur aide. Eux qui avaient si triomphalement contenus et repoussés les attaques su S'sarkh sur leur belle cité.
Ils étaient LES personnes à contacter ! Il ne pouvait pas y avoir d'aide plus précieuse que la leur !

Il se dirigea vars la garnison des nemens. Ils seraient les plus prompts à comprendre la situation et en tant que militaire lui-même, il se fera mieux comprendre. Il fallait avoir un entretien avec la Judicatrice au plus vite.


Viens Adwëis ! Il faut que l'on obtienne au plus vite une audience avec la Judicatrice. C'est ici pour l'instant, que nous pourrons au mieux aider notre Fraternité. Il va falloir se montrer convaincants ! La situation l'exige.


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