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Le Julung 29 Astawir 1510 à 23h43
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Ca n'avait pas manqué, il était trop vieux, il avait été complètement distancé par le convoie de la médecine. Ca n'avait pas trainé d'ailleurs a peine il avait eu le temps de s'interroger sur le je m'en foutisme ambiant que déjà les membres de la bulle noir s'éloignaient au loin. Il y a vingt ans, en voyant une retraite tourner ainsi, surtout après une défaite cuisante et la perte de la capital, il aurait pu penser que le légendaire bon sens et la bonne organistaon de la fraternité avait pu empêcher que la retraite ne se transforme en débandade. La il n'arrivait qu'a se demander si ses compatriote ne s'en foutait pas royalement en fait.
Il devait être trop vieux.
Serrant la mains sur sa canne, il essaya tant bien que mal de rattraper son retard et de rejoindre la troupe. Peine perdu ? Non, car aidé involontairement par une pause champêtre, il put enfin apercevoir les chariots du corps de la médecine.
Au bout de quelques minutes, essouflé, le coeur battant a tout rompre, le visage rouge, il rejoignit enfin Lok'Grunn.
Sacré nom d'un CENSURE* j'tais rattrapé. Viens Petiot, j'vais présenter a la personne qui faut ici.
* Partie anatomique précise.
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Le Vayang 30 Astawir 1510 à 15h43
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| *** Entrainé par une certaine envie de se dégourdir les jambes après une bonne sieste, Lok' décida d'avancer un peu vers les têtes du convoie, sans penser aux personnes qui pourraient le suivre derrière. Après tout il n'avait pas qu'à pas essayer de le repérer à son mou, (il avait pas choisis de porter un signal montrant en permanence sa position dans la foule aux autres gens dotés de gelatine après tout).
Ça ne voulait pas dire toute fois qu'il en oubliait sa famille ou sa ville défunte, mais il avait besoin de s'occuper l'esprit d'une façon ou d'une autre s'il ne voulait pas retomber dans la déprime. De plus, s'il était obliger de suivre le convoie, autant courir un peu, vu qu'une bonne condition physique semblait être utile.
Il tourna la tête quand il entendu la respiration de Rikjo, qui voulait le mener à quelqu'un, et il semblait s'être préssé pour le faire, ça a l'air sérieux, pas bon ça...
***
dit : Le glandeur s'est fait vite repéré on dirait...
*** Il l'avait bien dit, symbiose rimait avec problèmes, impossible de passer inaperçu et éviter le turbin! Surtout si les gens le prenaient pour quelqu'un d'énergique! *** | |
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