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Le Sukra 12 Jayar 1510 à 19h13
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| Ils vivaient en paix. Loin de tout ennemi et loin de tout allier.
Leur royaume s'étendait sur presque tout le monde leur étant connu. Ils n'avaient pas d'égal, ils étaient légions.
Des générations et générations ont bâtit leur cité souterraines, un système ingénieux de tunnels et galeries pour résister à la chaleur de la surface. Des grottes immenses abritant les ouvriers comme les soldats.
C'est alors que le sol se mit a trembler et dans une fraction de seconde, leur monde bascule. Tout s'effondre, des centaines meurent ensevelis à jamais, mais d'autres survivent et se lancent instinctivement à l'attaque. Ils ne voyaient pas l'ennemi, mais ils le sentaient tous!
Un combat perdu d'avance, mais ils s'y risquent, tous partent à l'assaut de cette... gigantesque... botte!
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Aldarin jura. Il leva son pied et commença a le frotter rapidement de ses main. Décidément ce désert était truffé de ces nid de ces grosses fourmis agressives qui vous escalades et pique partout sur le corps, même là, où c'est pas permis! Encore un peu et il allait craquer... même la régénération magique de Khamaat peinait a lutter contre les piqures ces bestioles. Pire? Aldarin commence a comprendre que ces fourmis sont très légèrement vénéneuses... pas assez pour tuer, nooon, juste assez pour rendre la traversé du désert encore plus pénible que ça l'est déjà...
La chaleur de plomb fait onduler l'air sec et le tydale comprenais et compatissait avec les œufs au plat. C'est cruel...
Depuis un peu près douze dunes, il se demande qu'est ce qu'il fait là. A vider ses bottes toutes les deux dunes de toutes sortes d'êtres qui désirent y élire domicile. Toutes les quatre dunes pour vérifier que sa gourde est bel et bien a sec et après chaque dune passé, se demander si la suivante est la dernière...
Jusque là, ce n'en fut aucune, mais l'espoir, comme le dit-on si bien, meurt en dernier! Diction que le tydale ne se veut pas trop vérifier, question de mourir, il a déjà eu sa dose avec Tarky.
Mais c'est alors et a chaque fois qu'il tournait la tête, il contemplait sa chère Khamaat. Cela lui semblait être un éternité qu'il ne l'a pas revue. Elle lui a dit qu'elle avait besoin de quelque chose dans le désert, alors il l'a accompagné.
Jadis, il lui a promis qu'il marcherais a ses côtés même en enfer... il avait bien l'impression qu'il était en train de tenir sa promesse.
Il s'approcha un peu plus près d'elle et lui prit sa main dans la sienne. Quand elle lui tournait la tête, il ne lui dit rien, juste sourit. Mais une question, aussi basique que simple se formula alors dans son esprit.
- Kham? Mais dis moi au faite... qu'est-ce qu'on doit chercher... ici?
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Le Sukra 12 Jayar 1510 à 19h55
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| Des dunes... du sable... des dunes... du sable... une oasis !!! Ah non... un mirage... des dunes... du sable...
Khamaat cheminait péniblement dans le désert, pestant contre les grains de sable qui la grattaient à des endroits qu'elle n'aurait jamais soupçonné.
Elle avait eu un bref aperçu de ce qu'était un désert à Korsyne, mais ne pensait pas que c'était à ce point là : près de ce qui avait été nommé l'Etoile et qu'il était de bon ton désormais d'appeler "l'Etoile Noire" vu la corruption qui s'en dégageait, l'atmosphère avait au moins le mérite d'être rafraichie par l'océan qui était proche.
Il y avait bien eu la courte traversée du désert jusqu'à Arameth, du temps où elle était Mestre Nourricière, mais elle n'avait eu qu'à emprunter la piste, très fréquentée par les marchands et mieux entretenue... ah... une route propre, y a pas à dire, ça vous rend la marche plus agréable !
C'est donc en pestant à chaque dune et en s'arrêtant toutes les 3 dunes pour vider ses bottes du sable qui les remplissait, que la tydale cheminait... tout ceci sous un soleil de plomb. Pour protéger son crâne rasé de près, elle avait rabattu sa cape sur sa tête... transpirante, râlante,la Sorcière était loin de personnifier l'image du glamour et de l'élégance matriarcale !
Pour ajouter à l'humiliation, son beau et preux parangon, Aldarin, rencontré lors du combat à Korsyne, l'avait suivi lorsqu'elle lui avait proposé cette escapade dans le désert... m'enfin, si elle avait su dans quel état elle serait, elle n'aurait jamais osé l'inviter à la suivre.
Oui, car en plus d'être à moitié morte de chaleur, son ego était totalement mortifié par l'image qu'elle donnait à son cher et tendre... cher et tendre lui aussi dans un état de liquéfaction bien avancé...
Souvent, les deux tydales se lançaient des regards et s'adressaient des sourires à mesure qu'ils progressaient.
Lorsqu'Aldarin lui prit la main, en dépit de la chaleur ambiante et de la sueur de leurs paumes, Khamaat la serra affectueusement, d'un coup, le désert devenait plus sympathique, la "quête" prenait presque l'allure d'une balade romantique... discrètement, elle en profita pour incanter et lui communiquer, par le contact de sa main un sort de soin visant à le rafraîchir un peu et l'aider à supporter la température extrême qui régnait dans cette région de Syfaria.
A la question d'Aldarin, tandis qu'elle vidait ses bottes une énième fois du sable qui s'y était logé, Khamaat le regarda étonnée :
Ah ? Parce que je t'ai pas dit ? C'est pour aller chercher quelques Sakrosus pour Shyama... qui ne m'a pas dit pourquoi elle en avait besoin...
Mais ne t'inquiète pas, un nelda m'a assuré qu'il y avait une oasis au sud est du désert qui en contenait... par là...
Ajouta la Sorcière en tendant le bras devant elle et en balayant l'horizon désespérément monotone et empli à perte de vue de dunes... avant de reprendre :
Alors, oui, bon, tu vas me dire "mais y en a chez le Camelot", effectivement, mais je n'ai pas de morions et je pensais justement économiser en allant les cueillir directement, on n'est jamais mieux servi que par soi-même non ?
Khamaat lança alors une de ses plus belles oeillades accompagnée d'un charmant et désarmant sourire à Aldarin, espérant que ce dernier ne rentrerait pas dans une colère noire... sachant qu'il était déjà cramoisi sous l'effet de la chaleur environnante...
Et sinon ? Comment vont tes filles ?
Khamaat sourit innocemment tout en posant cette question qui, elle l'espérait, détournerait une éventuelle remontrance de son cher et tendre parangon...
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Le Sukra 12 Jayar 1510 à 21h35
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| Le tydale savoura se sortilège de soin. Cela pouvait paraitre banal, mais dans ces conditions, c'était la plus douce preuve d'amour qu'il pouvait espérer.
Ils marchèrent encore un peu avant de s'arrêter pour que Khamaat vide ses bottes de sable. Aldarin la regardait faire, se demandant s'il valait la peine de demander l'intérêt d'une telle opération... du sable, il y en avait partout. Il s'y était fait en quelque sorte... la seconde remarque se porta sur la raison inexplicable, toutes les bestioles semblaient préférer ses bottes et ses vêtements à ceux de Khamaat...
Quand Khamaat lui répondu la raison de leur présence en ces lieux inhospitaliers, le parangon fut un instant perplexe. Des sakroquoi?, pensa le tydale inculte de la botanique désertique.
- Hm... Jamais entendu parler, mais cela doit valoir une fortune ces sarko... sukro... sss... ces pierres précieuses pour Shyama. Creuser en plein milieux du désert pour en trouver, ce ne sera pas facile... , et bien oui, Aldarin connaissant le Nuage comme une bijoutière, le lien avec des pierres précieuses fut instantané. Non contrarié, il était toujours persuadé de l'importance capitale de cette expédition en enfer. Très bien... je te fais confiance et te suis. Nord, sud, moi j'ai perdu tout mes points de repères dans ce paysage... c'est... c'est partout pareille... dune dune dune et dune dune dune et là aussi dune dune dune...
***Félicitation, Aldarin subit une insolation!***
- Ouh... j'ai mal a la tête... , murmure Aldarin à la limite de l'audible, pas assez pour se faire entendre.
Le visage rouge comme une tomate, le tydale se sens tout bizarre... le venin des fourmis de la toute dernière ruche piétiné se révèle avoir de drôles d'effets. Aldarin se sens mal, ivre, comme après un consistant tonnelet de vinasse... il voit Khamaat afficher un rictus que son cerveau en ébullition n'est plus capable de comprendre correctement. Abasourdi, il répond à la dernière question comme l'homme éméché étalant sans considérations sa vie au premier inconnu...
- Et bien Nerwen et Merwen sont trèèès vivantes comme enfants, tout comme leur mère... Elles lui ressemblent, sur tout Merwen. Mes gars le confirment et disent aussi que Nerwen est mon portrait tout craché... c'est marrant que les gens disent ça..., elles sont pourtant jumelles et les domestiques ont eu du mal a les différencier. Enfin au début... Là ça va... Aldarin cligne des yeux pour chasser les étoiles de devant ses yeux sans succès. Il pause un peu maladroitement sa main sur l'épaule de Khamaat pour lui demander finalement, Et toi? Tu va bien?
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Le Dhiwara 13 Jayar 1510 à 11h38
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| Khamaat sourit à Aldarin : visiblement, le parangon n'était pas très au courant de ce qu'était un sakrosus.
Le sakrosus est une plante épineuse qui pousse dans le désert... si mes souvenirs en alchimie sont exacts, il s'agit d'une plante qui entre dans la composition de certains onguents... Aucun lien avec les pierres précieuses : je n'aurais donc pas à creuser mais... "simplement" à me piquer pour les récupérer.
Concernant l'orientation, je me sers d'un sort augmentant mon champ de vision : je peux donc te certifier que l'oasis est dans cette direction !
Ajouta Khamaat en désignant du doigt une zone où aucune oasis n'était visible...
La Sorcière failli défaillir lorsque le Parangon posa la main sur son épaule avec une force visiblement mal contrôlée mais n'en laissa rien paraître, continuant d'afficher son sourire.
Je suis contente que les petites aillent bien... aucun Mou n'est venu les voir ? Quelle joie ce serait pour toi de les savoir symbiosées !
Moi ça va, on fait aller : la routine. Je peaufine mon entraînement en magie offensive grâce à mes amies, Matroshka et Nemès. Quant au reste, j'avoue ne guère m'en soucier. J'aide le Matriarcat à ma manière, en tant que libertaire, en suivant mes deux amies au combat.
Je garde quelques contacts avec certaines mais dans l'ensemble, je ne m'exprime guère...
Tu me sembles aller mal...
Ajouta Khamaat, observant Aldarin intriguée, ses anciens réflexes de Soigneuse reprenant le dessus.
Je me suis lancée quelques sorts pour m'aider à supporter cette fournaise, je vais faire de même avec toi, tu verras, tout ira un peu mieux ensuite... de toute façon, il est temps d'établir le campement pour la nuit... Derrière cette dune, cela pourrait convenir... on y va ?
Khamaat gravissait déjà de la dune sans attendre la réponse d'Aldarin et avait presque atteint son sommet lorsqu'elle se jeta à terre, se retournant vers le Parangon pour lui intimer de faire de même d'un geste de la main, accompagné de deux mots : flaviste colossal...
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Le Matal 15 Jayar 1510 à 17h57
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| Soudainement purgé de ce mal qui l'assaillait, le tydale secoua juste la tête pour remettre ses idées en place.
Il regarda à droite puis à gauche, quelque peu déçu qu'il se trouvais toujours dans le désert.
Aldarin hocha de la tête pour l'idée du campement. Il se jeta a terre et rampa en haut de la dune au côté de Khamaat.
D'une main il se protégea les yeux du soleil pour mieux scruter le terrain devant eux. En effet, un grand flaviste semblait se balader à une trentaine de mètres d'eux.
Ayant retrouver tout ses sens, il observa aussi les fines particules de sables que le vent ballottait sans cesse. Coup de chance, le vent soufflait vers eux. Le flaviste ne pouvait pas les sentir, mais eux, ils le pouvaient... et ce n'était rien de plaisant.
- Par la Dame! Il ne change jamais ses dessous? C'est pas possible autrement... , murmura-t-il en grimaçant.
Il se penche vers Khamaat en continuant de chuchoter.
- Je ne pourrais pas l'atteindre avant de me faire repérer... tu pourrais le distraire à distance avec la magie pendant que je vais m'approcher. Une fois à porté de flamberge, ce sera du p'tit pain.
Aldarin s'apprêtait à poursuivre, mais il réalisa soudainement ses précédentes paroles. C'est avec une gêne non voilé qu'il hoqueta.
- Tu... tu savais déjà pour les filles?
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Le Matal 15 Jayar 1510 à 18h10
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| Khamaat ne quittait pas le flaviste colossal des yeux : la mana crépitait autour de la bestiole et la Sorcière savait qu'elle était un mets de choix pour lui, si friand de mana...
Sans détourner son regard vers Aldarin, Khamaat lui murmurra :
Mon amour, je sais que tu es terriblement occupé mais souviens toi... tu m'en avais déjà fait part dans une de tes pensées et je te rappelle également que je t'ai accompagné à Syrinth, en ton manoir... où j'ai eu même la chance de les apercevoir... mais elles étaient petites et il était tard lorsque nous étions arrivés... et j'étais partie tôt le lendemain pour Zarlif... Attends ! Je vais tenter une approche...
Sans plus de cérémonie, la Sorcière rampa discrètement vers le flaviste colossal puis, à une distance qu'elle jugea convenable, se leva d'un bond pour lancer une boule de mana noirâtre qui fila vers la créature, cette dernière titubant lorsque le sort toucha son torse avant d'être absorbée.
A peine le flaviste se remettait du premier impact qu'une autre sphère, verdâtre celle-là, vint le percuter : une myriade d'insectes surgit alors du sable pour l'attaquer avant de disparaitre tout aussi rapidement qu'ils étaient apparus...
Une deuxième sphère verdâtre produisit le même effet, arrachant encore un cri de douleur au flaviste.
Khamaat, sans lâcher des yeux le flaviste, cria alors au Parangon :
Vas-y, il est à toi !!! Je l'ai déjà bien entamé et ses défenses immunitaires sont réduites à néant !
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Le Matal 15 Jayar 1510 à 21h35
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| Khamaat regarda hébétée l'attaque d'Aldarin : voila qu'il se mettait aux cascades maintenant !
Décidément, il la surprendrait toujours...
La bouche bée devant les attaques plutôt originales du Parangon, la Sorcière, bras croisés, profitait du spectacle... qui tenait plus de la boucherie que du combat chevaleresque.
Le summum fut atteint lorsque les boyaux de ce qui ressemblait il y a peu au flaviste colossal se déversèrent sur le sable chaud dont le contact avec les viscères dégagea une odeur nauséabonde.
Khamaat fit une moue de dégout lorsque les effluves vinrent "pervertir" ses narines et acquiesça à la proposition d'Aldarin pour bivouaquer plus loin du cadavre fumant.
Avec joie, ne serait-ce que pour l'odeur et aussi pour notre sécurité. Ce cadavre pourrait attirer d'autres prédateurs...
Scrutant les dunes après s'être lancée un autre sort lui permettant de porter sa vision plus loin, Khamaat indiqua la direction :
L'oasis se trouve à quelques dunes... j'arrive à la discerner d'ici... Allez, en route, fier et beau Parangon !
Ajouta la Sorcière d'un air malicieux, en jetant un regard amusé à Aldarin, couvert de sable, de sueur et des morceaux de flaviste collés sur son armure.
Khamaat se mit en route, distançant Aldarin... après quelques dunes, l'oasis était bien en vue... mais un comité d'accueil se tenait présent également : 2 gambols, 1 flaviste colossal et 1 sykramen.
Ayant négligemment mais efficacement dégommé la sykramen, Khamaat prépara le bivouac, à distance respectable des 3 autres créatures, en attendant qu'Aldarin la rejoigne...
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Le Julung 17 Jayar 1510 à 10h41
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| Aldarin essuya la lame de sa flamberge dans le sable. Il était plutôt mécontent de lui.
Son combat n'avait en effet rien eu de chevaleresque et la mine dégouté de Khamaat ne lui avait pas échappé.
Ça devait lui changer des danseuses de mort du Déclin. "Hélas" et contrairement aux faucheuses, la Dame l'a doté d'une une charpente puissante mais lourde, de plus engoncé dans une armure de plate complète et se battant dans un sable qui vous monte aux chevilles, le tydale n'avait eut le choix que de jouer la carte de la brutalité. Le terrain de seprêtait pas à la finesse.
Aldarin quitta le cadavre et gravit la pende de la dune pour revenir vers Khamaat. Les yeux de sa bien aimée brillaient d'une lueur surnaturelle, lui donnant un charme tout a fait ensorcelant.
- Je ne la discerne pas d'ici, mais je me fie a ton talent. Je vais juste tenter de me décrasser. Du moins des bouts d'autre... cette armure n'est pas toujours très agréable a porter même sans cette odeur...
. .. tic! Eurêka!...
Une armure de ce tonnage-là dans le désert le pénalise en faite bien plus qu'elle fournit d'avantages. De plus celle là est doublement contraignante. Sa chaleur propre s'additionne à celle du désert.
- Je vais dorénavant prendre ma bonne vieille seconde peau. Ce sera plus pratique en fin de compte...
Kurrare dit :Toi, t'es pas futé des fois ma parole...
- J'ai d'autres soucis plus important qui occupent ma tête, alors te moque pas. Va plus tôt voir où est allé Khamaat.
Aldarin se rendit compte qu'elle était déjà partie de l'avant.
Il commença alors à dégrafer son armure et la nettoyer sommairement dans le sable, puis il enfila l'armure légère de cuir.
Il se sentait tout de suite mieux.
Il se remit donc en route. Avant d'apercevoir Khamaat, une déflagration se répercuta entre les dunes. Il contacta mentalement Khamaat qui l'assura que tout allait bien.
En gravissant la dune suivante, il pouvait toujours percevoir les traces de pas de la magicienne et... un petit cratère d'où gisait une forme fumante qui ressemblait vaguement à un feu-sykramen. Cela mit le tydale de bonne humeur.
A la crête de dune suivante il percevait enfin la fameuse oasis et Khamaat dans la vallée. Les créatures contrôlant le point d'eau ne lui échappèrent pas non plus. Il entra tranquillement au bivouac.
Aldarin approcha Khamaat de dos et l'enlaça, l'empêchant de continuer quoiqu'elle était en train de faire. Il posa sa tête sur l'épaule de la tydale et déposa un tendre baiser sur son cou.
- Et bien, et bien... nous voila enfin seuls sous un coucher de soleil désertique. Demain nous allons dire bonjour au comité d'accueil du Sakrosus, mais d'ici-là, tu sera a moi... ,et le murmure fut ponctué par un second baiser. Tu m'as beaucoup manqué mon amour. | |
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