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Le Luang 20 Dasawar 1510 à 20h32
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| *** La mine du Nelda s’assombrit quelques instant au verdict d’Oda… C’était lui qui serait de corvée de parlotte avec la Favorite… « Mais où donc à t-il pêcher que je me débrouillais bien pour ce genre de travail ?! » Pensa le Chevaucheur. Les souvenirs de sont échec face à Yanath Gorn plus tôt dans la soirée, vibraient encore clairement … Et s’il considérait sa dernière prestation avec son Nêrhe, elle n’était guère mieux…
Fenrir se concentra à nouveau sur le fil de la discussion alors qu’Almarick et Mirkaï prirent la parole. ***
« Et bien, je crois que vous avez tout à fait raison riemto Mirkaï. Inutile d’attendre plus longtemps. Riemto Almarick, je pense que votre proposition d’aller la quérir et de l’amener dans un salon privé est la meilleur solution. Nous l’amènerons sur les lieux après. Il sera alors facile de prétexter une reconstitution et d’obtenir parallèlement un exemplaire plus adéquate de son écriture. »
*** Puis le Chevaucheur se tourna vers Oda. ***
« Oda, je conviens que votre version, bien que tiré par les cheveux, reste une possibilité. C’est pourquoi, nous devons faire notre maximum pour vérifier l’ensemble des scénario. »
*** Puis subitement un détail surgit à l’esprit de Fenrir. Celui-ci se tourna soudainement vers l’intendant. ***
« Riemto Almarick, vous nous conduisez immédiatement vers le salon, ou reviendrez vous nous chercher une fois riemta Aziadee sur place ? »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Merakih 22 Dasawar 1510 à 13h45
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| *** Cela n'avait absolument pas traversé la tête du nelda. Il lui avait semblait naturel que l'intendant ce charge de ce genre de détail, mais, visiblement, cela n'était pas le cas. Il fallait désormais à Fenrir, prendre la décision qui convienne. Au moins, ce n'était là guère un choix complexe. ***
« Hum... En ce cas, nous l'attendrons dans la pièce. Je doute qu'il soit judicieux de la faire attendre en prime de vouloir de la questionner... »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Luang 27 Dasawar 1510 à 15h13
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| Bon. Elle n’est pas là ? Qu’a cela ne tienne. Nyrndî peut bien attendre toute la nuit. Rien ne lui garantit qu’elle pourra lui parler d’ici la fin de la soirée… Si ? Rien ne lui garantit qu’elle resurgira ainsi… Venant de nulle part.
De là… Elle ne vois pas trente six milles possibilités : soit elle abandonnait le poisson… Soit elle fouillait. Soit elle laissait une note. Bon. La première possibilité était a bannir. Elle n’allait pas abandonner pour si peu… Et la dernière… Elle en viendrait là lorsque la première exercerait sur son être un attrait bien plus grand.
Pas tout de suite en somme.
En attendant… Elle chercha du regard un valet. Un serviteur. N’importe qui avec une livrée et semblant chargé du service en ces lieux… Quelqu’un qui saurait lui dire ou elle pouvait espérer trouver la dame de la soirée… Et si elle pouvait simplement espérer la trouver.
Lorsqu’elle eu finalement mis la patte sur l’un d’entre eux elle lui posa une question toute bête :
- Hum… Oserais-je vous demander où trouver dame Aziadee ?
Pas besoin d’expliquer plus de choses. Enfin… A priori.
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Le Luang 27 Dasawar 1510 à 19h36
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| Almarick conduit donc les trois symbiosés au rez-de-chaussée du palais dans un salon privé mitoyen de la salle de bal. Les poussiéreux peuvent entendre le bruit étouffé de l’orchestre qui joue à quelques mètres de là ainsi que les éclats de rire des derniers convives.
« Ce salon possède une petite pièce adjacente… d’où l’on peut suivre les conversations discrètement. Elle est utilisée à l’occasion par notre semeur. A vous de voir si vous voulez tous les trois être présent dans la salle à mon retour ou si vous voulez suivre la discussion sans être vue.
Je vais la chercher… »
Sur ces paroles le Tchae quitte la pièce laissant aux trois symbiosés quelques instants afin de se mettre d’accord avant la rencontre.
Dans la grande salle, Nyrndî guidée par le serviteur qu’elle a accosté, vient enfin d’apercevoir la favorite en pleine discussion avec Nola Kesil et un groupe de courtisans.
Alors qu’elle s’approche des deux poussiéreuses, elle constate tout comme Nola, l’arrivée d’un Tchae au sein du petit groupe. Les deux jeunes femmes peuvent identifier l’intendant du semeur, ce dernier semble avoir la mine des mauvais jours.
Il se porte au coté d’Aziadée et l’interrompt.
« Excusez-moi humblement de cette intervention, Riemta, mais nous avons un petit soucis qui nécessiterait votre attention. Pourrais-je monopoliser quelques minutes de votre temps ? »
La jeune femme regarde l’intendant une expression de surprise et d’amusement sur le visage.
« Almarick ne me dites pas que vous ne pouvez pas gérer l’affaire sans moi, je suis actuellement en excellente compagnie, voulez vous que j’abandonne tous nos amis ? »
Sur ces paroles la nuée des courtisans entourant la favorite se met à émettre des protestations amusées, signifiant ainsi son désir de conserver leur hôtesse parmi eux.
Il en faut plus toutefois pour mettre mal à l'aise l'intendant qui enchaine comme si de rien n'était.
« Croyez bien Riemta que je suis le premier navré de vous voler ainsi à vos invités. En fait notre Nêrhe lui-même souhaiterait que vous preniez la chose en main. Cela ne prendra que quelques instants je vous l’assure…»
« Bien si le semeur lui-même me demande de traiter ce sujet, je vous suis mon ami ! Ma chère Nola, je crains qu’il ne me faille vous abandonner quelques instants, sinon Almarick va nous faire une crise d’apoplexie !
Je ne devrais pas en avoir pour très longtemps. Veuillez m’excuser. »
Ne se départissant pas de son sourire, la jeune femme part à la suite d’Almarick. Elle passe alors devant à Nyrndî à qui elle adresse quelques mots.
« Riemta, j’espère que vous avez pris votre décision concernant ce dont nous avons discuté. Je dois m’absenter quelques instants mais je serais ravie d’entendre votre réponse à mon retour, je n’en ai pas pour longtemps. »
Sur ces paroles, la tydale disparait dans la foule à la suite du Tchae. Quelques instants plus tard les poussiéreux présents dans le salon privé peuvent entendre des bruits de pas s’approcher. La porte s’ouvre, laissant entrer une Aziadée souriante qui marche au coté de l’intendant.
« Alors qu’elle est donc cette affaire que vous ne pouviez gérer sans moi intendant ? »
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Le Luang 27 Dasawar 1510 à 20h11
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| Il existait une pièce adjacente où l'on pourrait entendre l'interrogatoire sans y être confronté. Cette perspective de confort séduisait le jeune apprenti chevaucheur.
Il n'avait pas en cet instant le courage d'affronter l'esprit vif de la favorite. Lui qui lui avait offert une magnifique fresque quelques heures auparavant, en toute sincérité, si ce n'était avec amour. Se pouvait-il réellement qu'elle nourrît des intentions malveillantes à l'égard de son amant le Semeur ?
Son goût pour les belles choses ne pouvait être feint, il en était certain. Cela au moins était vrai. En toute logique, hélas, cela n'empêchait pas le crime.
Il s'imagina tenter de soutenir le regard terrible de cette beauté incarnée. Faire face à l'intelligence acérée d'une grande Dame n'était pas une perspective plus souhaitable. Quelle que fût l'issue, il ne concevait que la faiblesse de ses sentiments.
*** Alors, il prit une décision importante. ***
Je crois que je vais rester avec vous, kielno. La favorite est tout à fait charmante, je ferai tout pour que sa soirée ne soit pas gâchée.
Klathu, mon petit, j'te demanderais juste de fermer ton clapet avant de tout faire foirer.
Sérieux, Klathu, ferme-là.
Klathu dit :Bon, bon, ok, pas la peine d'être si méchant ! Tu veux plus de moi ? Bah j'ai qu'à retourner lire un livre, c'est plus instructif que toutes vos conneries, là !
*** Le mou s'en alla bouder dans son coin, un recueil de Talo Numina entre les dents. ***
*** Hirvane, quant à lui, croisa les doigts. ***
Bon bien sûr, elle fera obligatoirement une remarque sur mon état lamentable de tout à l'heure... | |
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Le Matal 28 Dasawar 1510 à 12h11
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| *** L’intendant venait de partir chercher Aziadée, laissant les poussiéreux qui l’avait accompagné dans la pièce. Fenrir observa celle-ci avec attention, puis s’installa dans un fauteuil.
Il pouvait sentir le stresse monter dans ses veines… Sensation qu’il n’appréciait guère. Il prit donc une minute à faire des exercices de respiration pour contrôler tout ceci. Il ne lui restait plus qu’à attendre l’arrivée de la favorite. Il avait été désigné pour l’interroger, se cacher dans la pièce adjacente lui était donc par défaut refusé… Il vit alors Oda s’y réfugier, et se demanda ce que cela pouvait lui apporter ? Après tout, Aziadée devait probablement connaître son existence…
Les minutes passèrent puis la porte s’ouvrit laissant apparaître la Favorite et sa question à l’intendant. Le Chevaucheur se leva puis avança vers celle-ci. ***
« Om’shir riemta,
L’affaire que ne peut régler riemto Almarick sans vous et une affaire pour laquelle nous nécessitons votre présence.
Mais avant tout cela, permettez moi de nous présenter :
Je me nomme Fenrir, et suis Chevaucheur. »
*** Puis indiquant de sa main l’apprenti à ses côtés. ***
« Et voici Hirvane Tuek, apprenti Chevaucheur.
Nous avons été mandaté par le Semeur des vents pour enquêter sur une affaire ayant eu lieu en cette demeure et pendant les festivités actuelles. Des éléments nous laisse penser que vous pourriez avoir été témoins de faits pouvant être rataché à notre affaire. »
*** Fenrir présente cette fois le fauteuil qui fait face à celui duquel il s’est levé. ***
« Mais avant toutes choses, je vous propose de vous installer confortablement. »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Merakih 29 Dasawar 1510 à 13h40
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| *** Comme il s’y attendait, la Favorite avait parfaitement connaissance de la pièce adjacente. Et forcément, il eut fallu que le Muet aille s’y cacher… Voilà qui promettait…
Fenrir envoya un rapide et succinct message télépathique à Oda. ***
Prépares toi à sortir et écoutes bien ce que je vais lui dire.
*** Fenrir avait conserver tout au long de la courte conservation, une expression neutre sans même montrer de la surprise face à la demande de la Favorite. Le chevaucheur prit la parole à la suite d’Hirvane. ***
« Comme vient de vous l’énoncer Hirvane, riemto Almarik nous en a fait part en nous conduisant ici. J’avoue que je ne vois personnellement aucune utilité à une telle pièce. Mais je suppose que les raisons de nêrhe doivent être fondées… »
*** Puis indiquant la direction de la pièce avec détachement. ***
« Et bien suivait moi. Cela me permettra de vous présenter la dernière personne qui nous accompagnera durant notre entretient. »
*** Fenrir prit alors la direction de la porte de la pièce. Puis tout en marchant, continua sur sa lancée. ***
« Figurez-vous, que notre affaire met en jeu un accessoire un peu particulier : il s’agit ni plus ni moins que d’une cape ou un vêtement de la sorte, permettant à un individu de se rendre pratiquement invisible… Outil d’un espion ou d’un assassin si vous voulez mon humble avis… »
*** Fenrir arriva pratiquement à la porte, prêt à ouvrir celle-ci. Celui-ci avait préféré jouer tout simplement franc jeu sans même chercher à cacher la présence du muet. Tout au plus raconta-t-il un élément de l’enquête pouvant permettre à Oda de justifier sa présence dans l’antichambre. ***
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Merakih 29 Dasawar 1510 à 14h11
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| *** Oh la sa... crée maline.
Elle était vive d'esprit, la Favorite, pour sûr.
Après un rapide tour de la pièce, je constatais que la porte qui m'aurait permis de sortir était verrouillée. Alors bien sûr, puisqu'à la base j'avais eu en tête de m'infiltrer dans la fête, j'avais amené mon attirail pour les portes récalcitrantes, mais rouillé comme je l'étais, le risque était trop grand.
J'aurais ensuite difficilement pu me camoufler dans la petite pièce. Non, Hirvane et Fenrir l'avaient joué fine, et je voyais où ils voulaient en venir, c'était la meilleure solution du moment.
Toutefois, si elle était dans le coup, Aziadée, et si je devais me présenter comme agent de la Justice, il était évident qu'elle allait avoir la puce à l'oreille, ce qui complexifierait la suite. D'autant que la dernière phrase du Chevaucheur-senior venait de l'alarmer si d'aventure elle était complice. ***
Je suis complètement convaincu que la pièce est vide, c'est bon, dis-je en ouvrant la porte.
Favorite Aziadée, c'est un plaisir, et joyeux anniversaire, achevais-je en attendant de voir ce que Fenrir avait prévu de dire.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Merakih 29 Dasawar 1510 à 19h48
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| Le serviteur l’avais guidé sans difficulté jusqu'à la favorite. A présent… Nynrdî n’avait plu sgrand chose a faire. Elle semblait en grande conversation avec un petit bout de Nelda qui lui avait donné, fut un temps, des cours de musique.
Quelques courtisant avec elle ? Oui. Bon. Soit. Rien de grave… Il doit être possible de se glisser dans la conversation sans trop de mal… Sauf si…
Sauf si quelqu’un débarquait avant.
Là encore ça aurait pu passer… Quelques secondes a attendre puis elle pouvait s’approcher a son tour… Rien de compliqué. Sauf si…
Sauf si la favorite s’esquivait.
Nyrndî inclina légèrement la tête pour lui signifier qu’elle avait entendu ses paroles et se dirigea vers Nola…
- Salut a toi… La soirée est agréable ? Oserais-je te demander ce que tu as pensé de ma petite prestation ?
Après tout… Nola t’as enseigné un certain nombre de bases en terme de musique… Et écouter ses critiques ne peut s’avérer que constructif.
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Le Vayang 31 Dasawar 1510 à 17h46
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| *** Fenrir avait retiré juste à temps sa main alors qu’Oda sortait. Pris de curiosité, le Nelda jeta un coup d’œil dans la pièce. Puis, celui-ci vint s’installer dans le fauteuil en face de celui occupé par la favorite. ***
« Ce “gentleman” ici présent ce nomme Oda Nobunaga, il officie en tant que Muet. »
*** Fenrir avait légèrement appuyé le mot « gentleman » en désignant Oda. ***
« Pour en revenir à notre affaire et la raison de votre présence ici, et bien, si je vous ai parlé de cette artéfact permettant à un individu le portant de se rendre pratiquement invisible, c’est parce qu’un individu l’utilisant est entré puis sorti de cette demeure y laissant deux cadavres, voir presque trois en comptant que notre Muet ici présent a failli y passer aussi…
Quant à votre présence en ce lieux, nous avons découvert que vous auriez pu être témoins de faits pouvant aider à notre enquête. »
*** Fenrir laissa quelques instant à la Tydale pour comprendre l’information. Puis, il reprit la parole. ***
« Aussi, puis-je vous demander vos activités de cette journée ? Cela nous permettra de nous fixer sur les points pouvant nous aider dans notre enquête. »
*** Fenrir avait délibérément demandé l’ensemble des activités de la Favorite sur la journée à la fois pour éviter de mettre la puce à l’oreille si besoin été, mais également pour confronter ses dires à ceux du garde qui aurait dû mourir sans sa chance. ***
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Luang 10 Jangur 1511 à 21h12
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| L'épisode du Muet avait quelque peu entamé le sourire radieux de la Favorite. Supposant qu'elle connaissait probablement l'existence de la pièce secrète, ils n'auraient jamais dû tenter le coup. Ce qui était fait ne pouvait être réparé, tant pis.
L'apprenti ne pouvait pas croire que la favorite feignait d'être sous le choc. Elle était assurément victime d'un complot ficelé dans les moindres détails. Un traître aura entrebâillé la fenêtre durant la journée, jouant de sa mine neutre pour tromper son monde. Du bout de ses doigts crochus, il aura tracé à la plume le mot "vent".
Tout ce qui importait était de faire la vérité sur l'affaire. En restant dans le droit chemin de la Vérité, la lumière se ferait d'elle même. La naïveté d'Hirvane le conduisait à ne pas tendre de piège à la ravissante favorite. Ce qui n'était pas plus mal vu qu'ils devaient mener cet interrogatoire en prenant des gants de velours.
*** Seuls Oda et Fenrir seraient capables de piéger la favorite. ***
*** Hirvane ne le pouvait pas. ***
*** Il pouvait seulement "oublier" certains détails pour l'inviter à se livrer. ***
A vrai dire, l'individu est entré sans effraction.
Les moyens déployés pour le faire entrer en toute discrétion étaient remarquables. La fenêtre avait été ouverte. Quelqu'un lui avait laissé un code camouflé sur le bureau de la favorite : le mot "vent". Le vol d'un collier par trois individus grotesques avait été provoqué pour détourner l'attention des gardes. Telle était la conviction d'Hirvane. L'assassin lui-même ne devait pas être né de la dernière pluie...
Nous n'avons pas identifié ses motivations... Toutes les traces de son passage auraient été entièrement effacées si le Muet ne l'avait pas interrompu dans sa basse besogne. C'est pour cela que vous n'avez sûrement rien vu de suspect, Madame.
*** Pause. Il ferme les yeux. ***
Tout d'abord, souvenez-vous des personnes que vous avez vues hier. Vous étiez donc assise à votre bureau en train de composer quelque poème. Un garde par exemple nous a dit vous y avoir vu. C'est important que vous nous disiez... qui aurait pu voir quoi dans les parages à cet instant de la journée...
*** Il rouvre les yeux. Il essaie d'apaiser la favorite. ***
*** Difficile. ***
Le parcours de l'assassin est assez atypique. Y a-t-il souvent du monde dans le bureau qui jouxte le vôtre ? Y allez-vous parfois ? En fait, qu'est-ce que ce bureau ? | |
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