Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Un instant de réjouissance au milieu de la tourmente

L'anniversaire de la favorite du semeur des vents.
[important]
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Sujet lancé par Yanath Gorn
Le 10-08-1510 à 01h18
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Posté par Fenrir,
Le 13-06-1511 à 11h10
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Fenrir

Le Matal 14 Saptawarar 1510 à 18h18

 
Alors que Fenrir attendait l'intendant du Semeur des vents et les deux prisonniers, il repensa aux dernières paroles de Yanath Gorn. A part Hirvane, il ne connaissait suffisamment personne qui soit présent pour l'inviter à enquêter sur cette affaire... Hirvane était encore assez inexpérimenté en tant que Chevaucheur, mais possédait-il des compétences pouvant être utile à l'enquête ? Fenrir se sentait incapable de répondre à cette question. Peut-être devait-il lui demander ce qu'il en pensait ? Une chose était néanmoins sûr aux yeux du Nelda, cela pouvait se révéler instructeur pour son Apprenti.

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Hirvane Tuek

Le Matal 14 Saptawarar 1510 à 23h41

 
Evidemment, ne sachant rien du drame qui s'était déroulé en coulisses et des intentions louables de son nêrhe Fenrir, Hirvane avait bu comme un trou en se servant du bon vin au buffet garni.

Klathu dit :
S'pèce d'alcoolique va.


Ooooh allez Klathu c'est pas tous les jours la fête, bordel !

*** Le premier verre lui tapa sec sur le museau. ***


Faut rigoler ! Eh !

*** Le second le rendit carrément ivre. ***


*** Il s'était servi directement au pichet. ***


Klathu dit :
'tain mais t'es lamentable !


Farpaitement m'sieur l'mou !

*** LA-MEN-TABLE. ***


Klathu dit :
'tain mais t'imagine si d'un coup Fenrir se ramène et te vois comme ça ? Et t'imagines si Yanath vous confie une mission importante à faire, genre porter un message important ou résoudre une énigme ?

S'pèce d'épave.


FARPAITEMENT !

*** Le troisième fut encaissé de main de maître. ***


Tu vois Klathu ? J'commence à masteriser grave sa race, nom de Dame !

Klathu dit :
Oh mince, pourvu qu'on ne lui demande rien... surtout pas un truc intellectuel... 'tain tu vas être pénitent si ça continue comme ça dans la débauche !


Je débauche QUAND-JE-VEUX, parce que na !

Klathu dit :
Oh Boy...


 
Nyrndî

Le Merakih 15 Saptawarar 1510 à 21h18

 
Nyrndî rougit légèrement… Elle avait effectivement omis de répondre a la favorite… Peut-être par-ce-que, d’une certaine manière, la proposition lui semblait totalement… Incongrue. On lui faisait une demande pareille… Et pour couronner le tout c’était présenté comme une faveur qu’on lui demandait…

Moë dit :
Sacrée promotion pour une gosse des rues…


*ça me fait tout drôle…

* A moi aussi…

* On est sensé répondre ?


Moë dit :
Bein devine… Evidement ! Sinon pourquoi elle te l’aurais posé cette question a deux pierres ?


* Heu…

* Désolé.

* Le…

* Choc.

* Ouais voilà : le choc…

* ça fait vraiment bizarre…

* Bref. On répond quoi ?

* Bein… Tu te vois refuser un machin pareil ?

* Non… ça se…

* Sans même parler de bienséance… C’est l’occasion du siècle !!! La grade classe !

* Clar…

* Mais es-ce que j’ai vraiment…

* Bien ça le problème…


La favorite venait de l’inviter a prendre son temps… Et il fallait bien avouer qu’elle lui en était grandement reconnaissante…

Moë dit :
Bon… Nyny. Vas te poser dans un coin… Prend le temps… redescend de ton nuage… Après tu pourra lui répondre. La tête froide.


* Mouai… T’as raison.

- Je… Merci. Je suis encore un peu désorientée… Et reprendre le sens des réalités ne me ferra pas de mal.

Elle lui adressa un sourire timide et s’inclina légèrement, laissant son chef de troupe entre les mains de la favorite… Et vice versa… Pour une fois elle ne s’en faisait pas trop. Il ne ferrait pas de (trop grosse) gaffe. Pas avec elle. Et en tout cas… Il n’irait probablement pas plus loin que ce que la favorite souhaiterait le voir aller. Nyrndî faisait confiance a la dame de la soirée en cela.

* Et de toute manière c’pas mes affaires…

* Pfff…


Moë dit :
Jalouse ??


* Pas vraiment non…

* Mouai… Enfin de toute manière on sait très bien ce qu’il en est non ?

* Vala… Plus une question d’égo que de jalousie.

* Pis dans ce cas y’a rien a redire.

* ‘xactement.


Discrète, Nyrndî se rapprocha des buffets… et leur fit honneur. C’était là une discipline en laquelle elle excellait. Son enfance l’y avait formée.


 
Yanath Gorn

Le Julung 16 Saptawarar 1510 à 14h57

 
*** C’est avec une efficacité rare que Fenrir arrive à traduire le document codé. Se faisant il ne manque pas de provoquer l’admiration des poussiéreux présents. Même Miklaï Urguemand se laisse aller à un hochement de tête admiratif.

Durant sa traduction, le chevaucheur peut noter d’infimes marques de crayon ou de plume sur certaines des cases de la grille servant à traduire le texte, ce détail de prime abord anodin lui confirme que la grille de traduction a belle et bien été utilisée au moins en partie pour le texte qu'il vient d'étudier.

Les minutes passent et deux évènements surviennent pratiquement au même moment.

Tout d’abord 4 gardes arrivent et viennent renforcer le dispositif déjà présent, ils escortent deux poussiéreux à la mine abattue qu’Oda identifie comme étant Gladius et son comparse Chimériste.

Le second a un bandage de fortune autour de la taille et le teint verdâtre des types qui ont subis une infection ou un empoisonnement... Le premier semble souffrir le martyr à chaque pas et jette en direction du muet un regard savant mélange de peur et de haine. Ils sont tous les deux entravés par des chaines. ***


Capitaine voici les deux prisonniers.

*** L’immense Nelda visiblement toujours soucieux de faire oublier sa première rencontre avec Oda et Fenrir prend alors la parole. ***


Muet, Chevaucheur, ils sont à vous si vous voulez les interroger.

*** Se tournant vers les deux aigrefins, le regard d'acier il continue. ***


Je vous conseille de répondre à ces personnes sans tergiverser car sinon c’est moi qui vais vous poser les questions à ma manière…

*** C’est alors qu’un tchae, que les deux symbiosés identifient comme Almarick, arrive d’un pas décidé. En quelques instants, fidèle à sa réputation d’efficacité il prend la mesure de la situation et semble jauger la scène. Oda et Fenrir ne peuvent manquer le regard accusateur qu’il lance au capitaine de la garde, un instant passe pendant lequel on pourrait croire que l’intendant est symbiosé tellement il a l’air de couvrir Miklaï de reproches silencieux.

Puis la mine toujours aussi avenante, le tchae s’adresse à Oda. ***


Om’Shir Muet Nobunaga, je suis Almarick l’intendant du semeur des vents, il semble que nous nous soyons déjà rencontré rapidement à votre engagement même si à ce moment là vous m'avez trompé. Sachez qu’à titre personnel je n’apprécie point la farce que vous m’avez jouée et qui pourrait bien avoir des conséquences fâcheuses pour un certain nombre de personnes dans cette demeure. J’espère pour vous que cela valait la peine de mener votre enquête ainsi car elle aura sans aucun doute des conséquences pour nous...

*** Passant au chevaucheur, essayant d’adoucir le ton de sa voix, il continue.
***

Chevaucheur Fenrir, le semeur m’a informé qu’il vous a chargé de le représenter dans cette enquête, vous pouvez compter sur ma collaboration tant que cela ne touche pas à certaines affaires extrêmement délicates et privées de l'oljad.

Je suis également ici afin de vérifier que certaines affaires ou document n’ont pas été subtilisées.

Maintenant si vous avez des questions, je suis à votre disposition.


*** Dans la salle de bal la soirée continue, Kvethan et la favorite se dirigent lentement vers le semeur pendant que celui-ci continue sa discussion avec Tatsumasaf et Ariadne.

L’oljad reçoit les deux réponses mentales et ne laisse rien paraitre quant à l’impression que produit chacune des réponses. ***


Bien, visiblement il s’agit d’un malentendu entre deux personnes ayant à cœur de me servir et j’espère que cette affaire est définitivement derrière nous. J’expliquerai au maitre de troupe le comportement que j’attends de mes Jïrhes à l'avenir en pareille situation afin que cela ne se reproduise plus.

Je m’en voudrais donc de vous sanctionner trop durement. Le gardien m’a conseillé une certaine sévérité à votre égard et une sentence humiliante mais je suis sur que cela ne sera pas nécessaire.

Non…nous allons trouver autre chose…

Nombre de marchands et d’artisans ont tout perdu avec la destruction de Zarlif et nous devons les assister afin qu'ils puissent se bâtir un nouvel avenir. Malgré la joie ambiante, nombres des convives présents sont ici afin de se remettre sur pied après la chute de leurs affaires et cette soirée est une opportunité que je leur offre de le faire.

Vous avez donc jusqu’à la fin de cette soirée pour trouver parmi les convives présents, un poussiéreux dans le besoin dont vous allez devenir le mécène et à qui vous allez apporter votre aide afin qu’il redresse ses affaires. Dans votre cas soupir cela peut avoir un rapport avec l'art...

A la fin de cette soirée vous m’exposerez votre projet.

Si je juge celui-ci inapproprié ou inadapté, il faudra trouver autre chose afin de vous laisser exprimer l'immense altruisme que je perçois en chacun d'entre vous.

Par exemple, j'accepterai votre demande de renoncer à votre salaire pour l’intégralité du mois prochain…

J’espère que cela vous convient ?


*** De son coté Nyrndî prend un peu de recul dans la soirée afin de réfléchir à la proposition de la favorite à tête reposée. Alors qu’elle déambule, elle ne manque pas de remarquer un invité qui commence à attirer beaucoup de regards réprobateurs de la part de ses voisins et en particuliers les femmes.

L’individu qui semble légèrement tituber est l’apprenti chevaucheur Hirvane Tuek.

Il semble avoir un sérieux coup dans le nez. ***



 
Tatsumasaf

Le Julung 16 Saptawarar 1510 à 15h43

 
***
Tatsumasaf fut surpris. Ravi aussi par les propos de son Nêhre.
***


« Eh bien voilà des propos qui me plaisent bien. Savez vous que c'est précisément le genre de punition que j'aurais voulu que le Gardien nous donne. Certes en me présentant à lui j'espérais que seul Ariadne ai ce genre de punition puisqu'elle ne m'avais pas rendu l'argent que je lui avais confié - ce qu'elle n'a d'ailleurs toujours pas fait d'ailleurs - mais je lui avais suggérer l'idée que cet argent aille aux réfugiés plutôt que dans les poches de l'un de nous.

Hé bien voilà qui me motive pour annoncer au gardien qu'Ariadne et moi avons trouvé un arrangement amical. Et l'idée me plait tellement d'aider les marchands et artisans qui à près tout ont contribué à ma réussite sociale compte tenu du nombre de fois que j'ai négocié avec eux que ça ne me dérange pas de mettre de l'argent de coté pour eux.

à près tout il s'agit d'un juste retour des choses.

Pour ma part je m'engage à ne garder que le strict minimum pour me nourrir et un tout petit peu d'équipement adapté au désert qui entoure Arameth afin d'être prêt pour la bataille à venir, et je leur abandonne le reste de mon salaire et des éventuels bénéfices annexe que je ferais. Pour la durée, un mois pour l'instant reconductible si cela n'a pas suffit à assurer la prospérité des commerces.
Reste à trouver un poussiéreux dont le projet nous plaise, et je pense qu'un symbiosé capable de le seconder serait intéressant afin que nous puissions suivre l'évolution des affaires à distances.

Est tu prête à chercher quelqu'un avec moi Ariadne ?
»


Suivre sa voie en n'écoutant que son coeur.
La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement.

 
Fenrir

Le Julung 16 Saptawarar 1510 à 22h37

 
Fenrir se demandait toujours s'il devait inviter Hirvane à ce joindre à eux, mais quelque chose ( son sixième sens ? ) lui disait que ce serait inutile.

Loki dit :
Crois moi, il est inutile de contacter Hirvane… Je viens d'interroger Klathu, et il est complètement saoul…


Finalement, Fenrir laissa son idée de côté et préféra se concentrer sur l'affaire en cour. Il entendait justement des pas s'approcher, et quelques instant plus tard, à quelques secondes d'intervalle, les prisonniers et l'intendant apparurent sur la scène du crime. Tout d'abord, le Chevaucheur se dirigea vers Almarick, le papier où était traduit le message chiffré à la main. Puis il tendit celui-ci vers le Tchaë qui le lui prit, et ajouta c'est quelques mots :

« Riemto, seriez-vous en mesure de vérifier si l'objet de ce message se trouve toujours en son lieu ? Le Capitaine Miklaï à découvert ce message, et il se pourrait bien que tout cette affaire tourne autour de celui-ci… »


Le Neldan ne souhaitait pas exprimer clairement l'emplacement indiqué dans le message aux oreilles indiscrètes que pouvait présenter les deux Poussiéreux enchaînés. Puis, laissant l'intendant à son travail d'inventaire, Fenrir alla récupérer la carte factice avant de se présenter devant les deux amochés.

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Hirvane Tuek

Le Vayang 17 Saptawarar 1510 à 00h01

 
C'est complètement paniqué que Klathu reçut le message de Loki, le mou de Fenrir. Hirvane avait raté une belle occasion de se rendre utile et au lieu de ça, il scandalisait les femmes au buffet par son comportement outrancier.

Klathu dit :
Oh la la c'est la MEGA honte s'pèce de pochtron insortable ! Mais bordel ! Tu vas...


*** Il avait marché sur la robe d'une marchande, manquant de s'étaler verre en main. ***


Klathu dit :
'tain mais fais gaffe tu sais qui c'est celle-là ? Mince il n'y a plus qu'à faire un purge, je vois que ça !


La pruge ?

Klathu dit :
Purge.


Purglgle ?

Klathu dit :
...


Le mou chercha des yeux une âme charitable mais se heurta au regard dédaigneux des notables de la ville. Il ne faisait pas l'ombre d'un doute que personne n'aiderait Hirvane dans l'état où il se trouvait. à moins que... hey ! Il repéra Nyrndî et vola jusqu'à elle.

Om'shir ! Om'shir !

*** Il était tout tremblant ! ***


Klathu dit :
C'est terrible, mon symbiote a une mission d'importance capitale à accomplir - J'peux pas t'en dire plus c'est trop top secret ! Mais il est rond comme un ballon cet idiot !

Il me faut de l'aide pour l'amener jusqu'aux mmm... m'enfin tu vois... ces trucs pour... pour heu... pour qu'il se fasse une purge... un purge corporelle quoi...


*** Des latrines ? ***


Une pruge !

Klathu dit :
Ah mais ta gueule à la fin ! Bon. Mmm. Je t'ai vu tout à l'heure et j'ai entendu parler de toi, tu es une artiste de la troupe de mestre Kvethan c'est ça ? Nyrndî ? OOOOh c'était super ce soir ce que tu as fait ! Sincèrement eh eh j'ai adoré ! Je suis un fan !

On y va ? Dis dis on y va ? Allez s'teuplaiiiit...


 
Oda Nobunaga

Le Vayang 17 Saptawarar 1510 à 01h06

 
Très cher Almarick, commençais-je en posant ma main sur l'épaule du Tchaë, qui semblait visiblement contrarié, il n'y avait rien de personnel vous savez. Et vous n'avez pas à rougir de vous être fait duper, à vrai dire moi-même je pourrais parvenir à me leurrer.

Mais je vous l'assure ici et maintenant, j'endosse la pleine responsabilité de ma procédure, si bien que je suis sûr que Maître Gorn, qui sait se montrer juste, ne vous en tiendra pas rigueur.


*** J'aurais tant aimé pouvoir pleurer sur commande, afin d'ajouter de l'eau au moulin de mon expression affectée ; c’eut été davantage crédible.

Après avoir envoyé à Hirvane un message -décidément, il avait tout de l'homme de la situation- pour lui enjoindre de monter rapidement nous aider, je me tournais vers le Capitaine. ***


Dites, fis-je suffisamment fort pour être entendu par les deux prisonniers, j'ai toujours un doute, et comme vous m'avez l'air expert... au bout de combien de litres de sang un homme est-il supposé mourir ?
Je suis un peu rouillé en ce qui concerne les interrogatoires, et je m'en voudrais de les tuer trop vite.

Vous pensez qu'agrandir sa plaie au ventre, à la main bien entendu, on est pas des sauvages, ce serait mortel ?

Et la castration, vous en pensez quoi de la castration ?


*** C'était certes un stratagème vieux comme le monde, celui qui consistait à décrire par le menu les pires atrocités, sur un ton monocorde servi par un rictus pervers bien évidemment, sans jeter un oeil à ceux que ça concernait, mais lorsque l'on était de l'autre côté des fers, on ne pouvait que douter.

Et le doute, même pour un esprit fort, c'est une hypothèse qui, si on l'arrose bien, est amenée à croître exponentiellement. ***


-Oda Nobunaga-

 
Narrateur

Le Vayang 17 Saptawarar 1510 à 13h51

 
*** Almarick regarde le contenu du message tendu par le chevaucheur. Ce dernier peut noter que l’intendant marque un instant de stupeur en lisant celui-ci.
***

Humm effectivement c’est fort gênant, il va falloir que je vérifie cela immédiatement.

*** Sur ces paroles il s’éclipse un instant dans le cabinet afin de réaliser certaines vérifications.

Pendant ce temps, rejoins par Fenrir, Oda commence son travail de sape sur les deux aigrefins.

Le capitaine particulièrement à l’aise dans le rôle qu’on lui demande de jouer reprend. ***


Nêrhe, si je puis me permettre, il n’est guère nécessaire de pratiquer des hémorragies ou saignements pour faire avouer ces déchets, les laissez moi simplement leur briser les articulations cela devrait suffire. S’ils s’entêtent je recommande...humm de leurs crever les yeux.

*** Si Oda met une certaine conviction dans ses propos, le Nelda lui est proprement terrifiant, tellement il a l'air sérieux. Le Muet se demande un instant s’il demande vraiment l’autorisation de passer à l'acte.

Du coté des prisonniers, le manège semble produire son petit effet et le chimériste se met à supplier.
***

« Pitié Nêrhe, nous ne savions pas ce que nous faisions, c’est Yanos qui a eu l’idée, nous nous ne devions que faire le guet pendant qu’il cherchait le collier dans les étages !!! Pitié, j’ai une femme et 7 enfants, nous avons tout perdu à Zarlif, j’ai fais cela par désespoir, je n’ai fais de mal à personne !! Pitié, pitié !!! »

*** Gladius jette un coup d’œil consterné à son comparse.
***

« P’tain, t’es vraiment qu’une petite Riemta, fermes ta fosse sceptique, avant qu’on perde le peu qu’on peut encore marchander !!! »

*** S’adressant à Oda, Fenrir et au capitaine, il reprend. ***


« Nêrhe, j’doute pas que vous allez nous faire parler mais si on tient assez longtemps les pistes vont s’évaporer et là franchement j’ai pas trop d’espoir de mansuétude…

Offrez nous la pénitence et j’vous jure que je dis tout sur l’instant... »

*** Alors que Gladius termine, son comparse se met à pleurer.

Quelques instants plus tard, Almarick revient voir les deux poussiéreux. Il leur fait signe de s’approcher un instant et leur murmure dos aux prisonniers.
***

Bon je viens de vérifier le coffre du Semeur.

Tout d’abord sachez que le secret de ce coffre est normalement extrêmement bien gardé et n’est connu officiellement que d’une poignée de collaborateurs extrêmement proche de l’oljad… Toutefois du coté de l’artisan, nous ne pouvons rien garantir même si nous travaillons avec lui depuis des années.

En tout cas les documents qui devraient être à l’intérieur, sont bien présents. Il m’est difficile par contre, de vous dire si quelqu’un y a touché.

Mais il ne manque rien.

Concernant les contenus du coffre je préfèrerais que vous communiquiez directement avec le semeur si vous avez des questions, vu que les documents traitent de sujets assez brulants.


 
Fenrir

Le Sukra 18 Saptawarar 1510 à 15h05

 
Des frissons parcoururent l'échine de Fenrir alors qu'il entendait le Muet et le Capitaine proposer leurs solutions pour les « aider » à conter leurs histoires… Il ne faisait vraiment pas bon d'être du mauvais côté de la « loi » par ici… L'un des prisonniers apeuré commença a parler, mais le second l'interrompit presque immédiatement. Quelle naïveté, pensa le Nelda. Qu'il puisse croire qu'il soit en mesure de de négocier semblait particulièrement incroyable au yeux de Fenrir, par pour le peu d'informations qu'ils avaient données, ils ne semblaient pas vraiment au fait de l'affaire en cours.
L'intendant les rejoignit peu de temps après qu'il eusse vérifier les affaires de Yanath Gorn. Et d'après celui-ci rien n'avait disparu. C'était déjà cela… Néanmoins, il ne pouvait affirmer que certains « documents » n'avaient pas été lu. Pour en savoir plus, il fallait donc interroger le Semeur sur ces « documents » autour desquels tout semblait tourner.
Mais avant cela, il fallait tenter d'obtenir quelques informations supplémentaire de ces poussiéreux… Le Chevaucheur prit donc la parole afin de vérifier certains détails.


« J'aurais quelques petit points à vérifier avec vous avant que vous ne puissiez seulement penser à "marchander" vos informations. Reconnaissez-vous ce cadavre juste là ? »


*** Sur un signe du Nelda, les gardes rapprochèrent les détenus du corps sans vie qui baignait dans son sang. ***


« Et bien figurez-vous que ce joyeux drille était en possession d'une carte de ce Palais. Mais ce qui est le plus amusant dans toutes cette histoire, c'est que cette carte, bien que très bien faite pour le rez-de-chaussé, est totalement fausse pour cet étage. Vous avouerez qu'il a payer plutôt cher cette fausse information… Je me demande bien qui à pu la lui fournir… Je suppose que lui aussi avait une famille non ? Ne trouvez vous pas dommage qu'il eusse perdu ainsi sa vie pour des queues de cerises ? »


Tout le long de son discourt, le Chevaucheur avait garder son sourire. Visiblement, il souhaitait les inciter à parler par eux même en leur signifiant qu'ils s'étaient fait complètement avoir.

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Fenrir

Le Sukra 18 Saptawarar 1510 à 19h41

 
Après une courte pose, Fenrir reprit la parole sans laisser la possibilité aux deux poussiéreux de répondre.

« Ne trouvez vous pas cela intéressant qu'il fusse tuer ? Souhaitaient-ils le faire taire ? Peut-être êtes vous les suivants sur la liste ? Quoiqu'il en soit, vous semblez penser que vous détenez des informations qui pourraient nous être utile, je ne peux alors que vous conseiller de nous les fournir. Nous saurons nous rappeler que vous nous avez aider de votre plein gré. »


Sur ces paroles, Fenrir tourna le dos aux prisonniers pour les laisser mijoter entre les menaces de Oda et de Miklaï et la porte de sortie qu'il leur avait offerte. Il concentra son esprit vers le Semeur des Vents et le Muet, puis ouvrit une discussion télépathique.

Nêrhe, nous avons quelques informations supplémentaires, cependant, il nous faut votre aide pour les décrypter…
Nous avons découvert que le meurtrier cherchait en réalité quelque chose dans votre tiroir chimérique secret sur le flan gauche de votre bureau. D'après votre intendant, il ne manque rien, mais il se pourrait que des informations eussent tout de même étaient volées. Il nous a également faire la remarque qu'ils étaient très peu nombreux à connaître ce "coffre". Pensez-vous que parmi les documents qu'il renferme, certains puissent être suffisamment intéressante pour monter une telle opération ? Et si oui, à défaut de pouvoir tout nous dire, nous énoncer le genre d'informations et le genre de personnes susceptible de les convoiter ?


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Dhiwara 19 Saptawarar 1510 à 17h57

 
*** En plus de son talent pour la diplomatie, le Premier Chevaucheur avait un don inné pour incarner le "gentil" lors d'un interrogatoire, semblait-il. Et c'était de loin le rôle le plus complexe.
Pour le moment, il semblait avoir les choses en main, et c'était très bien ainsi.

Je décidais donc d'attendre un peu avant d'agir. Avec un peu de chance ils cracheraient le morceau avant même la premire effusion de sang. ***


-Oda Nobunaga-

 
Yanath Gorn

Le Merakih 22 Saptawarar 1510 à 15h09

 
*** Les deux aigrefins jetèrent un coup d’œil inquiet au cadavre de leur compagnon. Visiblement la remarque du chevaucheur fait son petit effet. Le plus fragile des deux repartit de plus bel dans une nouvelle crise de larmes et de sanglots… Visiblement le garçon était terrifié.

Son comparse, par contre, garde une mine plus sombre, Il pousse un juron quand il entend l’information sur la carte erronée et semble adresser quelques malédictions.

Alors que les deux poussiéreux laissent les deux criminels mijoter, Fenrir envoie une pensée au semeur. La réponse ne se fait guère attendre. ***


Je vous confirme Chevaucheur que très peu de personnes à l’intérieur de cette demeure connaissent l’existence de ce coffre. Je dirais uniquement les membres les plus proches de ma maisonnée à savoir quatre ou cinq personnes en plus de moi-même. Maintenant je ne puis être sur à 100% qu’un serviteur n’a pas obtenu l’information d’une façon ou d’une autre.

Quand à l’artisan j’avais défini avec lui des mesures drastiques cela m’étonnerait donc que l’indiscrétion vienne de là…

*** La pensée s’interrompt quelques instants puis reprend. ***

Je ne vois que deux choses pouvant mener à organiser ce type d’opération dans mon coffre.

La première est une série de contrats confidentiels que j’ai passés avec des commerçants étrangers. Il y a également une série de documents sur la banque des ressources de Syrinth et sa réorganisation après la disparation de Zarlif. Nul doute que ces informations s’arracheraient une fortune au prêt de marchands mal intentionnés.

Le second sujet est encore plus délicat et pourrait bien causer la mort d’un de mes plus fidèles employés si nous réalisons la moindre indiscrétion.

Je dispose actuellement d’un informateur au sein de la Falkanor qui m’informe d’un certain nombre d’activités de contrebande entre les différentes factions et l’Equilibrium. Cet individu nous a déjà permis de saisir quatre grosses livraisons de marchandises illégales et de porter un rude coup à cette organisation.

Une partie des correspondances codées que j’entretiens avec l’individu sont entreposées dans ce coffre et pourraient malgré nos précautions permettre de l’identifier… Je ne sais pas si vous y arriverez mais il est essentiel d’identifier la nature de la fuite afin de s’assurer que ma source n’est pas compromise. D’ici là je vais devoir mettre en doute tout rapport qui pourrait me parvenir de l’individu en question.

Je vous laisse continuer vos investigations et me tenir au courant.


*** De leur, coté les deux larrons semblent mures, le plus fragile semble incapable de prononcer le moindre mot sans l’étouffer dans des sanglots pathétiques, ce qui lui vaut de nouveaux regards méprisants de Gladius.

Ce dernier, conscient de sa situation décide de jouer la carte de ce « gentil » Nelda qui seul semble envisager de ne pas les massacrer sur place. ***

Nêrhe, le cadavéreux qui git dans le bureau c’est Yanos, le troisième gars de notre groupe. C’est lui qui a monté la combine. La carte devait nous permettre de trouver la chambre forte du palais afin d’y dérober le collier que le semeur a commandé pour la favorite. Nous savions qu’il devait l’offrir après la soirée, nous avons donc voulu lui piquer pendant…

Nous c’est tout ce qu’on voulait, ce P’tain de collier. Sauf que l’autre con il a pris son temps dans les étages et qu’on s’est fait repéré par le Muet… La suite vous la connaissez et maintenant je comprends pourquoi Yanos a trainé.

*** Avec un sourire mauvais il continue. ***


Le cartographe qui nous a fournit le plan s’appelle Lindion c’est un tchae vivant dans les branches basses. Cet enfoiré fourgue des plans des demeures de la haute aux cambrioleurs… Et visiblement se fout de la gueule de certains….
Pourriture, si je sors d’ici j’le crève…

*** Dans la salle de bal, rien ne change vraiment, les festivités continuent, les convives profitent de l’hospitalité de l’oljad et le semeur continue sa discussion avec ses subordonnés. ***


 
Fenrir

Le Merakih 22 Saptawarar 1510 à 22h39

 
Les paroles du Semeur, laissèrent Fenrir songeur quelques instant. Peu de piste s'offraient à eux, et l'intervention des deux prisonniers ne semblait pas vouloir en fournir bien plus…
Fenrir prit une posture pensif, les yeux fixé sur Gladius et le regard dans le vague. Le Chevaucheur énuméra les options qu'ils avaient :
— Interroger chacun de ceux qui connaissaient l'emplacement du coffre pour espérer trouver la fuite.
— Interroger le marchand de fausses cartes pour vérifier que tout ceci n'était pas un plan pour détourner l'attention.
— Examiner les documents et le bureau pour voir si des indices n'avait pas sauté aux yeux des poussiéreux.
Fenrir ne percevait actuellement que trois options possible, et cela était bien peu à ses yeux. Celui-ci se tourna donc vers Oda qui en tout que Muet devait maîtriser un peu mieux ce genre de sujet. Les enquêtes n'étaient-ils pas sa spécialité ?


« Quand pensez vous Oda ? »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Julung 23 Saptawarar 1510 à 18h24

 
Eh bien, sursautais-je lorsque Fenrir s'adressa à moi, me tirant de ma surprise, j'ai le sentiment que ces deux... enfin ces trois idiots n'ont pas été les seuls à avoir la lumineuse idée de profiter de la liesse de l'anniversaire de la Favorite pour voler le Semeur.

Sauf que si ceux-là avaient en tête de s'emparer d'un simple bijoux, celui qui s'est fait notre cadavre, lui, devait avoir un tout autre type de motivations.


*** Un informateur de la Falkanor... ce cher Gorn n'était pas aussi innocent que ça, après tout. ***


Ou alors, vos présences respectives ne sont pas le fruit du hasard, et notre fugitif s'est arrangé pour qu'on vous refourgue une fausse carte afin de profiter du moment où vous vous feriez chopper pour détourner l'attention de tout le monde et se tirer ni vu ni connu, dis-je d'un air désinvolte, mais j'extrapole, j'en sais foutrement rien.

En tout cas, je ne pense pas qu'on pourra tirer quoique ce soit d'utile de ceux-là, mais je les laisse entre vos mains, Capitaine. S'ils ne craquent pas et qu'ils vous semblent sincères, un bon séjour au trou leur remettra les idées en place, héhé.

Pour l'heure...


*** Sans transition, j'ouvrais une nouvelle discussion mentale avec Fenrir et Yanath. ***


Bon, j'imagine que vous devez m'en vouloir, et je ne sais pas si vous accepterez de me parler, mais je veux aider, soyez-en assuré. 

La priorité serait que vous nous envoyiez quelqu'un pour vérifier que le coffre est toujours intact. Dans l'absolu, on a environ une chance sur deux pour que le gars qui a pris la fuite soit venu pour s'emparer du nom de votre taupe. Le cryptage, les méthodes d'infiltration et d'élimination, c'est certainement pas du boulot d'amateur. Dès lors, je pense que votre homme, Maître Gorn, est dans une sacré panade...

Et comme on n'arrivera pas à coincer notre larron à nous ce soir, l'enquête va devoir se poursuivre, et nous allons devoir tout faire pour préserver votre source. J'en fais une affaire personnelle, si cela peut me permettre de me racheter à vos yeux.

Je crois que, par exemple, il serait bon de mettre en place une surveillance de tous les instants de votre homme afin de s'assurer qu'il puisse poursuivre sa couverture. La Falkanor a de fortes chances d'être sur le qui-vive dans les temps à venir, que le vol ait réussi ou non. Enfin si l'intrusion vient de là, mais dans les circonstances présentes, je crois bien que s'en remettre à la chance serait une mauvaise tactique.

Et toi vieux
, demandais-je ensuite à Fenrir, de vive voix, en attendant la réponse du Semeur.

-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Julung 23 Saptawarar 1510 à 22h32

 
*** Fenrir resta pensif quelques instant alors que Oda s'adressait à lui, puis il lui répondit. ***


« Je pense qu'avant toute chose, il nous faudrait vérifier s'il n'y a pas d'indices quant aux documents possiblement manipulés. S'ils sont cryptés, je doute que notre individu aie réussi à apprendre par cœur leur contenu en vu de les déchiffrer plus tard. Il a probablement dû les copier d'une façon ou d'une autres… Et cela pourrait bien laisser des traces.
Sinon, nous pourrions toujours aller interroger le marchand qui leur à vendu la fausse carte. Qui sait ce que nous pourrions découvrir ? Bien que je doute néanmoins que les deux affaires n'aient d'autres liens.
Quant à nos deux lurons…
»


*** Fenrir se tourna vers ceux-ci. ***


« Peut-être avait vous vu quelque chose d'inhabituelle pendant que vous tentiez de dérober le collier ? Quelques chose qui peut sembler anodins mais qu'à la vu des événements récent pourrait prendre une nouvelle dimension ? »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nyrndî

Le Vayang 24 Saptawarar 1510 à 09h20

 
Elle sirotait, l’air de rien, depuis un bon moment les verres qui lui passaient sous la main… Et depuis un moment la chaleur de l’alcool se rependait dans ses veines… Ses pensées divaguaient de manière plutôt moins que plus cohérente… Mais lentement sa détermination s’affinait. Oui. Pourquoi diable irait-elle refuser une offre pareille ?

* Pis ça me permettra de cotoyer un peu d’autres gens…

* Vouep. Ça te ferra pas de mal de passer du temps en compagnie de femmes…

* Qu’es-ce que tu vas sous-entendre ???

* Hum… Tu sais bien qu’elle est incapable d’abstraction. Elle dit ce qu’elle pense. Ni plus ni moins.

* Maisheuu…

* Effectivement…

* Vous voulez pas arrêter de me causer au dessus de la tête ?

* Ne la prend pas pour plus intelligente qu’elle ne l’est…

* Et v’la qu’il m’insulte !!

* T’as raison… Mais bon. Arrête un peu de la titiller elle vas finir par exploser.

* Je ne vais pas exploser !! J’suis pas une invention de la fraternité…

* Qu’es-ce que je disais ?


Mais alors qu’elle grignotait un toast des stimuli en provenance de l’extérieur finirent par la tirer de ses pensées. En soi ça relevait de l’exploit. Alcoolisée comme elle l’était un meurtre aurait pu se dérouler sous ses yeux sans qu’elle bronche. Enfin… Peut-être. Ça n’était jamais allé se produire.

Un homme (visiblement encore plus imbibé qu’elle) était en train de monologuer seul dans son coin… Enfin… Elle était mal placée pour parler… Et si il était symbiosé… discuter avec son mou… Mais que diable ! Quand on était (un tantinet) poli… On faisais ce genre de choses dans sa tête. Eventuellement sur le consensus… Mais a un endroit ou tout le monde entendait la totalité de la discutions… Ou rien.

Après une brève hésitation elle s’avança, chancelant légèrement…

- Hum… ca vas ?

HRP//Désolé pour les erreurs sur le site pour les jets. Fait tôt le matin j’étais pas encore fonctionnelle *honteuse*//HRP


 
Ariadne

Le Vayang 24 Saptawarar 1510 à 15h34

 
*** Une moue dubitative se dessina sur le visage de la jeune Soupir. ***


Un pauvre commerçant à aider... Du temps et de l'argent à dépenser en perspective. Finalement elle allait y perdre quoiqu'il arrive.
A moins que...


*** Une idée germa dans l'esprit de l'artiste. ***


Il y avait certainement une façon de tourner tout cela en avantage. Quitte à perdre un peu d'argent autant que cela serve ses intérêts. Avec la chute de Zarlif tout était maintenant bien différent. Une nouvelle ville, de nouvelles règles. Alors avoir dans sa poche un artisan qui lui serait redevable ça elle pouvait l'utiliser.

*** Finalement, elle esquissa un sourire et hocha la tête. ***


J'en suis Nerhe!

*** Elle se tourna vers le chineur. Celui-ci lui proposait de joindre leurs efforts. Un instant Ariadne hésita. Il fallait l'avouer, elle commençait à prendre goût à torturer gentiment le chineur. Elle secoua doucement la tête. ***


Pas la peine de chercher tous les deux. On pourrait faire ça chacun de notre coté. Sé-pa-ré-ment. De cette façon on fera deux heureux ! C'est pas chouette ça ?

*** Elle lui décocha un clin d'oeil et fit une gracieuse révérence pour saluer l'Oljad. ***


Au travail.

*** Elle scruta la foule à la recherche du bon candidat. Un peu comme au marché aux bêtes. Laissant trainer ses oreilles de temps à autre pour guider ses pas. ***


 
Tatsumasaf

Le Vayang 24 Saptawarar 1510 à 15h47

 
« Séparément? Remarque c'est vrai que la demande du Semeur est un peu ambigüe en y repensant.
Il a parlé de lui présenter "notre projet", mais est-ce "notre projet commun" ou "notre projet chacun"?

Le Gardien souhaitait que l'on fasse une action ensemble afin de nouer des liens d'après ce qu'il a dit lors du procès, mais d'un autre coté il a demandé à notre Nêhre de choisir la punition et ne lui a pas forcément précisé.
»
répliqua Tatsumasaf.

***
Puis se tournant vers le semeur il ajouta :
***


« Que souhaitez vous, Nêhre? Je ne voudrais pas de quiproquo. »



Suivre sa voie en n'écoutant que son coeur.
La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement.

 
Hirvane Tuek

Le Vayang 24 Saptawarar 1510 à 19h17

 
Klathu dit :
Mais euuuuh !


Cette fois c'est Hirvane qui reprit le dessus ! Ignorant les moues réprobatrices et les regards foudroyants qui les environnaient à présent tous les deux, il se mit à genoux et implora la jeune soupir - à voix basse.

***
Alleeeeeeez...



S'teuplais. Sois sympa, aide-moi à aller aux latrines pour que j'me fasse un pruge... un prugeuh... un truc corporel. ***


Les rares notables aux oreilles desquels les mots répugnants étaient parvenus s'indignaient de cet étalage de débauche. La rumeur murmurée courait dans les rangs.

*** Klathu se téléporta ailleurs, de honte. ***


*** Se téléporter loin. Très loin. Hum. Bonne idée, non ? ***


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