Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Un instant de réjouissance au milieu de la tourmente

L'anniversaire de la favorite du semeur des vents.
[important]
Détails
Sujet lancé par Yanath Gorn
Le 10-08-1510 à 01h18
286 messages postés
Dernier message
Posté par Fenrir,
Le 13-06-1511 à 11h10
Voir
 
Fenrir

Le Sukra 25 Saptawarar 1510 à 22h27

 
Totalement ignorant du drame mettant en scène son Apprenti, Fenrir répondit à la pensée de Oda au sein de la discussion télépathique avec le Semeur des Vents.

Si j'ai bien compris Nêrhe, vos documents sont chiffrés. Nous pouvons déjà espérer qu'ils mettront un moment, voir même quelques jours pour réussir à déchiffrer ceux-ci qu'ils auront eu le temps de récupérer. Et comme notre voleur n'a pas emporté de documents avec lui, il a dû les copier d'une façon ou d'une autre. Et cela peut laisser des traces.
Nêrhe, m'autoriseriez vous à vérifier vos documents afin de tenter de découvrir les informations qui auraient pu filtrer ?


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Yanath Gorn

Le Dhiwara 26 Saptawarar 1510 à 02h12

 
*** Le capitaine de la garde fait un signe à quatre de ses hommes qui emmènent les aigrefins, le regard qu’il leurs lance alors qu’ils s’éloignent, laisse augurer des moments difficiles pour les criminels.

Pendant ce temps les discussions continuent entre Yanath et les deux symbiosés chargés de l’enquête, le semeur répondant à leurs dernières interrogations. ***


Je vous autorise à regarder le contenu du coffre pour voir si effectivement les documents ont été recopiés, maintenant vous risquez d’être déçu car il ne s’agit pas de documents cryptés au sens ou vous l’entendez, il s’agit de correspondances qui peuvent paraitre anodines et dans lesquels sont dissimulés des informations. Les correspondants sont faux mais un individu sachant quoi chercher pourrait identifier mon informateur en fonction des dates et de la nature des informations révélées.

Toutefois je ne vois pas d’inconvénient à ce que vous regardiez ces documents.


*** L’examen du contenu du coffre se fait en présence d’almarick. Ce dernier est extrêmement astucieux puisqu’il est dissimulé dans le flanc du bureau et que sa contenance réelle est bien plus grande que l’épaisseur du bois. Le travail d’un maitre à ne pas douter, absolument impossible à trouver sans être renseigné.

Outre les livres de comptes et des contrats, le coffre contient plusieurs correspondances venant essentiellement de Lerth et donnant des informations sur des départs de caravanes et l’évolution du marché local de denrée.

D’apparences anodines, les documents pourraient effectivement bien dissimuler des messages codés pour les initiés.
Un examen attentif de chaque écrit ne révèle aucune marque permettant de déduire qu’ils ont été recopiés. Si c’est effectivement le cas comme le suppose les poussiéreux, cela a été fait par un expert ou alors ce dernier n’a pas eu le temps de terminer son œuvre.

En tout cas aucune preuve ne vient étayer l’une ou l’autre des hypothèses.

Dans la grande salle l’activité bat son plein.

Tatsumasaf et Ariadne terminent leur discussion avec le semeur et s’apprêtent à se mettre en chasse.

A la question du Tchae le semeur répond amicalement. ***


Mon cher Tatsumasaf, rien ne vous empêche en effet de mener vos recherches indépendamment. Bonne chance.

*** Un rapide tour d’horizon de la salle permet de voir que l’éventail des invités est fort vaste. En s’intéressant un peu plus à la salle, on peut effectivement constater que des marchands de syrinth côtoient certains réfugiés de Zarlif. Ces derniers portent en général des tenus plus humbles et arborent une mine bien moins réjouies que les premiers.

Alors qu’elle laisse trainer ses oreilles et ses yeux, la jeune soupire repère plusieurs candidats potentiel au mécénat. Il y a tout d’abord ce gros Tchae qui fait des pieds et des mains devant l’un des banquiers de Syrinth pour visiblement réaliser un prêt, la soupire n’a guère le temps d’écouter l’affaire mais l’homme qui semble être un gros investisseur de Zarlif spécialisé dans le textile. Ce dernier cherche apparemment des fonds pour réaliser une opération qui le remettra à flot.

Un peu plus loin elle aperçoit un trouvère qui pourrait bien être un candidat valable, ce qui attire l’attention avec ce jeune et charmant Tydale, c’est avant tout l’instrument qu’il tient actuellement en main, à savoir un doudouk, instrument extrêmement rare, complexe et onéreux. Ce dernier est en complet contraste avec sa tenue élimée et légèrement trouée à l’un de ses coudes et ses bottes usées à en avoir les semelles perforées.

L’individu est visiblement en train de raconter sa défense héroique de Zarlif à deux belles damoiselles et la façon dont il a du abandonner ses biens pour sauver deux enfants et un chiot.

Légèrement grandiloquent mais plutôt bien raconté.

Un peu plus loin une jeune tydale attire son attention, elle semble contenir des sanglots alors qu’elle s’entretient avec un individu à la mine peu avenante qu’Ariadne identifie comme un usurier.

De son coté Tatsumasaf repère une vieille connaissance qui semble piller le buffet. Le chineur met un certain temps à remettre l’individu et reconnait finalement un jeune Tchae du nom de Tweek, si la mémoire du chineur ne lui joue pas des tours, il s’agit du fils du directeur de l’hôtel des ventes de Zarlif avec lequel il a déjà travaillé par le passé.

Continuant son tour d’horizon, il repère également le trouvère réalisant son manège et l’obèse Tchae.

Les deux poussiéreux ne manquent pas non plus de noter le vide qui s’est formé autour d’ Hirvane Tuek et Nyrndî, le jeune chevaucheur semble vraiment avoir un coup dans le nez et l’artiste semble légèrement titubante.

Plusieurs femmes lancent un regard assassin au couple, le spectacle a d’ailleurs l’air d’attirer les commères de la soirée qui viennent visiblement se délecter de la détresse du jeune homme et alimenter ainsi leurs discussions.
***


 
Tatsumasaf

Le Dhiwara 26 Saptawarar 1510 à 10h14

 
***
Entendant les paroles du semeur, Tatsumasaf décide en effet de regarder l'ensemble de la salle des yeux.
Et repère en effet Tweek, avec lequel il avais discuté un jour alors qu'il déposait des affaires à l'hotel des ventes de Zarlif.
Et repère également Hirvane, au buffet aussi bien qu'à une certaine distance, qui est vraiment dans un état pitoyable.

Aussitôt, un plan germe dans l'esprit de Tatsumasaf. Tweek n'est que le fils du directeur de l'hôtel des ventes et par conséquent ne s'offusquera probablement pas d'aider Tatsumasaf à amener Hirvane au toilette. Par ailleurs, cela lui permettra d'une part de discuter avec celui-là sans que tout le monde soit au courrant, et d'autre part de l'éloigner du buffet où il risque de se faire remarquer aussitôt que l'attention ne sera plus attiré par Hirvane.

Tatsumasaf se dirige donc à grande enjambées - sans courir toutefois - vers tweek, en jetant occasionnellement des regards à Hirvane. Puis il engage la conversation :
***


« Om'shir, Tweek si je me souvient bien.
Si tu veut mon avis, l'ivresse de ce symbiosé est une bénédiction pour te faire remarquer par la haute société. Si tu vient m'aider à l'emmener au toilettes, les gens te seront reconnaissants de les avoir libéré de sa présence qui fait un peu déplacée.
Et se faire remarquer en bien est le meilleur moyen d'ouvrir des perspective d'avenir.
»



***
Puis, sans attendre la réponse de ce dernier Tatsumasaf se précipite sur Hirvane persuadé que Tweek le suivra.
Après tout, la dernière fois qu'ils se sont parlé Tatsumasaf se souvenais qu'il ne se sentait pas estimé à sa juste valeur et il espérais que son discours ait réveillé en lui son ambition.

Arrivé au coté d'Hirvane, Tatsumasaf commence à le prendre tout en disant à Nyrndî :
***


« Je m'en occupe. »


***
Et commence à prendre ce dernier d'un coté - en priant pour qu'il ne se mette pas à vomir sur lui - et vérifie que Tweek l'a bien suivit et s'apprête à prendre l'autre coté...
Si c'est bien le cas, Tatsumasaf attendra qu'il ait pris convenablement Hirvane et cherchera à aller le plus rapidement au toilettes possible (Ou cherchera une meilleure position si un problème de taille se pose. En tout cas les jambes d'hirvane risquent de trainer à terre, celui ci étant nettement plus grand que Tatsumasaf.). Dans le cas contraire, Tatsumasaf rappellera Nyrndî en espérant qu'elle accepte de faire la tâche refusée par Tweek.
***


Suivre sa voie en n'écoutant que son coeur.
La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement.

 
Fenrir

Le Luang 27 Saptawarar 1510 à 22h27

 
Après un examen attentif, ni Oda, ni Fenrir n'avaient remarqué quoique ce soit. De plus, à la vu des documents, le Chevaucheur pouvait sans peine affirmer que si ceux-ci étaient tombés entre de mauvaises mains, le pauvre bougre infiltré ne risquait pas de faire de vieux os…

« Rien de rien… Pas moyen de savoir quel genre d'information a pu filtrer… Il ne nous reste plus vraiment beaucoup de piste à explorer… »


Puis s'adressant plus à Oda.

« J'ai l'impression que nous n'avons plus que la piste du marchand à suivre… »


Se tournant en direction du capitaine qui les observez non loin.

« Riemto Miklaï, je suppose que vos gardes n'ont rien trouvé de plus en fouillant les étage ? Je suppose également que vous resterez ici pour continuer à veiller sur la demeure ? »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Ariadne

Le Matal 28 Saptawarar 1510 à 07h57

 
*** La jeune Soupir débusqua quelques proies potentielles: un gros tchaë qui trempait dans le textile et une jeune femme en détresse dont elle n'avait pas encore réussi à deviner son domaine de prédilection. Elle ne manqua pas, également, de remarquer le charmant tydale et son cher instrument. Elle suivit, amusée, une partie de son héroïque récit. Il était doué, il avait du bagout, mais probablement trop manipulateur pour constituer le candidat parfait. Peut être un peu plus tard dans la soirée, quand elle pourra se permettre un peu de détente, elle irait faire connaissance avec le jeune artiste... ***



*** Donc, le gros tchae... Ce n'était pas exactement l'artisanat idéal qu'elle avait en tête, mais pourquoi pas. Il restait toutefois cette jeune tydale qui l'intriguait, harcelée par ce qui semblait être un usurier. Elle laissa un instant de coté le tchaë pour enquêter un peu plus sur la demoiselle ***
.


*** Elle s'invita donc, comme un cheveux dans la soupe, dans la conversation tumultueuse. ***


Salut collègues!

Chouette fête pas vra
i?

*** Ils la dévisagèrent. ***


Ah! pardon.

Moi c'est Ariadne, Soupire au service de notre vénéré Yanath Gorn.


*** Elle dévisagea un moment la tydale aux yeux rougies par les larme ***
s.

Olala, c'est quoi ce chagrin?

*** Posant une main réconfortante sur l'épaule de la jeune femme, elle se tourna vers l'usurier l'air mécontent. ***


Ne me dites pas que vous cherchez des ennuis à cette jeune demoiselle ? L'oljad n'apprécierai pas. Pas ce soir en tout cas.

Vous risquez de finir comme ce malheureux borgne un peu plus tôt. On pense qu'il s'est simplement fait raccompagné à la porte... pfff et voyez un peu comme la sécurité s'est renforcée depuis. Ca rigole plus. Vous savez comment il peut être parfois si tout n'est pas comme il l'espère. Il me disait justement il y a quelques minutes qu'il était raaavi de voir tout le monde s'amuser.

Oh, en parlant du loup, je crois justement qu'il regarde par ici.


 
Fenrir

Le Merakih 29 Saptawarar 1510 à 20h38

 
Laissant vaquer le Capitaine à sa réflexion, Fenrir récupéra les indices que le Nelda et ses gardes avaient réussi à trouver. Il en fit l'inventaire :

« — La Carte factice… Nous en aurons besoin pour confronter le marchand.
— Les ordres de missions chiffrés…
— Le bout de tissu qui se rend invisible…
… Huh ?!
»


Une idée germa subitement dans la tête du Chevaucheur… En premier lieu, lui et Oda avaient laissé cet indice de côté ni voyant guère autre utilité que de comprendre comment le meurtrier avait réussi à pénétrer jusqu'ici sans alerter qui que ce soit. Mais, ce genre panoplie ne devait pas courir les rues…

*** Fenrir se rapprocha du Muet. ***


« Oda ! J'y pense, mais l'objet d'où provient ce bout de tissu capable de devenir pratiquement invisible ne doit pas courir la rue, non ? Si nous retrouvons l'artisan qui a vendu ceci, peut-être pourrons nous remonter jusqu'à celui qui le portait. »


Cependant un problème de taille se dressait devant eux : Encore leur fallait-il retrouver l'artisan… Et personne parmi les poussiéreux présent ne semblait savoir quoique ce soit à ce sujet. Personne ? Un peu plus loin, il aperçu Almarick qui semblait attendre.Or, il n'avait pas eu l'occasion de donner son avis à cette question. Fenrir se dirigea donc vers celui-ci en présentant le bout de tissu.

« Riemto Almarick, auriez vous une idée de ce à quoi cela aurait pu être arraché ? Peut-être auriez-vous une idée de qui contacter pour espérer en savoir plus ? »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Sukra 2 Otalir 1510 à 19h10

 
Carrément, m'exclamais-je pour la forme à un Fenrir qui était déjà passé à autre chose.

*** Il était bon, le Chevaucheur, il était même très bon. ***


Oh, et j'ajoute à cela que j'aimerais jeter un oeil à cette correspondance maintenant que Maître Gorn nous a expressément donné son consentement, demandais-je l'air de rien à Almarick.

*** Eh oui, j'allais passer une mauvaise nuit sinon, et ce serait dommage ! ***


-Oda Nobunaga-

 
Yanath Gorn

Le Dhiwara 3 Otalir 1510 à 00h19

 
*** Les deux enquêteurs sentent bien que la piste actuelle risque de débouler sur une impasse. Enquêter chez le fournisseur de la carte ou rechercher l’artisan qui a créé la tenue de l’agresseur du muet sont sans aucun doute des pistes potentielles mais elles ne pourront que très difficilement être menées durant la soirée ou au beau milieu de la nuit.

Toutefois cela ne décourage guère le chevaucheur et le muet qui multiplient les questions dans l’espoir de comprendre le fin mot de l’affaire.

Tout d’abord c’est au capitaine de la garde de fournir aux deux symbiosés quelques informations complémentaires. Durant leurs investigations, ses hommes ne se sont pas tournés les pousses et à l’ instant où Fenrir pose sa question, l’imposant nelda est justement en train de recevoir les rapports de ses sous officiers. ***


Riemto Fenrir, mes hommes ont passés la demeure au peigne fin. Nous avons trouvé le cadavre d’un de nos gardes dans les étages supérieurs, propre, tué de dos à ce qu’il semble. Mes hommes ont découverts qu’une fenêtre ouverte donnant sur les toits du palais. En explorant cette poste ils ont trouvé une corde tendue à l’aide d’un grappin entre le toit de la demeure et celle d’un palais avoisinant.

Ils ont vu une tuile tomber du toit d’en face alors qu’ils étaient eux même sur celui du palais à examiner les alentours. Ils n’ont vu personne mais on peut supposer qu’on l’a raté de peu et que du coup il n’a même pas eu le temps de retirer proprement le câble.

Bref il y a de fortes chances que notre ami soit passé par là. D’après le type de corde, un tydale ou un tchae mais surement pas un nelda.

La fenêtre n’a pas été forcée ce qui veut dire que si notre invité mystère a utilisé ce chemin à son arrivée, elle était déjà ouverte…

*** Almarick écoute également le rapport avec attention, l’intendant a l’air outré que quelqu’un ait pu troubler la soirée de l’oljad et ne cesse de marmonner les pires malédictions à l’intention du ou des intrus.

Il regarde le bout d’étoffe tendu par le chevaucheur un instant avant de répondre.
***

Honnêtement je ne sais pas ce dont il s’agit. Si vous voulez, je pourrai demain faire mander quelques tailleurs compétents en qui j’ai toute confiance pour qu’ils vous en disent plus mais pour l’instant je ne peux guère vous aider.

*** Puis se tournant vers Oda ***


Je vous en pris Muet, le semeur a donné son accord donc voici les documents en question.

*** Ce nouvel examen de l’enquêteur ne révèle de prime abord guère plus d’informations que le précédent mené par Fenrir. Les documents ne portent pas de traces de manipulations suspectes, et semblent être des correspondances entre l’oljad et divers marchands témoins concernant le commerce des denrées avec Lerth.

Toutefois, grâce à un examen plus approfondi, le tydale comprend mieux le type de problème qui se pose s’ils ont été parcourus. En effet, les lettres font mention à des lieux et des personnes précises ainsi que des caravanes qui l’on peut du coup suspecter de contrebande. En recoupant les dates, les personnes citées et les lieux, on doit pouvoir trouver qui est réellement à l’origine de tous ces courriers.

Le muet note d’ailleurs que les lettres sont assez précises ce qui semble démontrer que l’informateur est bien renseigné. Il note également que l’on parle beaucoup de Filihnn dans ces courriers et se demande du coup si la contrebande ne concernerait pas ce produit extrêmement couteux et particulier.

Dans la salle de bal la soirée est maintenant bien avancée et quelques convives commencent à prendre congés.

A coté de Tatsumasaf le fameux Tweek jette un regard de mépris en direction d’ Hirvane, mais semble accepter la proposition.
***

Mon cher je ne suis pas sur que me faire vomir dessus par cet individu va améliorer les perspectives bien sombres qui s’offrent à ma famille… En tout cas cela fait plaisir de vous revoir.

C’est un peu la panique depuis qu’on a quitté Zarlif et on se demande qui a survécu, qui est arrivé à Syrinth… Bref ce que deviennent les gens.


*** Les deux équilibriens approchent de Nyrndî, cette dernière hésitant toujours à répondre positivement à la supplique du pauvre apprenti, elle-même n’étant guère en parfait état.

Alors qu’ils s’apprêtent à le mener vers les toilettes les plus proches un serviteur se pose à leur hauteur, en tenant d’une main gênée une coupe d’une mixture étrange.
***

Humm excusez moi, un invité m’a prévenu… je viens d’aller quérir une potion qui devrait le remettre sur pied très rapidement même si le mal de tête s’annonce sévère.

*** Il tend alors la coupe en direction des trois symbiosés et de Tweek se demandant si Hirvane va accepter de se soigner ou continuer un esclandre qui commence vraiment à faire tache dans l’assemblée.

De son coté Ariadne interrompt une discussion visiblement fort désagréable. Juste avant d’intervenir elle entend l’usurier prononcer de façon extrêmement méprisante les paroles suivantes.
***

… si vous ne pouvez pas me payer avec des pierres il va falloir ouvrir les cuisses !!

*** C’est alors qu’elle intervient.

L’usurier regarde la soupir interloqué et un peu trop surpris pour répondre du tac ou tac… Il jette un coup d’œil inquiet en direction du semeur à sa mention et effectivement constate la présence renforcée des gardes.

Ne sachant pas trop comment gérer l’affaire, le désagréable individu semble vouloir adopter un repli stratégique.

S’adressant à l’artiste.
***

Je ne sais pas qui vous êtes mais cette affaire ne vous concerne pas jeune fille.

*** Puis se tournant vers la jeune femme au bord des larmes.
***

Bon, nous reparlerons de notre petit souci un peu plus tard… Après tout ce n’est pas comme si nous ne savions pas où nous retrouver.

Bonne fin de soirée.

*** L’individu salut alors rapidement d’un signe de tête et prend congés, laissant les deux femmes en tête à tête.
***

Sniff… merci de votre intervention… sniff je me nomme Liandra.


*** Au loin le semeur semble avoir été rejoint par la favorite et Kvethan. ***


 
Ariadne

Le Dhiwara 3 Otalir 1510 à 16h31

 
*** Alors que l'usurier s'adresse à elle la Soupire hausse les épaules. Elle l'observe s'éloigner et le perd rapidement du regard dans la foule. Elle se tourne alors vers la jeune tydale, un sourire compatissant sur ses lèvres. ***


Pas de quoi, Liandra.

*** La Soupire reste un instant silencieuse, laissant le temps à Liandra de reprendre ses esprits. Elle attrape au passage un verre de liqueur sur un plateau en argent tenu par un serveur. ***


Un petit remontant ?... fit -elle en lui tendant le verre.

Hey...

*** Une main sur l'épaule de Liandra, Ariadne cherche à capter le regard de la tydale. ***


Il y a toujours un moyen de se sortir de situations qui nous paraissent désespérées. Crois-moi, je suis passée par là moi aussi.. Surtout depuis la chute de Zarlif.
La première chose à faire c'est de partager son fardeaux. Avec moi par exemple ! J'ai tout mon temps.




 
Hirvane Tuek

Le Dhiwara 3 Otalir 1510 à 21h28

 
Le moment de vérité était arrivé. Entouré de bienfaiteurs et les lèvres à portée de la panacée, l'apprenti pouvait se saisir d'un aller simple pour l'absolution.

Sauf qu'il se méprit sur le contenu de la coupe. Ecoeuré à l'idée de boire la moindre goûte d'alcool, il roula sur le côté et fit silence. Tout était à refaire.


***
Quand soudain

Un miracle.
***


*** LE miracle. ***


***

ALLELUIA !

ALLELUIA !

GLORIA !

GLOOOOORIA !

CUM SANCTO SPIRITUUUU

IN GLORIA DEI MATRIS

AaaAAAaaaMEEEEN !



Un des Saints de l'équilibrium posa les yeux sur Hirvane.

Saint Raoul !

Tout ceci était très irréaliste et assez blasphématoire, bien sûr.

Mais Saint Raoul dit à Hirvane :

***


Lève-toi, et marche !

***
Sur ces très saintes paroles,

le miracle s'accomplit !
***


Refusant poliment la coupe, Hirvane se releva tranquillement. Il adressa un sourire plein au serviteur, tourna la tête successivement vers Tatsumasaf, Tweek et Nyrndî, leur fit signe que tout allait bien. Il se dirigea vers les toilettes avec un air béat, les rassurant une dernière fois.

Merci mes amis. Je n'oublierai pas.

*** Ecartant la foule avec douceur, il chemina sans craindre les tours ni les détours. ***

*** Il disparut dans les coulisses. ***


Que le miracle s'accomplisse !

*** Le miracle ? Mais c'est pas déjà... ***

***
AAAAAAAAAAAAAALLELUIA !

BEEEUUUAAAAAAAARG !

AAAAAAAAAAAAAALLELUIA !

BEEEEEEEEEEEEEEEUUUUARG REUUUUH !

ALLELUIA ! ALLELUIA !

REUUH PFT... PFT...
***


Les saints sacrement de la purge ont été donnés
ô Dame, accueille là-haut ton serviteur Raoul !


*** Un ange passe. ***


Hirvane sortit des toilettes la tête en vrac. Les purges corporelles n'étaient jamais efficaces à 100%. Il se souvint vaguement de l'appel du Muet. Il lui fallait donc monter les escaliers pour rejoindre le lieu de la mission. Que s'était-il passé au juste ?

*** En haut des escaliers, il héla le Muet clairement : ***

Oda, c'est Hirvane. J'arrive. Y s'passe quoi ?

 
Tatsumasaf

Le Luang 4 Otalir 1510 à 12h24

 
***
Tatsumasaf fut surpris lorsque l'esprit d'Hirvane s'éclaircit suffisamment pour qu'il se redresse et marche presque sans tituber... Enfin réussisse à marcher du moins... sans aide.
Bon d'un coté il apprécia parce qu'il ne risquais pas de se faire vomir dessus, mais d'un autre son esprit du carburer rapidement pour trouver comment parler discrètement à Tweek. Quelques secondes de réflexions plus tard qui pouvais s'interpréter comme le temps de réaction normal lié à la surprise il eu l'idée et s'adressa donc à Tweek :
***


« Bon il semble réussir à marcher seul aussi je ne vais pas insister pour le porter et risquer qu'il me vomisse dessus, mais on ferait peut être bien de le suivre au cas où il tombe et n'arrive pas à se relever. »


***
Aussi suivit il Hirvane avec tweek et le vit vomir. Au moins ne semblait il plus ivre après cela, et comme Hirvane partait on ne sais où Tatsumasaf se retrouva seul temporairement avec Tweek.
***


« Avant que l'on aille prévenir les serviteurs du nettoyage qu'ils vont avoir à faire, j'aimerais te parler de la véritable raison pour laquelle je souhaitais te parler. En fait je compte dépenser de l'argent pour aider les commerçant ayant tout perdu à Zarlif à se redresser. Ou plutôt certains.
J'ai pensé à toi.
Peut être as tu un projet que tu aimerais tenter ? Le budget que je compte consacrer s'élève à environ 150 hyalins dans un mois et peut être un peu plus si le résultat est prometteur mais nécessite un investissement supplémentaire.

Si tu n'a pas d'idée je peut probablement en trouver une qui soit adaptée à tes compétences.
»


hrp : si Tweek ne me suis pas j'éditerai le message.

Suivre sa voie en n'écoutant que son coeur.
La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement.

 
Fenrir

Le Julung 7 Otalir 1510 à 22h07

 
De nouveau indices avait fait leur apparition. Mais pourquoi diable le voleur persistait-il à tuer chaque personne qu'il rencontrait ? N'était-il pas pratiquement invisible avec le tissu dont il devait probablement se recouvrir ?

« De peu…
Pensez vous, riemto Miklaï que le garde puisse être celui ayant ouvert la fenêtre, conduisant malheureusement à sa mort ? Ou devons nous conclure qu'une personne est infiltré et lui aurait ouvert celle-ci ? Peut-être un oubli malheureux ?
Hum… Peut-être nous faudrait-il nous rendre sur place pour avoir une meilleur vue d'ensemble.
»


*** Se retournant vers Almarik. ***


« Cela serait le bienvenu riemto Almarik, nous aurons peut-être plus de chance avec plusieurs tailleurs. Sinon, avez vous eu le temps de vérifier que de cadeau que Nêrhe destinait à riemta Aziadee ? »


La question n'avez probablement rien à voir avec l'affaire, mais Fenrir trouvait qu'il serait dommage que Yanath Gorn de puisse offrir son cadeau. Aussi préférait-il se renseigner.

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Yanath Gorn

Le Vayang 8 Otalir 1510 à 18h34

 
*** La bonhommie et l’entrain du soupir a effectivement un effet apaisant sur la pauvre jeune femme. Assez rapidement, Ariadne constate que le flot de larme se tarit tout comme s’espacent les bruyants reniflements. ***


Merci… J’avoue que je suis venu ici un peu par désespoir n’étant pas trop à ma place. J’espérais, peut être, retrouver certains de mes amis de Zarlif qui pourraient m’aider mais hélas les quelques que j’ai croisé sont dans la même situation que moi…

Enfin si l’on fait abstraction de Proktor.

*** Ariadne, habituée des bas fonds de Zarlif, fait immédiatement le lien entre ce nom peu avenant et peu courant et un usurier de la pire espèce qui avait très sinistre réputation dans l’ancienne cité Equilibrienne.

On raconte qu’il forgea sa légende en infligeant des sévices inimaginables à un individu qui avait fait un jeu de mot douteux sur son nom. Il en garda un surnom évocateur dans la pègre de Zarlif puisque par la suite on le surnomma le proctologue…

La jeune Tydale reprend les yeux rougis et la mine désabusée.
***

Bref je ne vais pas vous ennuyer avec mes histoires mais disons que j’ai emprunté à la mauvaise personne et que cela aurait pu bien se passer si la ville et tout mon investissement n’avait pas été détruit…

Aujourd’hui je ne sais pas comment rembourser et il ne veut rien savoir… Forcément…

Mais vous devriez l’éviter, c’est un individu dangereux qui possède des connexions dans le beau monde, sa simple présence ce soir en atteste hélas.

*** De son coté, Tweek lève un œil soupçonneux en direction de Tatsumasaf… Il faut dire que ce n’est pas tout les jours qu’on vient le proposer comme cela de lui confier de l’argent.
***

Je vois…C’est fort généreux de ta part, surtout en cette … difficile période.

*** Pause et regard inquisiteur… ***


Mais toi, tu veux quoi en échange ?

*** Hirvane se dirige vers l’une des sorties de la salle tout en répondant à Oda. Mais alors qu’il avance, il se rend compte que les issues sont fortement gardées et surtout qu’à leur mine fort préoccupés, les gardes ne semblent guères motivés à le laisser passer.

Dans les étages l’enquête continue même si les indices sont extrêmement minces.

Alors qu’ils se dirigent vers la pièce par où s’est échappé le mystérieux visiteur, Mirkai tente de répondre aux interrogations du Nelda, ils sont accompagnés au moins d’Almarick et peut être de Oda s’il a décidé de les suivre.
***

Personnellement riemto, je ne crois pas à l’oubli… ce qu’il y a, c’est que le gars en question n’aurait pas du être de garde là haut, apparemment il a échangé sa place avec un autre type suite à une partie de dés. Franchement, si vous me demandez s’il était de mèche avec des salopards pour cambrioler la demeure du Semeur, je vous dirais non… J’ai que mon instinct, mais je ne vois pas ce garçon faire ça. Il croyait en sa mission et l’honneur de servir un Oljad j’en suis persuadé.

*** En chemin ils s’arrêtent devant une porte gardée par deux hommes. L’intendant fait signe aux hommes d’ouvrir et prend la parole.
***

Il s’agit des appartements de la favorite, c’est là qu’attend actuellement le cadeau du semeur, attendez moi je vais voir si tout est en ordre. J’ai fais placé deux gardes quand j’ai appris l’intrusion mais normalement le lieu n’est pas gardé.

*** Quelques instants plus tard il ressort en tenant une boite en bois précieux magnifiquement ouvragée. Il s’agit visiblement d’une boite mystère qui ne s’ouvre qu’en appliquant une pression bien précise sur plusieurs endroits en même temps.

Il révèle alors aux enquêteurs l’un des plus beaux colliers qu’ils aient jamais observés. Une pièce magnifique dont le prix doit peut être sans aucun doute dépassé les 600 pierres.
***

Comme vous le voyez il s’agit d’une pièce unique d’une extrême valeur, je peux comprendre qu’elle ait attirée l’attention de nos trois louffias même si nous avons tout fait pour être discret durant sa commande. Je peux vous assurer toutefois qu’il aurait fallu être sacrément bien informé pour le trouver.

Je suis bien conscient que la sécurité n’est pas optimale mais honnêtement entre cette soirée, le déménagement dans ce nouveau palais et toutes les affaires courantes, je n’ai guère eu le temps de faire mieux…

*** Le tchae a l’air véritablement anéanti d’avoir manqué à son devoir envers le semeur. Soit c’est un excellent acteur, soit il s’en veut vraiment énormément.

Il fait signe aux hommes de remettre en place l’objet et Mirkai reprend la tête du groupe en direction des étages.

Ils arrivent après quelques temps au dernier étage du palais qui lui aussi grouille maintenant de gardes, c’est par là que le crime a eu et l’intrusion ont eu lieu.

Les visiteurs peuvent constater que les lieux sont partiellement à l’abandon, l’étage se compose de nombreuses chambres et bureaux de tailles modestes réservé normalement au personnel mais visiblement il n’est pas occupé.

Quand il pénètre dans la pièce par laquelle semble s’être échappé l’individu, ils constatent que des draps recouvrent encore une partie des meubles.

Almarick reprend. ***


Comme vous le voyez nous n’occupions pas encore cette partie du palais. En fait, la répartition du personnel dans ces locaux devait être l’une de mes taches après la soirée.

*** Par la fenêtre, les investigateurs peuvent voir que l’on arrive sur une corniche qui se perd dans la végétation des arbres. A un endroit ils aperçoivent un carreau figé dans un immense tronc qui jouxte le bâtiment. Une corde de qualité en part et va se perdre dans le feuillage et la toiture d’une bâtisse à une 20aine de mètres de là.
***


 
Ariadne

Le Sukra 9 Otalir 1510 à 11h33

 
Oh je vois...

*** Douche froide pour la Soupir. Elle n'avait pas vraiment envie d'être mêlée aux histoires du sinistre proctologue. Pour le coup, elle commençait réellement à prendre en pitié la tydale. A tout hasard, elle demanda. ***


Et ton investissement... De quoi s'agissait-il ? et, on parle d'une dette de combien au juste ? Je ne connais pas tout ce beau monde, mais la symbiose aussi ouvre quelques portes intéressantes. Si je peux t'en faire profiter...

 
Tatsumasaf

Le Dhiwara 10 Otalir 1510 à 14h26

 
***
Tatsumasaf regarda 10 à 15 secondes Tweek avant de répondre, un temps qu'il estimais suffisant pour le mettre légèrement mal à l'aise en se demandant ce à quoi pensais Tatsumasaf mais pas trop.
***


« Tu me surprend à me poser cette question. Ai-je une réputation de ne rien faire sans y avoir mon intérêt ?
Cela dit c'est peut être bien le cas ici. Voit tu, avec la perte de Zarlif je perd un de mes arguments qui a souvent fait mouche auprès des commerçant. Leur dire que je n'était pas pressé et que j'allais aller à Zarlif voir si ils pouvaient me faire de meilleurs prix.
Si il n'y a plus de concurrence je vais y perdre sur le long terme et bien plus que 150 hyalins.

Certes t'aider ne suffira pas à relancer tout le monde, mais donnera de l'espoir à tout le monde dans le fait qu'ils peuvent trouver un mécène pour les aider.

Autrement dit je ne te demande rien en échange, je récupérerais ma mise indirectement et sur le long terme.
»


Suivre sa voie en n'écoutant que son coeur.
La liberté, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement.

 
Hirvane Tuek

Le Julung 14 Otalir 1510 à 00h30

 
Enfer ! Les braves gardes faisaient leur boulot et filtraient toutes les issues. Il fallait montrer patte blanche ! Hirvane sortit Klathu de son sac. Il le brandit devant eux en disant :

Messieurs si vous voulez parler au Muet de l'Equilibrium qui est en train d'enquêter là-haut, vous z'avez qu'à demander à mon mou.

Klathu dit :
C'est moi.


Je m'appelle Hirvane Tuek, je suis l'apprenti chevaucheur de nêrhe Fenrir. Ils ont besoin de moi à l'étage pour les assister dans leurs investigations.

*** Il secoua un peu Klathu. ***


La Dame m'en est témoin, j'ai dû dessaouler par purge corporelle pour répondre à l'appel télépathique du Muet.

Klathu dit :
Mais comment il a fait ?


Qui ?

Klathu dit :
Le Muet. Comment il a fait pour te parler ?


Comment ça ? Oh pu... c'est nul ça Klathu.

Klathu dit :
Hi hi


*** Hirvane croisa ses bras sur le torse. Il était sérieux. ***

Je veux bien attendre ici le temps que vous vérifiez mon identité mais tardez pas trop... si vous voulez mon avis.

 
Oda Nobunaga

Le Julung 14 Otalir 1510 à 08h17

 
Un bijoux d'une extrême valeur maintenant...

Bon, on va pas se prendre le choux Almarick, souris-je au Tchaë qui était visiblement peiné, on va coincer celui qui a fait ça, ça fait ni une ni deux.

Si vous voulez mon avis
, repris-je en naviguant dans la salle, et en affectant tout particulièrement d'examiner la fenêtre, ce collier c'est tout au plus ce que nos trois gogos étaient venus trouver. Et encore, si vous me dites que le tuyau est dur à dégoter... en revanche les documents cachés, j'ai dans l'idée que c'est ça, la raison principale de notre fuyard.

Oui, cette correspondance m'obsédait.
En sus de toutes les informations qu'elle contenait, notamment sur la nature du trafic, qui ferait entrer en dépression n'importe quel Témoin, soit dit en passant, et devait s'estimer à un sacré montant, il devait forcément y avoir le nom de l'émetteur. Sa sécurité était en effet compromise, mais ce n'était bien entendu pas cela qui m’intéressait.


Je suis prêt à parier que ce qui a tué votre homme a exactement la même forme que ce que je me suis pris dans le ventre. Et ça[/langue], fis-je en indiquant la corde tendue qui fusait vers la maison plus loin, c'est soit le point d'entrée de notre pro, soit son moyen de s'être tiré.

Cette baraque, là-bas, celle où est reliée la corde, elle ne fait pas partie des dépendance du Palais, si ? Si elle sort du périmètre, alors il faudrait p't'être songer à aller y jeter un oeil. Avec un peu de chance, on trouvera des pistes.

Je vais voir ce que fait Hirvane, et je vous rejoins.


*** Comme un tic, j'avais mis à profit le chemin pour redescendre pour examiner derechef les documents. Elle était truffée d'indice, c'était évident ! Le point positif, c'était que notre intrus ne devait pas avoir eu le temps de tout comprendre. ***


Il est de la maison, relax, fis-je en apercevant la scène qui mettait notre Hirvane aux prises avec deux gardes bien décidés à lui barrer le chemin.

-Oda Nobunaga-

 
Nola Kesil

Le Julung 14 Otalir 1510 à 16h57

 
Du côté de la favorite donc, Nola s'est positionnée à côté de Kvethan, la plupart des symbiosés étant désormais disséminés. Après s'être foutue de l'état du pauvre Hirvane, Nola a le sourire aux lèvres, cette soirée lui plaît beaucoup.

A son tour de discuter avec la favorite et de lui remettre son cadeau. Nonmého !


Un chineur sachant chiner doit savoir chiner sans rechigner !
Ce que j'ai en stock

 
Fenrir

Le Julung 14 Otalir 1510 à 23h23

 
Fenrir avait regardé le bijou d'un œil signifiant clairement qu'il ne comprenait pas comment cette chose pouvait avoir un tel prix. À ces yeux, cela ne méritait pas une telle valeur du . Néanmoins celui-ci s'abstient de tout commentaire.

Le Chevaucheur écouta ensuite l'analyse du Muet, analyse avec laquelle il était plutôt d'accord, ce qu'il lui signifia par quelques hochement de tête. Cependant, la dernière phrase de Oda interpella le Nelda. Mais avant que celui-ci puisse ouvrir la bouche, le Tydale était déjà parti.

Que pouvait bien vouloir Oda à Hirvane ? Fenrir avait bien pensé à demander à celui-ci de les accompagner, mais Loki lui avait révélé que celui-ci était bien trop occupé à boire de l'alcool. Se pouvait-il que le Muet eusse la même idée ? Le Chevaucheur secoua la tête. Cela lui semblait trop improbable. Probablement s'agissait-il là d'un tout autre sujet.

Finalement, Fenrir se tourna vers Mirkai et Almarik.


« Je suppose qu'il voulait dire : qu'il nous rejoindrait au niveau de l'autre bâtiment. Je suppose également que nous éviterons d'emprunter la même voie que notre criminel… Quoiqu'il en soit, je vous suis. »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Yanath Gorn

Le Vayang 15 Otalir 1510 à 00h27

 
Dans la salle du bal les festivités continuent. Certains convives passablement éméchés commencent à prendre congé. Ce n’est toutefois pas la grande majorité qui continue à profiter d’une bien agréable soirée.

C’est ainsi que Ariadne continue sa discussion avec l’infortunée Tydale.

J’avais ouvert une bijouterie, ma famille possédait des fonds important que j’aie investi dans l’affaire. Le proct.. heu Proktor m’a fourni les 150 pierres qui me manquaient.

Dans l’absolu c’est une somme importante mais guère monstrueuse le problème est qu’actuellement je n’ai guère de métier stable à Syrinth et qu’il me faudra au train où vont les choses une demi année pour réunir la somme. Vu qu’il a décidé de faire passer les intérêts à 20% par mois je n’arriverai jamais à rembourser…

La voix de la jeune fille se met à nouveau à trembler…

Il m’a bien proposé un moyen de limiter stabiliser les intérêts m…mais…

La jeune femme se remet à sangloter. Il lui faut quelques secondes pour arriver à stopper cette nouvelle crise. Elle sort alors de sa robe un joli mouchoir en dentelle avec lequel elle se mouche extrêmement bruyamment.

Vous qui semblez avoir vos entrées ici, vous seriez m’aider à trouver un emploi et un moyen de me protéger moi et ma famille le temps que je réunisse la somme ?

Tout comme Ariadne, Tatsumasaf en mission pour réaliser une bonne action est en pleine discussion.

Il peut voir Tweek garde toujours un air méfiant mais ce dernier semble toutefois suffisamment intéressé pour continuer la discussion.


Ma foi Riemto si c’est là votre désir ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Il se pourrait effectivement que j’ai besoin de fonds pour réaliser un placement osé sur le marché des matières premières.

Continuant sur un ton plus discret.

Disons que j’ai un certain sens pour les tendances et que je pense pouvoir faire sans trop me tromper une très belle culbute.
Cela vous dirait il de vous joindre à nous dans l’investissement ?


De son coté, Hirvane se retrouve face à deux gardes qui ne semblent guère enclins à faire preuve de souplesse. Pire ils pourraient bien être motivés à faire du zèle pour éviter de se prendre la bourrasque qui ne va pas tarder à souffler quand leur capitaine les réunira tous à la fin de la soirée.

La seule chose qu’il aura donc réussi à obtenir est un :


Bougez- pas, on va se renseigner…

Depuis il poirote et attendant que le garde qui est parti revienne.

C’est à ce moment là qu’un Oda fort dépité arrive en bas. En effet, alors qu’il retourne dans le bureau pour réexaminer les documents, il se rappelle qu’Almarick les a récupérés après sa précédente investigation et les a conservé sur lui.
Les gardes hésitent un instant mais ils semblent avoir été prévenu de l’identité du symbiosé et s’écartent donc sans poser plus de questions.


A l’étage Fenrir se discute avec le capitaine de la garde et l’intendant du Semeur.

Ben en fait Riemto, j’ai envoyé des hommes demander l’autorisation de se rendre sur le toit du palais en question. Le problème est que le palais en question appartient à au mestre de l’ordre, ce qui m’oblige à demander des autorisations. En plus sa demeure est mitoyenne d’un paquet d’autres bâtisses sur lesquelles notre monte en l’air a pu se faire la belle donc j’avoue que je suis pessimiste. Nous devrions avoir des nouvelles d’ici peu. D’ici là nous continuons à fouiller les étages pour nous assurer que nous n’avons rien raté.


Vous pouvez juste lire ce sujet...