Les Mémoires de Syfaria
La région d'Utrynia

Déménagement...

... en masse.
Page [1] [2] [3]
Détails
Sujet lancé par Nemès
Le 26-08-1510 à 03h55
51 messages postés
Dernier message
Posté par Nemès,
Le 14-09-1510 à 18h27
Voir
 
Aënola Erfuinn

Le Julung 9 Saptawarar 1510 à 17h24

 
*** La Carias de l'Art accompagna sa bibliothécaire préférée jusqu'aux portes de la ville.

Les Miettes du Tableau d'Utrynia rejoindraient celle, plus importante, de Kryg dans quelques jours.

Aënola essaya de lui remonter le moral. ***


Tu vas adorer les Miettes du Tableau de Kryg! Et Esmelthée t'aidera a tout classer, vous ferez une belle équipe toutes les deux!

*** .Puis elle ajouta, discrètement. ***


La meilleure pâtisserie de la ville se trouve juste en face...Vas-y de ma part!

*** Elle lui fit un clin d'œil puis donna une légère tape a l'arrière train du cheval qui partit, doucement, emportant ouvrages et parchemins soigneusement emballés et empilés dans de grands charriots.

Assise avec sa fille sur la caisse des registres s'en allait la dernière gardienne des Miettes d'Utrynia... ***




 
Nemès

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 01h02

 
***
La route entre Utrynia avait toujours été très sûre, mais il fallait bien reconnaître qu'avec un convoi de quelques milliers de tydales même les petites créatures qui avaient l'habitude de zoner à proximité de la route avaient préféré se faire la malle...

Les murs de Meliasol furent donc rapidement en vue, et Nemès ordonna l'arrêt et le regroupement du convoi.
***


- On s'arrête ici pour la nuit, qu'on monte le bivouac pour la nuit aux pieds des murailles! dit-elle en s'adressant à la foule.
Que chacune en profite pour bien se reposer, la route est encore longue. Je veux aussi qu'avant ce soir celles qui souhaitent rester à Meliasol se présentent à moi. Si demain matin au moment de partir je n'ai pas une liste de 300 - 350 liadha's et mish's qui souhaitent rester ici, j'en désignerai d'office.


*** Elle fit ensuite signe aux gradées de l'escorte de la rejoindre. ***


- Nous allons laisser une garde permanente ici. Je pense à dix miliciennes, dix Némésis, et environ quarante Lames. Parlez à vos troupes, choisissez en priorité celles qui ont des proches dans le village. Organisez des tours de gardes, ce n'est pas le moment qu'on se laisse surprendre pas nos ennemis. Envoyez aussi des éclaireuses autour du village pour vérifier les alentours avant la nuit.

***
Une fois les ordres donnés, la Faucheuse alla s'installer à l'Est de la cité, un peu à l'écart, pour souffler un coup. Même s'il n'y avait eu aucun danger pour l'instant, la tension de la surveillance constante durant le trajet avait tout de même engendré son quota de fatigue... Il avait fallu endurer les pitreries de Salash, les hurlement de Beurdin, et diverses distractions plus ou moins lourdes nerveusement.
Il allait falloir maintenir une sécurité infaillible jusqu'au bout de trajet...
***




 
Pentar

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 01h42

 
Dans l'obscurité, une silhouette nonchalante émergea des alentours sauvages.
Visiblement armée, mais non agressive. Nemès put vite reconnaître sa Coupeuse de Vie.
Elle sifflotait un air gai malgré son accoutrement et son allure toujours aussi catastrophiques.
Blessures plus ou moins fraiches, armure en miettes, épée bien esquintée, du sang un peu partout.
De tout ça, comme à son habitude, la Déclinante se souciait peu.
Elle s'en souciait, mais comme d'une guigne.
Ou comme de sa vie. Guigne aussi.

Hajar, chef ! Scusez pour ces derniers temps, j'avais la tête dans la mouscaille.
Puis savez, rien de mieux que les grands espaces pour se libérer.
L'infinité de ce putain de ciel, la nature violente et impitoyable...
Et trancher des trucs à tout bout de champ.
Se retrouver avec soi-même.
Lâcher le monstre.

Je devais l'faire. Mais chuis là.
Besoin d'aide ?


Un peu plus loquace que d'habitude, Pentar semblait joyeuse.
De cette joie sanguinaire et dépravée qui lui était propre.
Le rictus, l'oeil brillant, la crasse immonde.

Elle avait tout d'une sauvage échevelée.
Ce qu'elle était probablement.

Puis elle balada son regard au loin, vers le village et la population.
Sans qu'elle n'en dise rien, quelque chose la dégoûtait.
Les gens et la civilisation n'avaient jamais été son truc.
Mais elle restait tout de même matriarcale...

Même dans son sale caractère, il y avait de la place pour le devoir.
Tout ça c'était aussi sa faction, sa famille, sa philosophie.
Elle cracha un glaviot rougeoyant par terre.

C'est moche.

Silence. Seul commentaire qu'elle lâcherait.
Après tout, le Déclin était aussi ce qu'il était.
Ainsi allaient les choses...

Et vous, ça va ?


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Lot'hi

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 11h35

 
La Carias du Fatalisme, jusqu'à présent souvent basée à Utrynia, faisait également partie du convoi. Montée sur un tawhak, elle passait le plus clair de ces journées de marche à aller et venir le long de la colonne, relayant ou déléguant parfois des instructions ou des ordres auprès des Faucheuses, Semeuses et Nemesis non symbiosées.
Certaines semblaient parfois, tout comme leurs soeurs qu'elles escortaient, dépassées par l'ampleur de l'évènement, mais de façon générale leur escorte était à la fois assurée... et rassurante.

Au soir de ce quatrième jour, elle rejoignit avec les Faucheuses non symbiosée la tête de la marche au pied des palissades de Méliasol, et après que Nemès eut donné ses instructions, elle lui dit d'une voix étonnamment douce :


Kryg pourra accueillir toutes celles qui veulent y entamer une nouvelle vie, liadha, elle est bien assez grande pour cela. Peut-être plus facilement que nos villages d'ailleurs.
Il n'est donc pas nécessaire de répartir de force nos soeurs dans ces derniers : beaucoup sont déjà bien assez ébranlées par le fait de tout laisser derrière elles.


Elle hocha la tête, avant de s'éloigner vers l'un des campements qui se dressaient le long de la colonne.

 
Séoane

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 19h06

 

Et tu as une épée alors ?
...

Et tu t'en zers souvent ?
...

Parce que maman dit que z'est dangereux. Qu'on peut ze couper avec. Tu t'es coupée déjà ?
...

Moi un jour je me suis coupée le genou. z'était avec une feuille. J'ai pas pleuré, hein ! Mais ça m'a fait mal. Tu as mal toi ?
...

***
Rien n'est plus morne et ennuyeux qu'une escorte de convoi. C'était là le point de vue d'une Semeuse de Mort à l'agoraphobie plus légère que par le passé mais tout de même toujours présente.
Séoane escortait, en prenant quelques distance, en furetant parci par là. Mais du coup, cela lui donnait un air mystérieux aux yeux des observateurs plus petits qu'elle par la taille. Et elle devait subir ainsi très régulièrement l'assaut d'enfants poussé par la curiosité et oublieux du danger et des consignes.

Le bivouac fut le bienvenu. La Cariatide du Fatalisme tint de petites réunions d'information et de préparation. L'une d'elle occupait la Carias elle même et son état major. Séoane s'y invita, pressée de laisser derrière elle les mômes et leurs questions débiles.
***

Les villages ne risquent aucune corruption, non ? Pourquoi risquer un nouveau déménagement ? Enfin, c'est peut être plus facile à nourrir, je sais pas.
Disons que toutes se demandent si le déménagement est définitif ou temporaire.
C'est pas pareil pour s'organiser.
C'est pas pareil non plus pour le moral.

Enfin, moi je m'en moque. Je dis pour les autres.



Semblez être la fleur innocente, mais soyez le serpent qu'elle dissimule. (Macbeth)

 
Nemès

Le Sukra 11 Saptawarar 1510 à 01h30

 
*** Nemès haussa un sourcil à la remarque de la Carias. Il avait initialement été prévu qu'une partie de la population reste dans les villages... ***


- Comme vous voudrez. répondit-elle avec une inclinaison du buste avant de répercuter l'ordre à la population.

***
Celles qui voulaient rester à Meliasol le pourraient, mais on n'obligerait personne à ne pas venir à Kryg.
Sur ces entrefaits, Pentar fit son apparition... Une apparition qui avait quelque chose de nauséabond... malgré l'état de sa Coupeuse, un petit sourire releva la commissure de ses lèvres : elle était malgré tout heureuse de revoir sa Bouchère préférée.
***


- Ben écoute ca va pas trop mal, si on considère la situation dramatique dans laquelle on est... Si t'es prête à reprendre du service, je t'embarque pour Arameth après qu'on ait fini d'escorter tout ce beau monde à Kryg : parait que c'est la prochaine cible du Tark'Nal...

***
La soirée puis la nuit s'écoulèrent sans trop de problèmes.
Au petit matin, ce fut toujours dans une ambiance morose que le bivouac fut replié. La joie ne reviendrait pas sur les visages. Pas avant longtemps en tout cas...

Après avoir fait un rapide "inventaire" des différents chariots du convoi et de leurs passagères, une dernière collation, l'heure de se remettre en route était venue.
***




 
Pentar

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 20h59

 
Le convoi avait lentement repris son chemin.
Exode nécessaire vers la Citadelle, perchée dans les nuages.
Passer du climat plaisant d'Utrynia à celui rigoureux de Kryg allait être difficile.
Nombre de ces gens était habitué à vivre sous d'heureuses latitudes.
Cela allait changer. En hiver, Kryg pouvait être un calvaire.

Pentar, tout en escortant les lignes, rouspétait en silence.
Son oreille traînait afin d'entendre le contenu des conversations.
Dans le même temps, son regard, quoique vigilant, se perdait dans l'horizon.
Les odeurs, saveurs et couleurs de l'automne naissant lui plaisaient.
Non pas pour leur aspect poétique, qui lui échappait.

Plutôt pour ce que ça lui inspirait.

La décomposition, le déclin, la lente mort des choses.
Une forme de violence plus atroce que la brutalité bestiale qui détruit.
Cela avait son charme et sa force. Elle y puisait quelque chose.

Elle détacha un bout de tripes qui pendouillait sur son armure et soupira.
Elle faisait nonchalamment tournoyer ce qui lui servait de lame.
Et elle protégeait ce qui devait l'être, comme une louve.
De ces vieilles louves sales et brisées.

Du sang au coin des babines.
Et l'écume de la folie jamais loin.



Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Linvala Kirel

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 21h12

 
***
Le bruit des centaines de personnes et du déplacement de ceux-ci m’était difficilement supportable à l’avant du convoi. Je n’avais jamais vu autant de personnes. Toute différente de visage et de corpulence, elles marchaient avec leurs bagages plus ou moins important sans s’arrêter dans un brouhaha inimaginable. Plus les images du convoi m’arrivaient plus j’espérais que Kryg soit suffisamment grande pour tout accueillir. Bien évidemment je me doutais bien que les précautions avaient été prises à l’avance pour éviter ce genre de soucis ce qui ne faisait qu’attiser davantage ma curiosité quand à la vue de cette citée si joliment décrite par Khamaat il y avait quelques jours.
Tout ce passait relativement bien… jusqu’à ce cri. Un cri de tydale male signalant des monstres à proximité. Je sentis mon corps se raidir et ma main s’agripper au pommeau de mon épée. Il y avait soudain beaucoup plus de déplacement autour de moi, elles intervenaient, je restais figée. ***


Cody montre moi... Montre moi !!

***
Des images de la scène m’arrivèrent alors, et je me déplaçais. Je trébuchais dans mon élan et sentis mes mains heurter l’herbe de la plaine. Ce n’était rien, ce n’étais rien, j’avais toujours mon épée. Je demandais toujours plus d’image, je voulais voir, je voulais défendre. De nouveau sur mes jambes je couru une nouvelle fois sur le lieu de l’affrontement, faillis trébucher une nouvelle fois mais évita la chute. Une sphère noirâtre trainait sur le sol visiblement très mal en point. Je n’étais pas la première à arriver et la vie de cette chose ne tenait déjà plus qu’à un fil. Je pouvais l’achever, c’était largement à ma portée. En situation de combat, Cody savait qu’il n’avait pas le droit à l’erreur, il devait rester concentré et envoyer le maximum d’information. Je mis en œuvre ce que j’avais répétée pendant le début de ma symbiose, je me déplaçais derrière le monstre avec peu d’aisance certes mais les autres sens en alerte, et transperça son corps rond de la totalité de mon épée.

Tout ce passa une nouvelle fois très vite, j’eu à peine le temps de récupérer le petit cristal que j’avais entendu tomber qu’un nouveau monstre fut signalé. Ou était Nemès ?
***

dit :
Vous êtes plusieurs aller fonce.


***
Le visage d’Aliana m’apparut devant moi et je repartis aussitôt vers cette nouvelle menace avec autant de difficulté que précédemment. Cette fois la menace était bipède et portait une arme, un Arkonien. Je débutais ce nouveau combat avec une certaine appréhension mais il s’avéra rapidement que la créature en question était beaucoup moins agile que ce que je n’avais redoutée.

***



 
Beurdin

Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510 à 23h26

 
Après ses bains et petites balades dans le village pour changer la roue de sa brouette et la graisser un peu, Beurdin prend le parti d'aller voir comment ça se passe en dehors du village. Et dans ce monde sauvage, les monstres pervertis grouillent.

Il en aperçoit un pas très loin du convoi et tente de se lancer un sort, appris à la dernière minute avant la fermeture de la bibliothèque d'Utrynia. Bon, réussi au deuxième coup c'est pas trop mal non ? Une brume l'enveloppe et son contour paraît plus flou. Il se sent fort, ou plutôt il se sent savonnette. Au loin il voit un truc bouger et s'approche. La bête, féroce, terrifiante, démesurée, effrayante, l'attaque et le frappe !


Un monstre ! Mettez les Anja's à l'abri !! A moi les Lames, à moi !

Se sentant héroïque il reste près des lames, les encourage et leur donne des conseils avertis. Frapper pour tuer, bouger pour esquiver, danser pour avoir du style, les bases qu'il ne faut pas oublier quoi. Cette chose immense terrassée il s'en va féliciter l'assassine victorieuse - Linvala Kirel.

Du grand art, du grand art !

Et il aperçoit une autre créature...

Un autre là à l'Est, à l'attaque !

Allez l'attaquer au corps à corps, attention à ne pas vous faire frapper, mais vous frappez-le pour le tuer. Que des instructions utiles pour ne pas surcharger les pensées des bourrines.

C'était assez excitant hein ? Qu'il balance à Pentar, la seconde assassine talentueuse.

L'espace est à nouveau dégagé, et le Beurdin est fier d'avoir servi le Matriarcat. Il le note vite avant d'oublier, ces écrits rendront ses nombreux enfants fiers de leur papa.

Citation :
Le Dhiwara 12 Saptawarar 1510,

Un peuple tout entier fuyait devant la terreur du Tark'nal. Cette bête ignoble tuerait tout sur son passage, anja's et enfants. C'est ainsi que les instances dirigeantes du Matriarcat, éclairées et averties, firent le choix de l'Exode. Les habitantes d'Utrynia iraient rejoindre celles de Kryg dans leur forteresse. Ce bastion imprenable qui ne tremblerait jamais et ne cesserait de défier la perversion par sa seule majesté.

Un convoi était en chemin, trop vulnérable en l'état il était escorté par les plus fines lames du Matriarcat. Celles-là comptaient en leurs rangs de nombreux fameux noms qui survivraient au Déclin.
Nous aurions pu citer la courageuse Linvala Kirel. Nombre de légendes couraient sur son compte, les plus folles et ainsi les plus vraisemblables, prétendaient qu'elle aurait perdu la vue pour avoir craché sur le P'khenS'sarkh avant de parvenir à lui échapper. Depuis elle ne voyait plus, non elle ressentait. Elle ressentait son environnement et pouvait dans la plus grande obscurité trancher votre chair sans que vous ne l'entendiez arriver... Si elle ne trébuchait pas en cours de route. En ce glorieux jour pour le Matriarcat, sa victoire incontestable sur la chose noirâtre était tout simplement magnifique. D'un coup d'un seul elle mit un terme à son agonie après que d'autres de ses soeurs l'aient fatalement saigné.
Si brave qu'elle était, Linvala Kirel ne pouvait vaincre les terribles deux créatures qui s'attaquaient au convoi de milliers de tydales. Une autre figure des Lames du Matriarcat fit son entrée ; Pentar ou celle qui faisait dans le sonore et le dégueulasse. Sa supposée lame tranchait si bien chaque veine et artère que l'armure de la guerrière était constamment d'ocre. La créature démembrée ce jour-là avait dans un dernier espoir jeté ses tripes sur Pentar, mais celle-ci loin d'être impressionnée, les avait renvoyées au sol d'un revers de main.

Non, les habitantes d'Utrynia n'avaient pas à craindre car elles étaient bien protégées. Et que dire pour finir ce récit, si ce n'est citer le nom du stratège qui avait su repérer l'attaque ennemie avant tout le monde et mettre en oeuvre une stratégie sans faille ?

Je soussigné, Beurdin, pour la mémoire du Tableau


Genever dit :
Tu l'afficheras dans la BeurdinBisse !



 
Pentar

Le Luang 13 Saptawarar 1510 à 02h13

 
Pentar regarda l'Arkonien agoniser dans son sang.
Et lui fila un violent coup de latte dans le crane, lui explosant la tronche.
Le combat ne lui avait même pas donner satisfaction.
Dans le genre adrénaline, y avait mieux.

Les quelques giclées de sang dans le coin ne réveillaient même pas ses instincts.
Elle observa du coin de l'oeil l'excité de service qui les avait prévenu.
Beurdin. Elle l'avait déjà vu quelque part, il lui semblait.

Excitant ? Pas vraiment.
Les Arkoniens sont des mauviettes malades.
Un Akrotykar d'agonie, ça, mon vieux, ça te retourne les attignoles.
Au sens impropre et au sens figuré.

Un truc brillant sur le cadavre attira son attention.
Elle le ramassa et, narquoise, lança le cristal au Manüsh.

Tiens, tu l'as bien mérité.
Ca relancera peut-être ton commerce à Kryg.


Clin d'oeil et la Coupeuse s'éloigna.
Il y avait encore du chemin à faire.
Et il fallait rester vigilante.


Ferme ton clapet, béjaune, de toute façon tu vas bientôt pourrir. Et en silence.

 
Nemès

Le Matal 14 Saptawarar 1510 à 18h27

 
***
Bientôt les montagnes de Kryg seraient en vue. Ainsi que l'Akrotykar dont la présence avait été rapportée par les éclaireuses...
***


(suite du RP)



Page [1] [2] [3]
Vous pouvez juste lire ce sujet...