Les Mémoires de Syfaria
La Région de Farnya

Les girasols fantôme

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Sujet lancé par Bazoul kus
Le 07-09-1510 à 17h34
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Posté par Lowfyr Dalmary,
Le 10-09-1510 à 16h32
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Bazoul kus

Le Matal 7 Saptawarar 1510 à 17h34

 
Bazoul kus dort comme à son habitude dans son abri de fortune qu'il a installé devant la porte est de farnya.
Le soleil se lève et la lumière du jours arrête son sommeil comme chaque jours.
Le feu n'est pas encore éteint, il ajoute quelques buches.
Il regarde ses provisions. Il ne lui reste pas grand chose.
Quel chance, un marchand pousse sa charrette vers le marché.

Hé ! Venez pas là!

Qu'est ce que tu me veux. Je n'ai pas le temps, si je ne me dépèche pas je vais avoir une place pourri.


Bazoul montre sa bourse
Si tu n'arrête pas de ronchonner, tu va perdre l'occasion de commencer à vendre avant tout le monde.

Le marchand fini par approcher sa charrette et bazoul choisit ce dont il avait besoins

Ca fait dix huit pierres.

Bazoul ouvre sa bourse

Oh, mais! Elle était plus pleine que ça! Mais je les ai fait tomber ou?


Bazoul commence à chercher

Hé, je n'ai pas l'éternité devant moi. Paye ou rend moi tout que je part vite au marché.


Bazoul paye vite fait. Ensuite il se met à compter ses pierres.

koura dit :

Tu as du te tromper!


Non, je les ai compter pour payer sïma et là il en manque

koura dit :
Tu les a fait tomber pendant que tu dort.


Bazoul passa du temps à fouiller le campement. Rien.

Il n y avait personne. Il n y avait personne.
Si quelqu'un aurait passé par là il l'aurait vu.

Crac

Un bruit. Un fin bruit.
Un bruit qui vient du côté des montagnes au sud.
Mais les oreilles du vieux voyageur ont détecté ce petit bruit.
Il s'approche du rocher et crie

Si tu ne me rend pas les pierres volé, je vais vraiment me facher et tu n'aimera pas ça?

Le jeune pensant que son camouflage peut le permettre de se cacher tente de fuir

Bazoul s'énerve et lance au voyou un petit sort qui le blesse légèrement

Un petit avertissement doux avant que je m'énerve.
Rend moi tout ce que tu as voler.




 
Bjorn

Le Matal 7 Saptawarar 1510 à 23h59

 
*** Après un séjour assez tumultueux à la taverne, Bjorn se dirigea vers la sortie de la ville, pensant qu'un bon bol d'air frais l'aiderait à faire passer le mal de tête et les nausées dont il souffrait.

Après une sieste réparatrice au pied des montagnes qui bordent la ville, Bjorn se réveilla et décida de profiter du beau temps pour pratiquer son entraînement quotidien. Il commença à essayer de se camoufler, et à se maintenir invisible tout en se déplaçant. Malgré ses tentatives répétées, il demeurait un débutant dans cette discipline.

Puis au beau milieu d'une de ses vaines tentatives, il fut interrompu par un tchaë visiblement assez remonté, qui beugla quelque chose à propose de pierres volées. Bjorn n'ayant rien à voir avec cette histoire reprit son entraînement et commença à s'éloigner de son interlocuteur persuadé qu'il s'était adressé à quelqu'un d'autre.

Mais le tchaë n'en resta pas là et commença à menacer Bjorn, qui finalement se retourna en grommelant : ***


Mais qu'est ce qu'il me veut celui là ?


*** A peine avait il finit sa phrase qu'il fut frappé de plein fouet par un sortilège. Bjorn fou de rage se jeta droit sur son agresseur, l'agrippa au col et le fixa longuement. Quelques secondes s'écoulèrent sans que rien ne se produisit, puis Bjorn qui avait repris un peu de son sang froid lâcha prise et s'excusa avant de répondre poliment : ***


Désolé, mais je ne vous ai rien volé messire. Je ne saurais même pas dérober ma propre bourse.

*** Le tchaë n'avait l'air ni convaincu, ni satisfait de la réponse de Bjorn mais c'était tout ce que celui ci avait à lui offrir. ***


 
Bazoul kus

Le Merakih 8 Saptawarar 1510 à 00h38

 
Le tchaë semble s'énerver.


Écoutes moi petite fripouille.
Ne penses m'intimider ou m'entuber.
J'ai perdu des choses et tu es le seul dans le coin.
Si tu penses vraiment me fâcher, je te lancerai des sorts jusqu'à ce que ta dépouille et ce que tu m'as volé partiront vers le pilier.



Bazoul fait chauffer encore un petit sort qui frappe de plein fouet bjorn


Je suis coincé devant la ville.
Je suis d'une humeur massacrante.
C'est le deuxième et dernier avertissement.
A la prochaine attaque je ne m'arrêterai pas avant ta mort.
Ne me contraries pas plus. En ce moment je ne suis pas d'humeur du tout.
En plus de te tuer, je ne commercerait pas avec toi et n'importe qui commercera avec toi n'aura plus accès ni à mes bijoux ni aux ressources étrangères.



Le tchaë semble vraiment être en colère et pas du tout d'humeur à discuter ou à négocier.

 
Lowfyr Dalmary

Le Merakih 8 Saptawarar 1510 à 09h23

 
Lowfyr arriva sur les lieux par hasard. Il avait besoin de pierre pour ses fabrications, et le chti-Bazoul était le seul à pouvoir aller lui en chercher. Celui-ci était toujours interdit de séjour à Farnya, pour des raison que le casqué n’avait pas encore bien comprit, et il faut l’avouer, n’avait pas cherché à savoir.

Lorsqu’il s’approcha, il entendit la conversation. Voilà qui allait mettre de l’ambiance. Il s’approcha discrètement, alors que les deux Tchaë se disputait, puis planta la pointe de son fusil sur la tête de Bjorn.


Bon, toi tu bouge pas, sinon passage par le piller, mon mousquet n’aura aucun mal à te décapiter sur place.

Puis il regarda Bazoul.

Frère, arrêter votre vendetta personnel. Vous n’avez aucune autorité pour frapper un frère, même si vous avez de bonne raison.

Le casqué regarda Bjorn, et lui souffla un peu de fumée de cigarette à la figure.

Alors, j’entend que l’on nie ses actes. Moi j’te conseil un truc, tu rend c’que tu a volé à notre prolo, et nous oublions cette affaire. Si tu continue à nier, alors ça montra plus haut mais sache que la fraternité n’a aucune tolérance envers les voleurs.

A toi de voir ce que tu veux faire de ton futur …


Le casqué continua d’appuier le canon de son mousquet sur la tête de Bjorn de la main droite, et prit un pistolet dans sa main gauche, au cas ou le sapeur voudrai le tourner en bourrique.

Lowfyr Dalmary, Détective privé et tête brulée de Farnya.

« Celui qui pisse contre le vent ne doit pas s’étonner d’avoir les bottes sales » Vieux proverbe Tchaë.

 
Bazoul kus

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 11h41

 
Bnjorn ne réagit ni aux paroles de bazoul ni à celles de Lowfyr Dalmary.
Bazoul invoque son son sort et le pointe vers bjorn, il est temps de mettre la menace à exécution.

Au dernier moment il se ravise.

Il dit alors à Lowfyr Dalmary


Merci pour ton aide mais tu as raison.
Il n'est pas temps de partir en vendetta personnelle.
Il n'a même pas le cran de nous parler.
Je n'ai pas de temps à perdre avec quelqu'un comme lui.


Il quitte les deux en se dirigeant vers la porte de farnya


Bjorn, ne compte jamais sur quoi que se soit de ma part. Ni bijoux, ni ressources ni quoi que se soit.
Et si je tu tente encore de me voler je te tue.
J'espère que c'est clair.

Lowfyr Dalmary, tu as des projets en ce moment?
Laisses tomber bjorn, il n'en vaut pas la peine. Racontes moi plutôt tes projets.




 
Lowfyr Dalmary

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 12h54

 
Le casqué continua de pointer son mousquet sur Bjorn. Son mutisme en disait long. Lorsque Bazoul s’éloigna un peu, il recula de quelque pas, mais continua sa visée. On est jamais trop prudent avec les gredins. Au moins, il avait évité une bagarre inutile qui aurai surement amené des problèmes diplomatique enter les trois bulles. C’était déjà ça de gagné.

Il fini par répondre à Bazoul, mais il ne détourna pas son regard du sapeur. La moindre inattention pouvait conduire à une fuite ou une riposte.


Des projets, oui j’en ai quelques un sur le feu. J’vais bientôt proposer ma liste de bijouterie. J’sais faire les même production qu’toi, et bientôt même les bijoux les plus puissant. Le problème reste surtout dans les fonds, savoir faire des artéfacts puissant c’est bien, savoir investir dans les composants de fabrication en est une autre. Mais bon j’aviserai du problème en temps voulu.

Le sapeur de bougeait toujours pas. Lowfyr en profita pour ranger son pistolet et allumer une autre cigarette. Le mousquet lui, resta à pointer Bjorn.

Pour mes prix, j’vais les calquer sur les tiens. Faudra juste discuter du prix des bijoux plus puissant des qu’j’saurai les faires. J’tiens pas à jouer sur la concurrence entre nous, plutôt sur l’entre-aide.


Le casqué s’arrêta afin de prendre une grande bouffée de tabac.

Pour le reste, j’vais ouvrir un bureau de détective privé sur Farnya, afin de m’occuper de certaine affaire. J’pense pas manquer de boulot, y a assez de drôle d’oiseau, comme notre ami muet.

Esra dit :
D’un autre coté chouchou, s’ils sont tous comme lui, tu va vite avoir des crampes au bras à longueur de journée.


Lowfyr ignora la remarque inintéressante d’Esra.

Et toi chti-Bazoul, des projets autre que t’faire vider les poches ?

Lowfyr Dalmary, Détective privé et tête brulée de Farnya.

« Celui qui pisse contre le vent ne doit pas s’étonner d’avoir les bottes sales » Vieux proverbe Tchaë.

 
Bazoul kus

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 14h00

 

Ah! Tu évolue vite.
Tu vas bientôt arriver à faire le puits de mana?
J'aurai déjà une cliente pour toi quand tu saura le faire.
Félicitation!



koura dit :

Et surtout il est content que quelqu'un va faire le boulot à sa place. Il ne pense qu'à voyager et récupérer des pierres.


Bazoul rigole


J'avoue que la bijouterie m'a empêcher de prospecter et de voyager convenablement.
Soit patient. Tu aura des commandes qui t'occuperont autant que tu voudra.
J'ai fini le dernier bijoux de jeaneudon. Si tu veux, tu n'aura pas besoin d'ouvrir ta bijouterie. On ouvre une grande bijouterie tout les deux. Tu prends toute les commandes et tu me demandes de l'aide si tu en a besoin. Ça te va?

Ça me permettra de prendre un peu de temps pour me faire charcuté et me faire découpé en morceau par les hommes du général.


 
Lowfyr Dalmary

Le Vayang 10 Saptawarar 1510 à 16h32

 
Le casqué finissait sa cigarette en écoutant son compagnon. Il trouvait étrange de commencer une conversation sur l’organisation d’un commerce tout en pointant quelqu’un avec son fusil.

Pour c’qui est d’ouvrir une bijouterie à deux, ça me va. Et pour le puits de mana, oui, j’devrais savoir en faire dans pas trop longtemps. Mais comme j’t’ai dit, entre savoir faire et avoir les moyens de faire, y a encore un monde entre les deux.

Il jeta le mégot de cigarette par terre et reprit son pistolet. Son regard était toujours dirigé vers le sapeur.

Par contre lui, s’il a besoin d’un bijou, ça va lui couter très très cher.

Lowfyr Dalmary, Détective privé et tête brulée de Farnya.

« Celui qui pisse contre le vent ne doit pas s’étonner d’avoir les bottes sales » Vieux proverbe Tchaë.

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