Les Mémoires de Syfaria
La Région de Farnya

Pour quelques barils de poudre ...

Page [1]
Détails
Sujet lancé par Ligerio Dhuri
Le 27-10-1510 à 19h52
2 messages postés
Dernier message
Posté par Tolbias,
Le 29-10-1510 à 15h15
Voir
 
Ligerio Dhuri

Le Merakih 27 Otalir 1510 à 19h52

 
*** Ligerio était descendus du transport en tenant Penthawak par la bride, l'animal était calme et il n'avait pas souffert du voyage. C'était une trés bonne chose mais il commençait à connaitre la bête et il savait qu'elle n'allait pas s'affoler pour si peu.

Il fallait maintenant qu'il attende Tolbias qui ne devrait plus tarder à le rejoindre. En tout cas, c'était sa premiére visite dans les territoires de la Fraternité et il avait envie de faire bonne impression. Il avait perfectionner son tchaë et il espérait pouvoir être compréhensible.

Il se demandait quel accueil il allait recevoir auprès des petits êtes de Syfaria. Il n'avait jamais eu de mauvaises expériences avec eux, ça n'allait pas commencer maintenant. ***


Laissez moi rêver rien qu'une fois .

 
Tolbias

Le Vayang 29 Otalir 1510 à 15h15

 
Il avançait s'sarkhement vite ce Ligerio et le froid qui me glaçait les babines... Mais bon j'ai quand même finit par le rattrapé, faut dire que Farnya, adossée à la montagne ne paraissait pas particulièrement accueillante. A moins que ce ne soit le ciel de plomb ou le sentiment général d'insécurité qui avait suivit les attaques des cités de poussières. N'empêche, maintenant qu'on était là, au pied du mur avec le tydale, on hésitait un peu. Remarquez, du haut de sa monture, Ligerio avait l'air un peu plus sûr de lui. Pour ma part depuis que j'avais posé le pied à terre j'étais sur mes gardes. Pas question de me faire dépouiller comme la dernière fois que j'avais croisé un tchaë. Pas question non plus de planquer mon fusil, on sait jamais.

Nous on était venue pour discuter armes à poudres avec ceux du désordres qui avaient la réputation d'être expert en la matière. Je pris donc contact avec un type du nom de Stennar, un commandant, sans doute quelqu'un d'important avec qui j'avais déjà eut l'occasion d'échanger quelques brèves télépathiques. Il m'avait l'air sympathique ce bougre, on allait bien voir.

En attendant la réponse diplomatique, l'autorisation de libre circulation ou je ne sais quelle officialisation d'attestation d'administration j'en profitais pour observer le paysage.

Face à nous la montagne se dissimulait dans la brume, un mineur aventureux l'aurait très certainement trouvé irrésistible, moi pas. Je me suis toujours sentis mieux dans les plaines, et je dois dire que quand on tourne le dos à la ville, la campagne qui entoure Farnya est assez agréable. Finalement ça me rappelait un peu chez moi, le Shoumië en moins. Et puis la saison était belle, peu être un peu fraiche. En voyant tout ça je finit par me sentir un peu moins loin de chez nous. Petit à petit je commençais à me détendre.


Page [1]
Vous pouvez juste lire ce sujet...