Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

Reveil après un voyage des plus mystérieux.

Gushbood le sanguinaire chez... Chez qui au juste?
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Sujet lancé par Gushbood Shinetop
Le 15-06-1511 à 19h53
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Posté par Yiu,
Le 17-07-1511 à 11h47
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Gushbood Shinetop

Le Merakih 15 Jayar 1511 à 19h53

 
***
C’est dans les montagnes qu’une forme sort du pilier. Celle-ci s’assoit sur le sol dos à la structure Eduen et regarde ses mains couvertes de blessures.
***


Aie ! Ça fait trop mal !

***
En même temps qu’il dialogue avec la fille Mirwen pour parler de ce qui lui est arrivé, il contemple anéantis tout ce qu’il n’a plus. Sa formidable armure avec le mot « S’sarkh » en lettres dorées sur le devant n’est plus là.
***


Hooo… C’était son armure préférée…

*** Son visage prend un air triste, alors qu’il cherche aussi sa bourse qui a disparu. ***


Mon trésor ! Elle me l’a volé aussi !
***
Il essaye soudain de se relever mais se ravise tout aussi rapidement. ***


Aie ! Ouille !
***
Jette un regard à droite, un regard à gauche. Il ne reconnait pas cet endroit, ou est-il ? ***


Tomasin ! TOMASIN !

Jamais là quand on à besoin de lui celui-là !

***
Puis la conversation avec Mirwen se poursuit télépathiquement et il apprend le destin tragique de sa monture. Elle qui allait si vite et qui était si intelligente. Si affamée à longueur de temps mais aussi tellement rassurante. Pour la première fois depuis très très longtemps, Gushbood commence à pleurer, il vient de perdre la seule personne qui arrivait à le supporter. En réalité son seul véritable ami.

Plusieurs minutes passent, les larmes se sont séchées. Le blondinet lève la tête, il faut qu’il trouve quelqu’un.
***


HEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE, QUELQU’UNNNN! HOHE, DU BATEAU !


 
Yiu

Le Vayang 17 Jayar 1511 à 14h38

 
« CESSEZ DE CRIER ! »


*** La Justicière repris plus calmement : ***

Vous avez l'air perdu et surtout bien étranger. Bon il semble que l'un des notres vous soigne. Vous survivrez donc pour le moment. Je ne sais point qui vous êtes, et je ne suis que de passage. Je dois aller tuer...
*** La lame sourit alors. Elle prenait plaisir à entretenir les clichés qui faisait des filles du déclin des assoiffés passant leur temps à traquer les rejetons. ***

Plus sérieusement. Je baragouine un peu votre langue, aussi en attendant que quelqu'un d'autre ne vienne et tant que je ne prends pas trop de retard sur ma mission, je puis vous donnez quelques renseignements.

Hum ... Si vous comptez rester quelques temps, vous devriez prendre contact avec la Voix du Matriarcat, Inanna Ereshkigal, ou le murmure, Carrha. Ce sont eux qui se chargent des étrangers. De leur parler et éventuellement de les aidre, je veux dire, nous ne sommes pas des sauvages qui tuons tout ce qui bouge. Ils parleront aussi mieux votre langue que moi.

Et oui, n'entrez surtout pas dans la ville sans en avoir eu avant l'autorisation, vous seriez abattu à vue. Dans le meilleur des cas.


Vous avez réussi à comprendre mon ssarkness approximatif ? Vous avez des questions ?
« Yiu se tourna vers cet être à l'air ahuri en espérant qu'il ne serait point trop long à répondre. Elle avait à faire. Un Fuyhran. Voilà qui était bien plus intéressant. Mais elle était dévouée au siens, et les étrangers aux portes de Kryg n'étaient certes plus si exceptionnels, mais ils restaient assez rare pour qu'ils faille y prêter attention. Elle ajouta, n'étant pas sur de sa maîtrise de la langue, dans un ultime effort : »


Je parle d'autres langues si vous ne comprenez rien à mon accent étranger.
Je parle d'autres langues si vous ne comprenez rien à mon accent étranger.
Je parle d'autres langues si vous ne comprenez rien à mon accent étranger.

Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Vayang 17 Jayar 1511 à 15h17

 
***
Une tydale à la peau sombre s’est approchée pour le soigner. Le bondinet observe la Justicière avec un œil interrogateur, acquiesce à ses dernières questions puis s’exclame en la pointant du doigt.
***


Vous êtes des filles vous ? Pas vrai ?
***
Il décide de suivre les conseils de Mirwen, pour une fois. Il se concentre pour sortir quelques mots de tydale.
***

C’est sympa de m’aider, vous êtes des gentilles. Je viens de mourir je crois et je suis sortis de la tour là derrière moi.

*** Il la désigne de son pouce. ***


Je vous raconte si vous voulez…Aie ! J’ai encore mal.
Dites…
J’ai bien plusieurs questions.
Alors…


***
Il semble réfléchir à ce qu’il va dire. Et au bout de quelques secondes, un flot de paroles discontinu s’abat sur Yiu et Abeymwen.
***


Je suis ou là au juste ?
Vous avez de l’eau ?
Quand vous dites que vous allez tuer. Vous allez tuer le temps c’est ça ?
Pourquoi vous n’avez pas de cheveux? Vous n’avez pas assez bu quand vous étiez petite?
Vous êtes vraiment des filles ? J’ai l’impression que j’en rencontre partout.
Les chaussettes de l’archiduchesse sont elles sèches ou archi-sèche ?
Vous êtes des guerrières des vrais ?



 
Yiu

Le Vayang 17 Jayar 1511 à 16h49

 
*** La lame hésitait. S'il avait l'âge d'un mish, son interlocuteur se comportait encore comme un enfant. Il semblait surpris de voir des filles et ne connaissait rien à la dure vie du dehors et à aux combats. Elle était bien tentée de lui apprendre par l'exemple. Pas le tuer, juste le secouer en le laissant au bord de la mort. Mais non, il était trop étranger pour pouvoir apprendre de cette leçon. Un enfant du déclin pourrait comprendre, et surtout n'aurait pas besoin de cela. Lui ... il était litteralement un étranger. Un être étrange. Il fallait être plus ... disons qu'il fallait user de parlotte, les actes ne pouvaient suffire. ***


Nous pouvons poursuivre en sskarnesh si vous le voulez. Je vous comprends en tydale comme en sskarnesh. Je dirai même que je vous comprends mieux en sskarnesh, par contre je ne sais dans quelle langue je suis la plus facile à comprendre.

*** Bien qu'elle commençait à s'impatienter, le jeune homme l'amusait. Et le devoir primait. ***

Oui je suis une fille. Tu es à Kryg,n la forteresse du fille du déclin. Nous sommes le peuple des tydale. Le seul qui fut à l'origine. Nous sommes un peuple de guerrier. Je suis l'une d'elle, une danseuse, car nous dansons avec la mort. Nous n'en avons point peur et l'avons accepté depuis longtemps. Parfois elle nous frappe, parfois elle frappe nos adversaires. Nous sommes redoutées. Notre art de la guerre... disons qu'il est unique sur tout syffaria parmis les races de poussières. Cela est, nul vantardise derrière cela.

Tu es étrange à mes yeux comme je dois l'être au tient. Nous ne tuons pas le temps. Nous tuons nos adversaires. Certains pensent même que nous tuons aussi parfois pour tuer le temps. Mais cela n'est pas vrai. Tout rejetons mort, même s'il n'est pas dangereux pour Kryg pour le moment est un danger de moins. Et oui, nous prenons parfois plaisir à tuer. C'est un art.

Cette forteresse est Kryg. C'est notre bastion. Quiconque y entre sans être des nôtres est tué sur le champ. Encore une fois n'y entrez pas sans permission.

Et je ne suis pas gentille, je ne suis pas non plus méchante. Je tache de faire ce qui est juste. Je suis parfois bavarde, parfois moins. Je suis en ce moment taciturne, mais je continuerai à vous parler. Un peu.
Si je m'en vais, par agacement ou par devoir, prenez contact avec Inana ou Cahrra, comme je vous l'ai dit auparavant, il se charge des étrangers. Je suis une lame - une guerrière si vous préférez - ainsi que le bras implacable de la Justice. Je suis parfois... très tranchante.

Mais allons droit au but. Pour vous comme pour moi, quelques questions sont essentielles : Pourquoi êtes-vous ici ? Par accident, implacable de réapparaître d'un autre pilier ou avez-vous une raison ? D'où venez-vous ? Êtes-vous un témoin ? Que comptez-vous faire ? Vous pourriez prendre le transport pour rentrer chez les vôtres. Nous ne sommes pas habituées aux étrangers.
Serait vous capable de survivre ? Car nous n'allons probablement pas vous materner. Pas vous tuer non plus. Mais pas vous maternez, à moins d'avoir une raison pour cela. Ou que d'autres ne pensent pas comme moi, cela est possible même probable. Ah oui, comme c'est votre jour de chance en plus de soin de ma sœur, voici un peu d'eau.


*** La lame pris une de ces gourde, un récipient et y versa de l'eau. ll faudrait qu'elle re-remplisse sa gourde dans les montagnes dès qu'elle en aurait l'occasion. Elle connaissait maintenant assez bien les lieux, cela ne devrait pas poser de problèmes. ***




Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Vayang 17 Jayar 1511 à 17h53

 
*** Les traits de Gushbood se détendent d’un coup. Il poursuit en tydale. ***


Aaaah alors vous êtes bien des guerrières, comme moi !
Je suis Gushbood Shinetop le sanguinaire, puissant guerrier des témoins du S’sarkh.


***
Il accepte la gourde en la remerciant et commence à boire quelques gorgés, puis il s’essuie la bouche d’un revers de manche. Pas trop rapidement quand même il a encore un peu mal.
***


Ça fait du bien ! Je ne bois jamais d’eau normalement mais là ça fait du bien.

C’est les guerrières du Matriarcat, cool. Alors c’est ça des filles. Quand je pense que Mirwen disait qu’elles portaient des robes…

***
Le témoin ramène ses jambes vers lui et s’assoit en tailleur sur le sol. Penser à ce qui vient de lui arriver, le laisse sans voix.
***


Et bien fille, sachez que j’étais à la recherche d’un trésor à l’intérieur d’une forêt. C’était une forêt immense abritant de nombreux rejetons, tous aussi monstrueux les uns que les autres. Je suivais ma carte sur le dos de mon fidèle Tomasin…
***
Il marque une petite pause. La perte de son camarade est encore fraiche. ***


… et je cherchais donc un trésor caché sous une croix. Sur ma carte il y avait une croix pour marquer l’endroit voyez, et je l’ai cherché pendant super longtemps. J’ai pas mal creusé et beaucoup combattu. Je me suis nourrit de la chasse pendant plusieurs mois, jusqu’à arriver vers une étrange citée, un peu comme celle de Kryg.

Et là tout d’un coup, je suis tombé sur un odieux brigand qui s’est avéré être une fille. Il a commencé à vouloir me voler ma carte ainsi que tout mon argent. J’ai refusé bien sur et j’ai même dégainé mon arme en lui sommant d’arrêter de m’ennuyer ou j’envoyais presto sa tête rouler sur la terre.
Et là encore une fois d’un coup, une quinzaine de brigands sont sortit de la forêt. Que dis-je quinze ! Il devait être au moins vingt avec des montures taillées pour la chasse, des armes à feux, des flamberges de ravages et tout. Et c’est là qu’ils m’ont tué, alors que je m’étais abaissé pour lacer ma botte qui me gênait terriblement.

Mais que j’y pense… Tomasin il n’était pas avec moi vu que je faisais mon lacet mmm…
Peut-être bien qu’il est vivant…


*** Voyant qu’il dérive il revient sur Yiu. ***


Et donc je suis mort et je suis ressorti par la tour derrière moi sans savoir ou j’étais. Ce n’est pas précis ces trucs.

Maintenant il faut que je retrouve mon trésor que la naine m’a volé ! Et Tomasin aussi si il est encore vivant. Je ne vais pas rentrer tout de suite, il faut que je retrouve l’intégralité de ma forme.

Tiens en attendant, je peux venir avec vous ?

Je vous aiderais pour cette chasse au Furyan. Un Furyan pfff, vers chez moi on m’appel le massacreur de dernier soupir.


*** Avant de poursuivre (encore), une chose traverse l’esprit du témoin. ***


Sinon je peux vous demander un truc ? Rien a voir avec le précédent sujet hein!

Si jamais vous vouliez m’intimider en une phrase. Vous savez la phrase qui fait qu’après cela on ose plus vous affronter du regard, vous me diriez quoi ?



 
Yiu

Le Sukra 18 Jayar 1511 à 13h57

 
« Votre histoire est bien ... originale. Vous n'êtes sur de pas déformé ? »

*** La Justicière était suspicieuse. Amusée par le côté incongru de son hote. Amusement dangereux qui pouvait vite évolué vers de l'agacement, mais amusement encore. Le témoins ne l'avait pas encore fait basculé du mauvais côté de cet équilibre. Car depuis qu'elle avait commencé à lui parlé elle oscillait entre amusement et agacement. Quel autre attitude adopté face à un être aussi étranger ? ***


« Je trouve que pour un maraudeur du dernier soupir vous vous êtes fait avoir bien facilement. Connaissez vous l’identité d'un de ces assassins ?

Pour ce qui est du Fuyhan, je n'ai pas bien envie d'être suivie. Notre faucheuse n'aime pas les étrangers. Cela pourrait dégénérer. En même temps, si vous occupiez le Fuyhran.
»


*** La lame était partagée. Elle n'avait pas envie de laisser ce témoins entrevoir la danse secrète des siens. Mais le voir face au Fuyhran .... Un moyen efficace de discerner le vrai du faux. S'il mourrait vite, elle serait débarassée. Et fixée sur sa faiblesse. Sans compter qu'il aurait été un idiot d'y aller encore blesser. Sinon ... un guerrier assez doué pour survivre et battre un Fuyhran alors qu'il était bien blessé. Cela méritait que l'on s'y attarde. Car cela pouvait être un dangereux ennemi, que l'on ne devait négliger. Et éventuellement un allié pas trop inutile. Non pas que les siens ai besoins d'allié. Mais quitte à passer du temps à s'assurer qu'il n'était pas un dangereux ennemis - dans le cas, improbable à ses yeux où dans son état il participerait activement à vaincre le fuyhran - autant en tirer quelque chose. Il fallait être pragmatique. ***


« Ah oui. Vous faire peur. Les mots sont inutiles. Ils servent à différencier les ennemis des alliés, à enquêter pour permettre à nos pensées de discerner le vrai du faux, mais pas à résoudre les problèmes, éliminer les ennemis ou calmer les imprudents. Il n'y a qu'une réalité pour cela. Suis-je plus forte que mon ennemis ? Bien sur, cela peut dépasser un individu et se situer à l'échelle de factions ou d'alliance inattendue, mais seul le rapport de force compte. Et la détermination.

Si je voulais vous faire taire. Je brandirai une de mes lames. Ou si vous ne le méritiez pas, je brandirai mon poing. Si vous m'affronteriez encore, je réaliserez une première attaque. Et alors je saurais. Celui qui de nous deux et le plus fort. La question serait tranchée. A moins que vous ne soyez un idiot faible. Un idiot fort cela n'est pas gênant car ce serait alors à moi de me taire et de ne plus vous affronter.
»


*** Elle fit une courte pause. ***

« Cela dit, je suis disciplinée. Lorsque le conflit n'apporte rien mais est devenu inéluctable, je préfère m'éloigner. Je n'ai pas peur du conflit lorsqu'il doit être. Mais je n'ai jamais non plus aimé l'inutile. »


*** Déjà elle se taisait, attendant une réponse de l'étranger. ***

« Ah oui. Vous parler avec vôtre mou. Apprendre après une mort, à sortir du bon pilier. Mourrir est déjà bien suffisant à nos malheur. »


Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Dhiwara 19 Jayar 1511 à 19h49

 
***
Gushbood écoute, la bouche ouverte. Il a un peu de mal à comprendre tout ce que lui dit la Justicière. Cette méthode d’intimidation est pour le moins brutale.
***

Et donc si vous vouliez me faire taire vous m’attaqueriez directement avec votre arme ? Mais en même temps vous évitez les conflits. C’est bizarre un peu mais le coup de brandir son arme…

Mm… Oui c’est vrai ça peut marcher. Mais alors vous n’avez pas d’entrée en scène, un peu comme un style ? Moi quand je veux faire taire quelqu’un d’abord je dis. Par exemple hein :

***
Il fait des gestes dans l’espace comme s’il tenait une épée. Mais toujours doucement, ho ! Il a mal quand même.
***

Sale Koprocle répugnant ! Boo-Ba ratatiné dyslexique ! Garde ton ignoble bave dans sa boîte ou je te transforme en engrais à Carnine !


*** Son regard est sérieux, son rôle est au point. ***


C’est pas mal hein ? J’envois du bois un peu non ?

Mais il me faut d’autres répliques comme ça, je crois que je vais demander aux autre poussiéreux sans cheveux, si vous en avez pas.

***
Le témoin semble réfléchir, il lui semble qu’il y avait une autre question avant celle-là. Il pointe son index vers le ciel, il s’en souvient.
***

Ah oui !
Je ne me souviens pas du nom du brigand qui m’a tué avec tous les autres. Nyndir, ou Driny… ou un truc comme ca. Le chef c’était la fille. Mais en tout cas je me souviens de son visage. Elle à les cheveux marrons et un visage vraiment pas beau.
Ahaha ça pour sur elle n’a pas été gâtée, rien pour elle.


*** Changement de sujet. ***


Et euh pour le mou… le mou vous voulez dire le caillou ? Vous savez l’espèce de boule ronde qui me suit partout. Oui et bah je préfère ne jamais lui parler. Vous ne savez pas quoi ? La première fois que je l’ai rencontré sur la route de Lerth il a essayé de me manger les yeux et j’ai jamais réussi à l’attraper, JAMAIS.

*** Il abaisse la voix en se penchant un peu vers Yiu ***


Dites sinon, est-ce que ca ce mange le Furyan ? Parce que j’ai trop faim.

***
Gushbood récupère son arme de prédilection, arme qui à fait couler tant de sang sur Syfaria, sa Fronde en peau de placide dorée !
***

Je suis presque près quand j’aurais plus mal je viens vous aider.

Et euh…je crois que j’ai déjà demandé mais, pourquoi vous n’avez pas de cheveux ? Ni vous ni celle qui me soigne. Les miens aussi ils vont tomber ?



 
Yiu

Le Matal 21 Jayar 1511 à 15h50

 
*** La lame éclata d'un rire franc. Le témoin était ... divertissant ***


« Au moins c'est efficace pour réduire quelqu'un au silence. D'autant plus en dehors d'une ville, lieu où aucune loi ne s'applique. Inutile d'en arriver forcément à la mort de l'adversaire. Les mots ... Pourquoi en employer alors que l'on souhaite le silence ? Sinon, inutile de faire taire l'autre. Tous ne sont pas ainsi... Mastroska, notre astrologue ... elle peut être très bavarde. Mais c'est souvent mauvais signe. Les paroles ne remplace pas l'incinération. C'est en bonus, avant les flammes. Vous m'aviez dit que l'on vous appelez Maraudeur de dernier soupir ... »

*** En parlant, Yiu ne pu s'empêcher d’esquisser un sourire moqueur mais "avenant" pour une matriarcale, pensant au décalage entre l'image d'un maraudeur et celle du témoin modestement équipé, selon les apparences. ***

« On compare aussi ses flammes à celle des maraudeurs. Si elle passait pas là elle pourrait vouloir savoir qui s'en rapproche le plus. Je m'égare. Ne lui parlez pas de votre "surnom", sauf si vous voulez vous familiariser avec les piliers. »


*** Un court silence. ***

« De façon générale, nous sommes assez directe. Nous ne sommes pas plus barbare que les autres peuples, mais nous nous embarrassons moins des apparences.

Sinon, votre brigand jamais entendu parler. La fille, sans le nom ... Vous savez nous sommes nombreux en syfaria, si je devais retenir le visage de tout ceux qui sont insignifiant. De plus, je ne voyage pas trop. Enfin, beaucoup dans les forêt, mais jamais dans les terres étrangères.


Quant au furyan, j'imagine qu'il faut être attentif aux glandes sécrétant son poison. Ce dernier est virulent. Au, pas assez pour tuer quelqu'un.
»

*** Elle examina deux secondes son interlocuteur, qui décidément la laissait dubitative. ***

« Ou pas . Ça dépend des personnes, il ne faut pas être trop chétif. Vu que vous êtes un grand guerrier, ça devrait passer. Et j'imagine que bien préparé, ça se mange. Tout se mange. A part les vortex. Bon les Jytryan, c'est pas très appétissant non plus ... Au pire, vous devriez trouver votre bonheur dans les montagnes. Elles regorgent de vie pour qui sait regarder.

Tiens, en parlant de furyan, il s'approche.
»


Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Merakih 22 Jayar 1511 à 18h55

 
*** Dans la tête du Tchaë une seule phrase tourne en boucle. ***


« Vous savez nous sommes nombreuses en Syfaria
… nombreuses en Syfaria
… en Syfaria
… Syfaria
»

***

***

Que quoi ??
***
Jamais il ne se serait douté ! Il ne croisait jamais de filles auparavant, mais en vérité… ***


… Elles se cachent ! Déguisées en garçon !


***
Gushbood se gratte le menton jusqu’à ce que la justicière parle de Furyan. Apparemment la bête arrive. Parfait il va pouvoir montrer à toutes les filles comme il sait se battre.
***


Aaah chouette ! J’adore les bagarres !
***
Il se lève, empoigne sa fronde dans laquelle il glisse un caillou et scrute les montagnes. Ses deux billes bleus s’arrêtent immédiatement sur un énorme monstre munit de diverses tentacules.
***


Aaaaah C’est quoi s’machin !!


*** La mâchoire du témoin se décroche. ***


Euh….

Aie ! S’exclame t-il soudain.

Mon épaule et ma jambe me font encore souffrir… Je crois que je ne vais pas participer cette fois-ci.
Ce ne serait pas très sage d’affronter un tel monstre dans ma situation. Quel dommage !

***
Il répète deux ou trois « aïe » tout en reculant et en s’adossant au pilier. ***


Comme je veux vous aider, je pourrais vous donner des conseils stratégiques ou alors vous prodiguer des soins. Je fais des super pansements avec des feuilles de la forêt qu’il me reste dans mon sac. Je les gardais pour autre chose, les feuilles ça sert toujours. Mais cette fois je veux bien les utiliser pour vous soignez avec la méthode témoin, vous connaissez pas chui sur !

Ça marche trop bien tant qu’il n’y a pas trop de sang.


*** Vague silence lorsqu’il scrute le Furyan. ***


Dites ?
Vous êtes sur que ça ce mange ?



 
Yiu

Le Vayang 24 Jayar 1511 à 16h45

 
*** La lame regarda le témoin, déçue. ***


Ainsi il n'est même pas courrageux ... Ne pas avoir le courrage d'avouer sa faiblesse.pensa-t-elle.
Yxis dit :
Ni un grand guerrier, ni un type assez divertissant pour nous offrir le spectacle d'un découpage de témoin par un furyan. Ah ah là, c'est vraiment le déclin, ça !
furent les pensée que le mou envoya par télépathie à sa symbiosée. Il faut dire que ce fan d'hémoglobine et de massacre était le plus déçu des deux. Peu lui importait la force du témoin, car en cas de combat il était assurer de voir au moins l'un des deux adversaire se faire massacrer. Voire les deux, avec un peu de chance avait-il pensé.

« Bien. Restez en retrait. Pour les soins, mes sœurs sont déjà assez nombreuses. Soignez vous et remettez-vous sur pieds. Pour votre épaule peut être pourrait-on la remettre en place en tapant dessus ? »


« Bon je vous laisse vous reposer quelques instant, je vais titiller le monstre. »


*** Une petite heure plus tard, la lame revint. Elle n'en menait pas large, ne faisait pas la fière, mais elle avait survécu. Elle était fatiguée, affaiblie par le poison, couverte de son sang, mais elle avait blessé le monstre et sa vie n'était pas en danger. Le reste - ses souffrances - n'est que secondaire. ***


« C'est en forgeant que l'on devient forgeron. La prochaine fois je résisterais mieux. Et viendra un jour où ce sera lui qui sera dans son état et moi qui ne serait que légèrement blessé. Mais cela ne suffira pas encore : je n'ai étais que moyennement blessé, aussi après le jour où nos rôles seront échangé, viendra celui où il sera agonisant puis celui où je tuerai un furyan. Sans polymorphie, sans assistance. Nous sommes ainsi au matriarcat. Il nous faut toujours repousser nos limites, même si cela implique de tenter l'impossible.

Vous devrez essayer. Si vous êtes allergique au furyan, allergie déclenchant de soudaine... hum ? Douleur à l'épaule, c'est bien cela ? Alors, chercher une fleur de fiel, peut être n'y serait vous pas allergique ?
»


*** Le témoin ne le savait peut être pas, mais il devrait être attentif à sa réponse. Yiu était de moins en moins amusée. La lacheté l'amuser peu. Elle pourrait vite basculer vers l'agacement. ***


« Ah oui. Si les fleurs de fiel sont trop dangereuses pour vous, dites le moi, nous trouverons bien des rejetons à votre niveau. Mais n'inventez pas une douleur à la cheville. »


*** Sur ces mots, la lame se mit s'assit et se mit à panser ses plaies au visage, laissant son cuir liquide et ses anneaux agir et la régénérer entièrement. Jusqu'au prochain combat. Face au furyan peut être. Pour encore une fois survivre et espérer cette fois-ci le blesser encore plus et pouvoir continuer plus longtemps la danse. ***


Jucticière du Matriarcat
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(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Dhiwara 26 Jayar 1511 à 21h42

 
Mais non, mais non c’est pas du tout ça ! Tout faux !

*** S’exclame le témoin. ***


J’ai vraiment un peu toujours mal à l’épaule vous savez, je suis mort il y a pas longtemps. Et puis j’ai plus d’armure aussi et j’ai plus Tomasin pour chevaucher vaillamment. Affronter un Furyan sans armure c’est du suicide un peu, pas vrai ?

*** Il baisse la tête. ***


Mais même si vous ne me croyez pas, je veux bien essayer de combattre dans mon état actuel pour vous montrer, comme ça euh…

Je repousserais mes limites et je deviendrais encore plus fort, comme vous avez dis là…. Après sans blessure je serais encore plus sanguinaire et je pourrais faire sa fête à la fille brigand qui m’a tué et à tous ses copains brigands.


*** Il réfléchit deux secondes à ce qu’il vient de dire pas très convaincu, puis : ***


Ah ouais c’est cool ça.

J’ai un peu la trouille quand même.

Bon bah euh… Je viens avec vous la prochaine fois que vous y allez. C’est dans longtemps ? Si vous voulez prendre votre temps vous pouvez hein… De toute façon le monstre il est lo…
***
Le visage de Gushbood se mue en une expression de frayeur extrême alors qu’il regarde par-dessus l’épaule de Yiu. Il pointe du doigt juste derrière la justicière.
***


Le m… mon… monmo… le.. monmon.. le Monstre !!!!


 
Yiu

Le Julung 30 Jayar 1511 à 23h51

 
*** Lorsque le témoin lui demanda si serait bientôt prête, la lame lui répondit. ***

« Allons-y ! Et soyez prudent, inutile d'attendre. »


*** Puis le furyan se rapprocha dangereusement du pilier. A nouveau. Il avait du poursuivre une sœur qui s'était trop approchée de lui. Ce furyan ... cela faisait déjà plusieurs semaines que Yiu bataillai et seule avec Marvezion elles n'arriveraient jamais à rien.
Mais il s'était encore rapproché. Il fallait reprendre le combat. D'autres filles du déclin avait anoncées leur arrivait. Des lames expérimentées et Arkana venaient à la rescousse. Et Anandra sortait de sa méditation. Il fallait juste tenir le temps de permettre aux autres de faire leur travail.

Le témoin lui avait clairement peur. Il avait bégayé et sa visage avait revétu un masque de frayeur. ***


« Mettez vous à l'abri. Tachez de survivre, je vais essayer de le retenir. Qu'il ne s'en prenne ni à vous, ni à mes sœurs qui s'entraînent près du pilier. »


« Et surtout, retenez la leçon du jour : seul l'idiot ne reconnait pas ses limites. Trop de témérité n'est de faiblesse. La prochaine fois, osez dire lorsque vous n'êtes pas de taille. Cela évitera à vos sœurs de devoir protéger votre vie en sus de la leur. »



*** Le combat fut long. Et ardu. Plusieurs fois la Justicière fut blessée. Plusieurs fois aussi la némésis Arkana transforma le furyan en animal inoffensif, permettant à la lame de poursuivre le combat malgré ces blessures et à ses sœurs de se déchaîner.

Le monstre fut finalement vaincu. Mais le jeune étranger fut gravement empoisonné. Cela n'était pas grave, il survécu et il était étranger. Pire furent la mort de deux des filles du déclin qui s'entraîner près des murailles et n'eurent pas le temps de s'abriter dans la ville. Fatiguée et las, la lame revint vers l'étranger. ***


« La prochaine fois ne soyez pas téméraire. Et courrez plus tôt vous mettre à l'abri. Un jour vous serez capable de tenir tête à un tel monstre, je vous le souhaite. Mais en attendant, il vous faut survivre, survivre pour pouvoir apprendre de vos erreurs et comblez vos faiblesses. Et j'espère que suite à la rencontre avec ce furyan vous aurez appris.

Je vais vous laisser. Mon travail de Justicière m'appelle en ville, où vous n'avez le droit d'entrer, puis à l'un de nos village, et alors je serai trop occupé pour veiller à votre sécurité et j'aurai surtout suffisamment de travail. Il est temps pour moi de retourner servir la Justice des miens, comme il est temps pour vous de retourner chez les vôtres. Ne pensez-vous pas en effet que cela serait plus sage ? Le transport némen devrait vous y aider. Si vous le souhaiter, je pourrais vous y accompagner dans quelques jours.
»


Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


 
Gushbood Shinetop

Le Sukra 2 Julantir 1511 à 11h28

 
***
L’abomination était morte, la poussière avait vaincu. Gushbood reprenait assez rapidement des forces, il commençait à être bon en bandage de feuille de la forêt et au final il en avait un peu partout sur le corps même autour de la tête.
Les événements et le combat l’avait excité. Il avait vu des choses excellentes et il avait hâte de les essayer.
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Vous avez vu ? Vous avez vu ? Comment j’ai retenu sont attention pour le coup final ? C’était bien quand même hein ? Et mon caillou ? Le caillou que je lui ai envoyé sur le nez vous avez vu ? Juste avant qu’il essaye de me tuer. C’était cool hein ? Ça l’a tellement embêté qu’il m’a couru après !

Woa s’était vraiment cool.


***
Il n’avait pas vraiment écouté les dernière s paroles de la justicière sauf peut être qu’elle partait, trop excité il ne tenait plus en place.
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Ho vous partez déjà ? C’est dommage vous êtes drôlement gentille et forte aussi vous auriez pu m’apprendre deux trois truc. Comme votre technique de combat là, trop génial.

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Il ramasse un bâton sur le sol et commence à danser grossièrement comme les filles du déclin et comme s’il affrontait un ennemi imaginaire.
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Yaaaaah ! Yoaaahhh !

*** Puis soudain il s’arrête. ***


Je vais vous laisser alors je dois montrer ça à celui qui m’a tué et à sa bande, il va moins rigoler


 
Yiu

Le Dhiwara 17 Julantir 1511 à 11h47

 
*** La lame souris. Finalement, ce témoin finirait peut être par devenir un brave clown. Et peut-être même un jour un brave tout court. ***


Yxis dit :
Dans tous les cas il nous aura bien amusé !


« Bonne chance à vous étranger. Si un jour nous nous recroiserons, vous me raconterez quels sorts vous leur aurez fait subir. Vous apprendre ma technique de combat... Je devrais vous tuer si vous en perciez le secret. Puis vous re-tuer à chaque sortie de pilier, ou, plus efficacement, vous garder ligoté et abruti de drogues dans nos geôles. Tous les notre serez à vos trousses. Je ne puis rien vous apprendre. Juste vous assurez qu'avec l'expérience, vous apprendrez vous même à danser et combattre efficacement. Non pas comme moi, mais d'une façon qui vous sera propre, unique et donc plus efficace car vous aurez vos propres bottes connues de vous seul. Ne soyez pas impatient, mais sachez rester humble et persévérez. Et alors peut être qu'un jour ce sera moi qui vous demanderai de m'enseigner vos tours. »


Jucticière du Matriarcat
« La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. »
(Pascal)


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