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Le Julung 24 Manhur 1512 à 18h15
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| Oui.
Il... ah, je ne sais plus...
Près des cristaux. Inerte. Je l'y ai trouvé.
Je vois. Mais je me vois presque ; comme...!
Ah...
Comment le dire ?
...si ma vue n'était pas à moi. En dehors de moi. A côté...
Tout regard... est d'un espace... à côté de moi.
Je vois d'à côté de mes yeux ? Je crois. Tout a une couleur... une odeur...
Je ne savais pas.
Oui, peut-être... Cécité ? Ou par lui... Kanchira ? Non, je le vois...
Effets de l'entropie.
Je ne sais plus si je vois depuis mon corps. Je suis à côté, juste à côté de lui. Des enveloppes qui tournent autour, des lumières. Parfois. Je ne sais plus. Parfois je ne vois plus, puis... quelque chose se passe. Kanchira ou des lumières, ou simplement...moi.
Moi ?
Moi est bâtit sur la perception du réel. Enfant je me suis brûlé, j'ai compris que j'avais un corps. Enfant j'ai reconnu le feu et compris qu'il me brûlerait. Je me suis pensé.
Mais l'ENTROPIE !
Je ne vois plus par mes yeux. Je me vois d'ailleurs. D'à côté ! J'existe à côté de moi !
Mais...
Ma vue n'est pas mon esprit. L'esprit ne voit pas... Y a t-il esprit ? Ne suis-je pas qu'un corps ?
Si une des... limites de moi est ma vue mais que cette vue n'est pas de moi, où est moi ? Je ne vois que mensonges ? Suis-je mon corps ? Ai-je un corps ? Qu'est-ce que je suis ? Une symbiose ? Une relation ? Une anomalie ?!
Ah... Je veux... juste, exister...
Mais VOUS...! Le silence...! AIDEZ-MOI !!!
*** Alors
Les lumières
Disparaissent.
Dans les sables d'Arameth, près des portes d'Arameth, un tydale.
Le feu s'essoufle dans le froid et la nuit.
Elle brille perdue, la lumière isolée.
Elle s'essoufle, se tourmente, incomplète...
Hallucination. ***
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Le Merakih 13 Jayar 1512 à 19h02
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| *** Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici !Le voici! ***
Hum... Ils me prennent déjà pour un fou... Quelle étroitesse d'esprit... Quelle étroitesse d'esprit... Quelle étroitesse d'esprit... Quelle étroitesJe l'ai trouvé. Le voici.
La petite pierre... Tout est noté.
*** Il prend la langue dans sa poche. Fourre la dans l'aiguille et déverse la rosée.
Plus que deux petits tours... Une pointe pointe. Un versant. Une aiguille. Un combiné.
Ainsi il ressort du ventre etCreuse un trou dans le sable et le regarde se reboucher.
Puis.
Il courre pour s'entraîner. Tire des flèches. Parle des pensées. Achète une pioche. Va chasser. Dort dehors et mange mal. ***
Passionnant.
La pioche n'a ébreché le pillier. Une résonnance. Profondeur... Echo !
Rien.
Il recommence. Déclic. Néant. Du néant. De la mort. La pierre est morte. Vide. Coquille. Réceptacle?
Des flux ? Plus tard, il ne maîtrise pas.
L'enveloppe. En est-ce ? Aucun reflet. Les lumières aspirées par la pierre.
Frais.
Architecture... Sommet...
*** Et sous ? Sous ?! Il coure, s'élance hors d'elle la mère-chose, et creuse dessous ! Sous le pillier peut-être plus ! ***
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