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Le Matal 12 Jayar 1512 à 21h42
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| *** À l'aube, j'étais assise sur l'estrade, déjà habillée, prête, et à peu près en forme.
Pleine d'appréhension, aussi.
Je n'avais pas peur du jugement des autres, sinon je n'aurais pas été à mon aisé dans la Troupe.
Seulement, il y avait quelques personnes dont le jugement m'affectait.
Et parmi celles-ci, il y avait celle avec qui j'avais rendez-vous, et à qui j'avais réservé un traitement qu'on ne réserve que rarement à nos ennemis, alors que dire d'un cher ami ?
En l'occurrence, j'étais en train de me faire la scène sous des dizaines de tentatives sans parvenir à trouver une fin agréable, et donc mon angoisse n'était que proportionnelle à ma fatigue.
Cela-dit, quand Kiril arriva - car c'était bien sûr de lui qu'il s'agissait - je lui sautai au cou machinalement, et commençai directement un long monologue prononcé trop rapidement, d'un voix à la limite du glapissement, par moment incompréhensible, et qu'il allait sûrement me falloir répéter à plusieurs reprises si je voulais être comprise.
Bref, des discours comme on les aime, sans queue ni tête, un peu décalé, comme l'était mon attitude globale.
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, paraît-il.
***
Kiril !
Je suis siiii désolé... je... tu ne méritais pas... et j'ai pas voulu mais... tu comprends ? J'avais besoin d'être seule, j'étais mal, j'étais perdue, j'avais peur... et vous étiez là, tous les deux, alors... j'ai couru, et puis je suis partie... j'étais triste aussi, mais je n'en voulais à personne, non, je n'étais pas en colère, j'étais juste désorientée et j'ai vraiment, VRAIMENT pas voulu... enfin voilà, je t'ai abandonné, et je suis vraiment désolée, et je comprendrais parfaitement que tu m'en veuilles pour ça, mais tu comprends, hein ? J'étais mal... vraiment mal... trop de sentiments, je ne savais plus ce que je voulais, c'est comme si j'essayais d'aller dans deux directions différentes, et... ça m'a pris du temps pour gérer ça, bien sûr, enfin maintenant c'est mieux, mais j'ai toujours ce sentiment bizarre... parce que oui, je suis toujours amoureuse de Kaelianne, et j'ai pu retrouver le côté que j'aimais tant chez elle, et... oh tu la verrais à présent ! elle est nettement plus belle quand elle est heureuse, et plus agréable aussi... par contre elle est faible, elle ne mange pas assez, et elle se mutile la main, c'est vraiment flippant, mais...
*** Toujours dans les bras du jeune Tydale, j'étais partie pour continuer le long monologue matinal.
Je semblais n'avoir pas besoin de reprendre mon souffle...
Peut-être la déshydratation m'arrêterait ?
***
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Merakih 13 Jayar 1512 à 14h18
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| *** Je m'arrête, et un silence gêné s'installe un instant...
Je reprends, en articulant, d'une voix hésitante :
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Hum...
J'étais très mal, perdue, comme écartelée entre deux sentiments opposés.
J'ai fui, et je suis désolée de t'avoir infligé ça.
Maintenant, j'ai un peu retrouvé le calme, et fait la part des choses.
Je suis toujours amoureuse de Kaelianne. Elle m'a montrée la part d'elle que j'aime tant, et que tu n'as pas pu voir l'autre fois...
Et... voilà. Je suis désolée.
*** Je m'agrippe à lui, et commence à sangloter.
C'était dit...
D'une part, les larmes représentaient le soulagement, la libération.
D'autre part, elles symbolisaient la peur.
La peur de son jugement.
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Julung 14 Jayar 1512 à 23h34
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| A vingt mille lieux dans les airs, completement à l'ouest ou bien la tête sur Kvetha... Silinde tombe des nues. C'est tellement gros qu'il trouverait presque la chose risible. Correction, il trouve la chose risible. Tapotant le dos de Mirwen gentiment, il lui releva un menton sans preter attention aux larmes.
Allons, allons petite Princesse, ne me dit pas que tu fait cette bouille pour ça.. Mmmm?
Certes, tu m'a planté comme un vieux fruit trop mur, avec heu.. ta copine qu'est carrement atteinte du ciboulot mais c'est pas grave. Hey, je suis indemne non? En parfaite santé. Pas grace à toi certes mais..
C'est pas comme si j'était un jeune évadé sans défense cette fois. Je suis un maitre entropiste je te rappelle, et c'est pas comme si je n'était pas capable de me mettre tout seul dans les ennuis. Tu m'a rien infligé du tout voyons. C'est pas comme si je te devais ou tu me devais quoi que ce soit. Ou bien que m'attendais à quoique ce soit d'ailleurs.
Allons poussinnette, cesse de t'en faire pour des broutilles. Les larmes ne te vont pas tu le sait.
Non vraiment, il ne voyait pas pourquoi elle lui faisait un tel melodrame.
Jusqu'au bout... | |
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Le Julung 14 Jayar 1512 à 23h50
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| *** Et je ne comprenais pas l'insouciance de Kiril...
Oui, ce n'était pas un gamin, et il savait se débrouiller.
Oui, je ne m'inquiétais pas vraiment pour lui. Pas du tout à vrai dire.
Oui, je ne lui avais pas juré que je resterais avec lui.
Mais... quand même.
D'un côté, j'étais soulagée qu'il ne m'en veuille pas.
D'un autre côté... ça aurait été plus facile. Plus logique. Plus compréhensible.
Plus cohérent.
Cela-dit, mes larmes cessent bien vite.
Ah, elles ne me vont pas ?
Je le gratifie d'un humide sourire tandis que je renifle, et que je profane les sillons salés qui m'ont coulé les long des joues d'un large geste de mon avant-bras.
Je minaude un :
***
Alors tu m'en veux pas ?
*** Puis j'ajoute d'un ton boudeur, détournant les yeux : ***
Et puis Kaelianne n'est pas folle...
Bon, elle est un peu différente.
Sacrément différente, je te l'accorde.
En dehors de toutes conventions. Plus souvent au-dessous qu'au-dessus d'ailleurs.
Mais... je l'aime, tu vois ?
Tu me diras... je t'aime aussi... beaucoup... mais c'est pas pareil.
Ça ne m'en a pas moins fait mal de repenser à la façon dont je t'ai traité.
Ça m'a plus fait du mal de penser ça par rapport à toi, que par rapport à elle.
Je ne veux pas dire qu'elle j'aie le droit de la faire souffrir mais... toi, tu ne m'as jamais trahie... et... c'est un peu ce que je viens de faire, de mon point de vue.
Si tu m'en avais voulu, j'aurais compris, mais tu sembles t'en moquer ?
Est-ce que ça ne représentait donc rien pour toi ?
*** Je rattrape son regard, au vol... ***
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Vayang 15 Jayar 1512 à 20h53
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| Il arbore un petit sourire satisfait et tendre alors qu'elle seche ses larmes et lui fait une moue digne d'une coquette. Levant les bras, mimant le geste de se rendre il repondit en riant.
Mais non mais non je ne t'en veut pas. Tu es bien trop mignonne pour qu'on puisse te tenir rigueur de quoi que ce soit.
Pas folle? Ah si! Objection votre honneur, elle l'est jusqu'au bout des doigts. Mais c'est ton probleme et non le mien du moment qu'elle n'essaye plus de me faire la peau. Une fois ça passe, mais deux ça devient une habitude... Dangeureuse pour elle l'habitude hein, pas pour moi.
Puis, le sourire s'efface en partie et le rire s'eteint.
La voix est douce.
Trahie? Vraiment? Tu pense que c'est cela me trahir....?
Oui ma Belle, je m'en moque. Je m'en moque parce que ce n'est pas cela la trahison. Ca, c'est juste un entrechat de plus. Il n'y a trahison que si l'on s'attend à quelque chose, que si l'on attend quelque chose de l'autre.
Je n'aime pas enfermer les oiseaux dans les cages. Ils sont bien plus beau lorsqu'ils peuvent aller et venir. Devrais je leur en tenir rigueur simplement parce qu'il ont décidé d'aller voler ailleurs plutot que sur mon épaule?
Non Mirwen... la Trahison est un bien trop grand mot pour être ça..
Le regard s'esquiva et se fin lointain. Un mince sourire desabusé flottant dans l'ombre de ses levres.
Lorsque tu m'auras jeté dehors par lacheté apres m'avoir dit m'aimer, lorsque tu aura sombrée dans la folie par facilité, lorsque tu m'aura abbandonné apres m'avoir fait esperer et relegué plus bas que terre... alors là tu m'auras trahie...
Tu m'aurais trahie... si j'avais attendu quelque chose de toi.
Jusqu'au bout... | |
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Le Vayang 15 Jayar 1512 à 21h35
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| *** Je grommelle, et repousse doucement le Tydale en disant : ***
Arrête... il suffit pas d'être jolie pour avoir tous les droits et faire du mal aux autres...
Bon. Je veux bien admettre que Kaelianne est folle, mais je le suis aussi... d'ailleurs, je ne serais pas là aujourd'hui, sinon, et je serais en train d'éduquer ma fille...
*** Les mots restent en suspens, et j'écoute Kiril m'expliquer la Trahison. La vraie. Celle avec une majuscule.
Le voyant faire un gros écart vers la mélancolie, ou je-ne-sais-trop-quoi, je souris, et brandis une épée imaginaire, la tends à côté de lui, et proclame :
***
Qui t'a trahi ? Donne-moi son nom, que j'aille la pourfendre, ou au moins lui botter les fesses, lui expliquer que tu es trop précieux pour pouvoir être pris à la légère...
*** Je baisse mon bras vengeur, et, redevenant plus sérieuse, je pose un bras sur l'épaule de mon ami, essayant d'être réconfortante... ***
Tu sais, tu peux attendre plus de moi que tu ne penses...
Mais attends-tu encore quelque chose de quelqu'un, si tu m'as libérée aussi facilement ?
*** Après un instant de silence trop court pour qu'il puisse répondre, mais assez long pour qu'il puisse se poser la question : ***
Qu'est-ce qui cause un tel détachement ?
J'ai l'impression que tu n'arrives pas à te défaire du passé...
Comme moi, peut-être.
J'ai confiance en ta volonté. Montre-moi ce que tu veux vraiment...
Peut-être que tu seras apaisé ?
*** Je prends les mains du Tydale.
Et je le regarde.
Son oeil gauche, puis son oeil droit, en alternance.
Attentive.
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Luang 18 Jayar 1512 à 23h28
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| Il se met à rire devant la jeune femme en train de brandir un sabre imaginaire. Un instant il la vetis d'un ample foulard, d'une chemise aux manches boufantes et d'un pantalon large dont les jambes s'arretent aux genoux, retenu par une ceinture de soie. Ce costume de pirate de salon disparait rapidement.
Il s'empare de la main posée sur son bras et y depose un leger baiser, juste au creux du poignet.
Le tydale sourit.
Bien sur que j'en attends encore de la vie. Ce n'est pas demain que tu me verras ranger mes bottes. Ne me sous estime pas petite princesse.
Sinon...
Et le sourire s'elargit encore tandis qu'il apparait tres content de lui.
J'aurais un joli tatouage sur le front.
Kaelianne m'a volé un baiser...
Il dépose ses levres sur celle de l'anja, leger baiser, baiser leger, juste de quoi gouter à ce fruit tentateur et le laisser repartir juste apres.
Je t'en prend un. Juste retour des choses. Meme si j'aurais revé pouvoir faire plus que gouter tes levres. Enfin, je me remettrait de cette deception.
Si tu as confiance en moi Mirwen, n'essaye pas de comprendre ou d'expliquer. C'est trop ennuyeux d'expliquer. Je suis, je reve, je vie, j'espere et j'aime. C'est tout ce qui compte.
Contente toi de savourer
Et passe une bonne journée petite Princesse.
Lowgli dit :Silinde, docteur es esquive et détournement de conversation.
Jusqu'au bout... | |
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Le Matal 19 Jayar 1512 à 17h29
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| *** Je réplique, rieuse : ***
Plus je fais confiance, moins je sous-estime mes proches, plus je m'inquiète pour eux... c'est grave docteur ?
*** Puis le temps d'un baiser, et tout bascule.
Un amer aperçu de ce qu'il pourrait, peut-être, attendre de moi.
Ou voudrait attendre.
Très vite, je prends conscience de tout un tas de gestes, de paroles, de regards échangés.
Mes pensées vont à toute allure, et je n'entends pas la fin.
Je reste la bouche légèrement entrouverte, l'air perdue.
Il semble vouloir partir, et c'est à ce moment que mon corps reprend le dessus.
Mes traits affichent de la colère. Et Kiril sait à quel point c'est rare.
De manière imprévisible, je viens l'embrasser en un baiser nettement plus intense que le premier.
Teinté d'une passion... coléreuse.
Il n'en reste pas moins court, et quand je me recule, c'est avec des larmes de rage qui commencent à emplir mes yeux.
Après quelques pas en arrière, et un regard qui lance des éclairs, je crie à l'attention du Tydale :
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Arrête de vouloir toujours décider pour les autres !
J'ai envie d'une fille, et ce n'est pas par pitié pour toi que j'aimerais que ce soit aussi la tienne !
*** Sur ces paroles prononcé avec plus d'agressivité que l'on me pensait capable, je tourne les talons, et je m'enfuis à toutes jambes en direction de la sortie, tout en me martelant d'une pensée en boucle : "Idiote ! Idiote ! Idiote..." ***
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Matal 19 Jayar 1512 à 21h32
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| *** Je respire bruyamment, et reste pendant quelques secondes toujours muette avant de répondre : ***
Tu as bien entendu. Laisse-moi partir s'il te plaît...
*** La voix est dure, cassante. Sifflée entre mes dents.
Je continue à regarder d'un air plus que sévère le mâle.
J'ai besoin d'être seule.
C'est tout.
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Matal 19 Jayar 1512 à 22h35
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| La chevelure detrempée de la brune degouline le long de la chemise du blond mais il ne s'en soucie pas.
L'entropiste la conserve contre son torse, une main passée autours d'elle, protecteur, réconfortant, l'autre lui carresse machinalement le haut du dos. Il lui murmure à voix basse, comme à un petit enfant ou une personne chere
Allons, ne pleure pas ma mirwen, les princesse ça ne pleure jamais, c'est pas ce que je te disait? Je suis désolé de ce que je t'ai dit. Vraiment. Je n'aurais pas du parler aussi inconsiderement, et je n'en pense pas un mot. J'ai réagit instinctivement et c'était cruel. Et méchant.
Je suis désolé Mirwen...
Fin... pleure si ça te fait du bien. Vaut mieux que ce soit dehors que dedans... là... je suis là.... Je serais là pour toi aussi longtemps que tu le désire... Tant que tu me supportera...
Pleure ma belle, pleure... Je te protegerais des autres puisque je n'arrive à te garder de moi.
Jusqu'au bout... | |
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Le Matal 19 Jayar 1512 à 22h42
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| *** L'eau ruisselle le long de mon cou, et m'arrache un frisson.
Tout en continuant de pleurer, je relève les yeux vers lui.
Un visage toujours empli de douleur et de colère. Mais cette fois, la douleur prédomine largement.
Je finis par... chouiner (quel terme plus approprié ?) quelques mots en Tydale :
***
Quels que soient mes choix, mes actions, mes sentiments, je ne cesse de blesser ceux que j'aime.
Je ne sais plus quoi faire... Sans paraître égoïste, sans faire du mal.
Je ne sais pas.
Et tu es le dernier à pouvoir m'aider... parce que tu es si proche de moi... et t'éloigner ne m'aiderait pas plus.
Je me dégoûte.
*** J'accroche de mes deux mains ses vêtements que je serre de toutes mes forces, en même temps que je pousse un long cri plaintif... ***
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Celle-qui-enseigna-l'art-du-cache-cache-à-des-Neldas
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Le Matal 19 Jayar 1512 à 23h09
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| Il aurait presque pu sourire si ça avait été n'importe qui d'auter entre ses bras en train de geindre dans son giron comme dans celui d'une grand mere affectueuse. Pour le coup, mamie Sili se sentait trop impliqué pour avoir le coeur à sourire.
Sa main a quitté le dos de Mirwen pour venir se poser au niveau de son menton, le soulevant avec douceur tandis qu'elle le regarde toujours en larme..
Il penche son propre visage, presque jusqu'à ce que leurs fronts se touchent.
Arrete de dire des betises. Là ca tourne à se complaire dans de l'auto-appitoiement.
Tu ne me degoute pas Mirwen, pas plus que tu ne me m'horrifie ou je ne sais quelle autre s'sarkherie. Tu te trouve egoiste? Il parait que je le suis aussi. On s'en remet tres bien tu sais. Je ne te trouve pas egoiste. Sensible oui, presque à fleur de peau, mais ce n'est pas un mal. Tu as le désir de bien faire, de rendre heureux les tiens. Et ça c'est precieux.
Peut etre que tu apporte un peut de souffrance, mais pour une dose de bonheur bien supérieure. Je te le jure.
J'ai, et c'est peut etre orgueil de ma part, tendance à penser que ceux que j'ai choisit en valent la peine, donc te mettre en doute, c'est me mettre en doute aussi. Comme je ne peut pas m'etre trompé, c'est que tu vaut la peine. Tu vaut toute les peines du monde.
Il n'est pas de blessure qui ne soit amplement pansée et compensée.
Tu exagere sans doute en pensant que je suis le dernier mais je ne t'abbandonnerait pas. Je suis là. Pour toi. Quoique tu veuille ou désire...
Du moment que tu me considere comme un poussiereux.
Ajoutta il avec un sourire affectueux la derniere phrase.
Jusqu'au bout... | |
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