Les Mémoires de Syfaria
La région d'Arameth

Quelques pas en dehors d'Arameth

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Sujet lancé par Garagos Dagnir
Le 21-06-1512 à 15h43
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Posté par Terham,
Le 01-07-1512 à 20h43
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Garagos Dagnir

Le Julung 21 Jayar 1512 à 15h43

 
*** Afin de s’apprêter au mieux à sa prochaine expédition, Garagos avait préparé un petit entrainement pour les caravaniers. Il ne savait combien d'entre eux accepteraient d'être à ses côtés, mais dans tout les cas, il devait se familiariser avec le désert. Le beau costume était à nouveau de mise, certainement pas pratique, mais pour lui, les apparences étaient bien plus importantes. Une armure de cuir avait tout de même été faite pour être glisser sous son costume et ses bottes ornementées lui convenaient parfaitement quand il posa ses premiers pieds dans le sable. Malgré le vent qui envoyait le sable droit dans ses yeux, son sourire était toujours visible et après à accueillir le moindre confrère. ***


Durak dit :
Tu crois vraiment que quelqu'un va se déplacer pour toi?


*** Aucun son ne sortit du sourire envoûteur. Sa symbiose était toujours assez nouvelle, mais n'importe qui ayant vécu quelques jours avec un mou savait qu'il était peine perdue d'essayer d'avoir raison avec ces petites créatures. ***


Durak dit :
Hé, je suis vivant!


*** Rajouta la petite créature. Le sourire s'élargit, mais toujours aucun son ne sortit. L'observation était le maître mot de ces premiers minutes avant que le tydale ne prenne son arc et qu'une flèche ne soit encochée. ***


 
Garagos Dagnir

Le Julung 28 Jayar 1512 à 17h45

 
*** La flèche fut tirée droit devant lui. On aurait pu croire que celle-ci allait faire mouche et que le tydale ne visait rien de mieux que du sable, mais une créature sentit la flèche dans l'un de ses flanc. Le tas de sable se mit à bouger, Garagos venait d'entreprendre le combat face à un gant d'acrymonie! Bien entendu, la créature ne le remarqua pas tout de suite! Le tydale s'était caché à l'aide d'une cape à même le sable et se préparait déjà à tirer une seconde flèche...

La seconde fit mouche, mais la créature ne semblait pas l'avoir vu. La technique du symbiosé semblait très simple, tirer puis se cacher! Ce ne fut qu'après avoir reçu une dizaine de flèches que l'amas de sable ganté aperçu le symbiosé. Une nouvelle flèche le toucha et quelques secondes plus tard, il riposta... ***


-Et merde!

*** ...Une énorme pointe de sable toucha caravanier à l'épaule. Sa blessure le fit légèrement souffrir, mais il tint bon, la créature n'allait pas tarder à succomber. La première idée qu'il serait venue à l'idée d'un poussiéreux aurait été de fuir ou d'attaquer. Le jeune tydale ayant vécu de vols et de larcins savait qu'il n'était pas tout le monde et la motte de sable lui suffit à se cacher derrière et à ramper pour se mettre à l'abris...

Entre temps, la créature s'approchait dangereusement et arriva à la motte en quelques secondes. Là,...

...rien! Le voleur s'était à nouveau caché sous sa cape et envoya une ultime flèche sur la créature...

...Elle ne tomba toujours pas, mais prit la fuite et le symbiosé ne la retrouva pas. Il vogua quelques minutes dans le désert, le vent s'était levé et le tydale aperçut une forme au loin. Il la pista, encocha une flèche mais ne la décocha pas...

C'était une forme familière, celle d'un nelda qui se trouvait au dessus du corps du gant. L'amas de sable n'était plus, et Garagos se rendit bien vite compte que le nelda venait de lui voler sa victoire, on avait osé lui volé quelque chose, à lui, le "prince des voleurs".

Son sourire revint bien vite. ***


-Très cher Destan, il semblerait que vous vous soyez joint à la chasse!

*** Il lui lança une bague entre les mains. ***


-Ne vous inquiétez pas, ce n'est point pour vous épouser, mais je pense que vous aurez bien plus besoin de cette anneau que moi. D'après le marchand, il permettrait au poussièreux qui le porte de se soigner bien plus vite de ses blessures! D'ailleurs, comme vous pouvez le constater, je viens de l'expérimenté!

*** En effet, la blessure du tydale à l'épaule s'était pratiquement déjà refermée! ***


 
Destan

Le Julung 28 Jayar 1512 à 19h55

 
Après ses mésaventures dans le désert Destan était revenue a l'entrée d'Arameth pour récupérer tranquillement. Totalement guérie il s’appétait a repartir dans le désert quand il aperçue un rejeton longeant la ville, profitant de l’occasion pour s'entrainer il saisit son arc et se mit en a décocher une série de flèche en sa direction. Le gant d'acrimonie n'avait pas l'air d'apprécier et riposta violemment a plusieurs reprise traversant sans difficulté son armure. Bien que blessé Destan ne se laissa pas abattre et continua tant bien que mal a tirer flèche sur flèche sans se soucier de ses blessures.

Destan s’arrêta quelque instant pour reprendre son souffle, quand il regarda en direction du monstre il ne vit rien: le rejeton avait du fuir. Malgré ses blessures Destan commença a avancer dans le désert, il avait a peine fait une dizaine de mètre que le gant d'acrimonie surgit juste devant lui. Le symbiosé battit en retraite esquivant avec chance les projectiles du rejeton. Posté a bonne distance Destan se remit au travail et continu a vider son carquois sur le rejeton. Destan avait a peine tiré trois flèche que sa cible disparut a nouveau, il avança prudemment sans rencontrer personne. Au bout d'une petite marche, convaincu qu'il ne retrouverait pas sa proie il songeait a faire demi tour quand Garagos le nouveau caravanier l'aborda.

Merci beaucoup pour cette objet très précieux mais je suis incapable de profiter des bienfaits d'un objet de cet enchantement. Avez vous abattue ce gant d'acrimonie? Cela me gênerait de devoir le laisser filé une nouvelle fois. Je déteste ces rejeton, leur capacité a se cacher et des plus gênantes pour se battre a l'arc.


 
Garagos Dagnir

Le Sukra 30 Jayar 1512 à 20h41

 
*** Ainsi donc, la créature avait disparue! Peu importait au "voleur", c'était une victoire pour le tydale qu'il était. ***

-Nous le retrouverons bien sur notre route, dans tout les cas, nous venons d'éloigner cette créature d'Arameth.
Il observa son épaule et après quelques secondes, il se remit à parler.

-Par contre, cette fichue créature vient d'abimé mon costume, et ça, c'est impardonnable.

*** Sans attendre une quelconque réponbse du nelda, il se mit en direction du nord tout en scrutant bien l'horizon à la recherche d'une créature sur laquelle il pourrait venger le "piteuse état" de son costume.
Plusieurs heures plus tard, voir même une demi-journée, des collines apparurent au loin et Garagos fit signe à Destan de s'abaisser!

Le prince des voleurs n'avait pas vu le temps passé et ne savait pas qu'ils avaient tout deux marché si loin. Ce fut d'ailleurs une pensée inutile quand il apperçut au loin un flaviste colossal. ***

-Abaisses toi! Un flaviste!

*** Sur ce, pour marquer le coup, il se cacha derrière certainement la seule pierre qui se trouvait dans le désert. ***


 
Terham

Le Dhiwara 1 Julantir 1512 à 20h43

 
Tiens... Un gant ?


*** Il essaye de l'enfiler...




Explosion. Poussière.

Le sable craché s'écrase sur l'homme. Projeté. Soulevé du sol le sable s'enroule la vague l'assome l'écrase le recouvre. Le poids écrase il s'enfonce. Le mou surgit la force revient. Tire, s'extirpe du rouleau. Là. Saute roule, les dards du sable traversent sa jambe. Glisse saute court, il s'échappe s'extirpe un instant retombe.
Ailleurs.
Aveugle gant. Terham roule derrière la dune, il s'enterre. Dans ce qui fait le corps ennemi. Les yeux sous le casque dépassent observent la chose. Murmuré le sort soigne : le sable irrite les plaies il s'extirpe tombe la plaie referme. Douleur.
Il observe.
Le gant.
Aux portes d'Arameth.



Des heures.





Le sable se calme. Le gant tombe. Ingénu.

Il s'endort. ***






















Tiens, un gant ?





*** Il essaye de l'enfiler.


Mortelle la pointe traverse l'épaule.

Il l'arrache elle se brise il s'échappe, se camoufle.

Observe...









Des heures.





Il revient.


Est-ce un gant ?

Il revient il le prend.

Par l'auriculaire...


Explosion. Poussière. Le gant éternue. Crissement. Tordu. Le gant dégénère la pointe traverse le gant. Le gant se blesse se tord s'effondre un moment. Terham regarde immobile à côté. Trop long. Le tas renaît trois pointes le crucifient il s'élève s'écroule, se casse en courrant.


Il a mal.


Des soins. Impassible dans le sable. Il continue l'étude. L'auriculaire, un point faible ? Le pouce ? L'index ? Le majeur ? L'annulaire ? Quelles réactions ? Y a t-il un pied ? Droite ? Gauche ? Dans le gant une réponse ? L'étude commence... ***


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