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Le Dhiwara 8 Julantir 1512 à 05h47
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Ils s'avancent, les plus fringuant, et on sent dans l'air un parfum d'excitation nouveau.
Ca ne vient pas d'eux trois, ils resteront là et avec un peu de chance n'auront pas trop à faire.
Alors, quoi ?
Elle regarde Crooot et Lyne du coin de l'œil, voir s'ils ne déborderaient pas d'idées intelligentes.
Le machin, sur son arbre, va-t-il continuer de les observer ou s'en ira-t-il ?
Avec Gushbood, ça serait le mieux.
En attendant d'être appelée en renfort, ou de servir à quelque chose, elle garde soigneusement sa bardiche non loin.
***
On saurait faire à manger pour si y'en a qui vont l'avoir, la faim ? Avec les aventures ...
Comme ce qu'on avait dit pour le bateau, je poste en marge n'étant pas en plein d'dans l'action. Si ça va pas, j'le bouge.
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Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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Le Merakih 25 Julantir 1512 à 04h39
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| Le débarquement s'est effectué sans heurt.
Tant sur les eaux que sur l'île règne un calme olympien, qui évoque pourtant davantage l’œil du cyclone que le beau temps. Les marins et symbiosés présents sont eux-mêmes silencieux, contaminés par l'ambiance plutôt glauque, qui contraste avec l'aspect bucolique de l'endroit. D'ailleurs, la Vigie privilégie la télépathie, une fois n'est pas coutume, pour communiquer... y compris avec les symbiosés présents sur la plage.
Aux marins, rameurs expérimentés et plus efficaces que leurs passagers, elle demande de rester aux embarcations, prêts à repartir si nécessaire - et fissa.
Aux symbiosés, elle propose d'avancer et de rejoindre les "attardés", ou plutôt, celles et ceux qui n'ont pas traversé le miroir. Sans tout comprendre de ce qui se passe, encore que Salti's la renseigne consciencieusement, elle sait que Mraw'La est restée à l'extérieur. Elle est donc séparée du vieux bougre...
Ce n'était pas prévu.
Ce n'était pas le plan.
Vaguement agacée, la Haut-Rêvante s'engage sur la piste laissée par la première expédition, contactant de temps en temps son amie pour s'orienter efficacement.
Penthésilée
Vigie du Rêve
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Le Julung 26 Julantir 1512 à 11h31
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| *** Je laisse Penthésilée s'occuper rapidement des marins, pour ma part je ne fais qu'écouter d'une oreille, et observer l'île de l'autre.
Quel lieu étrange.
Juste avant de la suivre, je demande par télépathie à la Nelda, en transmettant à Heltaïr :
***
Pourrais-tu nous informer de ce que tu sais sur l'île et ce qu'on y trouve ? Je n'ai pas été tenu au courant, mais je suppose que tu l'es, pour ta part, vu ton statut.
Je verrai ça de mes yeux, mais s'il y a des mauvaises surprises, mieux vaut les connaître à l'avance.
*** Puis je lui emboîte le pas, restant sur mes gardes. *** | |
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Le Sukra 28 Julantir 1512 à 16h40
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Ils ne devraient pas tarder à arriver, les arrières des arrières, et heureusement.
Crooot semble se faire hypnotiser par la petite bestiole pendant que l'autre s'approche de plus en plus.
Est ce que ça la mettrait pas en appétit, de les voir se remuer ainsi ?
Mraw'La essaie bien d''attraper l'excitée quelques fois, mais la couleur des poils arrachés à chaque tentative ne laisse aucune doute : la bête est trop rapide et le Nelda pas assez.
***
Roh, mais c'est, zut !
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Elle attrape Lyne dans ses pattes et la soulève à hauteur de combat.
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Souffles les dessus, bzzz, bzzzz !
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Oublié le plus gros animal, le danger le plus urgent à combattre est celle boule vrombissante.
Quoi, imaginez ! Si avec ses cornes elle venait à... A lui piquer l'œil ! Tiens ! Il aurait surement super mal !
Ah le beau spectacle, la belle bagarre pour les nouveaux !
SI ça n'ôte pas le bourdon à Penthésilée, ça ... !
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Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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Le Sukra 28 Julantir 1512 à 21h38
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| Penthésilée répond sans délais ni fard au petit témoin, lui détaillant en marchant les échanges de pensées partagées avec Salti's Dymer - sur le plan factuel - ainsi que le rapport de situation : un groupe dedans, un groupe dehors. Qui est où, et qui fait quoi...
Elle précise à ce sujet :
Finalement, c'est le groupe extérieur qui communique le moins. Je suis toujours en lien avec Salti's, un peu moins avec Mraw'la, dont les pensées sont souvent... colorées. Subtiles. Il y a un certain travail de décryptage à faire, pour bien la comprendre ; je manque un peu de subtilité.
Grand-père Dymer est du genre pragmatique, ce n'est pas plus simple, mais c'est plus clair.
Ouvrant la route, tous les sens aux aguets, elle use parfois de son arc pour écarter une branche, des broussailles, un taillis. Rien ne vient entraver la progression des symbiosés, qui avancent rapidement.
Sauf incident, ils devraient vite rejoindre les...
Les quoi ?
Les planqués, ou les plus malins ?
Penthésilée
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Le Dhiwara 29 Julantir 1512 à 23h25
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| La sérénité régnant en ces lieux s’infiltrait doucement en elle… Réchauffant son esprit.
La glace sur le point de rompre allait voler en éclats.
Elle était arrivée là ou elle le souhaitais. Où ça ? Nul part en particulier. Elle avait simplement perdu de vue la côte. Elle était simplement loin de tout. En ces terres étrangement pures… En elle la vie reprenait peu a peu… La dance des esprits mêlés en elle reprenait… Vive d’abord… Brillante par son incohérence… Puis peu a peu elle s’apaisait…
Elle était a présent adossée contre un arbre. Les yeux fermés… Sa cithare déposée sur ses genoux reste pour le moment silencieuse alors que ses mains restent immobiles, comme en suspens…
Puis, comme mues par une vie propre elles entrèrent en mouvement… Elle s’abandonnait. Sans réellement qu’elles y songent un chant débuta… Un chant étrange. Chaque mot, chaque son raisonnait de puissance… Une lente complainte d’Anarkan…
Guidés par l’étrange langage les flux commencèrent à se distordre autour d’elle… Le mana s’écoulait hors de son corps alors qu’elle captait jusqu’à la moindre parcelle de ce qu’elle avait pu accumuler dans l’anneau qu’elle portait a son doigt…
Le monde changeait autour d’elle… Elles ignoraient vers quoi. Mais elles le chantaient. Librement. Consumant tant leur mana que leur essence vitale… Elles étaient enfin libres.
Elles ne regrettaient rien. Personne sur ces terres qu’elle quittait n’avait besoin d’elle a ses côtés. Personne en ce monde qu’elle abandonnait n’avait su éveiller en elle l’envie de vivre… Personne a part Moë… Mais elles avaient fait leur choix… La moue s’était installée sur l’épaule de sa compagne et se laissait elle aussi emporter par la musique… Elle serait la pierre tombale. Dernière marque de leur vie en ce monde lorsque le corps de la poussiéreuse sera retourné à la poussière…
A part ce petit caillou rond ne subsisteraient que trois choses : ce chant qu’elle avait laissé dans sa cabine… Des souvenirs… Et (peut-être) les marques de ce qu’elle était en train de faire…
Alors que les derniers lambeaux de leurs consciences s’effilochaient elles sourirent tout doucement. Certains méritaient un dernier hommage. Un dernier conseil. Une dernière prière.
Pour qu’elles puissent être en paix.
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La fin du morceau.
La fin de la dance.
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Le Matal 31 Julantir 1512 à 22h37
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| La haut-Rêvante répond à Vorondil sans cesser d'avancer :
Oh, tu sais, ma préférence... dépendra de la situation. J'aime bien planifier mes entreprises, lorsque la vie d'autrui en dépend. Mais aujourd'hui, dans ce lieu dont nous ne savons rien, peuplé de créatures inconnues, aux règles nouvelles et mystérieuses, toute tentative sérieuse d'anticipation des évènements risque de faire choux blanc et de se retourner contre nous. Les mieux armés, dans ce genre de cas, sont celles et ceux qui savent improviser.
Un sourire désarmant, du genre philosophe
Je ne suis pas douée pour ça. J'ai trop peu de cordes à mon arc. Alors, je profite de l'instant, de ses surprenantes révélations, de ce qu'il nous réserve. Notre situation - je parle de la poussière en général - est à ce point déconnectée de nos choix, de nos croyances comme de nos espoirs, de nos décisions même, qu'il vaut mieux prendre ce qui vient au jour le jour.
Songe à ceux qui cogitent et s'échinent à comprendre, depuis des éons, comment ce monde tourne... et qui n'en savent pas plus que le premier chaudronnier venu...
J'ai fait partie d'eux, un bon bout de temps. J'ai tenté, de mon coté. J'ai monté des expéditions, mené des enquêtes, rencontré des puissants, fait des rapports à des gens très instruits, ou supposés tels...
Et résultat ?
La queue de la nelda fouette les herbes hautes, dégageant le chemin.
Nouveau sourire, en guise d'excuse :
Je ne sais rien. Rien de rien. Le peu qu'on m'a appris, petite, est même détricoté par ce que je vois.
Quel groupe voudrais-je rejoindre, dis-tu ? Aucune idée.
Tout ce que je veux, c'est sauver ce qui peut l'être.
A commencer par nos amis.
Le reste...
Elevant son arc dans la lumière
Vigie du Rêve, c'est un beau rôle au sein du Rêve. Il porte une dimension onirique, philosophique et culturelle forte. Riche de symboles, riche d'espoirs, riche d'une culture - non, de quatre cultures - extraordinaires...
Quand je quitte l'Ordre, quand je suis loin des miens : Vigie du Rêve, c'est archère.
Ca ne vaut pas tripette.
Penthésilée
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Le Dhiwara 5 Agur 1512 à 10h09
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| Tu fermes la marche de votre trio de soutien, attentif aux échanges de tes deux compagnons, mais tout aussi absorbé par le paysage alentour.
Une flore luxuriante, qui si elle n'a pas la majesté de l'Hatoshal, semble la supplanter par sa pureté. Une faune incongrue qui n'égalent pas la beauté ni la taille des cerfs blancs d'Hatoshal, mais ne contient aucune créature corrompue sanguinaire.
Les apparences seraient elles trompeuses ou ce lieu serait vraiment un havre de paix?
Dans un coin de ton coeur, en même temps que tu suis ton groupe, tu ressens un petit pincement, une gêne douloureuse dictée par la conduite de l'entropiste. Quelque chose ne tournait pas rond depuis plusieurs semaines avec Nyrndi et cela semble avoir atteint un point culminant. Impossible de dire ou elle s'est escamotée sitôt à terre, ni ses projets. Mais tu appréhendes néanmoins ... certaines choses.
Tu tentes de te chasser les esprits de cette idée qui te parasite l'attention. Reprenant la surveillance alentours et la palpation des Flux. Ici aussi ils sont altérés. Saccadés, irréguliers. Tu ne particpies pas à la conversation de tes compagnons, trop concentré sur tes pensées et analyses.
Vous continuez votre chemin, semblant suivre des indications recues par Penthésilée seule, qui ouvre la marche devant. La végétation est drue, libre, même autour de cette route pavée dont vous sentez les vestiges sous vos pieds. Les fougères géantes vous caressent les flancs, des lianes se prennent dans vos cheveux. Ton heaume accroché à ta ceinture, rythmant ta marche de battements sur ta cuisse, tu restes alerte le temps du trajet, mais rien ne semble survenir.
Bientôt, des bruits de voix et d'agitation.
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Le Vayang 17 Agur 1512 à 16h00
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| Papiiiiiiiiiiiiiiii !
Ce n’est pas tant un cri de panique que de surprise.
Contrairement à ce que laisse penser la scène qui se déroule dans la petite clairière, les étranges insectes dorés ne sont en rien agressifs. Tout comme leurs homologues bourdonnants, leur velléité principale semble être le butinage. Reste à savoir ce qu’ils trouvent de si particulier à la petite fille…
Petite fille qui, pour l’instant, n’y songe guère, subissant comme elle peut les assauts maladroits de dizaines de petites pattes velues s’agrippant dans le tissu de sa robe et s’emmêlant dans ses cheveux. Débordée, Lyne tente de se dépatouiller des bestioles en secouant ses cheveux en tout sens mais n’arrive guère qu’à se tordre le cou. Aveuglée par la cohorte bourdonnante, elle sent alors une des bestioles lui grimper le long des jambes, ses vibrions recouverts de ce qui ressemble à des minuscules plumes… à moins que ce ne soit d’étranges poils. Quoi que cela puisse être, le résultat ne se fait pas attendre : Lyne s’écroule au sol où elle s’étouffe de rire.
Houlàlà ! Huhuhu ! C’est trop chatouillant ! Hihihi ! Arrêtez les guilis ! Huhuhu !
Alors qu’elle se tortille par terre prise d’un inextinguible fou rire, son sac laisse échapper un petit pot de verre poisseux et solidement fermé…
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Le Merakih 22 Agur 1512 à 12h12
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| Un prédateur tel que lui se doit de traquer sa proie, des heures durant s’il le faut.
Passer la tête dans d’épineux buissons, creuser la terre de ses griffes pour y déloger une colonie de son nid, attendre sur une branche immobile pour espérer prendre par surprise, un téméraire de ces succulents bourdons cornus.
Car c’est là que réside l’intérêt de la chasse. Ils sont succulents. Acidulés et pétillants sur la langue. Délicieusement sucrés et légèrement soufrés : un régal.
Alors, lorsqu’un empilement, car il n’y a pas d’autre description de ce qui se tortille dans l’herbe, se rapproche de lui, il se pourlèche les babines. Il se désintéresse alors des curieux nouveaux arrivants, ouvre grand la gueule, vise l’empilement et se jette en avant.
La suite n’est qu’éclaboussure, salive et cris.
Il n’y a, d’ordinaire, rien ici de valable à se mettre sous les mandibules.
Une graine de myrtillacantha vénéneux fadasse, une bogue de marron rouge sans goût, une racine de boloumboloume insipide ou un dokkof de baie amère, non vraiment jamais rien à grailler d’excitant sur cette île.
Alors quand elle et ses sœurs ont senti cette odeur étrange avec l’arrivée des nouveaux arrivants, elles sont devenues folles. Elle ont envoyé en éclaireur l’une d’entre elle mais l’odeur ne vient pas de la truffe luisante du poilu mâle géant. Cette odeur qui fait grouiller les estomacs et saliver les bouches vient de la plus petite des étrangers. Elles ont alors oublié toutes les règles élémentaires de la prudence et se sont jetés sur elle pour être la première à gouter. Sorties en masse compacte du buisson où elles observaient jusqu’alors, elles ont entrepris l’ascension de cette merveille culinaire.
La suite n’est que vibrante nuée, salive et cris.
Une minute plus tôt il n’y avait que le vent dans les feuilles, l’herbe sous les pattes et cette curieuse créature ailée plus curieuse qu’agressive à surveiller du coin de l’œil.
Puis c’est le chaos.
Un essaim de gros insectes jaunes, cornus pour la plupart et tous plus vibrants les uns que les autres sort de sous un buisson pour recouvrir Lyne de la tête aux pieds.
Crooot, un instant interdit, repère le bocal de cerises au sirop que Lyne garde sur elle depuis leur gouter sur le clocheton du bateau avec Antiorn et qui a poissé ses doigts, sa robe, ses cheveux et le bout de son nez. C’est la frénésie autour du récipient. Les insectes pelucheux tente d’ouvrir le trésor. Le nelda fend la vague jaune de plus en plus grosse et, d’un coup de patte exercé, fait voltiger le bocal plus loin. La vague opère un ressac dans la direction des cerises tentatrices.
Il se tourne alors vers Lyne. La créature ailée est juchée sur elle la couvrant de ses ailes.
La suite n’est que salive et gémissements.
La Tydale, les cheveux noirs collés, sa robe trempée et les muscles du ventre noués à force de rire l’obligeant à se tortiller pour se relever, ressemble à ces otaries olivâtre que l’on croise sur les cotes des îles perdues de Syfaria.
La créature la libère après un dernier coup de langue.
Elle est couverte de salive et luit comme une confiserie à moitié léchée et abandonnée au soleil.
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Le Luang 3 Saptawarar 1512 à 14h42
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| La scène n'est pas celle attendue, d'un groupe en veille auprès d'un portail, non pas vraiment.
D'abord il y a l'agitation de la petite et du nelda. Cette étrange et presque inquiétante créature volante, version réduite de ce qui pourrait être un formidable adversaire. Et puis, mais bien loin derrière la bête ailée, cette masse d'insectes qui dispaait progressivement dans les fourrés.
A côte de ca, seule la Nelda -qui tu dois avouer, tu ne connais pas vraiment malgré plusieurs semaines à bord- reste impassible, près du portail.
'' Tout va bien, on dérange pas?''
En réalité, plus que la réaction des trois symbiosés lorsque vous déboulez dans la clairière, tu restes le regard fixé sur le gros lézard volant. C'est peut être pour cela que tu ne prêtes pas beaucoup garde à l'aspect peu reluisant de Lyne où l'apparence débraillé d'un Croot qui sort d'un combat
Tu n'avais qu'une envie en arrivant ici, c'était d'analyser la situation, et tout de suite après les Flux et en tester les capacités de réaction, mais maintenant, te voila soumis à un tout autre intérêt.
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Le Matal 4 Saptawarar 1512 à 20h38
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Elle se tortille, elle se dandine,
Elle aiderait bien, mais de loin ...
Elle ne remarque l'arrivée d'Heltaïr que lorsqu'il prend la parole.
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Ah, oui, c'est bien ! Voilà c'est l'épreuve - montrant les bestioles - , pour passer... Lui ! Elle désigne le volatile géant.
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Ah ! Au cas où il soit malin.
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Moi c'est déjà passé, c'est assez ... Facile. Plus bas. Mais les deux autres c'est Croot et Lyne, ils sont encore dans ce combat, n'est ce pas ! Condescendante. C'est toujours plus long que pour une guerrière.
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Elle tapote sa bardiche en sifflotant, l'air de rien, histoire d'éviter des questions qui la coincerait dans son mensonge improvisé.
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Le ridicule ne tue pas
- dit-on -
Et heureusement parce que sinon
On ne compterait plus ses trépas.
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