Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

expédition de chasse

un peu de balade, un peu d'action
Page [1] [2] [3]
Détails
Sujet lancé par Toufic
Le 13-08-1512 à 18h16
53 messages postés
Dernier message
Posté par Toufic,
Le 21-10-1512 à 13h15
Voir
 
Krondor

Le Matal 18 Saptawarar 1512 à 19h44

 
Peut-être bien...

Peut-être bien...

La douleur d'Oriandre n'est pas que dans les coups que nous y recevons.... Mais ... dans ce que nous y avons perdu.

Ce que j'espère trouver à Korsyne, eh bien... Ce sont les affaires de la Noire... Comprenez que je ne peux pas en parler, même à un Régisseur.


Le Général observa une dernière fois vers l'ouest.

Bien, nous devrions nous coucher, maintenant, le Commandant Dardalion nous retrouvera bien...

Je monterai la garde.


 
Jeaneudon

Le Merakih 19 Saptawarar 1512 à 09h27

 
Ha !!!

un truc de noiraud, je comprends.


Cette compréhension a toujours eu du mal à mentir et cette compréhension soudaine est assez peu convaincante.

Mais il est tard et il fait sommeil




ICI : Services de copie---ICI : pour suivre vos commandes

 
Toufic

Le Merakih 19 Saptawarar 1512 à 18h40

 
J'ai déjà tâté des effluves d'Oriandre et même de celles de Korsyne et je n'en garde pas un bon souvenir. C'est plutôt violent comme contact.

Alors vous avez raison : allons prendre du repos.
Demain, la journée risque d'être rude, alors autant disposer de toutes nos forces.


C'est clair, le Général avait une idée derrière la tête...
Et le commandant avait peur de deviner laquelle...



CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Krondor

Le Merakih 19 Saptawarar 1512 à 19h57

 
Le Général ne semblait pas enclin à continuer de parler. Machinalement, il fait un petit tour de ronde autour du feu de camp, puis il s'installa à un endroit surplombé d'où il pouvait voir assez loin...

Il sortit quelque chose de sa poche, tout en regardant toujours vers le même endroit. Au petit matin, il était toujours dans cette position...


 
Toufic

Le Sukra 22 Saptawarar 1512 à 19h36

 
Se tournant vers l'entrée de Korsyne, Toufic se demanda s'il ont pouvait se débarrasser des effluves comme l'on se débarrassait des créatures qui squattaient le désert environnant.

Il avait bien envie d'essayer d'en attaquer une pour voir si l'on pouvait la tuer et nettoyer ainsi la cité.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Jeaneudon

Le Sukra 22 Saptawarar 1512 à 21h59

 
Le silence était donc total puisque le régisseur n’aimait pas marcher sur les plates bandes des noirauds. Il se couchait donc pour passer une nuit tranquille puisque sous haute surveillance


ICI : Services de copie---ICI : pour suivre vos commandes

 
Toufic

Le Dhiwara 30 Saptawarar 1512 à 14h29

 
Finalement, la ville de Korsyne n'offrant plus que la vision d'une cité dévastée par les effluves de corruption, les tchaës décidèrent de prolonger leur route en direction de Jypska.
Ils avaient hâte de retrouver un peu de civilisation après ces journées dans ce désert aride.

Et puis, faut-il le dire ? Mais la vue des ruines de ce qui fût la belle cité de Korsyne ne faisait que leur rappeler douloureusement la perte de leur cité d'Oriandre.


Bon, alors en avant, direction Jypska ! Nous y ferons étape avant de rejoindre la cité d'Ulmendya que je propose comme destination finale de notre expédition.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Toufic

Le Matal 2 Otalir 1512 à 18h30

 
Finalement, cette expédition de chasse les avaient emmenés bien plus loin que prévu.
Après avoir fait halte à Jypska, Toufic avait repris la route et les transports nemen.

Arrivé à la station d'Ulmendya, le temps avait complètement changé : un vent glacial vous fouettait le visage et la neige recouvrait le sol.
C'était le nord !
Après pris la route qui le conduisait encore plus au nord, il se retrouva pour la deuxième fois devant les portes impressionnantes de la cité nemen.


Ulmendya nous revoilà !



CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Krondor

Le Matal 16 Otalir 1512 à 11h52

 
Si loin au nord-ouest, l'horizon que ne lâchait pas des yeux le Général paraissait plus jamais d'une ténébreuse augure.

C'est alors que la communication leur parvint...

Tous entendirent le mou de Nelle s'exprimer sur le consensus fraternel. Cela était, en soi, extraordinaire.

Le contenu de cette pensée l'était encore plus. Les sombres inquiétudes du Général se confirmèrent lorsque Thosen Noril lui résuma ce qu'il s'était passé, des lieux de là, sur une petite île paradisiaque...



Commandants ! L'heure n'est plus au tourisme ! Nous rentrons à Farnya immédiatement ! Sur le champ ! Prévenez vos Lieutenants en pensée, qu'ils établissent les premiers préparatifs. Nous discuterons des défenses à mettre en place en ville à bord du vaisseau nemen !

 
Toufic

Le Julung 18 Otalir 1512 à 18h13

 
J'arrive Général !
Je vais prendre un vaisseau nemen à la guitoune d'Ulmendya.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Jeaneudon

Le Julung 18 Otalir 1512 à 21h58

 
L'ordre n'était pas pour lui mais pour ce coup là il se sentait concerné. Il n'était plus temps à la villégiature et les prolos en goguette allaient rentrer au plus vite


ICI : Services de copie---ICI : pour suivre vos commandes

 
Toufic

Le Vayang 19 Otalir 1512 à 17h47

 
Toufic avait embarqué à la station nemen d'Ulmendya, direction Farnya.

Confortablement installé dans le vaisseau aérien, il observa une nouvelle fois les paysages magnifiques de l'île de Syfaria.
Tout d'un coup, il eût un mauvais pressentiment : il eût la vision très nette qu'il voyait ces paysages pour la dernière fois, que c'était la dernière fois qu'il voyageait à bord d'un tel vaisseau...
Cela lui assombrit fortement le plaisir de la traversée.


CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

 
Toufic

Le Dhiwara 21 Otalir 1512 à 13h15

 
Toufic avait débarqué à la station de Farnya.
Il entama le chemin le conduisant à la cité avec la persistance du mauvais pressentiment qu'il avait eu dans le vaisseau nemen.
Un sanglier furieux lui barra la route. Le commandant l'expédia rapidement ad patres, mais cela ne suffit pas à lui faire oublier ses sombres pensées.

Il continua sa route rapidement et il arriva en vue des murailles de sa chère cité. Mais cette fois, le retour chez lui ne se faisait pas avec le cœur joyeux.

Il avait l'impression que son monde n'allait pas tarder à s'écrouler...



CIVIS PACEM PARA BELLUM : Si tu veux la paix, prépares la guerre.

Page [1] [2] [3]
Vous pouvez juste lire ce sujet...