***
Un surprenant soupir, comme un adieu fraichement démoulé, lui était parvenu.
Il s'en était inquiété naturellement.Cela à part il n'avait que soigné de dociles et,
Téméraires guerrières. Des états variés: pleurs, rires, silence, explosions, rien,
D'inattendu là. Leur dernier combat, en voilà de quoi les exalter, les titiller, les,
Séduire, les réduire en bouilli aussi. En retrait - toujours - il parcourait les murailles,
Le plus loin possible des créneaux, secourant perdue après folle, figée après excitée.
Encore et toujours, les effluves lui donnait de quoi s'occuper. Tout était question de,
Dosage, d'économie de mana, d'équilibre, de touches et de couleurs. Suivre le fil des,
Blessées, suivre les coups, suivre la destruction, épuisant. Plus d'une fois le mïsh,
Ferma, ou détourna les yeux, ou plutôt il réussit à fixer le spectacle mouvementé.
La brosse était large, la main lourde. Les créatures comme les belles tydales,
Pigmentaient dans tous sens le froid ambiant, ainsi que le désespoir montant.
Entre calcule et dérivation pas de place pour l'admiration. Le devoir, rien d'autre.
Jamais auparavant il n'avait était si dédié. Bien sûr il n'avait vécu que pour servir.
La laisse avait était lâche, là elle l'étranglait et il étouffait sans aucune retenue.
Sans douleur cependant, physique oui, mais rien de plus. Tout était accepté.
Depuis longtemps, mais enfin il savourait son étreinte, tant attendue, si aimée.
Il allait y passer, déjà l’épuisement avait finit de le guetter, maintenant elle le,
Chassait. L'osmose ne suffisait plus, le flux le brulait, mais ce n'était rien.
Il chavirait, presque délirant, prodiguer quelques sorts encore efficaces.
S'il aurait eu le temps il se serait apprécié, il se serait dévoilé la face, ouverte,
De larges sillons pour y voire plus clair. Pour sentir, pour accueillir grand.
Il s'usait et enfin il prenait couleur, laissant derrière lui rites et mimiques.
L'étau se serrait, sa petite foi le libérait et bientôt il volerait de haut en bas.
***
Rayon de bonheur.