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Le Dhiwara 29 Julantir 1507 à 10h06
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 | *** Une petite ville cotière sur l'ile du Rêve. Baignée par la lumière d'un soleil se couchant sur l'océan du rêve. Le soleil disparait sous la ligne d'horizon, les lumières de la ville s'allument, et les Hauts-Rêvants continuent de circuler dans les ruelles de la cité de l'Ordre. Dormez braves gens, la Milice veille sur votre nuit. ***
*** Un son. Des notes ***
*** Des passants s'arretent. Les bruits prennent forment, semblent s'enchainer sur des tons montants et descandants. Mysterieux chants qui s'élèvents dans la nuit. Mélopée sourde semblant venir d'ailleurs. Le rythme s'accélère, puis... plus rien ***
*** Si ce n'est ces ombres qui apparaissent, longeant les murs, et s'évanouissant dans la nuit claire. Les passants sont inquiets. La milice est nerveuse. C'est déja la deuxième fois que ce phénomène se produit, inquietant les Hauts-Rêvants, à qui glaçant le sang, à qui faisant peur, n'osant plus circuler dans les étroites ruelles. Qui peut expliquer ce qui se passe? Surement pas la milice, qui a peur. Le vénérable Yitok est préoccupé, mais occupé par d'autres problemes. La Meute qui arrive en ville? Vous avez déja essayer de transpercer une ombre? ***
*** Qui ? *** | |
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Le Matal 31 Julantir 1507 à 11h16
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| *** Rester calme. Ne pas trépigner d'impatience.Se promener autour du phare de Jypska, vigilant. ***
Nchurdamz dit : Je te sens en pelote...Faudrait se calmer, tu sais. L'Apprenti, je pense qu'il y a pire... *** Kagrenac part d'un grand rire. Nerveux, sûrement... ***
Sûrement, Nchurdamz. Heureusement que Boaz m'a demandé d'enchanter son équipement, sans quoi je ressasserais cela... Que les vagues sont régulières....Puisse Païkan l'être tout autant !
La plume dans la main droite, je transcris Syfaria, de la main gauche je la manipule
Kagrenac Nacreth, Arcaniste au service de l'Ordre | |
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Le Matal 31 Julantir 1507 à 23h38
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| *** Un son s'éleve quelque part dans la ville. Les chants reprennent, une mélopée qui monte. Les airs ne sont pas des airs de fetes. Des chants religieux, peut-etre. Mais pas des chants joyeux. On prete l'oreille, on cherche à interpreter leur signification. Mais ils cessent encore une fois avant que l'on ai pu comprendre. ***
*** Le silence s'installe. Les Hauts-Rêvants scrutent la pénombre, cherche les ombres du regard. Et elles apparaissent. Longeant les murs, disparaissant, réapparaissant. Elle convergent vers le nord de la ville, mais semblent insaississables. ***
*** L'une d'elles passe devant Excello. Elle semble différente des autres. Elle va plus doucement, s'arrete fréquement. Et son visage apparait brievement. Un petit visage frappadingue. Un Tchaë ! ***
*** Mais le voici qui repart déja en direction du nord de la ville, et disparait derriere la taverne. *** | |
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Le Merakih 1 Agur 1507 à 19h22
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| *** Nonobstant cette saison qui se voulait plus propice aux fortes chaleurs, à la sécheresse, qu'à l'air humide et frais, le thermomètre tremblait d'incertitude.
Posté devant la Mairie, le Grand Noir sentit une bourrasque fraîche hérisser son pelage noir - ébouriffant son chef par la même. Des grains de poussière vinrent ternir son poil tandis que d'autres tentaient de s'infiltrer dans ses yeux.
Imperturbable, Boaz se contenta de plisser les yeux.
Et ce geste inconscient de croiser les bras pour se frictionner le temps de recouvrer une température agréable... A croire que l'Onÿr était insensible puisqu'il resta de marbre.
Son attention était portée ailleurs.
Les oreilles dressées comme deux paraboles, Boaz captait un son lointain. Il l'identifia sans trop de difficulté. C'était à n'en point douter le "signal".
Tendant un peu plus l'oreille avant qu'elle ne cesse, le guerrier identifia cette bizarrerie comme une complainte poussée par on ne sait qui.
Retour au silence.
Son regard noir scruta alors les environs à la recherche de quelque phénomène étrange lorsqu'il tomba sur un léger nuage de poussière au loin. Cette même bourrasque qui avait su l'asticoter quelques minutes auparavant.
Point d'affolement.
L'Onÿr passa une patte dans sa "crinière" poussiéreuse qu'il ébouriffa pour se débarrasser des grains qui le chatouillaient.
Son geste se figea et lentement sa patte retomba sur son arme qui dormait bien au chaud dans son fourreau.
Ses doigts glissèrent sur le pommeau puis se re-serrèrent sur le manche.
Les yeux rivés sur ces formes qui longeaient les murs, Boaz se tenait près à intervenir.
Son arme ne lui serait certainement d'aucun utilité néanmoins personne ne connaissait l'origine de ce phénomène. Aussi valait-il mieux être prévoyant !
La tête accompagnant le mouvement des yeux - ceux-là même qui suivaient les ombres - le Grand Noir était aux aguets.
Devant lui ces étrangetés disparaissaient puis réapparaissaient en ce qui semblait être une danse troublante.
Après quelques secondes les ombres étaient hors du champ de vision de l'Onÿr.
Les minutes passèrent et la banalité quotidienne refit surface plus vite que le guerrier ne l'aurait souhaité.
Pourquoi ces choses ne restaient-elles pas ? Quel intérêt avaient-elle à effrayer de la sorte toute la population de Jypska ? Pourquoi tant de questions et si peu de réponses...
D'un geste nonchalant Boaz donna un coup de pied dans une pierre qui traînait là.
Soupire. ***
dit : Boaz as-tu compris quelque chose à CA ? C'est bizarre tout de même... Beaucoup de remue ménage pour n'arriver qu'à ça.
Si tu veux mon avis, y a un p'tit malin qui se joue de nous. Voire même tout un groupe ! *** Boaz et Jakin soupirèrent en choeur. ***
dit :Je vois... Tu penses qu'aucun sorcier n'est assez compétent pour se jouer ainsi de la garde. Mais tu ne sais pas tout Boaz ! Tu ne connais pas tout, et même ce brave Yitok reste suspicieux...
Il faut te rendre à l'évidence. Il est des faits qui restent inexpliqués. C'est comme ça ! Et ainsi va la vie... - grogna Boaz.
J'admets que certaines choses aient du mal à être percées mais il n'est rien que nous ne puissions expliquer. Les Quatre se gardent bien de tout nous révéler parce qu'il nous faut progresser par nos propres moyens.
Nous trouverons...
*** Et l'Onÿr s'éloigna un moment de la Mairie pour reprendre tout depuis le début. *** | |
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Le Vayang 3 Agur 1507 à 10h38
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Fidèle à son poste, Brill Crocs d'Argent avait vu les heures défiler, figeant la cité dans un immuable sommeil que seuls les tant attendus rayons de l'aube pourrait briser. Tout était calme et silencieux.
Le sorcier avait prit la décision de mettre à profit ce temps passé à monter la garde pour perfectionner sa maîtrise des arcanes, et tout en restant le plus concentré et vigilant possible, s'exercait à laisser s'échapper une part de sa vie en flux de mana, pour se soigner immédiatement et goûter aux agréables picotement que procure l'arcane d'Essencialis.
Soudain, son oreille perçoit un son lointain. Un chant. Une mélopée qui envahit peu à peu les rues en se rapprochant de lui. De fugitives sihouettes rendues troubles par la brume passent près de l'armurerie, filant tel des spectres dans la nuit.
Brill cligne des yeux et saute du toit de l'armurerie afin de les suivre. Une des sihouette semble plus tangible que les autres et contourne la taverne. Le Nelda accélère, et tend sa main devant lui en y faisant éclore une lumière bleutée créée par l'arcane de Chimère. Au tournant, il débouche en trombe sur l'arrière cour de l'établissement, ...personne.
Réajustant la lanière de son sac, le nelda se penche et regarde si les ombres ont laissés des empreintes sur la terre battue en faisant tournoyer trois petites sphères lumineuses au dessus du sol. Une manière de savoir s"il s'agit de spectre en lévitation ou bien d'humanoïde vivants. La ville n'est pas encore levée que la Griffe fouille encore l'arrière de la taverne, sous les tonneaux, recherchant quelques indices.
Finalement, c'est le patron de la Taverne qui ouvre la porte arrière en faisant rouler un tonneau.
Héjïa Rhon, puis-je vous être utile ?
Le tenancier doit se demander ce qui amène un sorcier vêtu d'une tunique arcanique et portant l'insigne de la meute de Korsyne à fouiller ses détritus. Levant les yeux vers le tavernier, Brill se contente de renifler en refermant le couvercle d'un tonneau.
Héjïa mon brave. Comme moi, vous avez dû entendre les chants et voir les ombres ? Il paraîtrait qu'elle affectionne les parages et y vagabondent souvent la nuit. N'avez vous rien remarqué de particulier ces derniers temps ?
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Le Vayang 3 Agur 1507 à 11h38
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| *** Pendant ce temps, près de la Mairie.
Kagrenac se hâte, il a quitté le phare où son ami Boaz lui avait donné quelques effets à enchanter. Ce fut une chose bien difficile que de la faire tout en veillant aux bruits et passages éthérés...
Un sabre et une épée courte étaient enchantée au premier cycle. Ne manquaient plus que les pièces d'armures de Boaz pour parfaire le tout.
Le Fantasmagoriste s'aprocha donc de son ami :
***
Quelle nuit par Toh ! Jamais on ne pourra fermer l'oeil, soit parce que nous attendons ces chants soit parce que nous les entendons ! Te rends tu compte Boaz !
Enfin, j'ai là de quoi te réjouir. J'ai craint que cela ne fut trop long, mais le plus long fut de te rejoindre avec ma vue...Voici tes armes. Enchantée au premier cycle.
Si tu as autre chose à me donner à enchanter,je pourrais le faire sans peine ou presque...C'est une matière où figure toi l'endurance magique est primordiale.
L'endurance physique est quant à elle utile, mais pas nécessaire pour la rapidité d'exécution...
As-tu du nouveau, ou bien comme moi tu entends sans pouvoir saisir ?
La plume dans la main droite, je transcris Syfaria, de la main gauche je la manipule
Kagrenac Nacreth, Arcaniste au service de l'Ordre | |
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Le Vayang 3 Agur 1507 à 20h33
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| *** Le Grand Noir sembla soulager de voir Kagrenac débarquer avec ses armes enchantées au premier degré. Manifestement ces Ombres avaient créé du mouvement dans la ville et le passage se faisait de nouveau de plus en plus fréquent.
Boaz prit cela pour un bien. ***
Sashi de tes services mon ami ! Voilà qui me rendra bien service pour la suite...
*** L'Onÿr reprit ses armes, les mania avec agilité pour constater leur "transformation" même si bien conscient que le changement ne serait notable qu'une fois testé sur un ennemi. Il les rangea donc puis ôta son armure de cuir clouté pour la donner au Fantasmagoriste. ***
Voici pour toi mon ami. Peut-être te donnera-t-elle plus de fil à retordre mais c'est l'élément clé de ma protection, de votre protection à tous.
En ce qui concerne ces "choses"... Rien que tu ne saches déjà. On ne peut ni les saisir ni voir leur visage... Enfin... Si tant est que ces ombres en aient un !
J'attends d'avoir des nouvelles des autres... | |
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Le Vayang 3 Agur 1507 à 22h51
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| *** Le Nelda arriva et fit son rapport aux autres. ***
Héjia à tous.
J'ai vu ces ombres la nuit et c'est vraiment... spécial ! On ne pouvait pas les attraper, ni même les toucher et elles ont disparu juste après.
Même Abruze a essayé mais rien à faire.
dit :Je confirme. Je n'avais jamais vu ça encore. *** Pendant que son Mou parlait, Frallomm était parti dans ses pensées, comme si une chose l'avait frappé. ***
Je pense à un truc. Elles sont toutes parti vers le nord. C'est votre cas à vous ? | |
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Le Sukra 4 Agur 1507 à 10h08
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| *** Varkos secoua la tete en réflechissant. Les ombres et la musique etaient liées, mais ils n'en savaient pas davantage, si ce n'est que les ombres convergent vers le nord. Que se passe-t-il au nord, et pourquoi tout disparait-il? Le mieux etait sans doute d'aller voir sur place. ***
Tout le monde est là Polki?
Polki dit : La meute de Jypska est présente, et il ne manque que Excelo de Korsyne.
Boaz et moi allons nous occuper de la sortie. Les autres se dispersent au nord, j'offre une prime à qui intercepte une de ces ombres.
***
Le Nelda se dirigea vers le nord pour prendre position.
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Ordre, Conscience  Apprentissage, Durée.
Artisan bijoutier de l'Ordre | |
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Le Dhiwara 5 Agur 1507 à 17h55
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| *** Après un long rêve songeur, Païkan se réveilla de nouveau. Il se sentait différent mais toujours troublé par les événements actuels. Les même questions récurrentes revenaient toujours dans la ville. Les offrandes aux Quatres commencèrent de s'établir devant les stelles. La ville toute entière n'y comprenait rien.
Cependant, un fait récurrent revenaient toujours. Ses ombres apparaissent au Nord de la ville après des chants. Mais d'où venaient ses chants, qui les chantaient?
Alors que les Hauts-Rêvants sombraient dans la peur et l'inconnu la meute commençait à s'organiser.
Les événements commencèrent à s'accélérer. Arcrhon Excello aurait vu une ombre, un Tchäe il aurait vu près de la taverne. Nul doute qu'il était désigné pour entrer en contact avec ces êtres, en espérant qu'il puisse comprendre la Tchäe ... pour peu qu'elle ne parle pas, la tâche serait encore plus difficile.
Païkan tentâ de rejoindre son maïtre et la Meute. La direction était toute trouvée, le Nord de la ville en était la clé. Lorsqu'il arriva tout le monde était au rendez-vous ou presque.Il surpris Varkos demandant si tout le monde était au rendez-vous ***
Non, je vais m'établir en tant qu'invité pour cette quête. Un disciple a toujours à apprendre de ses ainés. Heijia Arcrhonï.
*** Il écouta attentivement pendant un temps. Dans sa tête il réfléchissait ***
dit :Est-ce que ses ombres seraient liés au passé de Syfaria? N'est-ce pas un simple tour de magie noire? Une nouvelle discipline. Et ses îles au Nord sont-t-elles visitables ? Hantées peut-être ?! *** Tant de questions sans réponses. Il fallait se concentrer sur les faits, uniquement les faits. Nous attendions tous l'unique personne ayant vu ses ombres. Il allait surêment nous donner de plus amples détails ***
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Le Luang 6 Agur 1507 à 04h24
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Cela fait de semaine d’aujourd’hui que Sindid cherche les transports neem avec son chef l’Onÿr Boaz et Brill un membre de la meute. Le groupe avait pour destination Korsyne, là-bas où Boaz a décidé de réunir toute la meute de Korsyne afin d’entamer les entraînements. Après des jours de recherche les membres de la meute de Korsyne encore présent dans Jypska, réussirent à trouver les transports après quelques lieux au sud du pilier de poussière …
Il été prévu de rejoindre le reste de la meute dans Korsyne, mais des sombres événement sont survenus dans Jypska, alors Boaz décida de changer de programme afin d’aider la ville à sortir saine et sauve de cette sombre affaire …
Pendant le chemin de retour, les membres du groupe furent attaqués par une créature qui les empoisonna, gravement blessé Sindid décida de se replier à coté des transports et se soigner bien comme il faut.
Quelques jours après, Sindid fini par se rétablir, il reparti vers Jypska, tout en contournant l’endroit de la créature sauvage, pour rejoindre les autres membre du groupe.
Une fois arrivé en ville, Sindid rencontra son chef qui lui ordonna de garder un secteur et également surveillé quelques individus suspects …
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Le Matal 7 Agur 1507 à 18h18
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| *** Kagrenac avait suivi les deux neldas, Boaz et Varkos. N'étant pas de la meute, ses choix n'étaient pas soumis aux ordres du Draineur de Songe. ***
C'est ce que je pense depuis le début, Boaz...
Mais ce n'est pas une hypothèse réconfortante car si c'est de sorcellerie qu'il s'agit, nous devrons être extrêmement prudents...
Il y a selon moi deux possibilités, magiques.
Soit ce sont des êtres de poussière qui pour une raison quelconque usent de sorts extrêmements puissants de la Sphère de la Chimère (et de l'Evolution, car leurs déplacements sont très rapides).
Soit ce sont des entités magiques suscitées par je ne sais quelle magie qui obéissent à des buts obscurs d'un maître sorcier.
Dans les deux cas, cela ne me dit rien qui vaille.
Qu'y a-t-il de particulier, au Nord de Jypska ?
*** En attendant la réponse, Kagrenac usa d'un sort de la Sphère de l'Evolution qu'il rata... Puis il s'exerça à un sort mineur... ***
La plume dans la main droite, je transcris Syfaria, de la main gauche je la manipule
Kagrenac Nacreth, Arcaniste au service de l'Ordre | |
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Le Merakih 8 Agur 1507 à 19h49
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| *** Plusieurs jours passèrent sans que les ombres n'apparaissent. Les Haut-Rêvants se demandaient si ces ombres étaient magiques, si il y avait un sorcier derrière tout cela. Découvriraient-ils la raison de la présence de ces ombres? En attendant, le moral de certains Neldas baissait, et les habitants de Jypska commencaient à craindre ces "ombres noires", comme elles étaient surnommées. ***
*** Les Neldas etaient allés se poster au nord de la ville depuis plusieurs jours, là où les ombres semblaient converger. La nuit était calme, les habitants se prenaient à ressortir de chez eux le soir pour aller discourir à propos du Rêve. Quand... ***
*** Le son était faible, mais audible. Une mélopée. Pas un chant joyeux, mais une sorte de chant sacré. Et les ombres apparurent. Semblant danser sur les murs. Semblant crier dans le silence. Elles s'éparpillent, d'autres montent vers le nord, ignorant que des Neldas aux aguets les surveillent. Avec précaution, quelques ombres se faufilent le long du Mousht'in. et se dirigent tranquillement vers les maisons le long de la muraille. ***
*** Sans se douter que des guerriers sont prêts à agir... *** | |
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