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Le Julung 16 Agur 1507 à 01h13
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| Un bruit ! Nilbative se saisi d'une de ses flèches, pour s'en servir comme pique, prêt à repousser une autre attaque.
Heureusement ce n'était que Wicalekath, son attente d'aide était terminée. Elle n'avait durée que quelques heures, qui lui avait paru des jours, à souffrir dans son trou, à attendre le retour du loup et de l'assulter.
Le Tchaë lui fit boire une potion qui eue pour effet de soigner les blessures les plus graves, au moins assez pour permettre à Nilbative de se soigner lui même les nombreuses autres blessures.
Il faut dire que Nilbative commençais à maitriser l'art de l'auto-bandage, s'étant retrouvé dans des situations difficiles durant toutes ses expéditions.
A peu près remis, il arrivas à dire, avant de se rendormir
Je pense pouvoir repartir demain, mais il vas falloir que tu m'aide. Ce loup m'a salement amoché la jambe, je ne peut me déplacer tout seul.
Et il se rendormis aussitôt, épuisé par sa journée mais serein, quelqu'un veillerais sur lui.
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Le Vayang 17 Agur 1507 à 12h19
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| Citation :Sandolphan venait de reprendre connaissance.
Son dernier souvenir fut ce Gambol et son attaque sournoise et fulgurante.
Un coup à lui arracher les entrailles.
Il n’eut même pas l’occasion de voir son ennemi. A genoux par la douleur il crachait ses poumon et renvoya son déjeuné, avant de soigné cette blessure atroce, assis le long du chemin de montagne.
Il chercha la bête mais ne la voyait toujours pas.
Que faire ?
Il se souvint de son stage de survie et l’erreur qu’il avait commise en continuant d’avancer et tomber sur un nouvel ennemi.
Cette fois il décida de rester sur place et se soigner.
Rien ne servait de retourner en arrière car les loups sanguinaires n’étaient pas bien loin.
Et avancer sur le chemin au risque de tomber sur un nouveau danger ou pire sur le Gambol, ne lui disait rien non plus.
Il espérait que la créature qu’il avait reconnu comme un Gambol par sa formidable attaque, le laisse tranquille et continu son chemin.
Malheureusement la bête ne voulait pas en rester là.
Une deuxième attaque aussi foudroyante que la première laissa Sando allongé à terre, sans connaissance. Impossible de se lever ou d’avancer. Une douleur atroce dans tout ses membres n’était là que pour lui rappeler qu’il était toujours en vie.
Il se rappela le dicton qu’il avait marmonner dans la taverne à Wikalecath et s’écroula dans le chemin.
Une troisième attaque du monstre lui ôtât toutes douleurs…
… Une sensation qu’il connaissait bien
… Un mauvais souvenir déjà vécut.
… Un temps interminable qui s’écoule.
… Un réveil douloureux auprès d’un pilier de poussière.
Cette fois son inconscient l’orienta vers le pilier d’Oriandre.
Sa mission surpassait son instinct et c’est à coté du comptoir de la confrérie d’Arameth à Oriandre qu’il ouvrit difficilement les yeux.
Pas une minute à perdre, ou en était ses compagnons de route ?
dit :Ils sont toujours sur la route, blessés eux aussi.
Tout en se soignant il orienta son esprit vers eux.
*** Je suis toujours là…
Faible mais j’avance vers vous.
Je vais tenter de trouver de l’aide, pour me soigner et pour sécuriser votre arrivé en ville.
Courage compagnons… ***
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Le Vayang 31 Agur 1507 à 08h34
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| *** Parti à la recherche de Nilbative, c'est sur Wicalekath qu'il fini par tomber!
A l'entré de la ville, observé par un gros loup qui ne demandait qu'a gouter une bonne viande bien fraiche...
Sando avait longée l'enceinte de la ville pour finalement se retrouver à l'entré nord sans croiser Nilbative...
c'était plutot inquiétant...
dit :Tiend on dirait ton ami Wicalekath la-bas au loin!!
[action]C'est pourtant vrais!!! Allons voir si tout vas bien *** | |
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Le Dhiwara 16 Saptawarar 1507 à 04h08
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| Un grand trou noir et un reveil près du pilier d'Oriandre.
Nilbative était jusque là passé a travers, passant de peu a chaque fois, mais cette fois la mort l'avait rattrapée.
Encore un loup, il fallait croire que la Fraternité les élévaient tellement ils étaient nombreux. Impossible de faire trois pas sans tomber dessus.
Et une fois qu'ils avaient flairés leurs proie, il ne la lachaient plus, jouant avec elle, lui laissant reprendre espoir avant de fondre dessus au moment ou elle s'y attend le moins...
Le sshar'k crééait vraiment de réels abominations.
Et au pilier, personne. Il devait devait pourtant retrouver Sandolphan.
Il fallus encore 3 jours à Nilbative pour qu'il retrouve complétement ses esprits, qu'il répare son matériel...
Sandolphan refit enfin surface et il revint avec de mauvaises nouvelles. Wicalekath semblait dans un état second, ne répondant plus ni a la parole ni par télépathie. Leur mission semblait terriblement compromise, les deux derniers membres de l'expédition n'était pas Tchaë et n'avait pas eu l'autorisation d'aller en ville.
Une décision devait être prise et ils reçurent de nouveaux ordres, recontourner la ville et raccompagner Antiorn jusqu' en Arameth.
Enfin une bonne nouvelle, revoir Arameth, quoi de mieux pour oublier les terres de la Fraternité et cette mort horrible...
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Le Merakih 19 Saptawarar 1507 à 06h26
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| *** Le territoire le la bête avait été établi. Entre les montagnes se trouvait un sillage de pierre. Sur ce sillage de pierre se trouvaient des bipèdes. Et la peur des bipèdes était aussi douce que leur chaire.
Une odeur, un bruit. Un bipède approchait. La bête l'avait sentie de loin. Autrefois, elle aurait fui. Mais maintenant, elle se sentait invulnérable. Et elle détestait. Autrefois, il n'y avaut pas d'autrefois... ou si peu. Maintenant, il y avait plus de possibilités. Plus de force.Et la haine.
La bête attendit. Il fallait savoir si le bipède venait en meute ou non. En meute, les bipèdes étaient dangereux. Esseulées, ils étaient des proies faciles.
Une odeur. Celle de la lumière et de la chaleur. Celle de la chaleur qui tue les arbres après la foudre. Un instinct d'autrefois fit surface. La bête tressaillit. Un bipède accourait en brandissant la chaleur et la lumière. La bête planta ses quatre pattes au sol et se mit à grogner, entre l'instinct d'autrefois de fuir et la haine, hésitante.
Le bipède semblait seul. Avec la fumée, difficile de sentir autre chose. Peut-être le bipède voulait-il cacher sa solitude ? *** | |
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Le Merakih 19 Saptawarar 1507 à 18h33
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| *** La bête plongeait son regard des les yeux de l'explorateur. Jamais de sa vie Nilbative avait-il lu une intelligence si vive chez un animal. De nombreux crisatux du S'sarkh parsemait le pelage de l'animal, formant par endroits des strates qui ressemblaient à des écailles à travers le pelage. Une bave jaunâtre s'écoulait de sa gueule entre une rangées de dents démesurées.
La bête restait là. Il n'était pas question de délaisser un territoire si riche en nouriture, si riche en peur, et ce malgré la chaleur et la lumière. La haine de toute vie montait en elle, surpassant de loin les vieux instincts de préservation. Le bipède devant elle avait beau se réfugier derrière les cendres chaudes de la foudre, elle se sentait invincible, elle avait faim de chair, soif de peur.
Esseulé dans les montagnes et face à un adversaire bien trop fort pour lui, Nilbative paya sa témérité à prix fort. Nul n'entendit ses cris si ce ne fût que la bête qui s'en reput goulouement.
Plus loin dans les montagnes
Le gambrol avait été attiré par le fumet du repas préparé par Sandolphan. Nonchalament, il était parvenu au feu de cuisson où trônait un lapin qui grillait. s'approchant précautioneusement, il dégagea d'un bon coup de patte la carcasse du petit gibier qui vola loin des braises.
Tout d'abord humant, léchant, puis enfin mordant à pleine dent, maigre repas sans effort semblait le contenter pour le moment. *** | |
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