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Le Matal 18 Saptawarar 1507 à 12h51
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| Fëa Ura venait de perdre la trace de ses compagnons partis pour l'Equilibrium. Des routes se croisent, des odeurs se mélangent, et les pistes s'égarent... surtout quand on n'y voit rien... Bref Fëa avait le choix entre courir vite et loin pour les rattraper ou bien rentrer se remplir le ventre du vin de Lerth en écoutant les ragots et les prochaines expéditions.
D'un côté, une fatigue certaine, de l'autre un réconfort motivant. Fëa reprit le chemin de Lerth.
Rose dit :Euh, tu fais quoi là ? Tu te trompes le vieux, ils sont pas parti par là, tu retourne sur tes pas, espèce d'aveugle cinglé ! Eh tu m'écoutes ? Demi-tour, tu t'es gouré, halte là, stop, niet !
Mais pourquoi je me suis symbiosé avec le seul être sénile et stupide de la création...
Tais toi, j'ai soif. Ca te va comme réponse ? Oui, parfait, alors ferme ta mouille et laisse moi boire tranquille, mon instinct me guide aussi sûrement que tes yeux vers la taverne la plus proche.
L'instinct de Fëa peut être pas, mais sa mémoire sans doute l'amena à la taverne du S'sarkh miséricordieux. Gégé, le tavernier l'accueillit comme il se doit : comme face à une mine d'or... ce que Fëa était pour lui.
Quelques remontées gastriques plus tard, Fëa se retrouva dehors avec comme compagnons un transcient, mélange de transsexuel et de chiant selon Fëa, du nom de Serphone, un énième propage, propageant le S'sarkh sait quoi mais certainement pas du bon vin à son haleine, répondant au nom de Randall Tallstag et un protecteur, protégeant sa peau avec difficulté... Harlok si la mémoire embrumée de Fëa daignait s'éclaircir.
Enfin bref, partis bras dessus, bras dessous, et une bière à la main, Fëa chantonnait :
Heureux qui comme le S'sarkh,
A fait un beau voyage
Heureux qui comme le S'sarkh
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Après maintes traversées
Le pays des vertes allées
Bref tout allait pour le mieux... au moins jusqu'au pilier de poussière... car après, même un aveugle aurait senti le danger lui hérisser les poils de la nuque. Et question poil, Fëa l'était justement, au poil.
Je sens des tourbillons de vent secouer le feuillage et les animaux de la forêt fuient quelque chose en face de nous... quelque chose de dangereux... Prudence !
Rose dit :Voici l'histoire d'un tydale capable
De courir vite, et de voyager loin
Dans son épopée formidable
Nous le suivrons, une bière à la main
(bière pas cher à la taverne du S'sarkh miséricordieux, promo si vous venez de la part de Fêa Ura.)
Nous sommes les témoins du S'sarkh
On prie le jour, on boit la nuit
Et on aime bien ceux de la surface ! | |
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Le Matal 18 Saptawarar 1507 à 18h31
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| - Fea, tu veux bien te taire une minute? Y'a un truc pas net dans le bout de foret la bas et ca m'inquiete un peu...
Jeod dit :- Mais ouais, t'es toujours inquiet pour un oui ou pour un non toi de toute facon... allez, ca doit etre un gros sanglier. Chiche que tu vas voir?
Jetant un regard circonspet a son Mou, le tydale repond par l'affirmative:
- Je vais jeter un oeil. Restez la.
Jeod dit :- Et en plus il y va, cet abruti... hé les mecs, l'attendez pas, ca sert a rien, il va se faire bouffer!
- Jeod, la ferme. J'essaie de me conc...
Au dessus de lui, quelque chose vole et va percuter Serphone a l'arriere du groupe. Juste apres, c'est a son tour de prendre un coup.
- Nom de...
Surpris par la creature, Randall n'a que le temps de concentrer sa force dans ses bras et ses jambes pour charger la creature et lui porter une puissante attaque. Malhereusement, peu habitué au terrain forestier, il ne prend pas garde aux buissons qui entravent le chemin.
Levant bien haut son arme, il va pour l'abattre lorsqu'il se rend compte que ses pieds sont enchevetrés dans des ronces. Il se vautre lamentablement alors que l'abomination se prepare a l'attaquer au sol. Il a juste le temps de degager ses pieds et de rouler sur le coté, se relevant peniblement.
- Par S'sarkh, tu vas y passer!
Et il resserre sa prise sur le manche de son arme. Abomination contre hallebardier tydale, premier round. Jeod, comme a son habitude, se veut rassurant et pragmatique:
Jeod dit :- Bon, au moins une fois mort tu n'auras pas bien loin a aller pour retrouver le groupe, le pilier est a cinquante metres, la bas.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai... | |
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Le Matal 18 Saptawarar 1507 à 20h12
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| L'avertissement de Fëa n'avait pas loupé et se dirigeant sur la route du nord-est, Serphone avait pu constater le vol dangereux d'une Kryline de taille fort imposante. Elle appartenait à cette espèce devenue démente pour une raison obscure, que même les Transcients les plus érudits n'osaient attribué aux effluves du Roi de Miséricorde. Elle surveillait avec force et énergie le passage que le petit groupe devait emprunter à tout prix pour rejoindre les terres du Nord.
Et déjà, le Transcient se demandait si cela n'avait pas été une mauvaise idée d'engager ses compagnons dans un tel bourbier. Mais Fëa était un homme dont la robustesse égalait le taux d'alcoolémie et il ne doutait pas des capacités martiales de Randall.
Bref, décidé à passer, le groupe entama aussitôt les hostilités, Serphone le premier. Au détour d'un des cercles aériens qu'effectuait l'abomination, le sorcier lança un projectile magique qui se perdit haut dans le ciel mais qui ne manqua pas d'enrager la Kryline, venant aussitôt percuter le tydale avec violence. Se relevant, le Transcient prit aussitôt des mesures. Des soins et une aura de renforcement auquel Fëa vint ajouter une régénération de mana aux effets troublants.
Plus loin, proche de la forêt, Randall était devenu la cible privilégiée de la grosse bestiole, heurté tout d'abord puis esquivant de justesse une autre attaque. Le sorcier engagea immédiatement un autre assaut magique qui échoua et qui, de plus, ne détourna pas l'attention de la créature du Propage en mauvaise posture.
Il demeure dans notre esprit et erre dans l'océan, car les ombres du premier sont infiniment plus profondes que les eaux du second
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Le Matal 18 Saptawarar 1507 à 22h09
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| Nouvelle tentative. Cette fois, le coup porte dans la bonne direction et aucun obstacle imprevu ne se montre.
Ah, si. La creature est assez agile pour esquiver, mais par dessus le marché, elle riposte, ce qui a pour effet d'envoyer bouler le tydale quelques metres plus loin dans un petit vol plané assez impressionnant, l'impact etant toutefois amorti par un buisson non loin de la. Il rentre dedans a la vitesse d'un petit caillou qu'on lance, provoque moult craquements de branches.
- Espece d'abomination a la c...
Jeod dit :- Reste poli, tu veux?
Randall sort du vegetal, furieux, et lorgne la creature qui lui fait face en le narguant.
- Le prochain, tu le prends. Et je t'interdis de discuter.
Jeod dit :- Randall, tu parles tout seul maintenant? A mon avis elle se contrefiche de ce que tu racontes, mon pauvre garcon...
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai... | |
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Le Merakih 19 Saptawarar 1507 à 08h38
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| A l'oree de la foret, le combat faisait rage entre les deux adversaires. Comme coupés du reste du monde, cela ne les concerne plus qu'eux deux. Lui et l'abomination.
Les coups pleuvent de toute parts, reussis ou non, entaillant la chair ou le bois, peu importe, il n'y a plus de difference, il n'y font plus attention, absorbés tant et si bien dans leur petit manege.
Ceux qui sont encore sur la route peuvent entendre les cris de Randall ou bien les plaintes de la creature. Ou etait-ce l'inverse? Le tout entrecoupé de moments de silence inquietant, laissant penser qu'un des deux avait ete vaincu, pour que le tintamarre reprenne de plus belle quelques secondes apres.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai...
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Le Merakih 19 Saptawarar 1507 à 11h53
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| Fëa comptait les points. Pour le moment Randall menait largement face à la bestiole. Tout du moins selon le comptage de l'aveugle.
Ah, un autre coup qui fait siffler le vent, tranchant les feuilles d'aubépines tel le sabre sur la bouteille de champagne... Un autre point pour ce coup dans le vent...
Rose dit :Et l'aider, tu ne comptes pas le faire ? Je sais pas moi, tu maîtrise une magie puissante, des bras robustes et euh... une cécité précise...
Bon d'accord, regarde... et fais toi pas mal !
Fëa jubilait devant ce spectacle sonore, enchaînant grommellements et râlements avec le bruits des griffes sur l'armure du propage. De toutes façons, Fëa ne mettrait pas la vie du propage en danger... Il connaissait deux trois sorts pouvant soulager la douleur...
Il se tourna vers le magicien de soutien, Serphone et afin de pimenter ce combat... Fêa lança un sort fidèle à son esprit... aléatoire et pas forcément d'une grande aide... Puis ressentant les osmoses de mana du transcient...
Hum, d'après moi... je vais devoir prendre une petite rasade de ce petit vin de Lerth pour m'éclaircir les idées... et arrêter de semer le trouble dans l'esprit des autres... Oui c'est une sage décision je pense... Faudrait que j'arrête de penser surtout.
Rose dit :Quelque soit l'issu, tu fêtera la victoire... alors à quoi bon ménager du suspens ? | |
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Le Merakih 19 Saptawarar 1507 à 17h15
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| Il n'attendait qu'une petite ouverture pour se jeter sur son adversaire. Le manche de sa hallebarde fermement empoigné, il se concentrait. En face, son adversaire attendait justement qu'il se precipite avec un peu trop d'entrain.
Une fleche venue de nulle part siffle en passant juste a coté de la creature - c'etait tout ce qu'il attendait. Avec force, il fit tournoyer une fois de plus son arme. Le puissant cri qui s'ensuivit lui indiqua qu'il avait fait mouche. Mais il constata non sans etonnement que sa lame avait bien entaillé son adversaire et etait quelque peu bloquee. Le temps qu'il la degage en tirant d'un coup sec, l'abomination avait deja preparé la riposte.
Nouveau choc, nouveau cri de douleur. Les deux opposants sont de nouveau en train de se jauger du regard, mais la fatigue commence a apparaitre, et d'un coté comme de l'autre, le sang commence a couler par les blessures... la suite promettait d'etre longue, mais passionnante.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai...
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Le Julung 20 Saptawarar 1507 à 08h47
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| Il etait de plus en plus habitué a la geographie locale et etait suffisament concentré pour pouvoir porter ses coups avec une certaine precision. Toutefois, l'abomination elle aussi semblait d'habituer au rythme du combat. Ainsi, lorsqu'il etait sur le point de toucher, le monstre trouvait toujours le moyen d'esquiver ou de parer son coup, rendant le tydale encore plus furieux.
- J'ai une furieuse envie de te decouper en tranches, toi.
Jeod dit :- He, Randall, calme... tu t'enflammes un peu trop la.
Peu apres, il fut rejoint par Serphone. Une incantation plus tard, il sentit une chaleur apaisante l'envahir, puis peu apres un autre sort vint lui redonner des forces.
Malgré l'aide directe du transcient, Randall savait qu'a ce rythme il ne tiendrait pas longtemps encore. Le combat etait somme toute assez inegal et il etait seul a prendre le monstre "par les cornes". Son armure de cuir commencait a souffrir, et sous le cuir la chair etait meurtrie, comme le prouvait le sang rouge qui etait le sien et qui commencait a goutter sur le sol.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai... | |
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Le Julung 20 Saptawarar 1507 à 16h11
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| ***Thymias venait d'arriver sur les lieux.
Le vieux Tydale était totalement essoufflé, il courait désespérément derrière Harlok et Selündil depuis Lerth. Ses deux compagnons étaient bien plus jeunes et bien plus rapides que lui, et sans son bâton pour l’aider à marcher, l’érudit avait bien de la peine pour les suivre.
Se fut avec un soupir de soulagement qu’il vit au loin le gardien de la communauté, mais l’érudit, n’eut pas le temps de souffler, en effet, ses compagnons se trouvaient en compagnie d’autres témoins aux prises avec une affreuse, une abominable, une terrible créature, une Kryline. La plupart d’entre eux étaient blessés.
Prenant le peu de courage qu’il avait à deux main, Thymias parti au plus près du combat, il était tant pour lui de faire ses preuves en tant que soigneur et de montrer qu’il était digne du rang de Serviteur du corps.***
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Le Julung 20 Saptawarar 1507 à 18h57
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| Ils etaient a present plus nombreux.
Mais il restait le seul constamment accolé a la creature, tachant de detourner son attention au maximum afin de laisser le plus de marge de manoeuvre possible aux autres. Sa strategie etait quelque peu payante mais a double tranchant: si les autres ne prenant pas les attaques du monstre, lui en revanche lui faisait face et devait subir ce que devraient prendre les autres... bien que physiquement en forme, il le sentait passer.
Un soigneur arriva et se positionna quelques metres derriere lui. Pensant pouvoir l'attaquer, l'abomination se lanca mais Randall fut plus rapide et l'intercepta d'un bon coup de hallebarde, ce qui fit manquer sa cible originelle a la creature, en plus de sa riposte contre le hallebardier. La voila de nouveau focalisée sur lui.
Pendant ce laps de temps, le vieux tydale derriere lui avait eu le temps de preparer un sommaire bandage. Profitant du fait que la creature est quelque peu desorientee par les coups et tout ce petit monde, il se sert du temps mort pour bander au plus vite un de ses bras.
Mais trop rapidement, la creature et de retour et la seance de soins ne peut continuer. Demandant au soigneur de se tenir pret au prochain temps mort, il repartit de plus belle a l'assaut, fauchant l'air de son arme, et etant de plus en plus precis dans ses coups, alors qu'il lui semblait que la creature ripostait moins bien.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai...
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Le Vayang 21 Saptawarar 1507 à 15h03
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| Essouflé, la respiration rapide du Propage se calmait peu a peu. Son rythme cardiaque effrené revenait progressivement a la normale. Le manche de sa hallebarde etait ensenglanté par endroits, son armure avait pris cher, ses muscles le faisaient souffrir.
Mais le monstre avait fui.
Il ne savait pas trop si c'etaient la force de ses coups, la presence de beaucoup de Temoins ou encore quelque autre raison qui avait poussé la Kryline a deguerpir a toute vitesse. Et elle avait vite disparu dans les fourrés, causant un vacarme consequent et en laissant une piste probablement limpide pour un eclaireur experimenté.
- Hahahaha... on dirait qu'il a compris la lecon!
Jeod dit :- Ne te prends pas trop de haut mon garcon, tu pourrais tomber, plus tard.
- Mais ouais... bon, ou sont passés les autres? Ah, je crois que Serphone est par la bas. Allons y.
Et le Propage, decidement inepuisable, se remit a courir, mais il etait moins rapide qu'avant. Il aurait recuperé d'ici quelques heures.
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai... | |
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Le Vayang 21 Saptawarar 1507 à 17h05
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| Fëa avançait sur le sentier au milieu de la forêt. Il s'arrêta pour se restaurer le long d'un arbre tombé au sol.
Hum, ça sent les baies. Je me demande ce que ça donnerait de telles baies fermentées. Un nouvel alcool ? Un breuvage digne du S'sarkh peut être même. Un signe digne d'un contemplateur ?
Rose dit :Ou tout simplement un tord boyaux ou un poison... dans le meilleur des cas, un breuvage infect !
Difficile de retrouver le buisson abritant les baies quand on est aveugle. Oh, on peut se fier à son odorat, mais les épines suintantes de substances urticaires sont beaucoup plus dur à éviter. Et Fëa, tout dérangé qu'il était, préférait garder des mains douces et propres et non des mains parsemées de tâches rouges comme les ivrognes. Et puis ça démange. Non Fëa n'avait décidément pas le profil...
Mais le calme de la forêt était reposant après la bataille.
Rose dit :C'est pas un peu trop calme justemen. Où sont passé les gazouillements des oiseaux, les frôlements sur les buissons des bons de cabri des cervidés ? C'est louche...
Touchant le tronc d'arbre sur lequel il s'était adossé, Fëa fini d'une traite sa bouteille....
Non c'est pas louche. Des traces de griffes sur un tronc d'arbre arraché à la terre, un silence oppressant... On est sur le terrain de chasse d'un Gambol... Et moi les grosses bêbêtes à fourrures, j'aime pas, ça tient chaud et c'est moins enivrant que l'alcool... | |
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Le Vayang 21 Saptawarar 1507 à 19h06
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| C'est donc au pas de course que Randall arriva a rejoindre le groupe qui s'etait arreté un peu plus loin.
Il etait fatigué, ses jambes le brulaient, mais il s'en moquait un peu. Tout ce qui lui importait pour le moment etait de s'assurer que ses compagnons allaient bien. Ce qui etait le cas. Tant mieux.
Il s'arreta en soufflant comme un boeuf:
- Pfff... Pfff... Me voila. Quelle est la direction a suivre, maintenant? Je ne vois guere de route qui part dans la bonne direction... juste des arbres.
Il etait courbé en deux, prenant une minute de repos, comme pour se remettre de son combat.
Jeod dit :- Ce bonhomme est monté sur une reserve de combustible, c'est pas croyable... jamais il tombe de fatigue?
Pour Le soulager, je souffrirai,
Par Sa souffrance, je m'enragerai,
Et par la Rage, je les exterminerai... | |
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