Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Anty

Le Merakih 28 Manhur 1508 à 12h21

 
Une chimère ?

*** Anty fut tiré de sa méditation par le grossier chant claironnant de la sentinelle. Il ne distinguait pas grand chose malgré sa position surélevée. Dans le doute il incanta une large boule lumineuse dirigée vers les cieux pour la rendre inoffensive tout en fournissant un puissant éclairage sur la plaine qui s'étendait par-delà la cité. Cela aurait au moins le mérite d'impressioner un éventuel agresseur... ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 28 Manhur 1508 à 14h06

 
***
Avant que le barde ne puisse répondre, le clairon d'alarme de la porte Est se fit entendre. Aldarin réagit avec rapidité, il s'excusa auprès du maire et fila comme une flèche vers les écuries. Sur place il y trouva déjà quelques cavalier sur leurs montures.
Fekett était déjà attelé et n'attendait plus que le tydale saut en selle.
Le petit groupe de cavaliers se mit en route vers la source de l'agitation.
***


*** ********************************************************** ***


***
Grâce à la boule de lumière invoqué par Anty, les contours des silhouettes devenaient plus nettes.
A présent on pouvaient distinguer huit poussiéreux, certains portaient des corps et tous semblaient exténué.
Derrière eux, ce qui pouvait apparaitre comme une chimère a première vu, n'était en faite "qu'une" troupe de dix chevaucheurs sauvages arkoniens.

Par moment, un des poussiéreux se retournait pour décrocher une flèche dans la diréction de leur assaillants, souvent le projectile touchait la cible, mais cela ne semblait pas ralentir les arkoniens sur sangliers.

Il restait encore cent mètres pour que les poursuivis n'éteignent la porte, par contre les chevaucheurs sauvages gagnaient rapidement du terrain. Si rien ne sera fait très rapidement, les huit poussiéreux seront massacré...

Un cours message télépathique d'Aldarin effleura l'esprit de tout les symbiosés de Krell.
***


Par Assia! Que se passe-t-il kielnos? Que celui qui est sur place nous fait un rapport de ce qu'il voit.
Je vous rejoins avec quelque cavaliers, on arrive dans deux minutes!

*** ******************************************************* ***


***
Sur le mur Nord, Persmerga pouvait voire une lumière s'élever dans le ciel au dessus de la porte Est. Des chuchotements commençaient à parcourir les rangs de soldats aux côtés du grand nelda.
***

- C'est quoi ça?
- Ça a l'aire de venir de la porte Est...
- Par la déesse, un incendie?
- Ce serait de la magie, mais de quelle côté?
- On doit pas y aller pour voir?
- C'est peut-être un lueur...Nêrhe surveilleur, que fait-on?

*** Les regards des soldats se tournèrent vers Persmerga. ***


 
Biad Sieben

Le Merakih 28 Manhur 1508 à 18h25

 

Comment dire , Biad était assez exaspéré de n'avoir pu souffler mot, personne ne lui en laisser le temps et c 'est assez agaçant pour quelqu'un qui est censé exercer un métier où l 'on se fait écouter normalement!!!! Les tydales ne cessaient de venir et de partir, le dénommé Aldarin venait de partir en courant. Un problème à la porte Est avait cru comprendre Sieben ( assez imposant ce Aladarin, un regard froid de tydale ayant côtoyé la mort)...

Et bien, Monsieur le maire, je suis un guerrier conteur épris de justice, s'il faut me résumer en peu de mots. Je maitrise les mots et l'art du langage un peu mieux que l 'épée, mais rassurez vous je n en suis pas moins guerrier. Je vous offre ma vie, ma mort peut -être mais je vous demande deux choses. Je vous rassure , elles sont maigres.

Le maire, pendant ce temps, se demandait ce qu allait lui sortir ce curieux personnage.


La première chose , je veux la même paye qu' un soldat, au jour le jour. La seconde condition ( dit il en rigolant ) et je suis sérieux et d avoir l 'exclusivité pour raconter l histoire de la bataille de Krell plus tard.

Le maire, incrédule , se dit qu' un fou de plus sur les remparts ne dérangeait personne ou du moins les ennemis en tout cas et dit alors:
d'accord!

Biad vit que le maire acquiesçait sans le comprendre, qu importe se dit il , et il ajouta à voix haute:

Parfait, le marché est conclu et à présent monsieur le maire , indiquez moi s il vous plait , la porte Est, il me tarde de faire connaissance avec le dénommé Aldarin ( un des héros de ma future histoire , se dit il en souriant) .

Le maire montra la direction . Et le conteur guerrier s éloigna du maire en le saluant. Il se dirigeait vers la porte est , son sourire s'effaça , son sitar bascula derrière son dos d un geste prompt et sec et il sortit son épée.

Alors la mort, nous nous revoyons enfin , finit il par dire.

 
Persmerga

Le Merakih 28 Manhur 1508 à 20h41

 
*** Persmerga regarda les hommes qui attendaient de lui des ordres.
Sans aucune hésitation il prit la parole ***


Nous devons rester sur nos position se sont les ordres!
Si ils ont besoins de renfort ils nous le ferons savoir de plus les réserve non toujours pas bougé alors pas d'affolement

***
Puis il frappa le sol avec sa hache. ***


Le premier que je vois a quitter son poste pour allez voir serra a mes coté le reste des combats.

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Julung 29 Manhur 1508 à 03h09

 
***
Le groupe de poussiéreux se dirigeât directement vers la porte de la ville en criant à l'aide. Ils avaient la chance de suivre la route, seul passage sans pièges qui pourraient les affecter. Hélas pour eux, les chevaucheurs sauvages arkoniens évitaient également les divers faussés piégés et les pieux dissimulés en poursuivant leur proie...

En quelque instants il devenait évident que la cavalerie ne sera pas là a temps (comme d'habitude). Il fallait réagir promptement pour éviter que les arkoniens mettent en pièce les réfugiés poussiéreux.
***




 
Biad Sieben

Le Julung 29 Manhur 1508 à 16h01

 
Biad était arrivé à la porte Est, il ne voyait pas Aldarin, parmi les soldats se trouvant sur les murs , il aperçut un Nelda assez impressionnant ( une carrure de Nelda en plus imposant).

Il demanda alors à un soldat ce qui se passait.Pas de réponse. Frustré , il monte sur la palissade pour observer ce qui tétanise tout le monde.

Et là , il vit ... huit poussiéreux essayant d'échapper à dix cavaliers arkoniens en transportant en plus des blessés. Son sang ne fit qu' un tour et se mit à bouillir. Il se dit que la mort était là.
Hakim , tu m entends , se dit il à lui même, on va affronter la mort et la vaincre.

Puis en hurlant pour se faire entendre par tous les soldats se tenant aux environs de la porte, il s'exclama:

Des poussiéreux viennent à nous , poursuivis , affaiblis et demandant notre aide, regardez les ... Derrière eux se trouvent des arkoniens, des brutes ne désirant que du sang, des laches qui ne respectent pas la loi de l'équilibre. A ces dix cavaliers , il faut une force de contrepoids et aider ceux qui ne peuvent se battre , Il s agit de reprendre leur combat. Nous les poussiéreux de Krell, nous sommes aussi les défenseurs de l'Equilibrium, alors lanciers , suivez moi , alors soldats préparez vous , allons nous battre pour protéger nos lois et des vies.

Les soldats se regardaient et un d eux, finalement finit par dire:
Je vous suis , nous les soldats pour l'Equilibrium, pour la Dame!!!!

Les autres se mirent aussi à hurler , puis Biad voyant l exaltation générale descendit de la palissade, se saisit d une lance et demanda aux soldats d'en faire autant , seize le suivirent et il demanda alors d'ouvrir la porte.


Ils sortirent alors ces dix sept guerriers. Le poète conteur au verbe sans limite (dans l excès) semblait incarner le leader du moment . Ils laissèrent passer les réfugiés entre leurs rangs, puis d un mouvement qui ne semblait n'être que celui d' une seule et meme personne , les rangs se mirent en place, neuf soldats en première ligne et huit derrière eux. Biad en première ligne bien sur. Et puis ils plantèrent leurs lances dans le sol et les abaissèrent formant un mur de pic. Les Arkoniens se rapprochèrent ignorant tout du danger qui se dressaient devant eux à présent, les lanciers de Krell frissonnaient et un tydale parmi eux souriait. Il se disait: la mort vient à moi , la question est de savoir si en allant à sa rencontre , je me déciderais à être sont éternel amant .


Et un cri s 'éleva parmi ses soldats, le cri de la résistance de Krell, simple comme bonjour:

Pour Krell!!
Et ce cri résonna au travers les lances.

Durant le court instant avant le choc , le cœur d un tydale se trouble , Biad laisse moi faire, ne cessait de dire ce cœur, après tout ,moi aussi j ai le droit de m amuser, moi le puissant Hakim.
Et là tout à coup , le choc n 'était toujours pas arrivé mais un tydale parmi les dix sept venait de disparaitre pour laisser place à un sanguinaire .

Le choc finit par arriver et un rire résonna.



 
Oda Nobunaga

Le Vayang 30 Manhur 1508 à 20h17

 
A l'extérieur, les renforts étaient en attente.

Après un voyage sans accrocs, Fenrir et Nils, les actuels dirigeants des Chevaucheurs, et moi-même venions d'arriver à proximité de la ville assiégée, avec la ferme intention d'en découdre.

C'était le Parangon d'Escorte, Aldarin Mor'Nathil, qui semblait à la tête des assiégés; Fenrir l'avait donc contacté, et nous attendions de savoir quelle était la situation de son côté, et comment nous pouvions nous rendre utile.


-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Vayang 30 Manhur 1508 à 21h08

 
*** Après de longue heures à attendre des nouvelles non loin de Krell, le Chevaucheur commençait à se demander si quelques chose n'allait pas. ***


Krell serait-elle déjà tombé?!

*** Cependant des bruits de combats intense leur parvenaient jusqu'au oreille, signes du fait que Krell tenait encore le siège.
Se tournant vers Oda et Nils, Fenrir leur fit part de l'idée qu'il venait d'avoir. ***


Hum... Peut-être devrions nous tenter d'y aller plus profondément en éclaireur pour savoir où en est la situation?

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nils

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 00h44

 
Nils se tourne vers Fenrir :

Humm, toi avec tes capacités et ton nouveau casque cela devrait être dans tes cordes.
Essaie d'aller voir un peu plus loin.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 04h08

 
***
Les cavaliers arkoniens s'empalèrent sur le mur de lances. Ils ne s'y attendaient vraiment pas et puis le rire sinistre qui semblait sortir soudainement de ce mur de lances semblait avoir touché une corde sensible des cavaliers, cependant leur montures, dépourvue de tout bon sens ne donnèrent pas la possibilité aux arkoniens d'éviter cette mort acrobatique...

Les premiers sangliers qui percutèrent les lances furent tué dans un battement de cœur, leurs têtes et poitrail transpercé de plusieurs lances. Leurs cavaliers se sont retrouvé en l'aire pour atterrir lourdement sur la route partiellement dallée.
Un malheureux fut projeté sur une autre lance et il s'y empalât sur toute la longueur de la hampe.

Dans cet choc initial, une bonne moitié des chevaucheurs sauvages arkoniens ont été tué ou désarçonné. Cependant le reste fonça dans la formation poussiéreuse a travers la faille provoqué par leur congénères morts. Deux lanciers s'effondraient avec une lance courte plantée au travers du corps. Un autre tombât le crâne pourfendu pas un sabre arkonien.
Biad réussit a éviter une lance courte, mais se retrouva poussé par terre par un coup de patte de sanglier. Par chance, cela lui permit d'éviter un large coups de sabre.

Malgré cette percée inattendu des arkoniens, la seconde ligne de lanciers poussiéreux se ressaisît rapidement et ensemble avança, lance levées, sur la cavalerie arkonienne.
Disposant d'une rallonge supérieure et pouvant aisément viser les arkoniens montées, rapidement, les cavaliers se faisaient désarçonner et tuer.
L'un des derniers chevaucheurs sauvages réussit bien a se dégager de la mêlé pour prendre la fuite, mais avec horreur il ressentît une présence derrière lui. Une voie mélodieuse mais emplie de folie latente lui chuchotait "Partir n'est pas très galant, lorsque de ton âme Akim est prenant...", tout en glissant son épée au travers de la gorge de l'arkonien.
Le corps de l'arkonien glissa sur le côté et Baid/Akim se saisit de son épée a deux main avant de la planter dans les cervicales du sanglier, mettant un terme a son existence pervertie.

Le calme semblait revenir sur la plaine et les treize lanciers achevaient les arkoniens ou sangliers encore pas complètement morts. Sans davantage d'ennemis a combattre, Akim laissa le contrôle du corps de nouveau à Biad. Ce dernier rentra doucement vers la porte exténué, sans même entendre le cris de joie des défenseurs de Krell. Il aperçu comment les réfugiés poussiéreux se faisaient escorter vers l'infirmerie. Il était vraiment tard et les questions pouvaient attendre le lendemain.

La cavalerie de Krell venait d'arriver au galop. Trop tard, Aldarin fulminait, trois lanciers se sont fait tuer et plusieurs ont subies des blessures pour dix cavaliers arkoniens morts, si on regardait que les chiffres, cela était une bonne affaire, or Krell ne pouvaient pas trop se permettre de gaspiller ses hommes...

Une fois l'incident terminé, Aldarin ordonna de maintenir les sentinelles en état d'alerte accrus, mais autorisa les autres soldats de regagner leurs quartiers. Il envoya ce même message a Persmerga qui a eu une très bonne initiative de surveiller le Mure Nord pour contrer un éventuel assaut suroit venant du Nord alors que les forces seraient concentrées à l'Est.

Le reste de la nuit se déroula sans autres surprises...
***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 04h53

 
***
Un peu désabusé, Aldarin Mor'Nathil était revenu vers les écuries pour y laisser Fekett. Ensuite il entreprit de rejoindre la caserne.

En chemin il sentît une présence qui l'épiait. Il s'enroula mieux dans sa cape et sans changer de rythme il bifurqua dans une ruelle, la figure semblait le suivre.
Une fois sûr que l'être le suivait effectivement, il bifurqua de nouveau dans dans une petite cours intérieure.
La figure entra dans la cours et regarda où est passé le tydale, mais sans prévenir, ce dernier apparût dans le dos de son poursuivant une dague a la main. Il saisit le poursuivant d'une main ferme sur la bouche et pausa le fil de la lame sur le cou de l'être.
***

- Plus un geste ou tu rejoindra tes ancêtres, qui est tu et pour quoi me suit-tu?
***
L'être eut une secousse de surprise, mais n'opposa pas de résistance. Aldarin pouvait sentir que l'être avait de fins traits du visage, sa peau était lisse et douce au touchez, définitivement pas un arkonien.
Il enleva lentement sa main de la bouche et saisit la capuche. D'un mouvement rapide il la tira en arrière et juste ensuite il eut un mouvement de recule.
Moniia se retourna vers lui, dans le claire de lune Aldarin pouvaient voire ses yeux, ils brillaient comme deux émeraudes au fond d'une source cristalline. La peur du moment y laissait place a quelque chose que le tydale n'arrivait pas a identifier...
***

- Moniia! Mais que fait tu si tard au-dehors?! Par la Dame, qu'est ce qui t'as pris de me suivre comme ça, j'aurais pu... Articula difficilement le tydale sous le choc.

- Je... je n'arrivais pas a m'endormir, je suis allée marcher un peu... Tu veux bien me raccompagner chez moi? Je me suis assez promenée... dit tendrement Moniia. Aldarin acquiesça.

Aldarin accompagna Moniia jusqu'à sa maison, avant de se quitter elle attrapa le tydale par le bras.

- Demain la guerre va commencer?

- Oui...

- Tu va te battre, te battre jusqu'à la mort?

- Oui Moniia...

- Je ne veux pas, je ne veux pas que tu meurs... Bat toi, mais bat toi pour la vie! Bat toi pour ta vie, pour notre vie...

- Moniia... je...

- Chuuut. Ne dis rien, regarde comme la nuit est belle... et elle l'embrassa passionnément. Puis, doucement, le couple entra dans la maison et toujours dans les bras l'un de l'autre, ils se dirigèrent vers la chambre a coucher.
Juste avant de fermer la porte, Aldarin envoya une pensée a som Mou.


- Toi, tu reste ici. Ok?

Kurrare dit :
Pfff... Je vais où tu va. Et puis je fait ce qui me plait!


- Kurrare! TU-RESTE-I-CI !!!

Kurrare dit :
Bon bon, j'ai compris arrêt de gueuler, j'avais rien de louche en arrière pensée...Promis jurée!


- ...ouais...

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 05h21

 
Kurrare dit :
Bon, alors télépathes itinérant, bonsoir!
J'ai rien a faire donc je me présente, je suis Kurrare, le Mou de famille des Morov comme vous les appelez. J'ai...

hehe... ils sont toujours en train de se coller les bouches et poussant des bruits bizarres ces deux là...

Ehm... où j'en était? Oh oui, Morov. J'ai choisi de me lier a un type, un tydale il y a bientôt d'un an. Pour quoi j'ai fait ça? Et bien sans moi il serait crevé a l'heure qu'il est, ça le fait mon redevable hihihi...
Et puis... euh... ils ne font plus que de se toucher et emmètre de bruit bizarres, ils... font quoi? Tiens, je pense que... non... il ne se peux pas que... et pourtant... on dirait bien pourtant...
HA! J'ai du bol! Je vais être le premier Mou a voire comment se reproduisent ces drôles de poussiéreux tydales. J'en écrirait un livre, euh... mauvaise idée, je ne peux pas en faite hehe...

Les poussiéreux sont étranges, ils semblent que cela leur plait...

Nous c'est bien plus simple. C'est comme un jeu. On chasse l'autre Mou jusque ce qu'on se fatigue. Si le poursuivant se fatigue le premier, il perd. Si c'est l'autre qui se fatigue en premier, je gagne, on se trouve un jolie arbre et une belle branche et puis on se colle ensemble. Un peu comme les deux là.

Mais ça dure pas longtemps, une fois que ça nous lasse on part jouer chacun de son côté. Comment ça pas d'esprit de famille?!?
Si vous êtes intolérant des autres cultures alors je vous coupe le lien télépathique, et toc, je garde le reste pour moi! Na!!!
...


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 05h56

 
***
Le lendemain matin les coqs chantaient le levé d'un soleil sanglant.
Aux premières lueurs de lumières, les derniers éclaireurs sont rentré dans la cité avec les dernières nouvelles alarmantes.
L'armée arkonienne était en marche, elle s'était renforcée de pratiquement cent autres individus, dont des sortes de mystiques. A présent l'armée comptait de nouveau près de cinq-cents individus.
Selon leur vitesse, ils tomberaient sur la ville peu de temps avant midi.
Conformément aux prévisions du Parangon, les catapultes n'étaient pas au rendez-vous, mais une panoplie d'échelles, de crochets et autres instruments de siège rudimentaires si.
***

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***
Aldarin ouvrit les yeux pour contempler une déesse endormie, le visage de Moniia inspirait un calme surnaturel dans l'âme torturé du tydale. Comme si le monde aurait disparut avec tout ses tourments, tout les soucis... Ils ont fait l'amour longtemps et passionnément, mais Aldarin se sentait comme neuf et ses sens était aiguisés.
***

- Une belle journée pour mourir... pensât-il en regardant l'aurore rouge.
Puis il se corrigeât immédiatement, Plus aujourd'hui,... plus jamais... se dit-il en regardant Moniia.

***
Aldarin se rhabilla et allât préparer un léger petit déjeuner pour deux. Il allât ensuite réveiller sa compagne d'un doux baiser sur le front.
Une heure et demi plus tard il quitta la maison, mais non sans au préalable serrant Moniia dans ses bras.
***

- Je reviendrais, je te le promet. Je t'aime.

- Fait attention, je te veux vivant ET entier mon amour...
***
Aldarin ajusta sa cape et se mit en marche vers la caserne. Il savait que les éclaireurs sont arrivé avec les nouvelles sur l'ennemi. J'espère qu'elles sont au moins un peu bonne...
***


 
Persmerga

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 09h27

 




*** Persmerga se leva de son lit le sourire au lèvre, plusieurs soldat c'était endormit a ces cotés. Il les réveillas en leur mettant des coup de pied. ***


Debout soldat, l'heure de notre gloire est proche l'armé Arkonien nous fait un cadeau se matin, ils arrivent pour ce faire massacrer

*** Il lâcha un léger rire alors que ces hommes commençait a se lever ***


Aller debout christian ou tu vas tous raté

*** Dit t'il a l'un de ses hommes ***


*** Après avoir réussit de tous les mettre debout ils descendirent prendre un bon déjeuner, du jambon, des tartines pour les solda et un repas bien différent pour le nelda qui commença par du poulet et termina par un bon verre de vin puis quand le repas fut terminer il s'adressa a tous ses hommes ***


Bien nous entrons en guerre en avant!

*** Ils prirent tous leur armes et sortit de la caserne. Le nelda trouvait le paysages magnifique, des hommes en armes dans tous les coins de rue près a se battre.
Il avait hate que les combat commence et que le sang coule.
Il fit un hurlement bestial une dizaine d'homme a ses cotés.
Sa hache sur son épaule il monta les escalier du murs nord.
Il fit un deuxième hurlement pour avoir l'attention de tous les hommes qui était a ses cotés. ***


En ce jours nous mettrons a morts les chiens arkonien et demain nous les trouverons et pillerons leurs villages pour montrer que nous pouvons nous montrez cruelle!

*** Grâce a cette journée marqué par le sang il avait convainque une cinquantaine de d'homme que les arkonien n'était que des bêtes défiant l'équilibre et qu'il fallait massacrez ***





 
Oda Nobunaga

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 11h00

 
Les combats avaient fait rage la nuit dernière, et la ville ne semblait pas brûler; il fallait donc en déduire que les assaillants s'étaient écrasé sur les défenses de Krell...

Mais il semblait évident qu'avec des Arkoniens comme adversaires, un seul assaut -aussi meurtrier puisse-t-il être pour eux- ne pourrait avoir raison de leur volonté; il fallait donc s'attendre à mal dormir jusqu'à l'annihilation d'un des deux camps.

De notre côté, Fenrir, Nils, et moi avions "investis" le pont en attendant l'arrivée des renforts.
D'assez bonne facture, l'édifice était solidement planté dans la Disfria.
Avec deux tours de gardes à chaque bouts du pont suffisamment vastes pour accueillir deux bataillons d'archers, nous nous trouvions sur l'un des ponts les plus fortifiés de tout l'Equilibre...

... et bien heureusement, car si Krell venait à tomber, ce dernier constituerait la première alternative des assaillants pour rejoindre le "continent" - comprenons par là, le reste du territoire.


Chase dit :
Pourquoi la première?


Ahah, comme tu es prévisible, j'aime avoir un public de ta sorte!
La première, et la plus simple, pour la bonne raison que l'autre accès doit leur faire longer la côte sud de la Lagune des Glaces pour atteindre une petite route -qui, entre nous, prends racine au Pic de l'Oublié- avant de passer au nord, sur une petite ile au beau milieu de la Lagune, avant de se prolonger et de finalement rejoindre notre continent au nord-est d'Andreil.

Maintenant, et comme je te vois venir, je vais te dire pourquoi la zone où nous somme est leur seul accès: tout d'abord, le second chemin est très long, et en chemin, je dirais qu'ils perdraient... trente pour cent des leurs.
Ensuite, et c'est là que c'est drôle, la petite ile au milieu de la Lagune est à moitié couverte de glace: les Arkoniens vivant en majorité sous la terre et dans des espaces chauds...
Enfin tu as compris, si par miracle quelques uns parvenaient à survivre et à nous atteindre, même une armée de Mous pourraient les repousser.


Chase dit :
...


Si ils tiennent le coup à chaque fois là-bas, nous allons mettre du temps avant de voir la queue d'un seul Arkonien. Fis-je nonchalamment aux deux Neldas tandis.
Puis, je sortis d'une de mes poches un jeu de cartes.

Par chance, j'ai toujours ça sur moi, héhé. Au moins ça pourrait nous permettre de passer le temps en attendant que vos collègues arrivent.
Mais pas d'inquiétude, quand ils seront là, j'ai une batterie de paire de dés sur moi; j'espère qu'ils ont amenés leur économie avec eux parceque je suis un peu à sec moi en tout cas, héhé.


C'était faux bien sûr, j'avais de l'argent sur moi, mais je préférais jouer avec celui des autres.

Chase dit :
Rappelle-moi de ne jamais jouer contre toi.


Disons que même si tu le souhaitais, sans mains c'est vraiment difficile de jouer aux cartes et aux dés...

-Oda Nobunaga-

 
Nils

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 11h26

 
Nils s'était positionné prés de la porte de la tour de garde afin de pouvoir voir tout ennemis venir.

Il avait revêtit son armure fraichement retaper et attendait de pied ferme.


puis s'adressant à Fen
rir.

Fenrir, si tu pouvais envoyer un message télépathique afin que l'on nous envoies tout les chevaucheurs disponibles du coin. CE serait une bonne chose.


Puis à Oda


Oda, ta partie semble intéressante, mais je préfère monté la garde au cas ou.


Nils s'était levé de bonne heure afin de prendre la relève et pour l'instant rien d'anomal se produisait

touquette dit :
Pourvu que ça dur !


humm, je crois pas, les Arkhoniens vont surement essayés de contourner les défenses, et nous leur tomberont dessus sans qu'il s'en apperçoivent. Mais il faut être prudent

touquette dit :
Oui, oui....
ah tu as mis ta carapace., Voila qui est intelligent


Je te le fait pas dire

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Fenrir

Le Sukra 31 Manhur 1508 à 19h55

 
*** Fenrir avait laissé un message à Syrinth pour les autres Chevaucheurs de l'Equilibrium. Néanmoins,il ne savait pas quand celui-ci porterait effet car peu de Chevaucheurs restaient dans les Cités bien longtemps.
Il était néanmoins sûr que celui-ci se répandrait comme une traînée de poudre au fur et à mesure que les Chevaucheurs et leur Apprenties contacteraient d'autres Chevaucheurs et Apprenties Chevaucheurs. ***


J'ai laissé un message à Syrinth demandant aux Chevaucheurs de se réunir à l'entrée de ce pont afin d'aider Krell contre la menace des Arkoniens. Néanmoins, je pense qu'il ne faudra pas compter sur ceux qui ont actuellement une mission importante à réaliser.

Quoiqu'il en soit, je vais également faire passer le message à Kielna Livie et Jïrhe Tilith. Ils pourront participer à la diffusion du message.

Sinon kielno Nils, pour ce qui est de la reconnaissance, je crains de n'être qu'un piètre éclaireur malgré le casque que vous m'avez gracieusement offert... Cependant...


*** Se retournant vers Oda. ***


Il me semble que kielno Oda fait preuve d'un meilleur talent d'éclaireur que moi même.

*** Puis se retournant vers Krell afin d'observer ce qui se passait. ***



Mais peut-être vais-je tout de même m'approcher pour y voir plus clair...


*** Sur ces paroles, le Chevaucheur avança sur le pont en direction de Krell. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Dhiwara 1 Jayar 1508 à 03h11

 
***
Aldarin regagna le quartier général, qui se trouvait dans une aile de la caserne. Il y salua Toa Manë, un vieux chasseur et excellent traqueur. Il passa une bonne heure a recevoir les divers rapports et juger la situation. En somme ses prévisions étaient correctes, les arkoniens marchaient en force sur Krell. Malheureusement des renforts les ont rejoins et les descriptions de ces nouveaux "Mystiques" ne lui inspiraient guerre confiance.

Il reçue des nouvelles communications du Chevaucheur Fenrir. Lui et d'autres poussiéreux dont une bonne part de symbiosés ont investie le pont au dessus de la Disfria. Aldarin remercia la Dame de leur présence, car le pont était d'une importance stratégique et vitale pour la survie de Krell.
Le tydale se concentra pour leur envoyer, a Fenrir, Oda et Nils un message en commun;

Om'shir kielnos, la Dame sait a quelle point je suis ravie de vous entendre nous prêter main forte! Krell ne peut se permettre de défendre ses murs ET le pont, je crains que cette tâche vous incombe mes amis. Je ne sais si vous êtes partie en éclaireur ou pas, mais l'armée ennemi est proche, son arrivée est une question d'heures... Par chance, nos installations de défenses ont été achevées, donc nos chances de repousser le premier assaut massif sont bonnes. Je pensais initialement qu'il sera possible de résister et vaincre avec seul les forces de Krell, or je crains m'être trompé... La horde ennemi grandit comme des champignons après la pluie. Nos observations font état de pratiquement cinq-cent têtes et il est pas impossible que d'autres renforts ennemis arrivent... Je vais bientôt envoyer une missive a nos deux Archontes pour plus de renforts. Nous devrons tenir d'ici là nos mures et vous le pont...
Bien, c'est tout le plus important a savoir pour le moment, je vous communiquera les détailles plus tard.

Que la Dame protège ses fils et accueille les âmes de ses fidèles enfants, qui apporteront l'ultime sacrifice pour sa gloire et celle de l'Equilibrium!

***


***
Le pont en question était une construction bien solide et deux bastions ornaient chaque de ses côtés, de sorte que même une faible garnison pouvait tenir face à une horde d'ennemis pendant des semaines.




***

***
Aldarin apprit également que les réfugiès de la veille était un amalgame de paysans qui ont voulu rester dans leurs fermes en dehors de Krell et de survivants d'une bande de brigands connu, mais qui, curieusement était supposée agir au Sud de Minott. Leur leader était un dénommé Atod...
Selon eux, ils sont venu dans la région pour tenter de se racheter de leurs crimes et obtenir une lettre de pardon. Ils étaient en train d'aider une famille a quitter sa ferme pour se réfugier à Krell alors qu'une patrouille arkonienne de taille leur est tombé dessus. Ils étaient vingt, plus que neuf a présent, cinq en état de combattre et quatre blessés.
***


- Foutaise! Je ne leur crois pas un traitre mot! S'exclama le capitaine Romen, Je parie ce que vous voulez que dès qu'ils ont entendu que Krell a des soucis, ils ont tenté de piller discrètement et impunément, mais la Dame ne les a pas laissé faire et a envoyé cette patrouille contre eux! Ha!

- Vous voulez dire que c'est Assia qui nous a envoyé ces arkoniens?! Et bien vous avez un raisonnement bien particulier capitaine... dit Aldarin sur un ton léger.

- Ne détournez pas mes propos Parangon. Vous savez bien qui chaque mauvaise chose porte en elle du bon et juste pour équilibrer la balance. Les autorités de Syrinth les ont traqué sans succès depuis je ne sais combien de temps, c'est un miracle que nous les avons arrêtés si facilement!

- Aha, vous voulez les mettre derrière les barreaux? C'est bien cela?Hmm... très bonne idée, vraiment... ils sont neuf, donc comptons au moins quatre gardes, mais il faut les faire tourner, donc au moins quatre autres, plus un officier pour surveiller que les gardes ne dorment pas, plus un second pour relayer le premier... Donc au minimum dix personnes... Mais dites moi, d'où vous les prendraient? Du mure Nord où l'Est?

Le capitaine s'empourpra, il n'appréciait pas être contredit, particulièrement quand il suivait le protocole à la lettre.
Aldarin continua dans son idée.


- Vous pouvez les assurer qu'ils serons graciée à la fin du combat. Comme ça nous gagnons au moins cinq archers capables et une fois qu'ils auront équilibré un peu leurs pêchés par une mort honorable au service de l'Equilibrium, leurs noms seront lavées de leurs crimes.

- Vous n'avez pas tord, mais j'espère que ces criminelles ne perturberons pas les citoyens de Krell, sinon je vais personnellement les jeter en pâture aux arkoniens!

 
Oda Nobunaga

Le Dhiwara 1 Jayar 1508 à 12h09

 
Cinq cent têtes...

C'était à peu près ce qu'il m'était possible de dénombrer de là où je me tenais.

Après la suggestion de Fenrir, je m'étais mis en quête d'un poste d'observation; je me trouvais donc à quelque distance de l'armée Arkonienne, dissimulé en usant de toute mes compétence en la matière.

Eh bien, ça promet.


Chase dit :
Et selon Aldarin, d'autres renforts seraient susceptible d'arriver.


Il devait donc y avoir une colonie quelque part dans le coin...
Et je serais prêt à parier que c'est dans le Mont des Deux qu'elle se trouve.


Chase dit :
C'est bien possible...


Ah... c'est gonflant. J'espère qu'après tout ça, nous aurons le droit au repos du guerrier; Krell doit regorger de jeunes et jolies Tydales, héhé.

Sachant qu'il ne m'avait fallu qu'une quinzaine de minutes pour arriver ici, je comptais attendre de voir ce qu'allaient faire les assaillants, et quand ils comptaient se mettre en mouvement.




-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Dhiwara 1 Jayar 1508 à 12h55

 
Les nouvelles que leur apportait Aldarin étaient de plutôt mauvaise augure... Il n'y avait pour le moment que trois pauvres symbiosés destinait à défendre le point névralgique des renforts et de la survie de Krell. Trois pauvres bougres qui devraient défendre ce pont contre une horde de Arkaniens assoiffés de conquête. Et finalement trois pauvres poussiéreux désireux désireux de ne pas se trouver là seul contre tous avec absolument aucune chance d'y survivre si les renforts qu'avait appelé Fenrir ne leur parvenaient pas à temps.

*** Le Chevaucheur répondit néanmoins au Parangon. ***


« Cela fait plaisir d'avoir enfin des nouvelles, même si celles-ci sont plutôt sombres. Pour votre information, nous ne sommes actuellement que trois sur le pont, c'est à dire moi même ainsi que kielnos Oda et Nils. Je crois qu'à nous trois nous ne soyons guère un obstacle aux Arkaniens, malgré les atouts que possède ce pont, néanmoins j'ai encore espoir de voir arriver des Chevaucheurs pour nous prêter main forte. La seul question qui me taraude, c'est s'ils arriveront avant où après les Arkaniens eux même... »


*** Puis se retournant vers Nils, Oda étant parti en éclaireur. ***


« Il ne reste plus qu'à croiser les doigts... »


Loki dit :
« Moi je dis qu'on est vraiment pas sorti de l'auberge... »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

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