Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Livie

Le Dhiwara 1 Jayar 1508 à 22h05

 
*** Loin du tumulte de Krell, Livie avait bien reçut le message de Fenrir. Aussitôt, elle avait arrêté ses activités pour aller battre le rassemblement. Sillonant les venelles et les avenues, elle criait a tu tête dans tout Zarlif. ***


Kielno, Kielna, l’équilibre à besoins de vous. Guerrier, paysans, Aventurier de tous poils, qui que vous soyez, rejoignez les rangs de l’équilibre. Krell est menacé, nous devons nous unire. Aiguisez épées, guise lame et haches, brandissez hallebarde, pics, et pertuisane remplissez vos carquois, bandez vos arcs et allons soutenir nos frères de Krell. Rassemblement à la porte ciré pour tous les volontaires.

*** La plupart des gens qu’elle croisait baissaient la tête, et regardaient le sol. Livie était déçut et après quelques heures de déveine, elle commença à se décourager. Lever une armée n’allait pas être simple.
Puis au détour d‘une venelle boueuse, la chance lui sourit. Attiré par l’odeur alléchante du cochon à la broche, elle poussa la porte d’une auberge. C’était l’heure du repas. La salle commune était pleine comme un oeuf. Plus une table, plus un banc n’aurait pu accueillir un convive.

Elle entonna la ritournelle qu’elle connassait maintenant par cœur, faisant le silence dans cette salle bruyante. Là les regards se firent plus francs. Il y avait matière. Soudain, la porte s’ouvrie. En se retournant elle aperçu deux neldas croteux et fatigués, aussi semblables que deux crachats. Aussitôt elle reconnue les jumeaux Bran et Geoffroy, deux chevaucheurs qu’elle avait rencontré quelques mois plutôt lors de l’expédition vers la tour des illusions ***
.

Vous ici ! la chance me sourie à nouveau.

*** Elle leur expliqua rapidement la situation ***
.

Kielna Livie, nous sommes un petit groupe de chevaucheur non loin de Zarlif. Nous sommes venues en ville chercher quelques provisions. C’est avec plaisir que nous nous joindrons à cette guerre.

*** Sans prendre le temps de manger, les deux jumeaux remplirent leurs sacoches de pains et de jambon et retournèrent prévenir les autres resté dans la forêt ***
.

Nous avertirons tous ceux que nous croiserons et nous laisserons des affiches sur les arbres à proximités des chemins. Le temps d’aller et de revenir nous seront là d’ici 3 ou 4 jours au plus.

*** Soudain une grosse voie bourrue résonna au centre de la pièce devenue maintenant silencieuse ***
.

Moi j’en suis aussi !!!

*** Un colosse Nelda se leva ***
.

L’équilibre à toujours veillez sur moi, je lui dois bien ça ! c’est un combat juste. Je mets mes muscles à votre service kielna et au service de l’équilibrium !

J’en suis aussi
,
*** entonna un tydale vêtu comme un guerrier ***
. Je connais quelques amis qui seront fière de se joindre à nous ! Je vais les chercher.

*** Au bout de quelques minutes, la moitié de l’auberge était prête à la suivre vers ce conflit dont elle ignorait quasiment tout.
Une jolie petite armée, constitué d’ames de tout bord, de pouilleux n’ayant plus rien à perdre, d’aventurier en quête de trésors et de guerriers avides de sang.

Livie continua ainsi toute la journée, et le bouche à oreille commençait à fonctionner. Devant la porte cirée de Zarlif, commençait à s’attrouper une dizaine de guerriers improvisés. D’autres allaient venir sans aucun doute. Les chevaucheurs allaient se joindre à eux. D’en peu de temps, ils seraient 20 ou 30 à quitter Zarlif en direction de Krell. Si les choses se passaient de la même manière à Syrinth, ils formeraient une belle petite armée, certe pas composée uniquement de chevaucheur, ni même de symbiosés, mais bon, le nombre de bras comptait plus.. ***




 
Persmerga

Le Dhiwara 1 Jayar 1508 à 23h41

 
*** Tous les hommes dans la cité était enfin près, du murs on pouvait déjà voir au loin les étendards des Arkoniens.
***

Préparez vous les voilas!

*** Les troupes ennemies ce formèrent deux l'un ce dirigeant vers le nord de la ville et l'autre a l'est. Les tambours des arkoniens battaient a l'unissons donnant un rythme de marche, c'est ce qui inquiéta persmerga, qui pensait que ces créatures était tous sauf organisé. ***


*** Un vétérans qui était au coté de persmerga le regarda comme pour avoir un soutient. ***


Que faisons nous élu?

*** Le nelda fit un légère grimace suivit d'un sourire puis il dit a haute voie ***


ARCHER!

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 2 Jayar 1508 à 04h16

 
***
Un cors raisonna au dehors de la caserne, ce qui mit fin aux discutions de Voron Romen et Aldarin Mor'Nathil.
***

- Je crois que ça va commencer... fit tristement Aldarin.

- Je t'envie Al'. J'aurais bien aimé vous aider sur les murs... si ce n'est cette satanée de blessure au bras.

- Je sais, mais tu n'as qu'a guérir pour nous rejoindre en enfer plus tard. tenta de plaisanter le parangon...
***
Aldarin ajusta son armure serpent, passa son épée en revue. La magie rendait la lame extraordinairement tranchante, mais qui plus est, plus résistante. Il passa une dague dans sa botte et enfin il enfila le casque cor'hintien avec une longue crête rouge, pour montrer sa présence et inspirer les hommes.
Puis n arcochant son bouclier long dans son dos, il salua le capitaine et rejoignit le mur Est.

En marchant, il contacta télépathiquement les autres symbiosés pour demander confirmation de leur position et celles des troupes amis comme ennemis. Les réponses qu'il reçu le réconforta, tout le monde était à sa place, cependant la description de l'armée en face le fit frissonner.
Il monta une échelle et se retrouva devant une vision de cauchemar.

La pleine devant lui était investie par des dizaines de régiments arkoniens, plus disciplinés quiconque en avait vu. Entre les rangs marchaient les mystiques et grommelaient dans leur vile langue des prières ou des encouragements aux arkoniens... visiblement ces derniers les craignaient, mais ce ne fut que lorsqu'un mystique incinéra un soldat arkonien irrespectueux que les poussiéreux comprirent pour quoi.

Le bruit de leurs tambours redoubla d'intensité et les lignes arkoniennes se mirent en marche.
***


 
Oda Nobunaga

Le Luang 2 Jayar 1508 à 09h50

 
Dans un vacarme assourdissant, les Arkoniens se mirent en route.

Chase dit :
Tu n'avais même pas besoin d'aller les espionner, en fait.


Je te le concède, mais je suis rassuré de l'avoir fait, au moins, je sais à quoi m'attendre.

Chase dit :
Ah oui, c'est vrai que tu n'aime pas les surprises.


Sauf si c'est une jolie Tydale emballée, ou à emballer, héhé.

Chase dit :
Pas d'humour graveleux avec moi, je t'en prie.


J'arrivais finalement au pont, où se trouvaient Fenrir et Nils.

Avez-vous entendu ce bruit?

Evidemment...

Les Arkoniens n'ont pas l'air de se diriger vers nous -fort heureusement, car nous avons beau être vaillant, à cinq cent contre trois, moi-même je parierais sur l'ennemi.
Mais bon, on ne sait jamais. Des nouvelles des renforts?

Demandais-je d'un air désabusé en m'asseyant contre un des tours défensives du pont.

-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Luang 2 Jayar 1508 à 12h44

 
*** Sur le pont qui ne semblait pas encore intéresser les Arkoniens. Trois symbiosés attendaient patiemment les renforts. ***


*** Se tournant vers Oda qui revenait de sa reconnaissance, Fenrir lui répondit. ***


« Il semblerait que kielna Livie arrive avec des renforts fort d'une vingtaine d'hommes. Elle espère que plus arriveront prochainement.
Cependant, elle penche pour une arrivée dans quelques jours...

De mon côté j'attends encore de voir si des Chevaucheurs arriveront pour nous assister avant que les Arkoniens ne viennent nous étriper joyeusement.

Quoiqu'il en soit, venez donc nous aider a dresser un piège aux Arkoniens qui tenteraient de venir jusqu'ici.
»


*** Depuis l'entrée de la première herse du pont, plusieurs dispositif avait été mis en place afin d'obliger un passage au compte goûtes. Le pont commençait à se transformer en véritable goulot d'étranglement. Il semblait que Fenrir et Nils s'était attelé à mettre le maximum d'obstacles afin d'encombrer le passage entre les deux herses et ainsi obliger les Arkoniens à passer les uns derrière les autres pour offrir le maximum de faille.
Le pont vieillissant montrait désormais de grands troues sur les côté, là où des pavés avaient été retiré pour servir à encombrer. ***


*** Voyant l'air quelque peu interrogateur du Muet, Fenrir entreprit de lui en expliquer le but. ***


« J'ai pensé que vu que nous n'étions vraiment pas assez nombreux pour tenir tête à autant de monde, alors il nous suffisait de tenir tête à un Arkonien à la fois. Plutôt que de tenter de vaincre cent Arkoniens en même temps, j'avouerais que je préfère en vaincre cent, mais l'un après l'autre.

Néanmoins, je doute que se stratagème marche bien longtemps avant qu'ils n'entreprennent de tout balayer.
»


*** Alors que le Chevaucheur terminait son explication, un groupe d'une dizaine de personnes arriva du côté Ouest du pont. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Anty

Le Luang 2 Jayar 1508 à 14h46

 
dit :
Mais c'est pas vrai, quel nul...


*** Anty émergea de la grange, des brins de paille enchevêtrés dans son armure froissée. Ses lunettes en demi-lune de travers, le nelda se précipita au milieu d'un enchainement de gestes désordonnés jusqu'au sommet des remparts ou il aurait dû -en théorie- monter la garde. L'occasion était trop belle pour Râleur qui le couvrit de remontrances à mesure que le visage canin du Preux rougissait de honte. Il n'accorda pas un regard à ses subordonnés muets de stupéfaction devant le spectacle, se concentrant sur la menace arkonienne grandissante.

L'expression du nelda redevenue sérieuse contrastait avec son allure défroquée. Les yeux dans le lointain Anty ne vit pas venir Persmerga, le choc sourd des deux corps en mouvement déstabilisant un court instant les frêres d'arme. ***


'Scusez

*** Comme en transe le Preux continua son chemin, n'ayant pas reconnu le surveilleur dans la confusion ambiante. Il aperçu toutefois des silhouettes familières sur le pied de guerre à l'extrémité Est du pont de Krell. Empoignant son bâton à la manière d'un joueur de baseball Anty envoya son mou - qui n'avait pas cessé son cruel monologue sur l'incompétence de son symbiosé un seul instant - leur souhaiter la bienvenue, se libérant du stress causé par l'irritante petite boule verdâtre dont le vol plané fut brutalement interrompu par l'un des piliers dudit pont dans un bruit mat.

Témoin à de multiples reprises de la résistance hors du commun des individus de race mouïcide le nelda ne se formalisa pas outre mesure de la tournure des évènements et se retourna vers la plaine ou aurait lieu la bataille d'ici quelques minutes. Râleur dégoulina de son côté au pieds du trio de chevaucheurs/muet en une lente (et simulée) agonie. ***


Si nombreux...

*** La fébrilité des défenseurs était palpable. Le son du cors résonna dans l'air chaud de cette matinée d'été naissante. Le sol trembla sous le poid de l'armée ennemie en marche, les ténèbres menaçaient de recouvrir toute civilisation en ces lieux. Mais pas avant que le dernier des têtus neldas présent ici-bas n'ait rendu son dernier souffle...

Prenant appui sur le créneau le plus proche, Anty incanta. Le premier sortilège entoura son corps d'un vent protecteur à destination des projectiles qui ne tarderaient pas à tomber drus. Le deuxième remplaça le discours d'encouragement qu'aurait pu prononcer le Preux pour rassurer ses soldats : l'action valait mieux que n'importe quelles paroles. Après celle de la nuit précédente une nouvelle boule de lumière déchira les airs, à la différence que celle-ci n'était plus dirigée vers les cieux mais bien vers le sol souillé de la présence arkonienne... ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 2 Jayar 1508 à 16h40

 
***
Sur le mur Est...

Du Nord arriva le son des premières boules d'énergie percutant les rangs akoniens, le début du rééquilibrage des forces a débuté et Anty venait d'ouvrir le compte de morts côté arkonien. Au milieux de la position Est, Aldarin ordonna aux archers de envoyer leur lot de projectiles sur les ennemis. Une pluie acéré s'abattit sur les premières lignes arkoniennes. La précision à cette distance n'était certes pas au rendez-vous, mais les formations compactes des arkoniens compensaient ce défaut. Des dizaines d'arkoniens tombaient à chaque salve, mais la marré progressait, piétinant leurs congénères mort ou blessés.

Les généraux arkoniens ont sans doute prévus un tel accueil et ont placé en première ligne les individus les plus pitoyables...
C'est cette chaire-à-canon qui se heurta à la première ligne de pièges installés tout autour de Krell. Il s'agissait de simples pics aiguisées et dissimulé dans l'herbe. Ce piège avait pour but de ralentir les arkoniens, car bon nombre se faisaient transpercer ou lacérer les pieds, d'autres trébuchaient et s'empalaient sur un autre pic.
Pendant ce temps, la pluie de flèches devient une véritable averse au fur a mesure que les arcs cours et les arbalètes.se joignaient aux arcs longs.

La première ligne arkonienne se désagrégeait a vu d'œil, mais une intervention des mystiques et la poussée des gardes noirs fit avancer de nouveau les premiers régiments. Ces derniers commencèrent à courir comme des effrénés en direction de Krell, la peur dans leurs yeux.
***


 
Livie

Le Luang 2 Jayar 1508 à 21h06

 
Du coté de Zarlif :

Une petite troupe bruyante s’était regroupé devant la porte cirée, attirant le regard curieux des badauds. Livie compta 18 volontaires, guerriers, détrousseurs de grands chemins ou paysans. Quelques-uns un se frottaient déjà les mains à l’idée de détrousser les cadavres, d’autres tremblaient déjà de peur.
Au milieu de la troupe se dégageait un Nelda d’une taille et d’une force comme on en voit peut. Son visage dur et son corps de titan en faisaient un chef incontestable. Son équipement et la balafre dont son visage était barré laissaient penser qu'il s’agissait là d’un guerrier aguerrit. A lui seul, il valait tout les autres réunis
.

*** Livie s’adressa à lui : ***


Eh vous ! Le géant balafré, je vous désigne capitaine de ce bataillon. Foncé sur Krell sans attendre et allez à la rencontre de Fenrir. Il défend le pont sur la disfaria. Vous serez le premier rempart face à l’invasion Arkanienne. Tachez d’arriver à temps et de tenir bon jusqu'a ce que je réunisse un bataillon de chevaucheur !


Je me nomme Goliath, et je me montrerais digne de la mission que vous me confiez. Vous ne le regretterez pas. Je ferais de ce ramassis de vaux-rien les meilleurs des mercenaires.
EN ROUTE !!!


répondit-il d'une voix ténébreuse. Sur ces mots Livie contacta Fenrir.

Une premiére troupe de 18 combattants est en marche. D’autres devraient arrivés rapidement de Syrinth. Je réunis une troupe de chevaucheurs et vous l’envois au plus vite. Tenez bon !

que la dame guide vos lames.




 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 2 Jayar 1508 à 22h26

 
***
Pas si loin du pont...

Un capitaine arkonien particulièrement attentif remarquât de l'activité au niveau du pont. Il entreprit de gueuler des ordres autour de soi, en quelque minutes lui et son petit bataillon commença a se séparer de la force principale pour disposer de ce "dérangement potentiel".

En somme, cinq chevaucheurs sauvages et vingt soldats arkonien a pied marchaient en diréction de la position des Chevaucheurs...

En regardant la mine des arkoniens a pied, c'est les chevaucheurs sauvages qui représentaient un véritable danger pour les gardiens du pont, particulièrement celui qui semblait être le chef de ce beau monde. Un arkonien de grande taille et solidement bâtit. Sa monture, un sanglier à la fourrure noire comme du charbon n'avait rien a envier aux autres. De sa gueule dépassaientt d'imposantes canines hypertrophiées et la bête seule pouvait aisément peser plus de cent kilos. Son cavalier portait une armure noire articulé et un lourd sabre, le reste de sa troupe était armé d'un amas hétéroclite d'armes, mais par chance aucun archer ne se comptait parmi eux.
***


 
Oda Nobunaga

Le Luang 2 Jayar 1508 à 22h47

 
Vingt cinq contre trois? Ils nous sous-estiment on dirait.

Eh bien, c'est maintenant qu'on va savoir si tes pièges on été habilement placés Fenrir. Enjoignais-je légèrement au Nelda tout en armant mon arbalète d'un de mes carreaux personnalisés.

Si c'est le cas, alors nous n'aurons pas à intervenir beaucoup.
Mais sinon, eh bien ils ne sont pas si nombreux, nous devrions aisément nous en sortir.

Moi, je vais tâcher de monter et d'avoir un angle de tir parfait.


Joignant le geste à la parole, je pris la direction de la tour la plus proche de la zone où les choses allaient chauffer.

Le deuxième étage était parfait: suffisamment élevé pour me procurer une ligne de mire dégagée sur nos assaillants, mais pas trop pour pouvoir évacuer promptement en cas d'ennuis.

Ignorant si les pièges pouvaient se déclencher à cause de la charge des cavaliers Arkoniens, je décidais d'en cibler un: atrocement laid mais sacrément imposant, il était à la tête de l'assaut.

"Oh toi, t'es sexy", pensais-je tout en le suivant de la pointe de mon carreaux.

Si rien ne se passait d'ici cinq secondes, il allait me falloir ouvrir le feu, mais j'espérais juste pouvoir m'amuser un peu et profiter du spectacle avant d'entrer dans la danse.


-Oda Nobunaga-

 
Leriv Härkl

Le Luang 2 Jayar 1508 à 23h07

 
***
Arrivé sur le mur est bien après le début des hostilités, Leriv avait dû prendre du temps pour être au maximum de ses capacités, tel était le point faible des mages. Mais sitôt posté là où il pouvait voir les assaillants déferler en leur direction, nul ne pouvait ignorer sa présence, des flèches lumineuses volant au milieu des autres, plus classiques.

En quelques mots, le marqué fit comprendre aux archers des environs qu'ils devaient viser en priorité les mystiques, car les flèches et les carreaux se brisaient sur l'armure des guerriers, et les projectiles magiques s'érodaient face à l'esprit des mystiques. Ainsi, les traits de bois se concentrèrent de plus en plus vers les magiciens ennemis, alors que les sorts du Tchaë ciblaient en priorité ceux qui portaient les plus lourdes armures.

La bataille serait longue, mais le jeune parangon n'avait aucun doute sur l'issue de la bataille : la déesse grise veillait sur eux, équilibrant les vie des innocents massacrés par les Arkoniens avec le sang de ces derniers.
***


 
Biad Sieben

Le Matal 3 Jayar 1508 à 02h31

 
Biad voyait toute cette agitation autour de lui, la cité était attaquée au mur nord et est selon en tout cas ce qu il entendait et lui était là, planté au milieu de la cour. Alors un court instant , Biad ne put s empêcher de fredonner un air où violence, mort et amour de la vie se confondait:

Je t'aime terre qui m'a vu naitre,
Où que je sois , je croise mes frères,
Pris dans le tourment de la guerre...

Et puis alors que Biad allait finir son quatrain , Hakim demandait place en son cœur. Le quatrain se finit alors de façon burlesque:


Fin de la poésie, envoyons les paitre!!!


Et là Biad ne put s empecher de sourire, Hakim prenait le dessus , c est lui qui venait à l instant de s'exprimer et de gacher le quatrain. Enfin bon, le temps n était plus au verbe mais à l action.

Juste avant de laisser place à Hakim et pendant qu'il se dirigeait d' instinct vers le mur Est, Biad hurla:


Soldats battez vous , j'écrirai votre Légende alors n'ayez pas peur de la mort car cette dernière a peur de mes mots , oui je l ai vu pâlir au jour où je lui ai dit: je suis Biad le pire de tes amants car je ne veux pas t être fidèle,tu m'entends?

Décidément j'aime çà , j'aime les situations désespérées, la détresse car même si je suis effrayé , je me sens tellement vivant dans ces moments là... et il sourit tristement. Un poète aimant les défis et la bagarre c est un peu un poète raté, je me suis raté en tant que passif et contemplateur puisque je me veux aussi acteur...

Et il laissa place à Hakim qui déjà montait sur la palissade pour voir enfin les ennemis et pour leur crier:


Le poète vous aurez dit , avancez que je vous terrasse,
moi je vous direz simplement, vos gueules Hakim est dans la place.
Ou peut être préférez vous que je me présente un peu mieux...

Une flèche passa près de son visage. Coïncidence se dit il. Une seconde effleura son épaule.

Mais laissez moi finir de me présenter , oh et puis ce n 'est pas forcément important
dit il en souriant de toutes ses dents, nous allons très bientôt faire plus amplement connaissance.

Il prit un javelot alors et le lança , il visait un arkonien mais le javelot se planta dans le sol mais bien avant , il faut dire que les arkoniens étaient trop loin.

Pas grave, se dit il , c est un repaire pour moi, tous ceux qui dépasseront cette lance seront condamnés à mort , j en fait le serment, je ferai office de juge et je serai impartial.

dit :
Il est fou mais il est totalement fou, quel pauvre type!!!!


 
Fenrir

Le Matal 3 Jayar 1508 à 08h55

 
Quelques temps avant que les Arkoniens ne remarque l'activité sur le pont, les nouveaux arrivant se révélaient être des Chevaucheurs qui arrivaient de Syrinth.

*** Après un cour récapitulatif, les treize poussiéreux qui occupaient le pont se mirent donc de plus bel à travailler sur les pièges. ***


« Il faut faire en sorte de pouvoir rapidement isoler chacun des guerriers tout en restant le plus invisible à leur yeux! »


*** Avait dit Fenrir.

L'on monta donc des caches pour rester à couvert même lorsque l'ennemi passerait juste à côté; l'on plaça des amas pierres suspendu prêt à ensevelir les Arkaniens; des cordes pouvant se dresser rapidement pour désarçonner les cavaliers... ***


« N'oubliez pas de faire passer un maximum de piège pour des accidents! Il faut déstabiliser un maximum nos adversaires pour qu'ils ne puissent agir de manière cohérente! »


*** Ainsi continuant la mise en place des pièges.
Puis les tours furent rendu inaccessible en encombrant les escaliers au maximum. ***


*** L'activité des treize fini cependant par attirer un groupe d'Arkaniens.
L'alerte donné, le Chevaucheur alla voir ce qu'il en était.
Cinq cavaliers et 20 soldats à pieds avançaient désormais vers le pont.

Oda se dirigeant vers la première tour. Puis sur un signe, d'autres Chevaucheurs armés d'arcs et d'arbalètes le suivirent.

Fenrir braya à nouveau. ***


« Il faut absolument tous les éliminer!
Il ne faut pas qu'un seul s'en échappe pour avertir d'autre Arkaniens!
Nous sommes trop peu nombreux, et nos pièges ne sont pas tous encore prêt, alors il va falloir jouer serré!

Il semblerait que leur cavaliers vont arriver avant, donc laissez les pénétrer sur le pont, on fera tomber la seconde herse pour les isoler des soldats! Sur le pont, la cavalerie ne servira absolument à rien puisqu'ils ne pourront qu'aller tout droit!
»


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Nils

Le Matal 3 Jayar 1508 à 09h49

 
Nils avait travaillé à l'élaboration des pièges. Sur le pont il s'était confectionné une cache, afin d'attendre les cavaliers.

Son but était de faire chuter les cavaliers. Avec sa hache d'arme, il avait préparer sa position afin de lui permettre de taper au niveau des jarrets de ces fameux sangliers.

Une fois à terre, les bêtes ne pourrais plus bouger, et ce serait une chose en moins à s'occuper.

Nils acquiessa les dires de Fenrir.


Oui, et cela ne va pas être une partie de plaisir. Enfin, nous n'avons pas le choix, il nous faut mettre le maximum de chance de notre coté.

Allons préparons nous, la bataille s'annonce rude.


Nils ajusta son armure de plate, et enfila son casque de guerre. il était prêt à recevoir des coups, mais aussi à en donner.

touquette dit :
oula la, je n'aime pas quand tu mets cette armure.


Ah pourquoi ?

touquette dit :
heuu, ben ca va taper dure en face.


oui, je crois.

touquette dit :
Bon alors moi je me mets tout en dessous, tu m'appellera quand ce sera fini, d'accord?


Mais oui ne t'en fait pas, on a vu pire à la tour, non ?

touquette dit :
ah oui c'est vrai, on y a laissé deux armures de cuir bouilli.


ah, ah c'est vrai. Allez, sus à l'ennemi.

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Fenrir

Le Matal 3 Jayar 1508 à 13h46

 
*** Sur le pont, la tension devenait palpable. Bien qu'ils étaient relativement bien préparé, les pièges avaient cette facheuse tendance à pas forcément bien se déclancher, ni même au bon moment. Et puis si les Arkoniens comprenaient trop vite l'ampleur de ceux-ci, ils ne serviraient alors absolument à rien.

Les cavaliers s'arrêtèrent finalement à l'entrée du pas. Semblant attendre les soldats quelques peu à la traîne.
Ils surveillaient soigneusement le fort et les herses toujours levait, comme s'il n'y avait pas de menace.
Le chef de la troupe semblait tout aussi tendu que les poussiéreux caché sur le pont.

Fenrir, murmurant pour lui même ***


« Il doit sûrement se demander pourquoi les herses sont toujours levé et qu'ils n'eussent toujours pas subit d'attaques...
En venant ici, il avait probablement dû voir de l'activité, et l'absence de réaction le laisse perplexe...
»


Loki dit :
« ... »


*** Les soldats arrivaient enfin au niveau des cavaliers.
C'était maintenant le moment le plus critique car de l'action des Arkoniens dépendait la stratégie des poussiéreux.
Serait-ils en suffisamment bonne confiance pour lancer leur cavaliers devant, ce qui leur permettrait de les isoler laissant ainsi aux Archers une grande marge pour massacrer les fuyards.
Ou bien, lanceront-ils leur soldats d'abord afin d'investir les tours, auquel cas, il faudrait là aussi isoler les soldats des cavaliers, mais compter sur l'adresse des Archers pour massacrer rapidement et efficacement les cavaliers qui fuirait en tentant d'être hors de leur portée...

Sur quelques signes, Fenrir signifia que si les soldats passaient d'abord, il faudra tenter de les enfermer entre les deux herses de la première tour puis de rapidement massacrer les cavaliers avant qu'il ne soit hors de portée. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Laekh Hildin

Le Matal 3 Jayar 1508 à 18h20

 
"Hoooo...alors voilà ce à quoi on a affaire...Eh bien, heureusement que j'ai fait le plein de carreaux!!" Ironisa Laekh en apercevant l'imposante force arkonienne qui avançait petit à petit au devant du mur est de Krell.

L'ambiance était tendue, non pas d'une tension angoissée, mais plutôt de l'envie de tuer, du désir de carnage. Le hérault regarda autour de lui. A ses côtés, Yalean, le géant nelda, tremblait sur place tout en claquant des machoires. Equipé de son habituelle armure, aussi immense et coriace que son porteur, il commençait déjà à agiter ses deux épées -une dans chaque main- avant même que le premier arkonien ne se fasse percer la tête d'une flèche. Laekh n'était pas particulièrement bon en combat direct et en mélée, préférant la subtilité et la ruse, après son arbalète, bien sûr. Il s'était donc dit qu'un bon guerrier ne serait pas de trop au cas où il aurait des problèmes.

....hmmm, en fait je sais pas si j'ai bien fait de l'avoir à côté de moi, il est en train de devenir complètement taré...

dit :
Oh non, pas du tout, vous faites un super couple tous les deux! Je te rappelle que tu es tout aussi cinglé au coeur d'une bataille. A force de t'observer, je peux te le dire, t'es complètement frénétique dès qu'un ennemi se pointe. Arrête de te donner des airs de rusé, c'est pas pour rien que tu te rappelle de rien après un combat...D'ailleurs tu ferais bien de choper ton épée au lieu de l'arbalète, t'es bien meilleur au corps à corps!


...mouarf, pour l'instant je reste à distance en attendant qu'ils arrivent...


C'était vrai. Une lueur malsaine brillait dans les yeux de Laekh. Personne ne pouvait l'apercevoir, mais rien n'était sûr quant à savoir qui il attaquerait en plein combat, les arkoniens ou les défenseurs...ou les deux...

Un cor de guerre résonna en face. Les troupes arkoniennes pressèrent le pas, faisant voler leurs étendards déchirés au vent. On pouvait les voir, horribles humanoïdes déformés par le S'sarkh, engoncés dans des armures chaotiques constituées non pas de métal, mais de peau, d'os et de bois, de protections clouées à même la peau, pour la première ligne du moins.

Alors que la horde se rapprochait, les défenseurs décochèrent la première volée de flèches de la bataille. La haine qui l'accompagnait transformait ces projectiles en une vague sombre et colérique, fonçant avec fougue vers les rangs ennemis. Pas une flèche de manqua sa cible. Des murs de la ville, on entendit des hurlement de douleur alors que la première ligne de combattants arkoniens s'affaissait et s'écrasait lourdement sur le sol.

D'après ce que pouvait voir Laekh, les autres dégénérés ne rechignaient pas à les piétiner pour continuer l'assaut, et en regardant bien, on pouvait voir les mystiques s'arrêter devant quelques blessés qui s'agitaient en tous sens pour évacuer la douleur de leur esprit. D'un geste brusque et presque animal, ils les frappaient alors à mort, probablement pour les punir d'avoir manqué à leur devoir de soldat, ou de ne pas être morts directement en bonne et due forme. D'autres semblaient s'extasier à transformer ces blessés en torches vivantes -plus pour très longtemps-, ou leur coupaient les quatre membres.


La haine, mêlée à l'excitation du simple carnage, commençait à envahir le Hérault de la perle. Choisissant un carreau dans son carquois personnel -il avait pris le soin de décorer chacun de ses carreaux en les peignant en rouge sang, avant d'inscrire une phrase sur chacun d'entre eux : "la mort, je te la donne; reçois la avec respect et meurs dans la dignité"-, il l'ajusta du mieux qu'il put sur l'arbalète, se cala au mur et visa avec attention le mystique coupeur de membres. Derrière le carreau, son oeil était devenu d'une froideur presque inhumaine (ou intydale), totalement opposée à sa présence bienveillante habituelle. Même Yalean, qui par hasard l'observa un moment, n'osa pas le déranger dans son office de mort.

"Clik."

Le projectile était parti. Le mystique, déconcentré par son jeu avec l'arkonien blessé, n'avait pas vu arriver son destin, et gisait sans vie, un carreaux dépassant de l'emplacement de sa carotide.

dit :
Joli coup! Mais, s'il te plait, fais moi plaisir, ne refait jamais ce regard sans être en plein combat, j'ose espérer que tu es toujours lucide.


...nous verrons bien...

[hrp] au cas où, je dis juste une chose: non, je ne suis pas un psychopathe! (en relisant le texte, je me suis dit que c'était franchement glauque) mais j'essaie surtout de recréer l'ambiance réelle d'une bataille de ce type [/hrp]

 
Persmerga

Le Matal 3 Jayar 1508 à 20h51

 
*** Persmerga pousse un hurlement bestiale avant d'abattre sa hache sur le crane de l'arkonien.
Les échelle arkonien sur positionné en face des remparts, tous autours des dizaine d'arkonien son bléssé a mort par des flèche et carreau d'arbalète.

Le nelda regarda alors autours de lui, leurs ennemies n'arrivait pas a passer le mort de soldat positionné devant les échelles armées de lance. ***


Battez vous! montre leur qui nous sommes!

*** Si le combat durais ainsi la victoire était sur, mais il apercevais déjà les troupes d'élite se mettre en positions pour faire le percé.
Il regarda les archée qui c'était placé en bas des remparts ***


Soldat feu a volonté de l'autre coté du mur!

 
Livie

Le Matal 3 Jayar 1508 à 21h48

 
Non loin de Zarlif :

Livie prit contact avec Fenrir, Nils et Oda :

Les amis, les renforts sont en marche. Nimuë, une jeune symbiosée m’accompagne, nous devons rejoindre une troupe de chevaucheurs sur la route. Les hommes partient hier ne devraient pas tarder à arriver.

En marchant je me rappelai un vieu dictons : « En guerre, ce que tu ne peux défendre et conserver sous ton contrôle, détruit le. Ainsi, ton ennemi ne pourra s’en servir contre toi. » Autrement dit, si vous ne pouvez conserver le pont sous contrôle, peut-être faudrat-il envisager de le détruire. Il existe souvent dans les piles des passages qui servent à la maintenance de ceux ci. C’est un point d’accès pour atteindre la voûte sous le pont. La clé de voûte est le point faible. Si on la détruit, tout s’effondrera. Mais peut-être ce pont n’est pas équipé de passage de maintenance, alors, l’un d’entre nous devra ce jeter à l’eau. On verra ça le moment venu.





 
Aldarin Mor'Nathil

Le Matal 3 Jayar 1508 à 21h59

 
***
Devant le pont...

Le chef de la troupe arkonienne scrutait attentivement le pont. Le calme apparent ne lui plaisait pas...
Un cavalier leva son sabre dans l'aire pour pousser ses compagnons à la charger, mais le chef l'arrêta d'un aboiement guttural. Le subordonné protestât, mais fini par s'incliner sous l'autorité du grand arkonien.
Ce dernier cria sur les soldats a pied et pointa l'entrée du pont.
La moitié d'entre eux se mit a marcher vers la porte le reste attendait ce qui allait se passer...
***



***
Devant Krell...

Que l'on se trouvaient sur le mur Nord ou Est, le début de la bataille était pratiquement le même. Les lignes arkoniennes avançaient lentement vers les murs de la citée, ralenties par les divers pièges, fausses et pieux, tout en subissant une pluie incessante de projectiles en tout genres, flèches, carreaux, magie...
Cependant arrivés assez près, les arkoniens commençaient à répliquer avec leur arcs courts par des tires sporadiques et sans aucune coordination. Un grand nombre de leurs flèches se figèrent dans la palissade ou bien la survolèrent de haut. Hélas parfois une trouvait une faille dans une armure d'un poussiéreux... La mort venait de commencer sa moisson sur les deux fronts et des deux camps... certes, et Dame en soit louée, avec une nette préférence pour les âmes arkoniennes!

Sur le mur Est, Aldarin se couvrait avec son bouclier duquel dépassaient déjà deux traits. Les flèches arkoniennes était grosses et noires, leur pointes étaient en diamant, des flèches perce-armure!
***

- Nom d'un braxat épilé! c'est pas normal! Comment les arkoniens ont ce genre de flèches?!? Il n'eut pas le le temps de continuer sa pensée quand une de ces flèche se planta de nouveau dans son bouclier, mais cette fois la pointe avait traversée le métal et avait entamé la chaire de l'avant bras gauche du tydale.

- Par les saintes fesses de mouette dégarnies! C'est pas passé loin! s'exclama Toa, le vieux chasseur tchaë de l'expédition initiale d'Aldarin, une flèche venait de lui arracher le casque. Je te félicite tête de nœud tordu, mais moi je vais pas te rater!!! et sur ces mots un carreau se planta entre les yeux d'un archer arkonien...
***
L'armée arkonienne avait "bravement" franchie les nombreux obstacles que les défenseurs leur ont soigneusement préparés.
A pèsent les premiers arkoniens arrivaient aux pieds des murs, faisant tourner des crochets pour les jeter par dessus les murailles, d'autres apportaient des échelles de siège. Le sang des soldat était en ébullition, la boucherie allait pas tarder.
Aldarin dégaina son épée enchantée, un halo luminescent enveloppait Sa lame. Il la brandît haut dans les aires et cria à plein poumons.
***

- HOMMES DE KRELL! LE TEMPS EST VENU POUR PROUVER NOTRE VALEUR MES KIELNOS!
QUE LE FEU D'UNE JUSTE COLÈRE EMPLIS NOS CŒURS,
QUE NOTRE FOI RENFORCE NOS CORPS ET DÉTOURNE LE CORROMPU,
ET QUE LA BIENVEILLANCE DE LA DAME GUIDE NOS LAMES !!!
TENEZ FILS DE L'EQUILIBRIUM, TENEZ!


 
Oda Nobunaga

Le Matal 3 Jayar 1508 à 22h53

 
"Mauvaise idée, dommage mon pote", m'étais-je dit avant de presser la gâchette de mon arbalète.

Voyant que les choses n'allaient surement pas se passer comme nous l'entendions, je pris la décision de sortir furtivement de la tour, et de me mettre à portée du groupe de cavalier qui venait de reculer.

Pour cela, il m'avait simplement fallu longer l'un des garde-fou du pont, et escalader l'édifice de pierre où se trouvait la herse.


Chase dit :
Autant dire que pour un escroc comme toi, c'était une formalité.


Au lieu de la cavalerie, c'était l'infanterie qui avait pris les devants; comme ils se dirigeaient vers les tours où les hommes de Fenrir se trouvaient, nous n'avions plus d'autre choix que celui de surgir et de profiter de l'effet de surprise.

Je m'étais demandé si il ne fallait pas attendre pour ne pas prendre le risque de laisser s'échapper les cavaliers, mais finalement, dans tous les cas, nous allions avoir des ennuis, alors autant tuer le plus de monde possible.


Chase dit :
C'est fin ça.


Non mais réfléchis, si on ne fait rien, ils vont nous trouver et le combat va s'engager sans que nous puissions avoir un quelconque avantage.
Là, si nous attaquons, ils vont le sentir passer, et même s'ils se replient, et qu'ils demandent des renforts, ils dégarniront l'armée du côté de Krell.

Et au pire, tu as capté le message de Livie, héhé.


Chase dit :
Tu ne l'envisage pas sérieusement, enfin! Détruire le pont...


Quand nécessité fait loi.
Enfin, je ne suis pas un partisan de l'hésitation, alors...

La trajectoire du carreaux était parfaite; et avant même que le gros Arkonien ait pu s'en rendre compte, le trait alla se ficher dans son œil droit.

Le malheureux s'effondra raide-mort, sous les regards ébaubis de ses semblables: juste le temps pour moi de réarmer Kalhan, et de me remettre en position de tir.

Maintenant, à vous d'assurer Nils et Fenrir...


-Oda Nobunaga-

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