Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Persmerga

Le Vayang 6 Jayar 1508 à 21h22

 
*** Persmerga ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Quand Anty lui pausa la main sur l'épaule il eu alors un minimum de réaction.

Il ne pouvait pas en croire ses oreilles, Anty n'avait pas se tempérament a ses habitudes.
Cependant il fit un léger sourire en regardant devant lui.
Les poussiéreux commençait à ce battre contre les forces adverses.
Juste au dessus de lui passa une centaine de flèche allant s'abattre sur les cries de terreurs des Arkoniens.
Cette vision commençait à satisfaire le Nelda qui observa les innombrables cadavres des pauvres Arkonien.

Quand les flèches atteignirent leurs cibles un immense crie de haine s'étendit dans les rang des poussiéreux.
Excité par ce spectacle, Persmerga en fit autant. puis les cors sonnèrent c’est alors que les soldats de krell et de bien d'autres villes du territoire de l'équilibre chargèrent la masse.
Les étendards de l’équilibre brandit dans le ciel donnant au plus hésitant des poussiéreux plus de courage que les meilleurs des Arkoniens en auraient jamais.

Pousser par leurs chefs les arkoniens chargèrent a leurs tours.
Les armures faisait trembler le sol, et c'est avec un sentiment de victoire que l’armé des poussiéreux rentra au contacte.
Persmerga fit tournoyer sa hache de guerre puis frappa le thorax d’une des minable créature.
Le nelda ne perdit pas de temps et frappa l’arme de son adversaire pour la dégager et enfin frapper a son tours pour mettre a morts la besogne.
Deux lancier qui était a ses cotés empalèrent avec un crie de rage l’un de leurs ennemies.
Le nelda regarda a sa droite, l’un des siens venait lui aussi de mettre a mort son adversaire mais fut frapper sur son bras armé désormais casser.
La créature saute sur le pauvre soldat qui perdit la vie une épée dans la gorge.
La haine au cœur persmerga lança une petit hache qui s’abattit sur la visage de l’arkonien.
Plus loins les mages avait fait une percé brulant tous sur leurs passage, mais ces joie fut de court durer quand des chevaucheurs les chargèrent, les lanciers n’avait pas été assez rapide pour sauver les premiers mages, mais comme leur avait dit persmerga, pour un des notre tombée au combat dix des leurs périront.
Les lanciers entourèrent les chevaucheurs, quelques archée les avait rejoint et entamais un chasse a l’arkonien bloquer par la multitude de lance.
Le nelda était satisfait par ce magnifique tableau, il regarda ensuite deux guerrier mettant a mort un Arkonien, mais malheureusement ils nuent pas le temps de voir l’un des officier leurs foncer dessus, l’un fut donc décapité et l’autre blesser a la jambe.
Pour sauver le second soldat le nelda courut a toute vitesse, frappant un arkonien qui était sur son passage.
Arriver au contacte il frappa de justesse l’arkonien en armure noir, la hache avait touché l’avant du bras transperçant l’armure fragile à ce niveau.
Son ennemie se tordit alors de douleur mais pour ne pas partir il ce laissa frapper un coup puissant qui transperça l’armure mais qui resta bloquer, le nelda voulut la retirer mais son ennemie dans un dernier soupir l’empêcha de la retirez puis leva son épée en direction du soldat de krell blessé, persmerga nu pas l’intelligence de lâcher sa hache pour bousculer le chevalier.
Le chevalier de krell fini alors un épée dans la tête.

Plus loins des cries de souffrance ce fit entendre, des dizaines de soldats brûlaient, les mystiques faisant office de mage les plus dangereux de la l’armé adverse.
La cavalerie de krell connut pour son efficacité à réagir avec rapidité mit à mal les mystiques.
Le combat dura encore et encore la forteresse bientôt en vue. ***



 
Livie

Le Sukra 7 Jayar 1508 à 09h39

 
A la croisée des chemins Zarlif Syrinth et Minott Krell :

*** Livie prit la tête de l’armée de libération et imposa un rythme soutenu. Au bout de quelques heures de marche, Bran et Geoffroy s’extirpèrent de la masse pour venir à la hauteur de Livie. Bran, ou bien Geoffroy, Livie ne savait pas les reconnaître, prit la parole : ***

- Livie, ces hommes ont marchés nuit et jour pour être présent au rendez-vous à temps. La plupart d’entre eux sont épuisés. Ils n’ont pas ton entraînement et si tu continu à ce rythme, tu va les tuer.

*** elle se retourna et aperçu une troupe clairsemée et s’étirant en longueur. Nombreux étaient les soldats qui trébuchaient et manquaient de tomber alors que le chemin était bon. Les jumeaux avaient raison, les hommes semblaient fatigués ***
.

- Effectivement, ils sont à bout de force. Je ne m’en étais pas rendus compte. Il ne sert à rien de les pousser dans leur dernier retranchement. Une armée de libération composée de mort vivant ne libérera personne. Faisons une pause. Montons un camp de fortune et reposons-nous une journée. Envoyez un groupe de chasseur nous ramener sangliers et chevreuils pour rassasiez tous ces estomacs. Quand nous reprendrons la route, j’autoriserai une heure de repas le midi et 5 heures de sommeil chaque nuit. Il faut que ses hommes arrivent en pleine possession de leurs moyens si on veut gagner avec un minimum de pertes.

- Je crois que c’est une sage décision
, repris Geoffroy ou Bran, enfin l’autre jumeaux, puis il s’approcha de Livie pour lui parler tout bas. Plusieurs d’entre eux sont passé par Syrinth en venant. Ils m’ont rapporté une rumeur. Almathur, l’archonte de Syrinth serait en train de réunir une autre armée. Mais je ne sais pas si l’information est vraie.

- Intéressant, merci de m’avoir informé. J’ai déjà croisé le chemin d’Amalthur et nous nous connaissons un peu. Je vais tenter de le contacter


Bran et Geoffroy allèrent stopper l’armée et préparer le campement alors Livie s’écartât pour s’isoler.
Les guerriers, bien qu’impatient d’en découdre avec les arkonniens, accueillir la nouvelle de ce contretemps avec soulagement. Aussitôt, chevaucheurs, bûcherons et chasseurs s’activèrent pour bâtir un camp de fortune et se remplir la panse.

De son coté, Livie contacta Amalthur pour s’assurer de la véracité de cette rumeur puis envoya un message pour tenir informé ses 3 compères sur le pont. D’un coté, si Amalthur arrivait avec une autre armée, il valait mieux les attendre pour s’unir et frapper encore plus fort et mettre toutes les chances de notre coté. D’un autre coté, Il fallait que Krell et le pont tiennent bon jusque là.... Nous verrons bien ce que dira Amalthur. Dans tous les cas, si il y avait urgence, Livie pourrait partir rapidement en compagnie des meilleurs chevaucheurs et atteindre le pont en peu de temps grâce à ses sort et à leur habitude de la marche forcée.



 
Aldarin Mor'Nathil

Le Dhiwara 8 Jayar 1508 à 17h41

 
***
Sur la forteresse sous-terraine arkonienne...

Les deux combattants neldas se battaient et il semblait que la ligne arkonienne est sur le point de s'effondrer, lorsque la température chuta et une sueur froide ruisselait dans le dos des neldas. Cela ne fit pas trop broncher les guerriers, mais soudainement le vent se leva et un grand flash de lumière suivit d'une déflagration se fit entendre, le bruit d'un orage...
A cet instant précis et pour une courte seconde, Anty et Persmerga se retrouvèrent sur le mur Nord de Krell. Devant eux la ville, a leurs pieds des corps brisé de soldats krellois, les crânes pourfendus par un bâton pour un et un soldat de Krell duquel dépassait la hache à deux main de Persmerga pour l'autre.
Ceux qui étaient les arkoniens il y a un instant étaient les soldats de Krell et aux côtés des neldas, les arkoniens déferlaient sur le mur en ignorant Anty et Persmerga, voir pire, les regardant d'un air complice...

L'éclaire passé, la pluie tombait en cordes et puis tout redevint comme avant. De nouveau cette forteresse arkonienne, de nouveau sous terre, mais toujours cette sueur froide...
***


 
Oda Nobunaga

Le Dhiwara 8 Jayar 1508 à 20h05

 
Le silence de l'Arkonien commençait à devenir pesant; l'atmosphère était imperceptiblement empli de tension; les soldats jetaient de plus en plus souvent des coups d'œil interrogateur dans notre direction.

Sur les cinq minutes qui suivirent l'installation de Khoulkoul, par deux fois il sembla commencer à parler, pour se raviser ensuite.

Il semblait chercher ses mots.


Chase dit :
En effet, on dirait qu'il prend énormément de précaution avant de se lancer.


Quoi de plus normal, d'après ses propres dire, il a du mal à admettre que nous incarnions son ultime recours...

Mais de là à mettre tant de temps!


Chase dit :
Je suis sûr qu'une fois qu'il sera lancé, on va avoir du mal à l'arrêter, héhé.


Fais pas ça.

Chase dit :
Quoi?


Tu sais très bien...

Il ne nous restait plus qu'à prendre notre mal en patience.

Viendrait ensuite la question de la véracité de ses propos...


-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Dhiwara 8 Jayar 1508 à 21h29

 
Les symbiosés:
« ... »


*** L'Arkonien prenait décidément beaucoup de temps à se décider à énoncer ce qu'il avait à dire, et Fenrir bien que d'une grande patiente normalement, commençait quelques peu à se lasser d'attendre une réflexion de la part du visiteur. Il semblait également, à la vu des mimiques, que le Nelda n'était pas le seul à perdre patience face au silence de l'Arkonien. ***


Khoulkoul:
« ... »


Les symbiosés:
« ... »


Fenrir:
« Loin de moi l'idée de rompre cette subtile conversation silencieuse, mais ne pourriez pas en venir au fait Khoulkoul?
Je dois dire que nous trépidons d'impatience à vous entendre nous énoncer votre faveur.
»


Loki dit :
« Ne perds pas patience... Après tout ne dit-on pas que le silence renseignement plus que les mots? »


Fenrir:
« ... »


Khoulkoul:
« ... »


*** Il ne restait donc plus qu'à savoir jusque quand l'Arkonien maintiendrait son mutisme. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Biad Sieben

Le Dhiwara 8 Jayar 1508 à 22h23

 
Depuis le premier javelot lancé, qui n avait d ailleurs atteint aucune cible arkonienne faute de la distance, les choses avaient bien changé ou du moins les arkoniens s étaient rapprochés...

Après qu'ils aient dépassé le premier javelot planté à une trentaine de mètres de la muraille de Krell, pour Hakim il ne s'agissait plus que de les abattre tous comme ils étaient.


Il lança alors bon nombres d autres javelots pendant que les arkoniens se rapprochaient du village de Krell. Hakim n avait pas eu souvent l occasion d avoir entre ses mains des javelots mais son manque d'adresse était largement compensé par le nombre abrutissant d'arkoniens, il y en avait toujours un pour se prendre le javelot....

Allons donc, laisse moi regardez un peu cette scène , dit tout à coup Biad des ténèbres de l ame partagée d Hakim...
D'accord, mais n oublie pas de me laisser revenir au combat, il s agit de mon combat, le mien (Hakim riait tout en disant çà ) , le mien...

Les arkoniens montaient à l aide de leurs cordes et de leurs échelles, alors qu ils se rapprochaient dangereusement, les pièges organisés autour de la muraille n avaient pas suffi, le poète était resté à les contempler.
[/i[i]]
Les soldats derrière lui qui l avait vu accomplir des gestes plein de bravoure , le virent regarder d un air émerveillé l armée qui se tenait devant lui....

Un soldat qui l avait admiré dans son premier fait d armes s adressa à lui alors:
Qu y a t il ? Vous semblez aimer cette scène...

Biad répondit alors:


Je ne me sens vivant que dans de rares moments, vois tu , ces moments sont dans des amours passionnés ou devant une mort que j affronte... et ce moment est partagé entre deux idées , je vais affronter la mort, jeune soldat,mais je me rappelle aussi que quelqu' un m attend et que j aime , je lui ai promis de revenir ....

Biad soupira en souriant : Tire ton épée mon garçon, le moment de défier la mort approche , faisons un beau combat.

Le soldat sourit en haussant les épaules.
Il faut croire que les héros doivent constamment être un peu dérange de l esprit, se dit il ...

Biad, laisse moi faire mon combat, Biad tu m entends , hurlait Hakim dans le for intérieur du tydale .

Biad n écoutait plus personne. Il regarda le ciel un moment et puis pris la première corde arkonienne entre ses mains , l épée dans l autre main et dit à l arkonien qui y montait :

Mon ami, vous savez , je ne suis monté qu une seule fois dans une demeure avec une corde sans l autorisation des personnes qui y logées, j ai pris une sacré correction d ailleurs. Tout çà parce que j avais voulu épier disons une charmante demoiselle dans sa toilette... Je n ai plus jamais utilisé de corde pour me rendre dans une demeure, car ce jour là le père de la charmante demoiselle s était amusé à couper la corde. Et je fis une chute de plus de deux mètres, je me fis alors une méchante entorse en tombant. La muraille de Krell fait plus de sept , huit mètres de haut l ami. Je ne pense pas qu en coupant cette corde , je ne vous donne l occasion de retenir la lecon mais si ce n est pas le cas, passez par la porte la prochaine fois en vous faisant invité , mes amitiés, je vous renvois en bas maintenant.


Biad coupa alors la corde , l arkonien tomba et s empala sur une lance d un de ses frères d armes.

Dommage , se dit tristement Biad , mais il a été trop gourmand. Escalader une muraille pour tuer je suppose que la juste punition est la mort et voir une pucelle dans son plus simple appareil la punition est une entorse, hum, pfff, je crois que je peux m estimer chanceux...

Biad laisse moi prendre le dessus, bon sang ,je veux me battre, gueula Hakim de l intérieur....

Laisse moi tranquille dit BIad, pour l instant je châtie des pervers et des voyeurs et il continua à couper des cordes. Il trouvait çà tellement amusant qu il ne vit pas l arkonien derrière lui qui menaçait de lui planter l epee au travers son corps. Heureusement le jeune soldat qui avait juste avant sympathisé avec BIad l empala avant.

Biad se retourna en lui disant merci et puis tristement finit par dire
:
Voila, à ton tour maintenant Hakim....
Hakim remit l'épée au fourreau se saisit de deux javelots et les lança sur les trois arkoniens qui escaladaient à nouveau la muraille et qui y avaient déjà posé un pied . Cela les déstabilisa, même si les lances ne se planterent que dans la jambe d un seul des trois arkoniens , il tomba sur les deux autres et tous ensemble, ils plongèrent de la muraille.

Trois pour le prix d un se dit Hakim, je m améliore,la prochaine fois je me ferai une brochette. Bon, à présent, le combat rapproché, il se saisit à nouveau de son épée et se jeta encore sur les arkoniens nouveaux arrivant sur le mur Est en leur hurlant:
Bienvenue, les chambres sont trois étages en dessous , laissez moi vous y conduire , ha ha ha!!!!



 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 9 Jayar 1508 à 01h38

 
***
Sur le pont, autour du feu de camps...

L'arkonien émergeât de sa transe, il cligna des yeux comme si il se serait réveillé d'un rêve épuisant. Il observa les trois élus autour du feu.
***

- Bientôt... il va ... pleuvoir... prononça-t-il enfin.
***
En en observant le regard incompréhensif des poussiéreux, le chamane prit une brochette de lapin et en avala un bout. Puis il la pausa sur ses genou et il entama son histoire...
***


- Au commencement nous vivions tranquilles. Tout changeât avec l'arrivée des frères mystiques. Depuis les vies des caves-mères ont été bouleversées. Mais ceci est une autre histoire...

Ma cave-mère a récemment changé de patriarche et depuis tout va mal. Son nom est Noskrark et ils le surnomment le bénit. Il a gagné le trône, mais même si Noskrark est un arkonien malin et sans scrupule, mais il ne serait jamais assez fort pour vaincre notre ancien patriarche, même avec l'aide de ces damnés de mystiques suivant du Sior'kak...


L'arkonien regarda de nouveau ses interlocuteurs, qui ne semblait pas tout comprendre.


- J'ai comme l'impression que tout ces mots que je tente de vous traduire ne vous évoquent rien... Ahh... pas surprenant pour les races de sur-terres... pfff...
Bon et bien commençons par le commencement. Sachez que ce que vous pensez savoir sur nous est en grande partie faux. Vous pensez que nous servons le Sior'kak, mais c'est faux! Pratiquement aucune cave-mère ne le vénère, même au contraire, nous le méprisons. Il a touché notre race et l'a affaiblie par ses vapeurs. Nous tentons de nous en isoler le plus profondément dans nos cités souterraines. Mais hélas il y a toujours des illuminées qui trouve que nos afflictions sont une sorte de bénédiction et vénèrent le Sior'kak comme leur Dieu.
C'est les mystiques et ils se considèrent être les apôtres de la fin des temps qui préparent la venu de l'ultime seigneur qui englobera ce monde.
Ils sont autant craint que respecté en raison de leur affinité avec la magie, mais qui est fausse, artificielle vous diriez.
Moi je ne suis pas un mystique, je suis un chamane. Ma magie n'émane pas du Sior'kak. Les mystiques ne nous aiment pas pour ça et aussi car nous pouvons voire les futures et donc leurs plans.

Les mystiques manipulent et conspirent pour prendre le contrôle sur les caves-mères et servir les désins de Sior'kak; et justement Noskrark était leur champion dans ma cave...
Mais voila, jamais il n'aurait pris le trône sans l'aide de ce Tr'paslik. Chez vous on les appelle les tchaë je crois.
Il est venu il y a deux hivers dans la cave-mère, initialement je pensais que c'était un nouveau esclave, mais en faite il était un marqué par le Sior'kak. Les mystiques l'ont présenté à Noskrark et puis ces deux là sont devenu amis. Le tr'paslik a forgé une puissante armure pour Noskrark et ensuite il l'a enchanté. C'est ainsi que l'ancien patriarche a été vaincu.

Depuis le tr'paslik a enseigné à nos artisans comment forger de puissantes armures noires, des nouvelles armes et flèches, ainsi que la nouvelle magie aux mystiques. Il l'appelait la chimère.

Je ne sais pas trop pour quoi, mais ce tr'paslik déteste son ancienne patrie et il a donc conclus avec Noskrark un pacte.
Il forgera de nouvelles armes et armures pour Noskrark et enseignera la chimère à ses mystiques en échange de la destruction totale de Zerif et Sirit, ou quelque chose comme ça.

Cette cité est juste une démonstration, un jeu de guerre pour attirer les autres tribus et caves-mères sous la bannière de Noskrark...


L'arkonien fit enfin une pause pendant laquelle il avala un autre morceau du lapin grillé.

- J'ai voulu décourager Grott de cette attaque, mais il est stupide.
Grott, c'est le général de cette armée. Il est un fervent partisan de Noskrark et des mystiques. Il faut donc le tuer.
Mais pour ça, il faut aider vos amis pour libérer la cité. Je sais que vous êtes des élus, vous pouvez leur communiquer mes paroles?

J'ai besoin de parler aux mages qui sont dans la cité, un mauvais augure plane sur eux...


Vers la fin du récit du chamane, le ciel c'est recouvert de lourds nuages, l'orage était imminent...


 
Oda Nobunaga

Le Luang 9 Jayar 1508 à 11h33

 
Encore un joyeux bordel.

C'était sous-entendu, mais ce qu'il attend de nous, c'est un tout petit plus dangereux que de tuer un général Arkonien; enfin, pas de nous spécialement, il a juste besoin d'élus pour repousser l'armée et enrayer les plans de... Noskrark, je crois.

Bref, pour le moment, je ne sais pas si nous avons trop le choix.


Chase dit :
Mais il me semble que vous comptiez déjà aider Krell, non?


Oui, mais là nous avons des informations complémentaires.
Enfin, quelque chose me dit que nos actions vont aider ce bon Khoulkoul à trouver une place dans sa "cave-mère".


Chase dit :
Pourquoi pense-tu ça?


Oh, qui sait?

Chase dit :
Pfff... l'instinct, c'est ça?


En partie, mais je ne pense pas qu'il ait pris l'initiative de venir quérir notre aide tout seul.
Il ne doit pas être le seul à trouver la situation dans laquelle il se trouve inconfortable.
Peut-être fait-il parti d'un mouvement dissident, ou un truc comme ça.

Dans ce cas, en venant nous voir, et si nous arrivions à régler le problème grâce à ses conseils, alors il sera forcément bien vu dans son groupe...


Chase dit :
C'est un peu tiré par les cheveux, mais après tout...


Et ce Tchaë qui leur a donné à accès à l'armurerie; à vrai dire c'est lui qui m'inquiète le plus; sans lui, je doute que nous en soyons là...

Enfin, nous verrons bien, la priorité c'est Krell.

Voyons ce qu'en diront Fenrir et Nils.


-Oda Nobunaga-

 
Nils

Le Luang 9 Jayar 1508 à 14h54

 
Nils écouta l'Arkonien, son récit était plutôt clair de la situation dans les souterrains, les "cave-mères" comme il disait.

il prit la parole


Bonjour, je me nomme Nils et suis un chevaucheur de l'équilibrium.

Votre récit est un bon résumé de votre situation, mais j'aurai quelques questions supplémentaires.

Premièrement, comment avez vous su que nous étions près du pont ?

Pourquoi nous, plutôt que les gens qui défendent Krell ?

Votre statut au sein des caves ne m'a pas l'air très stable, quels sont les forces, chez vous, qui seraient prêtes à nous épauler, si toutefois nous déciderions de vous croîre, car rien ne nous dit que vous ne nous racontez pas une vaste fumisterie pour nous détourner de notre mission aujourd'hui, sauver Krell.

Pourriez vous nous dire comment accéder aux caves sans nous faire repérer ? Ceci serait primordial, si nous voulions intervenir en faveur de votre groupe.

D'autres questions me taraude, mais je vous laisse répondre à celle-ci déjà.


Nils restait attentif à tout mouvement ou aspect du visage de l'arkonien

touquette dit :
oula, t'y va un peu fort non ?


humm, non justement, c'est fait exprès

touquette dit :
Ah, d'accord, je comprend. tu le pousses un peu afin qu'il se dévoile un peu plus, c'est ça ?


hehe, je penses que tu as tout compris.

touquette dit :
ah ah, j'suis bien content d'être avec toi, tiens


le plaisir est partagé, mais n'hésites pas à me donner tes idées, ça pourrait être intéressant.

touquette dit :
ben oui, je n'y manquerai pas.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 9 Jayar 1508 à 16h12

 
***
Le chamane se gigota sur place un instant puis écouta Nils. Le ton un peu fort du nelda ne plut visiblement pas au chamane, qui n'avait pas l'habitude qu'on remette ses propos en cause. Cependant il garda le calme et c'est une voie tremblante qu'il lui répondit.
***

- Méfiance, hein? Pas facile de croire qu'un être "inférieur" et corrompu du Sior'kak comme toute sa race puisse vouloir vous aider... hein?
Mais je vous comprend, même si votre ton m'irrite broeyti Nils...

Comment j'ai su que vous étiez sur le pont? Je l'a vu avant même que Grott lance son armée sur Krell... Mon intuition m'a guidé ici... et puis aussi le fait que j'ai convaincu Grott de l'inutilité de ce pont. Il ne devrais pas tenter de le prendre. De plus Krell grouille de mystiques. Un temple entier s'y bat. Individuellement je les battrais tous, mais ils savent combiner leur pouvoirs, ce qui les rend plus dangereux, même pour moi.

Enfin pour votre dernière question, je ne peux que vous dire pour l'instant: oui, tout les arkoniens de l'armée ne suivent pas Grott de bon grès...


 
Nils

Le Luang 9 Jayar 1508 à 16h52

 
Nils reprit sur un ton moins agressif :

Et bien, dans ce cas, afin de nous prouver votre bonne foi, sauriez vous nous dire comment empêcher les mystique Arkoniens d'utiliser leur pourvoir conjointement. Autrement dire, les empêcher de mettre en commun leurs savoir ?

Ceci nous prouveras fortement que vous êtes bien ce que vous prétendez être et nous pourrions aller plus loin dans cette conversation.


Qu'en pensez vous ?

Et n'oubliez pas de me répondre sur la dernière question que je vous posais !

Dit il sur un ton enjoué.

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Anty

Le Luang 9 Jayar 1508 à 17h12

 
dit :
ARRETE !


Quoi ?

dit :
Ouvre les yeux, imbécile.


Mes... par la Déesse qu'ai-je fait...

*** Les images de la grotte se superposaient à présent avec celles des remparts de Krell. Anty luttait contre la force inconnue l'ayant plongé dans une transe éveillée. Sentant leur emprise sur le Preux faiblir, les arkoniens s'apprêtèrent à retourner leurs armes contre le nelda isolé, couvert de sang et perclus de fatigue. Ses genoux se dérobèrent sous lui. Les visages familier des poussiéreux imaginaires n'avaient plus rien d'amical à ses yeux. Râleur vint se blottir contre son corps, Anty leva un doigt. Les voix des deux symbiotes se mêlèrent. ***


Et pour que s'en aille la folie et la douleur...

*** Les gestes des arkoniens se firent de plus en plus lents. La scène se figea dans un élan magnifique, le vent cessa, le soleil lui-même interrompit sa course sans fin. Un cercle d'harmonie naturelle engloba les quelques mètres alentours d'une paisible éclaircie, au beau milieu du champ de bataille. Ce n'était pas un sortilège que le nelda se rappela avoir appris, il n'avait d'ailleurs pas du tout le sentiment de l'avoir lancé en personne. Mais le résultat était là. Les combats avaient pris fin, au moins un instant... ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 9 Jayar 1508 à 17h26

 
Le chamane parut satisfait et un sourire se dessina sur son vieux visage. Enfin il éclata de rire.

- Il me semble que si je suis venu ici c'est bien pour exactement la même chose que vous me demandez de faire! hehe... Si je serait votre ennemi, j'aurais très bien pu amplifier ce petit feu pour vous incinérer sur place. Mais cela n'aiderais en rien mes desseins, et le vôtres non plus d'ailleurs.

Et parlant, le chamane jouait avec la flamme, il en modela un petit personnage et le faisait danser sur ses doigts rachitiques.

- Comment empêcher les mystiques de mélanger leur pouvoirs? Les tuer tout simplement. Rompre la chaine. Sinon je suppose qu'il faudrait agir directement sur le flux qui maintienne de sort stable. Mais cela est une supposition, ma magie ne peut le faire car elle est différente. Mais vos sorciers dans la ville, eux pourraient savoir comment faire...

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 9 Jayar 1508 à 18h09

 
***
Au centre du mur Nord...

Le halo de quiétude inondait tel un fleuve les environs du nelda. Sa vision n'était plus trouble, son corps ne paraissait plus fatigué... cependant une douloureuse couronne d'épines lui torturait le cœur . Le temps s'était suspendu et Anty pouvait voir la veritable nature de la guerre, dans toute sa splendeur... Devant lui par terre, les corps brisés des arkoniens comme des krellois s'entrelaçaient comme de vieux amis, leur sang se mêlait et imbibait le plancher.

Mais en levant les yeux plus haut, une tout autre scène apparaissait. Des guerriers s'entredéchiraient, aucune pitié dans le regard, la haine dans leurs cœurs. Ici un arkonien éventrait un tchaë, à côté un nelda venait de couper un bras à un arkonien, là un tydale et un arkonien plongeaient de la muraille vers le sol huit mètres plus bas, des lames dépassant mutuellement de leurs corps...

Mais ce qui attrista le plus Anty , c'est les regards terrorisées des soldats de Krell a son égard. La confiance d'il y a quelques minutes fut a présent tronqué par la crainte de celui qui s'est soudainement retourné contre son propre camps... ***


 
Fenrir

Le Luang 9 Jayar 1508 à 22h50

 
*** Ayant écouter les paroles de l'Arkonien, Fenrir fini par ouvrir à son tour la gueule. ***


« Donc si je comprends bien, vous souhaitez que nous allions tuer ces mystiques afin d'interrompre leur sortilège?
Vous souhaitez également que nous prévenions les symbiosés actuellement à Krell afin qu'ils se concentrent sur eux et sur la magie?

Cela peut se faire, je les contacte même immédiatement.

Quoiqu'il en soit, une chose m'inquiète... Quel serait la mauvaise augure portant sur les magiciens de Krell?
»


*** Ceci étant dit, le Nelda se concentra sur les symbiosés à proximité de Krell, ainsi qu'à ceux se dirigeant vers le pont ou y étant déjà. Au point qu'ils entendirent clairement résonner sa voix mentale. ***


« D'après un chaman Arkonien du nom de Khoulkoul, vous auriez quelques chose à craindre des mystiques présent autour de Krell.
Il recommande de tous les tuer, ou du moins le maximum possible, mais il conseille également d'agir sur la trame de leur magie qui serait semblable à celle que les poussiéreux utilisent.
D'après les quelques informations qu'il nous a dite, la magie des mystique leur viendrait des effluves du S'sarkh et serait capable de se joindre les uns au autres avec celle-ci, chacun apportant ainsi sa contribution à un sortilège collectif.
»


*** Après une courte pose, Fenrir reprit quelques peu géné. ***


« Il prétend également que l'attaque de Krell aurait été organiser grâce à l'aide d'un Tchaë Equilibrien marqué par le S'sarkh, et qui souhaiterait l'anéantissement de Syrinth et de Zarlif... »


*** Après cela, Fenrir se reconcentra sur l'Arkonien. ***


« J'aurais une dernière question à vous poser pour le moment: auriez-vous plus d'information sur ce Tchaë qui serait responsable de tout ceci? »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 9 Jayar 1508 à 22h57

 
Le chamane termina le lapin juste a temps avant que les goutes de pluie ne se mettent a tomber. Il répondit alors a Fenrir.

- Mauvais augure oui... Je peux même d'ici ressentir de puissants sortilèges à l'œuvre dans la cité... Ils ont déjà commencé...

Puis il sembla réfléchir un instant.

- Le Tr'paslik? Je... je n'ai pas eu l'occasion de lui parler, mais je sais juste qu'on le nommait Cob Heride, mais je doute que c'est son vrai nom. Cela signifie "l'étranger malin" dans notre langue.
Mais des "informateurs-potentielles-sous-contrainte" dans les forces de Grott pourraient en savoir davantage... je parle des mystiques bien sure... hehe...


Puis le chamane remit sa capuche sur sa tête et demanda avec un ton exagérément amical à ses hôtes.

- Il pleut, vous êtes peut-être jeunes, mais il ne serait pas bon de laisser votre ancêtre mourir de froid? Peut-on aller quelque part plus au sec?
Je vous en serais reconnaissant.


 
Nils

Le Matal 10 Jayar 1508 à 00h05

 
Oui biensur, allons dans la tour de garde du pont, nous y seront à l'abri et au chaud.

Nils passe devant afin de lui montrer le chemin.

Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Celegórn Deléndil

Le Matal 10 Jayar 1508 à 03h35

 
"Si vous souhaitez dormir avec moi ce soir, cela ne me dérange pas mais ne rester point là, fixe à ne rien dire." C'était la voix de Celegórn.

Livie ne pouvait le voir mais c'était bien sa voix viril, dur et froide.

"Cependant, si je puis me permettre, il vous faudra faire meilleure discours pour motiver vos hommes au commencement de la bataille."


Il marqua une petite pause.

"Ne prenez pas mal ce que je viens de dire, mais le moment venu c'est à leur rage que vous devrez faire appelle, lorsqu'ils seront habité par la rage alors la peur de ne pas rentrer chez eux disparaitra."


C'est alors que le golem Tydale se releva de derrière les fourrés où le léger bruit du ruissèlement de l'eau indiquait qu'il y avais là, un petit ruisseau.

Le guerrier Tydale était luisant d'eau et semblait profiter un instant de l'air de la forêt avant de sortir complètement des fourrés, vêtue simplement d'un pagne. Il fit quelque pas devant Livie, puis il attrapa ses affaire et commença à s'habiller, cependant ses habilles étaient différent de d'habitude.

Les portes qu'il portait à présent était neuve et semblait confortable, de plus son armure était elle aussi neuve et laissant une grande liberté de mouvement.


 
Anty

Le Matal 10 Jayar 1508 à 12h06

 
dit :
Tu t'es encore mis dans de beaux draps...


Certes...

dit :
Même pas être foutu de reconnaitre un sortilège d'enchantement sur soi-même, ah il est beau l'apprenti-magicien...


CERTES...

*** Le massacre ne devait plus durer, ne POUVAIT plus durer. D'un geste Anty fit signe au porte-drapeau de signifier la retraite. Malgré sa méfiance nouvelle à l'égard du symbiosé, le soldat remplit son devoir la mort dans l'âme. Les défenseurs hébétés eurent l'air de sortir d'une transe lorsque le bruit du clairon leur parvint aux oreilles, leur réaction fut plus instinctive que réfléchie. Ils évacuèrent les remparts en désordre, cependant peu gênés par des arkoniens indécis et eux aussi meurtris de la violence des combats.

Le mur nord était tombé, mais les assaillants ne paraissaient pas vouloir tirer profit de leur relatif avantage. le Preux quitta sa position le dernier, couvrant la retraite. Il avisa au passage une série de recoins aisément défendables pour la suite des évènements, à même les ruelles. La cité n'avait pas dit son dernier mot. ***


Chers kielnos télépathes je vous annonce que nous sommes dans une belle merde, de mon côté tout du moins. J'espère que les autres s'en seront mieux tirés que moi. La nuit tombe, il faut en profiter pour se regrouper et se tenir prêt à défendre la ville maison par maison s'il le faut, dès maintenant...

 
Persmerga

Le Matal 10 Jayar 1508 à 12h45

 
*** Persmerga était victorieux, sur les remparts et a se cotés des dizaines de soldat de krell.
Le murs nord de la cité arkonien était enfin tombé.
Un instant il avait été troublé par une étrange vision ou il avait frapper sur la tête un de ses hommes.
Il avait vite reprit ses esprits et avait continuer son massacre en achevant un blesser à terre.

Il regarda autours de lui et prit a partis l'un des soldats.
***

Toi préviens les arrières que nous tenons le murs! Il nous faut cependant des renforts sinon nous pourrions le perdre

*** Le soldat fit un léger sourire et se précipita vers l'arrière. ***


Que les archées ce tiennent près! nous devons tenir. les renforts seront la dans quelques minutes



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