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Le Matal 10 Jayar 1508 à 22h04
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 | A quelques lieues de Krell, l’armée de libération avait monté en quelques heures un véritable camp retranché capable de soutenir un siége. Les guerriers restaient allongés dans les tentes à se reposer avant la bataille. Ils se repaissaient des sangliers, lièvres, perdrix, faisant et autre fruit de la chasse miraculeuse qu’ils avaient faite. Livie regardait le spectacle avec un pincement au cœur. Ils se reposaient là, alors qu’a Krell, des centaines de guerriers tombaient à chaque heure qui passait. Bien qu’elle soit convaincue d’avoir fait le bon choix, elle avait du mal a se résigner à attendre.
La pluie s’était mise à tomber dru et tous les guerriers se rassemblèrent sous les tentes. La terre se détrempa rapidement et la boue collait sous les pieds.
Livie s’isola et s’assit dans l’herbe détrempée prés d’un buisson pour faire le point de la situation.
Elle dirigeait une petite armée fatiguée qui reprenait des forces.
Nimuë s’était perdue en chemin et elle se retrouvait seule aux commandes de ces hommes. Les renforts qu’Amalthur rassemblaient ne semblaient pas arrivé rapidement, et le message de Anty était clair, il ne faudrait pas attendre trop longtemps, sinon il n’y aurait plus personne à sauver à Krell. Enfin, le message de Fenrir à propos d’un certain KoulKoul l’intriguait au plus haut point....
Que faire Erwenn... laisser ces braves reprendre des forces avant d’aller au combat ou repartir rapidement pour rejoindre Fenrir et attaquer Krell.
Erween dit : MMMmmmm... je ne sais quoi te conseiller Livie, la situation n’est pas simple, partir trop vite, surtout avec cette météo qui se dégrade à vue d’œil, c’est à coups sûr laisser beaucoup plus d’hommes dans la bataille. D’un autre coté, attendre, c’est laisser les autres se faire tuer. Je crois que je choisirais d’aller au combat au plus vite. Chers kielnos télépathes je vous annonce que nous sommes dans une belle merde, de mon côté tout du moins .
Cette rencontre lui donna envie de répondre : « moi aussi », mais elle se retint. La situation n’était pas comparable. Bien que lourd comme courtisant, Célégorn n’était pas un mauvais compagnon, la nature lui avait même fait un dont rare qu’elle appréciait beaucoup : il savait garder le silence lorsqu’il n’avait rien à dire, et sa, elle en remerciait la Dame.
Célégorn qu’elle surprise.... je ne m’attendais pas à te trouver ici. Que faisait tu accroupie derrière ce fourré les braies ôtées ? Il flotte comme une drôle d’odeur dans le coins....ne me dit pas que...humm...bon appétit les poissons...hummm... allons donc nous réchauffer prés d’un feu. Emmène aussi tes recrues.... si tu en as.
Livie se dirigea vers une tente où se tenait de nombreux guerriers, mieux valait ne pas trop rester seul avec Célégorn... elle ne savait pas trop ce dont le Roméo était capable.
Prés du feu, elle reprit la parole :
Ton arrivé viens de me décider à partir dés demain pour le pont. Avec un capitaine comme toi, cette armée ne fera qu’une bouchée des arkonniens.... et puis j’ai hâte d’entendre ton discours de motivation, car je suis d’accord avec toi, je ne suis pas très douée dans ce domaine.
Erween dit :Ah oui, c'est pas moi.... merci de m'avoir demandé conseil. Je saurais m'en souvenir.
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Le Matal 10 Jayar 1508 à 23h44
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| Notre mort n'arrangerait pas ses desseins, hein.
Quand à sa réaction vis-à-vis de la provocation de Nils... il est sincère, c'est clair.
Chase dit : Alors tu te sens plus à l'aise?
T'en a d'autres des comme ça?
Chase dit :Tout un sac.
Mais là le plus important, c'est la ville. Le message d'Anty m'inquiète au plus haut point.
Vivement que Livie arrive avec ses hommes, je crève d'envie d'aller pulvériser ces Arkoniens, héhé.
Chase dit :Je ne te savais pas si belliqueux.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 04h17
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Du côté du mur Nord...
A l'appelle à l'aide d'Anty, Veiglaigh y dépêcha ses renforts.
Une vingtaine d'hommes frais et bien armés.
Mais pendant ce temps, sur une tour de garde isolée sur le mur, encore un petit carrée de poussiéreux se battait pour leur vie. Leur route de replis avait été coupé, la seul possibilité était le combat jusqu'à la mort... trois neldas et deux tydales étaient assaillit par la marée arkonienne. Mais ces cinq soldats d'infortune vendaient drôlement chère leur peau.
Deux des neldas tenaient l'escalier pendant que les trois autres compagnons tentaient de clairsemer les rangs ennemis par leur flèches. Soudainement un tydale interpela ses amis en pointant du doigt un cercle d'arkonien encapuchonnées, des magiciens a première vu.
***
- Ferrum, Leaden, regardez là! C'est pas net ces types... On les dégomme?
- Non Elidan, on a pas le temps, si on arrête de tirer sur les arkoniens sur le rempart, ils défoncerons la porte et ce serait notre fin... de plus à cette distance et cette pluie on a aucune chance.
***
Elidan regarda en direction du "conclave" de mystiques, puis sur le visage stricte de Ferrum. Il acquiesça et décrocha deux flèches sur les arkoniens plus bas sur le mur. Cependant les mystiques lui torturaient l'esprit... Puis enfin l'inéluctable arriva, la porte de la tour céda et les deux neldas ne purent contenir les arkoniens. Ils succombèrent sous les innombrables coups, puis la vermine déferla sur la plateforme de la tour... Ferrum et Leaden se jetèrent sur les assaillants, mais Elidan resta en arrière, l'arc bandé avec sa dernière flèche. Le temps coulait au ralentit et il se demandait quel ennemi viser une ultime fois quand une voie douce lui parla...
***
- Mon enfant, tu t'es bravement battu et bientôt tu viendra me rejoindre avec tes amis. Ton combat touche à se fin, mais celui de Krell est loin encore d'être terminé... mais tu peux aider, tu as le pouvoir de changer le cours de cette bataille. Elidan... tu as ma bénédiction mon enfant...
***
La voie était si réconfortante, comme celle de sa mère. Elidan sourit et se retourna. Il leva la pointe de la flèche haut vers les cieux en diréction du conclave, il ferma les yeux et relâcha la corde.
La flèche monta haut dans le ciel orageux, laissant derrière elle une trainée de gouttelettes qu'elle transperçait sur sa route... et Elidan la regardait, ses genou se dérobèrent sous lui, mais il continua de la regarder... une pointe de sabre arkonien lui dépassait à présent du thorax, sa respiration était difficile et ses paupières se faisaient extrêmement lourdes... puis enfin sa tête toucha terre, mais le sourire sur ses lèvres y resta figé. Il n'a pas vu la fin du parcours de son trait, mais il le savait. Il savait qu'il a fait mouche.
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A une bonne distance de la tour, une onde de choque plaqua une importante partie de l'armée arkonienne à terre. Au centre de cette manifestation surnaturelle, un mystique, non, LE mystique incantateur gisait à genou, une flèche lui dépassant de la bouche...
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Sur le mur Nord...
Soudainement, alors que Persmerga dégageait sa imposante hache d'un autre supposé arkonien, il fut pris d'une violente convulsion. Sa tête commença a tourner et il lui semblait que le monde autour de lui faisait tout autant. Sa vision se troubla et l'image de la cité arkonienne commença à se dissiper comme un nuage de vapeur.
Les bâtisses en terre battu se transformaient en chalets et maisons équilibriennes, les cris gutturaux devenait des cris compréhensibles de ralliement, et les visages des arkoniens devenaient étrangement familiers...
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 13h44
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| *** Les symbiosés étaient dorénavant dans une pièce de la tour du pont en compagnie du chaman Akonien.
Ils s'étaient installé, puis Fenrir reprit la parole. ***
« Bon, où en étions nous?
Peut-être avez-vous d'autres informations à nous offrir en attendant les renforts? »
*** Ils attendaient maintenant que le chaman poursuive. ***
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 21h03
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| "Cela ne concerne pas qu'un groupe d'homme, tout les soldats présent ici sont concerné et devrons être préparé pour la bataille. De plus, j'ai besoin d'une carte détaille de la régions et du champs de bataille."
Celegórn attrapa un verre et bus son contenu qui était inconnu pour lui.
Il ne fallu pas longtemps au golem Tydale pour recracher le tout en faisant un bel arc-en-ciel.
"Le jus de raisin est avarié..." Dit-il en parlant de la piquette.
Il reposa donc le verre.
"Quoi qu'il en soit, je vais dormir, nous verrons tout ce qu'il y a à voir demain. Si vous désirez dormir avec moi, comme je l'ai dit, cela ne me gêne pas, mais nous ne ferons que dormir." Celegórn se leva alors et sorti de la tente. Toute fois, son mou resta prêt du feu et regarda Livie.
Firith dit :
"Bah quoi... ? Lui il a peut être pas froid mais moi oui ! et puis il ne fais que me frapper alors je préfère rester ici."
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 21h26
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| Erween dit :T'as raison Firith.
Moi aussi je reste prés du braséro avec Livie. Dehors on se gèle. L'est un peu frappa-dingue ton symbiosé, non ? Comment t'a fait pour tomber sur lui ?
Tiens prends donc une brochette de foies de perdrix et un godet pour me raconter tout ça...
La nuit va être longue , j'ai pas sommeil.
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 22h05
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| Tilith arriva enfin au carrefour pour Krell. La pluie semblait tomber de plus en plus fort à mesure qu'il s'approchait de Krell.
junior dit : Un abri serait le bien venue tu crois pas ?
Plusieurs tentes avaient été planter un peu en retrait du chemin.Le jeune apprenti entra dans le camp dans l'espoir d'y trouver un abris pour se reposer. Des feux luttaient contre la pluie pour diffuser un peu de chaleur, aux personnes regrouper autour. L'obscurité et la pluie donnait un une impression lugubre au village de tente et la grande fatigue qui se lisait sur les visages de ses habitant n'arrangeait pas le tableau. Tilith s'approcha d'une tentes devant laquelle un Tchaë était assis.
Om'shir
Mon nom est Tilith je suis en route pour Krell je cherche un abris pour la nuit, je ...Le tchaë leva le bras et indiqua une tente un peu plus loin, un Tydale en sorti pour se diriger un peu plus loin dans le camp.
Tilith fit un signe de la tête pour remercier l'homme et alla à la tente . Un feux y était allumé devant laquelle deux mous discutaient. Un peu en retrait tournant le dos aux Nelda se tenait une Tydale.
Om'shir, excusez moi de vous importuné je ...La tydale se retourna et Tilith la reconnu de suite Livie....un sourire de joie éclaira le visage du Nelda enfin un visage que je connais.
Vous me reconnaissez je suis Tilith le jeune apprenti de Nils. Je suis en route pour le rejoindre à krell. J'ai eu quelque ennuie lors de notre dernier voyage et j'ai été séparé de lui.
Le nelda se rapprocha du feux pour se réchauffer et se sécher un peu. Ses vêtement était dans un état pitoyable.
Désolé pour mon allure mais se promener dans les bois par un temps pareil n'est pas se qui a de mieux pour mon pelage.
Que se passe t il dans la région? J'ai eu quelque problème de santé qui m'ont un peu couper des communications avec les autres symbiosé.
junior dit :Un problème de santé...Pffff tu t'es pris une bonne raclée par une araignée oui!!!!
Tilith lança un regard noir à son mou. | |
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 22h20
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Dans la tour du pont...
Les poussiéreux et le chamane montèrent au premier étage, profitant d'une jarre que les autres soldats ont eu la bonne idée de remplir de charbons brûlants. Un astuce utile pour ne pas "s'les geler" pendant un tour de garde et pourtant limiter la lumière des flammes.
Le chamane paraissait calme et posé. Il s'installa près de la jarre a même le sol.
Aussitôt les autres symbiosés installé autour de lui, il poursuivit dans ses dires.
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- Information? Oui... Votre ami, le broeyti Nils m'a demandé quelle était ma situation dans ma cave-mère et je ne lui ai pas encore répondu...
Stable, elle l'était jusqu'à l'arrivée du nouveau patriarche. Il ne suivait pas les conseilles des sages et les a réduit au silence. Moi j'ai préféré aller suivre le Grand Chef Grott dans l'espoir de lui faire trouver la raison. En vain... Il m'a humilié et a choisit la mauvaise voie, il doit donc mourir.
S'il meurt, je pourra rallier une partie de arkoniens loyaux à l'ancien patriarche et vous aider a défaire les mystiques, leur Prophète de la chute, Noskrark et le Tr'paslik pervertie.
Même si le tr'paslik a apporté du bon dans la cave, il est souillée et nous ne pouvons pas tolérer qu'il souille notre terre plus longtemps.
J'ai assez parlé, a présent dites moi si vous aller accepter de m'aider, en échange je vous promet pour le début de vous aider a libérer votre ville. Vos avis? | |
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Le Merakih 11 Jayar 1508 à 23h08
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| Chase dit :Qu'en pense-tu?
Mais bon, pour le moment, il nous propose son aide, alors voyons ce qu'il peut nous apporter.
Avec ou sans lui, de toute manière, nous allons trouver un moyen d'aider Krell.
Chase dit :Quelle confiance.
Mais bon, s'il a une solution efficace, alors je suis preneur; et quand ce sera à son tour d'attaquer la ville, eh bien...
Chase dit :Ton air morose m'inquiète. Ah, tu parles d'Aspar... Je te comprends, pour une fois, c'était un homme bon.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Julung 12 Jayar 1508 à 13h40
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| *** Répondant à l'Arkonien. ***
« Hum... Il semblerait que nous eussions aucune raison logique de refuser votre aide, puisque nous allons dans le même sens pour le moment.
Donc je suppose que nous marcherons sur Krell lorsque les renforts arriveront enfin. Nous sommes actuellement trop peu nombreux pour pouvoir faire quoique ce soit pour Krell... »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Julung 12 Jayar 1508 à 20h35
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| *** persmerga était revenus a lui, des image flou pour commencer, devenant de plus en plus net.
Des arkoniens était a ses coté et un soldat de krell a ses pieds.
Il ne comprenait pas ce qu'il ce passait.
Un soldat d'élite ce dirigea vers lui avec un léger sourire le croyant toujours sous l'effet de l'illusion . ***
Bon que devons nous faire a présent?
*** Persmerga avait comprit ce qui lui était arriver il s'approcha du soldat d'élite et lui dit au creux de l'oreille. ***
Mourir sale arkonien
*** Le soldat d'élite ne put réagir assez vite et persmerga lui infligea un blessure mortelle, dans sa fuite il frappa deux arkonien qu'il envoya rencontrer leur dieux si ils en avaient.
L'un des arkonien ce lança a sa poursuite, persmerga se cacha dans la ville encore sous le choc *** | |
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Le Julung 12 Jayar 1508 à 21h34
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| *** Essoufflée, harassée, blessée, meurtrie... C'est ainsi que la petite tchaë arriva aux abords de Krell pour rejoindre Livie. ***
dit : Que fais-tu donc ici, Nimuë? *** Elle haussa les épaules en signe de dépit à son mou... ***
Tu ne crois pas que si je peux aider d'une quelconque façon je dois le faire?
*** Sa voix était hésitante... ***
dit :Pourquoi essaies-tu de nous mentir à tous les deux?
Je sais bien ce que tu avais bu avec la bande à baril lorsque Livie est venue te demander de l'aide! *** La baladin rougit, confuse d'être ainsi démasquée par son mou. ***
En tout cas, saoule ou sobre, je suis là!...
dit :Oui! Tu as bien failli rester dans cette fichue forêt pourtant! Tu te rends compte des risques que tu as pris?
Et maintenant?
Tu n'avais pas promis à Oda de ne plus te mettre dans l'ambarras? Comme tu veux... Mais fais bien attention à toi...
Et remerci Fenrir pour les soins qu'il t'a prodigué! *** La petite tchaë se tourne vers le Nelda après avoir regardé ses blessures n'être plus que des échimoses et sa jambe foulée ne plus lui faire mal du tout.... ***
Merci Fenrir
*** On dirait une petite vagabonde ainsi défaite... *** | |
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Le Julung 12 Jayar 1508 à 21h36
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| Livie s’était roulée dans sa cape prés du brasero pendant qu’Erween et Firith discutaient torchons. Elle commençait à s’assoupir lorsque qu’un jeune Nelda l’interpella. Sortant de la brume qui commençait à l’envahir, elle se retourna.
Tilith !!!! Nom d’une déesse ! Qu’elle surprise ! Je ne m’attendais pas à te retrouver là. Entre vite, et viens donc te réchauffer. T’as l’air d’avoir soufère du mauvais temps.
Rempli donc ton gosier pendant que je m’occupe de tes oreilles. Je vais te compter ce que nous faisons là.
*** Livie entama un résumé de la situation pendant que Tilith se régalait d’un jarret de sanglier rôti. Elle lui raconta le siége de Krell, l’expédition de Fenrir, Nils et Oda pour leur venir en aide. La situation dramatique dans la citée assiégée avec Anty et Persmerga, et l’appel de Fenrir pour réunir des renforts. Alors qu’elle allait aborder le maintient héroïque du pont par les 3 symbiosés ainsi que la détresse d’Anty lorsque l’entrée de la tente s’entre ouvrit de nouveau.
Une fine silhouette féminine apparue. Du bout de ses doigt gracieux, la tydale dégagea de sa tignasse rousse dégoulinante de pluie et laissa apparaître le doux visage de Nimuë. ***
Décidément cette soirée est pleine de surprise !!!! Entre donc Nimuë ! Tu te rappel de Tilith ? Il est arrivé il y a pas 10 minutes. Je lui racontais nos malheurs et ceux de Krell.
Bon, nous voilà au complet, Célégorn, Tilith, Nimuë, 80 guerriers et moi-même.
Dormons, car demain sera une grande journée. Nous rejoindrons le pont où se trouve Fenrir, Nils, Oda et Koulhkoul. De là, sur les conseils de ces derniers, nous passerons à l’attaque pour libérer Krell. Je sens déjà l’odeur du sang arkonien.... ça va être une vraie boucherie !
*** Livie attrapa Erween : ***
Bon arrête de papoter toi, transmet plutôt à tous les symbiosés impliqué dans le conflit que nous arrivons. Qu’ils tiennent bon encore quelques heures.
Erween dit :Gngngnghhhh... *** Le regard noir de Livie incita Erween a obtempérer. ***
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