Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Livie

Le Dhiwara 15 Jayar 1508 à 20h11

 
Livie capta les pensés d’Anty. Il est vrai que le plan échafaudé par Célégorn et elle-même comportait de grands risques. Si les forces à l’intérieures de Krell n’étaient pas profondément convaincues de faire cette sortie au Nord, il ne fallait pas la faire. Ils iraient droit à la mort.
On semblait se diriger vers un plan plus simple : attendre l’ennemi de pied ferme dans Krell et lui sauter dessus avec l’armée du pont par derrière.
Mais Koulkoul semble pouvoir nous offrir de nouvelles possibilités. Il faut encore attendre un peu pour prendre la bonne décision.



 
Fenrir

Le Dhiwara 15 Jayar 1508 à 22h16

 
*** Le "soldat" envoyé par Celegórn arriva finalement au poste des Symbiosés. Fenrir, le voyant, s'avança afin de connaître la raison pour laquelle il n'était pas à son poste. ***


« Om'shir kielno, pourquoi avait vous quitter votre poste? »


« Om'shir. Je suis venu car les renforts sont arrivé et qu'un Tydale du nom de Celegórn m'a demandé de quérir mon supérieur. Je suppose qu'il voulait parler des Symbiosés. Aussi me voilà pour vous prévenir. »


« Je vous remercie. Je m'en vais de suite le voir. »


*** Sur ces paroles, Fenrir se dirigea vers l'autre entrée du pont où attendaient les renforts mené par Celegórn. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Tilith

Le Dhiwara 15 Jayar 1508 à 23h52

 
***Tilith à son tour sortis de la pièce et avança un peu sur le chemin pour faire face à Krell. On pouvait distinguer au loin les toits des premières maisons.***

junior dit :
Et maintenant on fait quoi ?


On attend... les instructions.

junior dit :
... et moi qui croyait qu'on allait tuer de l'arkonien aujourd'hui.


Patiente, cela arrivera bien assez vite. Le nelda tourna la tête pour observer Nils et l'arkonien qui discutait. Il n'éprouvait que de la méfiance vis à vis de cette créature.

junior dit :
Nils semble faire confiance à ce shaman !!


***Le shaman remarqua le regard inquisiteur de Tilith mais aucun des deux ne baissa les yeux.***

Moi pas, je ne le connais pas et je n'ai aucune confiance en son espèces.

***Tilith alla s'assoir contre un arbre le regard à nouveau fixer sur Krell***

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 16 Jayar 1508 à 04h06

 
***
A Krell...

Aldarin écouta le récit d'Anty, une mine sombre mais triste se profila sur son visage. En revanche, le visage du Capitaine de le gade s'empourpra. Ses poings heurtèrent la table.
***

- Votre manque de clairvoyance est impardonnable! Vous vous dites mage et vous succombez pour tant sans broncher à un simple sort lancé par des bêtes?!? Vous et les autres criminelles devraient être condamnée pour vos actes! Assassins! Voila ce que vous êtes!

Le parangon se leva et s'écria sur Voron Romen.

- CAPITAINE! CALMEZ VOUS! Ces arkoniens nous le payerons au prix fort leurs tours de passe-passe. Riemto Anty et les autres n'ont pas agis de leur gré, nous ne pouvions pas anticiper que les arkoniens disposaient d'une telle magie. Les guerriers furent subjugués par un puissant sortilège, c'est un miracle qu'il se soit brisé si tôt! Par conséquent nous ne devrions pas leur tenir rigueur pour cela. Par contre ce qui sera plus problématique ce sera de retrouver la confiance des soldats. Le moral et la détermination des troupes est notre meilleur arme contre ces créatures! Ils ne faut pas qu'ils nous la sapent avec ce genre de magie. Il faudra être vigilant les prochaines fois.

***
Les yeux noirs du parangon posé sur le Capitaine, ce dernier n'était probablement pas entièrement convaincu par le discours, mais au moins il choisit de ne rien dire davantage.
Voyant que l'ardeur du capitaine éteinte, Aldarin continua son topo sur les préparations a venir.
***

- Quelque soit le plan avec lequel arriverons nos renforts, il ne serait point bon de rendre Krell plus vulnérable qu'elle est déjà. Pour les derniers combats nous n'aurons plus de troupes de réserve, pour la simple raison de maintenir les garnisons complètes sur chaque mur.
J'apprécie la proposition d'Anty. Laissons les arkoniens prendre un mur, au prix fort bien entendu, puis nous piégeons l'intérieur de la ville. Il faudra être ingénieux pour pouvoir anticiper les axes de progressions des arkoniens dans la cité et les faire mener là où nous le voulons. Il ne faut pas qu'ils nous submergent ni contournent. Cependant ce plan causera d'immenses dégâts collatéraux. Et je doute que la population ou le maire nous autorise cette démarche... C'est pour cela que je vous incites de venir avec un meilleur plan si possible.
Si seulement une révolte éclaterais comme celle dont Anty était témoin sur le mur, mais dans leur camp principal ou mieux encore, lors de l'assaut!



*** ********************************************** ***



***
Sur le pont...

Le chamane remarquât un nouvel arrivant, encore un broeyti. Ce dernier visiblement ne lui faisait pas confiance pour un sous.
Tu te crois fort broeyti? Ne soit pas trop arrogant petit, tu ne sais pas à qui tu as affaire... répliquait le regard du chamane au jeune chevaucheur.
Puis comme si de rien était, il se retourna de nouveau vers Nils de nouveau d'un air amical.
***

- Pour être plus précis, je ai besoin de l'âme d'une quelconque bestiole, je pourrais très bien me servir de celle de ce broeyti qui me perce du regarde depuis un instant par exemple,...
...mais un lièvre vivant me suffira amplement.
finit le chaman sur un ton enjoué parodiant Nils quelques instants plus tôt.

 
Persmerga

Le Luang 16 Jayar 1508 à 07h21

 
*** Persmerga était rester cloitrer dans une maison jusqu'à la fin des combats.
Il entendait des soldat crier sont nom, du haut d'une fenêtre on parlais de lui et des cinq soldats de krell qu'il avait abattu sous l'effet du sort des Arkonien.

son corps couvert de sang il regarda la ville de krell.
Il ne savait pas quoi faire, mais une chose était sur il allait rester ici, il était plus dangereux que tout si un sort venait une nouvelle fois a s'emparer de lui ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 01h12

 
***
Sur le pont...

Le chamane arkonien observait la mine peu convaincue du nelda face à lui. Je vois... la coopération ne sera pas totale, c'était à prévoir... pensa l'arkonien.
Il s'affaissa un instant sur son bâton puis s'excusa auprès de Nils qu'il reviendra dans un instant avec plus d'informations pour les poussiéreux et les plans de Grott.
***

- ... mais n'oubliez pas de dire aux troupes de renforts d'une glorieuse que l'argent doit protéger la paire d'émeraudes. Le succès de notre entreprise en dépend. Que cela signifie? je ne sais point, mais c'est ainsi que cela m'a été révélé...
***
Sur ces dires, le chamane se mit à avancer vers le bout du pont opposé de Krell. A une dizaine de mètres tout ceux qui pouvaient le voir alors fermèrent les yeux car ils commençaient à les piquer, mais lorsqu'il les réouvrirent quelques secondes plus trad, le chamane avait disparût, seul une légère odeur d'ozone chatouillait les narines...
***


 
Celegórn Deléndil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 02h35

 
"Nous n'avons que trop attendue à présent... Hommes de l'Equilibrium ! En marche !!" Cria le guerrier Tydale à ses troupes qui se mette tout de suite à avancer derrière lui.

Aussi silencieusement et vite que possible les soldats traversèrent le pont et commencèrent à longer la rivière.


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 04h28

 
***
A Krell...

La réunion n'avait visiblement pas donnée de plan précis de la bataille. La seule certitude semblait être de tenir les murs de la cité le plus longtemps possible pendant que les renforts vont manœuvrer.
Ainsi en soirée la réunion s'arrêta et chacun s'en allât où les obligations les attendaient.
La journée s'était bien passé dans l'ensemble, il n'y a eu que quatre escarmouches entre archers et une seule fois la cavalerie a du intervenir pour chasser un "groupe d'infiltration" arkonien...
C'était bien curieux de voir une bande de buissons se rapprocher lentement vers la ville quand même...

Aldarin allât faire un tour à la caserne, qui était en partie devenue l'hôpital de campagne, un grand nombre de soldat avait péri, mais ce qui était plus difficile a supporter, c'était ces rangs de brancards parfois à même la terre où gisaient les blessés et les mutilés...
Les femmes de Krell s'affairaient en tout sens sous les ordres du herboriste Turin Layq'uendi, un membre de l'expédition initiale du nouveau Parangon.
Tiens, Parangon? L'ex-Griffe Aldarin avait reçu sa promotion pendant la semaine des préparatifs de défenses de la cité et l'avait accepté sans réellement y songer...
Peut-être tant mieux, il n'y a pas pire qu'une promotion qui monte vite à la tête avant un grand moment de crise comme celui-ci.

Un cri arracha le tydale a ses rêveries, une nelda tentait de panser une profonde plaie d'un soldat qui venait de se réouvrir. Hélas, par manque d'expériences sans doute, elle ne faisait que faire souffrir un martyr inutile au malheureux. Aldarin n'était pas un médecin, mais des années de combats et blessures qui y allaient de paire, lui ont apprissent les rudiments dans ce domaine. Il s'approcha et demanda de serrer la jambe au dessus de la blessure avec un garrot, puis en appliquant une pression sur la coupure, il se saisit d'une aiguille chirurgicale et commença a recoudre.
***

- Ce ne sera pas forcément beau mon gaillard, mais au moins tu gardera l'usage de ta jambe. Positive. commenta-il.

- Un redoutable guerrier sanguinaire qui manie l'aiguille? Il en faudrait écrire une éloge, a moins que ce ne soit une satyre, hihihi... fit une voix douce dans le dos du tydale une fois qu'il eut terminé.
- Moniia! Quelle surprise, je ne m'attendait pas a te voir ici... dit Aldarin avec sourire.

- Menteur, je suis aussi femme de Krell. Où veux-tu que je sois?

Le tydale continua de sourire, puis apercevant le regard stricte de Turin, Aldarin attrapa la main de sa future promise et lui chuchota à l'oreille.
- Je voudrais te voir devant l'autel et peut-être avec un petit ventre ma rose de printemps, mais si nous restons ici a rien faire, mon ami Turin risque de nous chasser à coups de balai...
***
Moniia rougit. Le couple sortie de la caserne et décida de se promener un peu le long des murs de Krell. Le temps était bien agréable, la pluie avait cessé et une odeur d'herbe mouillé planait dans l'aire, cela serait presque agréable s'il n"y aurait pas l'omniprésence de la puanteur arkonienne...
Après une demi-heure de balade...
***

-Om'shir les amureux! Alors on se promènent? se fit entendre de la muraille.
***
En levant les yeux, les deux tydales voyaient le capitaine de la Garde.
Voron Romen sauta sur une échelle et descendît du mur pour pouvoir parler sans que toutes les sentinelles entendent ses dires.

Mais soudainement un étrange bruit sifflant alarma l'oreille d'Aldarin, un son comme si un objet, voir deux, tombaient... le bruit se rapprochait extrêmement vite...
***

- ATTENTION, LES CATAP... commença de crier une sentinelle, en bas, Aldarin attrapa Moniia dans ses bras et se plaça dos au mur. Une fraction de seconde ensuite le pan de mur fut oblitéré. Une avalanche d'échardes s'abattît sur les trois tydales, propulsant leurs corps à quelques mètres de là.
***
Retrouvant ses esprits, Aldarin vit le mur éventré devant lui, son dos le faisait souffrir comme un chien. Il tenta de se relever, ce qu'il réussit bien contre toute attente et regarda autour de soi. Il y avait des bouts de bois partout. Il vit le capitaine se relever un peu plus loin, lui avait eu la bonne idée de garder son armure sur soi, donc a priori il allait bien. Puis en se retournant il vit Moniia allongée sur le sol, sans réfléchir d'avantage il se précipita vers elle. La respiration de Moniia était imperceptible, son pouls était faible. En voulant soulever se tête, Aldarin sentit une moiteur sur ses doigts, du sang!
***

- Elle est dans un salle état mon gars, il faut l'amener à Turin au plus vite. observa le capitaine en s'approchant.
Aldarin le regarda les yeux en larmes, mais des larmes de tourment mélangé à de la haine.
Au loin on pouvait entendre le bruit de la cavalerie arkonienne en charge.
Aldarin souleva le corps de Moniia et le donna au capitaine.


- Prend la et va chez Turin ou appelle Leriv Härkl, mais ne la laisse pas partir !!!
Le capitaine voulait protester, mais Aldarin le coupa avant qu'il ne commence.

- Vous êtes incapacité au bras, vous ne les retiendriez pas assez longtemps... Courrez, je préviens tout les symbiosés sur le champs.

Kurrare dit :
Tu dois être complètement barge! Tu as même pas d'armure, juste ton épée et ta folie!!

- Je sais, mais il n'y a pas d'autre issue. Ils ont touché une fois de plus à Moniia, j'ai encore échoué de la protéger, il faut que je sache si je la vaux. Je DOIS les combattre!
Kurrare dit :
Mouais, mais si tu crève, tu ne prouvera rien du tout. Excepté que tu as eu les tripes d'affronter une charge de chevaucheurs sauvages a toi tout seul... c'est glorieux certes, mais ne dis pas qu'un homme vivant est plus utile qu'un héros mort...

- Je ne suis pas tout seul, j'ai ma foi en la Dame qui sera mon alliée. Et si tu ne veux pas rester, tu peux partir et te trouver un autre ôte, mais sache que je n'ai pas l'intention de mourir ici, pas encore!
Kurrare dit :
T'es fou?! Et qui va pouvoir te ramener à la vie si jamais tes intentions tournent mal? Et puis ilfaut au moins profiter du spectacle! Ce sera une tuerie que je ne voudrais pas rater pour rien au monde!
Je reste!

***
Aldarin ne dit rien de plus, il s'avança dans le brèche et enleva sa veste et sa chemise déchirée. Il en coupa trois bandes de tissus. Il entoura son bras gauche des restes de la chemise et veste puis avec une bande il serra le tout. Voila un bouclier parfaitement artisanal pour dévier les coups pas trop violents. Toujours mieux que de le faire à main nue...
Les deux autres bandes lui servirent pour panser deux grandes coupures dues aux échardes. Un poignard dans sa main gauche, l'épée enchantée dans sa droite, Aldarin inspira et expira l'aire frais comme pour une dernière fois.
Les premiers chevaucheurs sauvages était tout proches...
***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 04h42

 
*** Un message télépathique en provenance d'Aldarin connecte tout les symbiosés dans la région de Krell... ***


Kielnos, kielnas! Les arkoniens sont en mouvement! Ils ont percé le mur Nord-Est de Krell avec les catapultes! Elles sont opérationnelles et par le S'Sarkh, qu'elles sont précise! Défenseurs de Krell, tous à vos postes! Ils nous faut tenir la brèche et combler les brèches a venir!
Au passage, que quelqu'un ramène au moins mon bouclier du forgeron, le reste de l'armure aussi si possible...
Pour les troupes de renforts, mettez vous en marche et tentez de prendre l'armée arkonienne dans le dos. Je suppose que si le mur Nord-est fut perçé, c'est que les deux fronts vont y converger.
En enfer les plans subtiles, il nous faut les frapper avec toute notre puissance!

Que tout le monde fasse également attention à son environnement,
les mystiques arkoniens arrivent à lancer de redoutables illusions !!!

POUR KRELL! CRIONS "MORT! MORT AUX PERVERTIES!"


 
Fenrir

Le Matal 17 Jayar 1508 à 07h06

 
*** Fenrir avançait vers l'autre bout du pont pour rejoindre Celegórn avant de se retrouver mêlé à une histoire de beuverie qui lui fit perdre un temps précieux.

Arriva soudain le message télépathique du Parangon pour les prévenir de l'imminence de l'attaque des Arkoniens. Au même moment, passa Celegórn et les hommes qu'il amenait.

Il stoppa celui-ci en l'interpellant, mais le reste des troupes continua à avancer vers l'autre côté du pont. ***


« Om'shir kielno Celegórn!
Je vois que vous avez décidé d'avancer sans vous poser de question.
En tout cas heureux de constater que vous ramener autant d'homme, j'ai comme l'impression que l'on va sérieusement en avoir besoins.
»


*** Puis étendant le champ de sa pensée à l'ensemble des symbiosés présent sur le pont. Il leur parla télépathiquement. ***


« Bon, on dirait qu'il n'est plus besoins de tergiverser.
Les Arkoniens attaquent avec des catapultes en ce moment même.
Je veux que toutes les troupes se retrouve à la sortie du pont et se prépare à partir sur le champs.
Il faut que nous allions immédiatement porter secours à Krell, et pour ça nous allons contourner l'armée pour les prendre à revers et attaquer directement sur les armes de sièges.
Pour cela, il nous faudrait avoir un plan suffisamment détaillé afin de connaître leurs positions exacte.
»


*** Fenrir fit signe au hommes présent autour de lui pour leur signifier de signaler à tous qu'il fallait se rassembler à l'entrée du pont menant vers Krell. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Anty

Le Matal 17 Jayar 1508 à 11h29

 
*** Après la réunion Anty s'était rendu au chevet des nécessiteux pour faire usage de sa magie réparatrice, et ce avec succès la plupart du temps même si ce fut très couteux en énergie. Le Preux avait à coeur de se racheter aux yeux de la populace, aussi fut-il le premier à utiliser sa magie pour réparer les blessures d'une jeune tydale portée à bout de bras par le capitaine Voron Romen. Sans laisser le temps au gradé de réagir le nelda se mit à l'oeuvre, clouant le bec de son détracteur. Le sortilège de Soin Fabuleux referma en un clin d'oeil les éraflures plus ou moins profondes sur laquelle une médecine classique n'aurait peut-être pas eu autant d'effets.

Le capitaine s'apprêtait à balbutier des remerciements teintés d'excuses pour son comportement de la veille quand l'appel télépathique d'Aldarin parvint à Anty. ***


L'armée arkonienne s'est remise en mouvement. Capitaine, vérifiez que les pièges dont nous avons parlé sont en place. Transformer Krell en un champ de ruine ne me réjouit pas plus que vous, mais s'il faut en arriver là pour repousser les forces corrompues qui nous tombent dessus je n'hésiterais pas à en donner l'ordre...

*** Sur quoi le Preux se dirigea vers la brèche d'une démarche haletante, arme à la main. Les heures de sommeil s'étaient faites aussi rare que les vannes érotiques déplacées d'Oda Nobunaga ces derniers temps. Et les nuages sombres chargés d'humidité qui pointaient à l'horizon n'annonçaient pas une belle journée, pour sur... ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 14h22

 
***
Le premier chevaucheur sauvage n'était plus qu'a une dizaine de mètres quand il disparut sous terre... En effet, la catapulte avait éventré le mur, mais pas le faussé à pieux juste avant. C'est alors que Aldarin eut une vision bien grotesque de porcs volants, sangliers en faite et non volant, mais sautant. Lancé à pleine vitesse, les arkoniens tentaient de sauter la distance du faussé, pas tous réussirent à arriver de l'autre côté, et pour certains, le poids du sanglier a fait que les bêtes tombèrent maladroitement même si la saut fut réussit.

Aldarin n'attenda pas que les ennemis viennent vers lui, mais chargea les arkoniens. Mais avant que sa lame ne percute le premier arkonien a terre, une flèche décoré d'une inscription se planta dans le poitrail du malheureux. Aldarin jeta un rapide coup d'œil en arrière et vit sur le mur non-effondré un tydale qu'il reconnu comme Leakh Hildin, le Héraut de la Perle.
Aldarin lui envoya une pensée rapide.
***

Jïrhe Hildin!
Derynn du soutien, occupez vous des arkoniens sur mes flanc, il ne faut pas qu'ils réussissent à entrer dans la ville!

***
Sur ce un chevaucheur sauvage réussît a sauter correctement par dessus le faussé pratiquement sur le parangon. Aldarin fit un pas sur le côté et para la lance, puis l'épée du tydale traversa le flanc de l'arkonien.
A ce moment un arkonien en plein vol fut frappé d'une flèche de Laekh. Le sanglier sans cavalier atterrit de l'autre côté du faussé que pour être piqué par la lame l'Aldarin, la bête en sursauta et recula d'un pas... ce qui la fit tomber dans le faussé.
***

Kurrare dit :
Tu as de la chance que ce faussé soit là, tu croyais pas sérieusement faire face à leur charge sur un terrain plat! Et au passage, il y en a deux qui vont sauter là...

***
Aldarin courut pour se mettre en face tout en se courbant pour ramasser la lance du premier arkonien. Il la planta dans le sol et ne bougeât qu'au dernier moment pour éviter de se prendre les cent kilos du sanglier sur la figure. La bête s'empala donc sur la lance et désarçonna son cavalier.

Le second chevaucheur sauvage fut de nouveau abattu par Laekh.
La bonne nouvelle était que les sentinelles commençaient à affluer vers la brèche et de plus en plus de cordes se faisaient entendre en soutien du parangon. Mais l'affluent des arkoniens était même alors difficilement contenable et Aldarin devait reculer de plus en plus vers la brèche pour ne pas se faire submerger par les vagues d'ennemis. Au loin il pouvait déjà entendre la piétaille arkonienne s'approcher a vive allure vers la brèche.
***

Kurrare dit :
C'est pas gagné d'avance. On dirait que leur mystiques ont transformé les brins d'herbe en arkoniens, tellement il semble y'en avoir!


 
Oda Nobunaga

Le Matal 17 Jayar 1508 à 16h05

 
Ce bon vieux Celegorn, toujours aussi impulsif.
Quoi qu'on puisse en dire, sa technique avait de quoi galvaniser les hommes.

Maintenant, les "Renforts du Pont" allaient entrer dans la danse, et l'armée Arkonienne allait sérieusement devoir revoir ses positions quand à la conquête du territoire.

Fenrir, Nils, Livie et moi-même nous tenions près de la sortie du pont, côté Krell.
Comme l'avait dit Fenrir, il allait falloir se tenir un tant soit peu au courant des positions ennemies -non pas que foncer dans l'ennemi tête baissée soit une mauvaise technique, c'était juste qu'il allait falloir profiter de l'effet de surprise...


-Oda Nobunaga-

 
Celegórn Deléndil

Le Matal 17 Jayar 1508 à 17h35

 
Celegórn faisait forcer le pas à ses troupes.
Ils allaient vite et serait très bientôt dans le dos de l'ennemi.
La rage semblait habiter les yeux de ces soldats de l'Equilibrium, leur mains étaient crispé sur leurs armes, suivant en rang le golem Tydale.

Le mou de Celegórn en revanche, lui était resté près de Livie et de son mou.


Firith dit :
"Vous allez voir... Le tigre argenté va rugir une fois de plus et je plains ses ennemis."
Dit-il en souriant.


 
Laekh Hildin

Le Matal 17 Jayar 1508 à 17h51

 
Depuis le mur, la vision du combat était plutôt impressionnante. Aldarin se battait comme un diable. Entouré d'ennemis, il tenait bon cependant, et s'assurait une retraite sûre en gênant les arkoniens du cadavre de leurs congénères à force de les étriper. Cependant, une vague d'ennemis approchait au loin (pas si loin que ça d'ailleurs), et sans renforts, il serait impossible de tenir la défense.
dit :

Arf...au moins il vient de plus en plus d'archers, en attendant vous pouvez tenir, mais j'aimerais pas être là si ceux d'en face arrivent et qu'il n'y a toujours que le parangon à combattre...


...eh bien, quoi qu'il en soit, il semble que mes carreaux s'amenuisent. Je ne pensais pas tous les utiliser aussi vite...

dit :
...Hé, tu sais ce qu'il te reste à faire?...


...bien sûr...

le regard de Laekh changea. Un sourire narquois commença à fendre son visage.

Il descendait.

Pendant ce temps là, les renforts commençaient à arriver, non seulement des archers, mais aussi quelques fantassins qui, non loin de là, avaient entendu le carnage et venaient demander leur part. Aldarin, toujours occupé à taillader ses ennemis, se retrouva accompagné de plusieurs soldats krellois, et eut toutes les peines du monde à ne pas les trancher en même temps que les arkoniens. Cependant, sa lame trouva tous les mouvements nécessaires à son office sanglant.


 
Livie

Le Matal 17 Jayar 1508 à 21h19

 
Livie observait le mouvement des troupes à cotés d’Oda et des deux chevaucheurs. Elle était adossée à la rambarde et jouait avec une petite pierre en regardant les soldats passés.

Je ne suis pas fâchée que les choses bougent. L’attente devenait longue et je n’aime pas ça. Je constate avec plaisir que Célégorn prend les choses en main. Cela me va bien, je n’étais pas très à l’aise aux commandes de temps d’hommes. Je suis plus habituée aux actions furtives qu’aux batailles rangées. Ca me fait penser que....

Livie s’arrêta de parler en voyant Goliath passer devant elle. Elle lui jeta la petite pierre avec laquelle elle jouait nerveusement.

Eh Goliath, reste donc un peu avec moi.

Peux après passèrent Bran et Geoffroy, les jumeaux, ainsi que Guillaume et Robin, un archer et un arbalétrier qu’elle avait repérer pendant les entraînements et enfin Merlin, un sorcier aux pouvoirs étonnant. Elle leur fit la même demande.

Alors que le gros de la troupe s’éloignait, elle restait là avec les 6 hommes et les symbiosés.


Bon, c’est pas parce que j’aime pas les batailles rangées que je vais rester ici les bras croisés. Ca vous dirait de décapiter quelques mages arkonniens ?

Livie ajusta sa robe d’acier et son bouclier. Elle invoqua quelques sortilèges pour rendre les armes de ses amis plus meurtriers, puis avança vers Krell en cherchant du regard une cible.


 
Fenrir

Le Matal 17 Jayar 1508 à 22h46

 
*** Alors que Fenrir, adossé à une muraille, observait les mouvements de troupe des renforts conduit par Celegórn, une dizaine de Chevaucheurs se présentèrent spontanément à lui.
Le Nelda les observa quelques instant. Il les reconnaissait tous, car ils avaient participé à la défense du pont. Cependant, il demeurait incapable de placer un nom sur chacun de ceux-ci. ***


Loki dit :
« T'as vraiment une mémoire des noms qui te fait défaut... Je me demande comment tu fais pour pas te tromper lorsque tu parles aux symbiosés... »


« Peut-être que je lis leur nom dans leurs pensées... »


*** Un Tydale se mit alors à parler pour le groupe. ***


« Kielno, comme vous le savez, nous ne sommes guère des guerriers accomplis. Les champs de bataille ne sont guère notre élément...
Cependant, nous avons pensez que nous pouvions offrir une compétence à notre porté au reste de l'armée.
»


« Je dois admettre que je ne me sens moi même point à l'aise au cœur de cet évènement... Kielno Nils a bien plus l'âme d'un guerrier que moi même...
J'ai parfois l'impression, en regardant ce champs de bataille, qu'il n'est qu'un cimetière qui attend ses habitants...
Quoiqu'il en soit, j'aimerais bien entendre ce à quoi vous avez pensez pour vous rendre utile.
»


« Et bien, nous sommes les plus rapide pour nous déplacer à pied et à couvert, aussi nous pensions pouvoir nous rendre utile en tant qu'éclaireurs. »


« Hum...
Votre idée me plais bien! Je me demandais justement s'il ne fallait par organisé quelques groupes dont l'objectif serait d'attaquer des cibles bien précises.
Reconnaissances et attaques ciblé vous convient-il?
»


*** Les Chevaucheurs répondirent tous ensemble. ***


« Bien sûr!! »


« Et bien préparez-vous!
Nous partirons dès que vous serez prêt!
»


*** Cinq Chevaucheurs restèrent, les autres partirent quérir tantôt munition, tantôt armures, tantôt armes.

Fenrir, observant ce qui se passait autour, vit Livie se préparer également un petit groupe. ***


« On dirait que je ne suis pas le seul à jouer les unités de reconnaissances. »


*** Puis, se re-concentrant sur Krell, il contacta l'ensemble des symbiosés de Krell et du pont. ***


« Kielnos, nous aurions besoins d'un maximum d'information quant à la position des troupes, des camps et surtout des armes de sièges.
Nous allons organiser une attaque par surprise en tentant de réduire au maximum leur puissance.
Si vous avez besoins de faire reconnaître une région, n'hésitez pas à me contacter: je monte une unité de reconnaissance qui pourra également agir sur des cibles précises et isolées.
»


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Matal 17 Jayar 1508 à 23h05

 
Une unité de reconnaissance apte à abattre un ennemi précis, hein?

Chase dit :
Oui, et alors?


Et alors c'est mon dada ça, il faut que j'en sois.

Je me rendis donc auprès de Fenrir:


Alors on monte un groupe d'assassins, et on ne pense même pas à moi...
Héhé, ton idée est bonne, et tes hommes semblent pouvoir être discrets.

Malheureusement, d'après ce que j'ai pu voir, tous ceux susceptibles de l'être se trouvent ici, alors soit je m'incorpore dans le groupe, soit je pars en solitaire...

En y réfléchissant bien, ce ne serait pas trop mal qu'il y'ait deux équipes... la débandade n'en sera que plus grande chez nos collègues Arkoniens, héhé.


Après tout, j'avais toujours opéré seul, ou exceptionnellement en binôme, mais jamais plus.

Enfin, je sentais que j'allais bien m'amuser quelque soit mon poste.


Chase dit :
Bien sûr, tu t'infiltrerais seul dans un camp, pour éliminer un général, c'est bien ça?


Ouais, t'as l'idée générale. Et ne prends pas ce ton dubitatif avec moi...

Chase dit :
Si tu as confiance...


Enfin bref, je te laisse décider, tu m'as l'air d'avoir pris les choses en main; moi je me fiche de là où j'irais, héhé. Déclarais-je d'un ton nonchalant.

En effet, Celegorn avait le charisme nécessaire pour être suivi par d'autres, mais Fenrir, en plus de ce charisme, était doté de ce qui faisait un leader naturel.




-Oda Nobunaga-

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 02h42

 
***
A la brèche de Krell...

Les premiers soutiens terrestres étaient arrivés pour combler la brèche et permettre a Aldarin un peu de repos. Leakh Hildin était descendu de la muraille pour engager le corps-à-corps et il faut avouer qu'il s'en sortait très bien pour un archer.
***

- Je me demande si il ne serait pas mieux en Griffe celui là... songeât le Parangon.
***
Puis il reçu la pensé de Fenrir sur les missions de reconnaissance. Il serait bien monté sur le mur pour voir la répartition des forces ennemis par soi même, mais la fatigue et le combat à la brèche l'en dissuadèrent.
***

- Kurrare, tu veux bien aller voir comment et où se trouvent les ennemis et le communiquer a Fenrir?
Kurrare dit :
Si il y a rien de mieux a faire... ok.

***
Le Mou se téléporta plusieurs fois autour de la brèche puis au-delà.
Il repéra les catapultes qui rechargeaient lentement leur imposants obus.
***

Kurrare dit :
Fenrir? Al' est occupé a faire de la chirurgie esthétiques sur les ark', donc il m'a demandé de te rapporter les infos sur les positions ennemis, donc voila, écoute.
Je vois nettement deux armée qui convergent vers la brèche, une de l'Est et une du Nord. L'armée de l'est est composée principalement de troupes légères et un peu de chevaucheurs sauvages. En revanche celle du nord est bien garnie de troupes en armures noire. Je peux voir la position des catapultes également, elles sont "que" deux et se situent à environ cent-cinquante mètres au Nord-nord-est de Krell. il y a une équipe d'arkoniens en cape rouges, mystiques sans doute.
Tiens, en parlant d'eux, il n'y en a pas des masses dans les deux armées. Je pense que... AH! c'est quoi ça?!? Il y a un bosquet qui vient de s'entourer d'un halo de lumière bizarre. C'est plus loin que les catapultes, ça doit être dans un des camps des ark'. J'estime que c'est l'un des camps moyens à l'Est. Et si je vois le truc d'ici, c'est que c'est grand et qu'c'est magique et je dirrais même plus, qu'c'est mystique!!! HAHAHA...

...
Silence
...

Bon, bon, ben voila la situation. Vous venez quand ici? Car je veux pas paraitre défaitiste, mais ça crains... Bon, ciao!
(ahlala... as aucun sens de l'humour l'autre...)


Quelques minutes plus tard...

Kurrare dit :
Je viens de remarquer autre chose, les unités arkoniennes manœuvrent et s'organisent, mais je ne vois pas qui leur donne des ordres et pourtant on les entend jusqu'ici... Conclusion personnelle: la truc as du bide pour hurler si fort et il doit être transparent car je vois vraiment rien!


 
Celegórn Deléndil

Le Merakih 18 Jayar 1508 à 04h34

 
Soudain, derrière les troupes un étrange nuage noir s'éléva , voilant les quelques étoiles visibles, puis s'abattant sur les arkonniens dans de nombreux sifflement.

C'était une volée de flèches et nombreux ont été les ennemis à tomber sous cette volée.
Tout de suite après une vague d'épéiste s'abattit sur l'ennemis, ils étaient bien alignée et coordonné, ils commençait par donné un grand coup de bouclié au arkonniens puis faisant un ample mouvement de bas en haut avec leurs épées, les lanciers, qui étaient juste derrière, profitaient du fait que les épéiste avait leurs bouclié en l'air, pour donné un grand coup de lance droit devant afin de tuer des ennemis qui était un peu plus loin.

Les renforts étaient bien là.

Celegórn, lui, avais finit par être entouré d'ennemis et au début, ils n'osaient l'attaqué, sa masse et ses yeux étaient effrayé.
Un arkonnien finis tout de même par réunir assez de courage pour attaquer le golem Tydale.
Il eu presque immédiatement la main qui tenait son épée, coupé et Celegórn l'attrapa ensuite par le col et le souleva puis il mordit violament son ennemi a la gorge, dont il en arracha un énorme bout avant de jeter a terre le pauvre et de lui écraser si fort la tête contre le sol, qu'elle en explosa.

Le guerrier Tydale regarda ensuite ses opposant et poussa un cria de guerre effroyable, son visage avait tout du visage d'un tigre qui rugit férocement, son cris propulsait postillons et gouttes de sang qu'il avais dans la bouche.

La pluparts des arkonniens a proximité vomir en voyant un des leurs finir ainsi et beaucoup reculait et s'écartait du Tydale.


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