Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Phyldia

Le Julung 19 Jayar 1508 à 11h48

 
*** Phyldia approuve la stratégie d'Oda d'un hochement de tête. ***

Je vous suis kielno Oda.

*** La jeune tydale dégaine une rapière typiquement matriarcale, la timidité semble disparaître un temps alors qu'elle sert la poignée de l'arme dans sa main. Elle pose ses yeux sur la lame et la caresse de sa main libre. ***

Allons-y Perce-Coeur, ne faisons pas de quartier.

 
Persmerga

Le Julung 19 Jayar 1508 à 20h30

 
*** Persmerga regardait par la fenêtre de la maison ou il c'était réfugier.
Les combat faisait rage, mais il ne voulait pas sortir.
Il avait peur, peur de recommencer.

Son bras droit tremblait, sa hache tomba au sol ***


Que la déesse me pardonne

 
Livie

Le Julung 19 Jayar 1508 à 21h07

 
Kielno Oda, votre proposition me va trés bien.
A trois, ces mages ne feront pas long feu.... je dirais même, ils feront moins long que ses catapultes.


Erween dit :
oulala, c'est pa l'humour des grans jours.


chuut, laisse moi me concentrer.

Le groupe était maintenant à quelques pas du bosquet scintillant. Livie reprit ses invocations. Aura d’essentialis et de renforcement, résistance et brume. Elle sortait toute sa panoplie de sort, mais ce n’éatait qu’un début. Déjà se doigts brûlait de la suite.

Erween dit :
Je crois que ses Arkoniens vont en baver !


Mais non Erwenn, ils n’auront pas le temps de souffrir avant de mourrir.


 
Fenrir

Le Vayang 20 Jayar 1508 à 18h25

 
*** Alors que le groupe de comprenant Livie, Oda et Phyldia arrivait au bosquet luminescent, Fenrir et son groupe se trouvait à nouveau à mis chemin entre l'ancien emplacement des armes de siège et le bosquet.

Toujours au pas de course, ceux-ci continuaient à avancer pour rejoindre l'autre groupe le plus rapidement possible. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Vayang 20 Jayar 1508 à 21h22

 
L'opération avait débuté.

Chaque binôme savait ce qu'il avait à faire, et notre trinôme sortait de son fourré pour se joindre à la macabre fête.

Trois Mystiques se tenaient en retrait par rapport au gros des troupes.


Un chacun, on dirait qu'on a de la chance, fis-je aux deux Tydales.

Puis, tout en armant Kalhan, je dis:


Avant de déclencher les hostilités, je vous suggère de vous mettre en position, car si la mort de l'un d'eux attire les autres, le temps de les atteindre nous porterait gravement préjudice, et même si vous ressuscitiez sûrement, je m'en voudrais d'avoir contribué à votre mort, et je vous en voudrais d'avoir participé à la mienne, héhé.

-Oda Nobunaga-

 
Tilith

Le Vayang 20 Jayar 1508 à 21h46

 
Tilith avait rejoins Nils à l'entrée du pont.

Citation :
J'ai pas trouvé encore l'anneau ou l'objet serti d'émeraude. Je peux rien leur dire !


L'apprentie chevaucheurs resta en retrait mais visible de son maître et du Shaman et écouta leur conversation
Malgré toute la bonne volonté dont Tilith pouvait faire preuve la présence de l'arkonien dans leur rang le dérangeais et cela ce voyait sur son visage.

junior dit :
Il semble parler d'un anneau, non ? C'est une arme tu crois ?


Tilith fit signe à son mou de se taire
Chuttt

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 14h36

 
***
Le groupe de Fenrir courait à bride battue...

Les catapultes avait pris aisément feu, mais par manque de chance, c'est également la haute végétation qui les entouraient qui s'embrasa rapidement...

Le groupe de chevaucheurs devaient avancer très rapidement pour que les flammes ne les rattrapent pas. Soudainement, comme sortie de nul par, un groupe de six chevaucheurs sauvages débarqua sans crier garde. Il était pratiquement impossible même pour les chevaucheurs de l'Equilibrium aux oreilles fines de les repérer avant que le dernier chevaucheur poussiéreux ne pousse un cri, transpercé par une lance ennemi.
Les chevaucheurs sauvages portaient de visibles signes de brûlures, preuve qu'ils venaient sans doute venger la destruction de leur catapultes et d'avoir sauvagement incinéré leurs camarades...
***

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***
En attendant, les choses étaient plus tôt calmes du côté du bosquet...

Oda malgré toute sa discrétion et son sens de l'observation indispensable au travail d'un vol... ehm... un Muet, n'arrivait cependant pas à voir ce qui se passait réellement à l'intérieur du bosquet. Pour en voir plus, il fallait s'occuper discrètement de ces trois mystiques.
L'approche furtive du trio était impeccable, il ne restait plus qu'a appuyer sur un gâchette ou incanter un projectile magique bien ciblé et c'en serait fini pour les trois mystiques, pourtant Livie ressentait un sentiment de mal-être, un mauvais présentement...
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A la brèche...

Un dernier bout de roche vola au dessus de la tête d'Anty, qui heureusement l'ésquiva, hélas ce ne fut pas le cas des soldats qui tentaient de combler la brèche... Le bout de rocaille vint s'écraser en plein milieux des rangs krellois causant un massacre. Une dizaine de fiers poussiéreux en armure scintillante furent réduits à l'état de poulpe sanguinolente...
Mais le temps de pleurer les morts viendrai plus tard, car l'ennemi était multitude et les forces, mêmes celles des symbiosés que trop limités en comparaison... Il allait être grand temps de se replier derrière la barricade et espérer qu'elle tiendra encore un temps...
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***
Dans une maison anonyme...

Persmerga était acroupis dans un coin, profondéménr affécté par le sortilège arkonien... En entendant un hurlement de masse, il jeta un petit coup d'œil par la fenêtre, plus par instinct que par raison. Il vit alors un bloc de roche de la taille d'un tydale dévaler la ruelle. Le bloc était déjà ensanglanté à outrance, puis à la périphérie de la vision du nelda, une silhouette se tenait au plein milieux de la rue, une femelle tchaë... tétanisé en face du bloc meurtrier qui se dirigeait vers elle... Il ne lui restait plus beaucoup de temps a vivre si rien n'était fait très vite...
***

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***
Sur le pont...

Le chamane regarda Nils avec un air contrarié, puis arriva le broeyti qui l'épiait de manière fort désagréable.
***

- Broeyti Nils, il faut que vous préveniez vite l'argenté de venir défendre celle qui regarde aux travers d'une paire d'émeraudes! Vite! Sinon même Akralik et sa suite ne pourrons nous être d'aucune utilité !!!

 
Kvethan

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 15h47

 
La sitar sur l'épaule, le jeune tydale arriva au pont qu'on lui avait indiqué.Il continua son petit bonhomme de chemin en sifflottant une chanson grivoise, lorsqu'il aperçu un peu plus loin deux neldas et un type vêtu de peaux de bête.Il s'approcha du petit groupe en catimini tandis que le shaman retenait toute l'attention des chevaucheurs.Après s'être faufilé derrière Nils, il s'exclama tranquilement:

Bouh!

Il esquiva alors de justesse la hache du chevaucheur pris par surprise, se retrouvant sur son séant.

Décontractez vous mes kielnos, ce n'est que moi....Vous devriez voir vos têtes héhé....

Le musicien se releva en s'époussetant et demanda sur un ton badin.

Au fait, je n'ai pas pu m'empêcher d'écouter, qui est la beauté aux yeux vert?

Un grand sourire joyeux étirait son visage, tranchant sans doute avec ce que les chevaucheurs avaient pu voir ces derniers jours, folie ou inconscience, l'avenir le dirait.Sautant du coq à l'âne, comme toujours, il déclara sur un ton sérieux, voir excessivement caricatural.

Faites moi confiance, je vais vous aider, je ne laisserai pas les jeunes filles en fleur de Krell aux arkoniens, ni leur réserve d'alcool d'ailleurs.....Mais pour ça il faudrait un plan....

P'tit truc dit :
Pitié dis moi que ce n'est pas toi qui va le faire le plan.


La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Persmerga

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 17h29

 
Persmerga réagit d'instinct la peur au ventre d'être une nouvelle fois contrôlé par ses ennemies, en une fraction de second il c'était poser les questions suivante.
Dois-je réagir? est-ce un piège? une illusion? faut il y aller pour la sauver? Faut il ce battre?


La décision qu'il avait prise lui donna le courage de brisée la fenêtre de la maison, car passer par les escaliers aurait bien été trop long.
Il courut sur le toit de la maison et sauta une fois arriver au bord, il atérire alors sur ses pieds ou plutôt sur ses fesses, ses pied ayant cédé et lui causant un douleur partiel qui fut comblé par l'adrénaline.

Il était a quelque mètre de la femelle et courut a toute vitesse et empoigna la tchaë, le roc frappa ses jambe qui se brisèrent.

Persmerga était allongée dans la rue les jambe brisé par la choc avec une femelle a ses cotés


 
Oda Nobunaga

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 19h48

 
Le carreau venait de partir.

La trajectoire était parfaite -et cela n'était pas seulement dû à ma précision sans faille; chacun de mes carreaux était fabriqué par un grand artisan, qui...


Chase dit :
On sait, c'est bon.


Bref, le trait alla se planter dans la tête du Mystique, dans un désagréable bruit d'os brisé.

La mission avait commencé, au tour de mes deux partenaires de faire leur office.


-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 19h58

 
*** Le vent avait tournée peu après que le groupe de Chevaucheurs eussent enflammé les catapultes. Fenrir avait pensé au fait qu'il risquait de brûler toute la plaine avec son acte, aussi avait-il pris soin de noter la direction du vent afin de l'avoir de face pour fuir.
Le vent avait été un allié à ces yeux car au début il avait dirigé les flammes vers le flot d'ennemies, cependant celui-ci avait rapidement tourné et maintenant c'était le Nelda et ses Chevaucheurs qui étaient les proies traquées par les flammes.
Néanmoins, le Chevaucheur ne s'en faisait pas trop. Ils ne se déplaçaient peut-être pas aussi rapidement que les flammes couraient d'herbes en herbes, cependant il sentait l'humidité flotter dans l'air et la pluie ne semblait plus être très loin pour éteindre le courroux brûlant.

Cependant, alors que le vent sifflé à leurs oreilles, que le bruits de leur chevauchée au travers de la plaine leur inondait les canaux auditifs, Fenrir sentit le sol trembler plus que de raison. Un bruit de cavalerie commençait également à se faire sentir. Mais absolument rien en visuel.

Alors que l'herbe haute de la plaine avait été leur plus grand allié jusqu'à maintenant, celle-ci se transformait soudainement en leur pire ennemie, masquant les Arkoniens montés sur leurs sangliers fous aux yeux des chevaucheurs, mais ayant permis au Arkoniens ayant pris de la hauteur de traquer aisément leurs proies. ***


« Attention!!! Dispersion!! »


*** Au même moment où il cria ses ordres, l'homme qui terminé la file des Chevaucheurs fut violemment transpercé par une lance.

Les Arkoniens avançaient vite, bien trop vite, et les poussiéreux devaient s'écarter vivement de leur trajectoire. Heureusement, le crie de Fenrir avait fait réagir l'ensemble du groupe qui s'activa pour éviter l'assaut.

Alors même que Fenrir évita le premier des Arkoniens montés, il se retrouva nez à nez avec un autre sanglier qui lui foncé dedans, défenses en avant.

En une fraction de second, le Chevaucheur se vit se faire embrocher par les défenses de la bête, puis sa chair et ses os se faire arracher par un coup de tête répandant ainsi ses viscères à même le sol avant qu'ils ne se fassent elle même piétiner. ***


Et merde... Je suis mort...

*** Pensa le Chevaucheur après avoir anticipé ce qui aller se passer quelques fractions de secondes plus tard. Tout espoir avait quittait le Nelda devant l'implacable réalité qui se présentait à lui. Et pendant ce temps là, l'Arkonien était lui aussi surpris de tomber nez à nez avec le Chevaucheur qui se trouvait auparavant masqué par le premier sanglier, au point qu'il n'eut pas le temps de se préparer à l'attaquer.

Cependant, dans un réflexe purement primitif, le pied droit du Nelda se leva pour aller prendre appuis sur la tête du sanglier pendant que sa main gauche vint dégager un bout de corde qu'il balança d'un mouvement de rotation anti-horaire vers la gorge de l'Arkonien partant vers le flan gauche du sanglier. Sa jambe droite commençait à amortir la charge de la bête tout en le propulsant dans un mouvement de rotation afin de rouler contre le flan droit de celle-ci. Alors qu'il avait roulé jusqu'à la moitié de la monture, et que la corde s'était enroulé autour du cou du chevaucheur sauvage, Fenrir se propulsa vers l'extérieur de la trajectoire à l'aide de ses deux jambes entraînant la nuque prise par la corde avec lui. Cependant, l'arkonien ne fut pas désarçonné, et le cou de la victime se vit écarteler entre la corde maintenu par Fenrir et le reste de son corps maintenu par sa monture, pour finir par se briser. Seulement après, son corps quitta la bête qu'il montait.

Fenrir se releva alors que les Arkoniens s'éloignaient avant de probablement faire demi-tour pour venir les achever.
Il n'y avait plus que cinq cavaliers Arkoniens et dix Chevaucheurs compta le Nelda en s'y incluant.
Le Chevaucheur cria donc les ordres. ***


« Je veux cinq groupes de deux pour combattre chacun l'un des Arkoniens! Mettez vous bien en vu pour les attiraient, tout en montant sur le dos de votre partenaires pour les voir arriver!
Eloignez vous les uns des autres afin d'éviter de vous gêner!
»


*** Un grand Nelda au pelage brun s'approcha alors de Fenrir. D'un signe de tête, il accepta ce binômage. Cependant les pensées se bousculaient dans la tête du Nelda noir, alors qu'un sourire de soulagement se dessinait sur son museau. ***


J'ai survécu! J'ai survécu! J'ai survécu! Je suis vivant! je suis vivant!

*** Puis le sourire de soulagement se transforma progressivement en un sourire de démence. ***


Je me sens plus vivant que je ne l'ai été de toute mon existence!!

*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Phyldia

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 20h01

 
*** Du côté du bosquet, une jeune tydale se prépare au combat... ***


*** Bondissant à la suite du carreau d'Oda, Phyldia laisse s'exprimer la rage qui coule dans ses veines. Les réflexes acquis il y a quelques années déjà refont rapidement surface. Perce-Coeur chante et la guerrière hurle presque de joie en enfonçant sa lame de moitié dans le plexus de sa cible. Son forfait accompli, elle retire sa lame en un éclair, laissant une blessure profonde, et fait un bond en arrière, en position de garde face au dernier mystique, tentant d'attirer son attention afin de laisser agir ses compagnons. ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 20h55

 
***
Sur le pont...

Le chamane arkonien regarda avec suspicion le nouveau venu, un ouchovek assez frêle et qui empestait comme un champignon pourrie... en tout cas du point de vu de l'arkonien.
***

- Qui êtes vous? Pas un guerrier cela je vois, mais alors vous devez faire fausse route ouchovek. Mais... en regardant le mou qui se téléportait autour du tydale. Aha...je vois, vous n'êtes pas si inutile après tout... Les émeraudes ont besoin d'aide, un grave danger les guette. Il leur faut l'argenté! Bon sang, je parle pas arkonien pourtant...

Puis parlant au ouchovek (tydale dans la langue) a voix basse...

- Ouchovek, ce n'est pas encore la saison des moustiques... vraiment pas besoin de mettre sur vous cette substance qui ferait fuir même un sykramen...


*** *********************************************** ***



*** Dans les hautes herbes quelque part entre la position entre les catapultes en feu et le bosquet des mystiques... ***

***
Il n'a pas fallu attendre longtemps pour voir les arkoniens revenir à la charge. Les cavaliers sur sanglier apercevant le même nombre de têtes qui dépassaient des hautes herbes qu'était leur propre nombre, ils se divisèrent chacun sur une de ces têtes.

Par manque de chance? Le binôme de Fenrir s'ai fait prendre en chasse par celui qui semblai être le chef de ce groupe. Un arkonien de taille respectable, il arrivait pratiquement à la taille du nelda au pelage noir. Il portait une légère armure de cuir et seul son casque garnie de crânes d'oiseaux distinguait des autres chevaucheurs sauvages. Quelque chose disait au nelda que cet adversaire ne tombera pas si facilement.

Lance baissée, l'arkonien chargea les deux chevaucheurs de l'Equilibrium...
***


 
Tilith

Le Sukra 21 Jayar 1508 à 23h15

 
L'apparition de kvethan fit sursauter Tilith qui banda instantanément son arc.

junior dit :
Et du calme c'est un symbiose !!!


Je ne suis pas sûre que cela soit la meilleur méthode pour faire irruption au prés de personne armé Dit il au Tydale

L'apprentie chevaucheur relâcha doucement la corde de son arc. Lorsqu'il reçu le message télépathique de Fenrir.

L'argentée ? Vous voulez parler de Celegorn? Dit il au shaman le regard plein de surprise Vous voulez que Celegorn face équipe avec une personne au yeux couleur émeraudes ? Mais pour qu'elle raison?

Tilith regarda l'arkonien d'un air perplexe, et l'idée d'une entente entre Livie et Célégorn fit sourire le nelda.

Je peux comprendre pourquoi vous souhaitez la présence de Celegorn vue ses compétences de guerrier mais pourquoi une personne au yeux Vert ?

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Dhiwara 22 Jayar 1508 à 15h09

 
*** Sur le pont, le chamane se retourna immédiatement vers Tilith. ***


- Célégorn? Si c'est le nom de l'argenté, alors Célégorn doit être présent dans le bosquet maudit...
Les emeraudes pourrons comprendre la magie des mystiques, mais elle en serai affectée et mourrai. La magie des mystiques fait appelle aux sensations et sentiment de la victime pour agir, l'argenté en est simplement insensible...


 
Livie

Le Dhiwara 22 Jayar 1508 à 20h13

 
Du coté du Bosquet mystique.

*** Arrivé à quelques pas du bosquets, Livie avait commencé à incanter un nouveau sort. Ses doigts devirent luminescent. L’aura d’énergie autour de ses mains commençait à grandir lorsque, d'un coup, il disparu ! Livie s’était arrêté tout net sur place.

Un frisson venait de remonter tout le long de son échine Ce frisson était remonter jusqu’au méandre de l’esprit de Livie et s’était transformé en un mauvais pressentiment.
La vue des mages devint flou et l’esprit de Livie quitta le champ de bataille. Elle se mit à réfléchir à haute voix ***
.

Par la déesse il manque quelque chose dans cet affrontement pour que nous vennions à bout des mages...Il me faut quelque chose. Une arme... mais laquelle ?

*** Clic, tchouing... ***


Le bruit de la détente et la vibration de la corde qui se détent rappela Livie à la réalité. Apparemment, l’arme manquante, ce n’était pas l’arbalète d’Oda ;-P.

Phyldia sauta sur un des mages restés debout avant même que Livie ne pu réagir.
Ayant reprit ses esprits, Livie recommença son incantation et déclencha un éclair d’une puissance inouïe. Une lumière intense aveugla tous les êtres à proximité. Livie fut projeté en arrière par l'onde de choc
.

Ouhhhhaaa.... la déesse est avec moi aujourd’hui.

Elle se releva en époussetant sa robe d'acier, surprise d’avoir pu dégager autant de puissance d’un coup. Elle chercha du regard le mage qu’elle avait ciblé. Il avait disparu, certainement projeté à plusieurs mètre de là, le corps disloqué et brûlé. Ne restait plus qu'une trace de brulé sur le sol.

Le buisson n’avait qu’a bien se tenir !



 
Aldarin Mor'Nathil

Le Dhiwara 22 Jayar 1508 à 21h21

 
***
Les trois mystiques arkoniens était bien morts, et à présent le groupe de Livie pouvait avancer davantage à l'intérieur du bosquet.

Ce qui pouvait surprendre Livie et les autres, fut des sortes de runes gravés dans les écorces de certains arbres, pour un profane il ne s'agirait sans doute que de simples décorations ésotériques, mais pour Livie, ces symboles étaient imprégné d'une force magique étrange et puissante...

Plus le groupe s'enfonçait dans ce bosquet, plus la corruption du S'Sarkh pouvait se faire sentir... Les arbres adoptaient des formes bizarres... des visages menaçants, des branches en forme de griffes pour ne citer que ça.
La nature que la chevaucheuse avait l'habitude de côtoyer devenait hostile et la moindre ombre devenait menaçante...
C'est alors que quelque chose enrôla la cheville de Phyldia, une racine? non, cela avait des écailles...

***


 
Tilith

Le Dhiwara 22 Jayar 1508 à 22h12

 
Plusieurs question se bousculaient dans l'esprit de Tilith mais toutes furent balayer par les 2 mots prononcé par l'arkonien "affectée et mourrai"

Sans poser plus de questions il se tourna vers juniors

Transmets ceci à tous les symbiosé et plus particulièrement à Livie et Celegorn.

"Nous venons de comprendre ce que voulait nous dire le shaman. Livie ne pénétre pas dans le bosquet, ni personne d'autre d'ailleurs. Seul Celegorn le peut.
Si j'ai bien compris la magie qu'utilise les mystiques se sert de nos émotions. Quiconque s'en approche sera affecté et mourra. Comme Celegorn ne ressent aucune émotions cette magie n'a pas de prise sur lui.
Livie apparament tu as la capacité de comprendre cette magie mais elle t'affectera.
Celegorn tu dois rejoindre le plus vite possible Livie. Une entente entre vous deux semble être la clé de notre réussite. Dites moi où vous vous trouvez ?"


L'apprentie chevaucheur avait parlé à haute voix afin que l'arkonien entende ce qu'il transmettait à Livie, Celegorne et aux autres symbiosés présent à Krell. Il regarda à nouveau le shaman.

J'ai correctement résumé vos conseils ? Comment doivent ils procéder ?
En espérant qu'il ne soit pas trop tard pensa t il

 
Oda Nobunaga

Le Dhiwara 22 Jayar 1508 à 22h54

 
Chase dit :
Tu sens ça?


Ouais, plus on avance et plus ça devient oppressant...

Chase dit :
J'ai un mauvais pressentiment.


N'importe quoi, c'est normal que nous ayons cette sensation, faut pas se formaliser.

Soudain, la voix de Tilith résonna, et avec elle, un message des plus inquiétant.

Un regard mêlant inquiétude et incompréhension vers Livie, puis un bruit étrange se fit entendre du côté de Phyldia.

Lové autour d'un arbre à la forme scabreuse, et se fondant à l'écorce, un Serpent de Sang venait d'enrouler sa queue autour de la jambe de la jeune Tydale; sa gueule s'apprêtait à frapper..


Chase dit :
Il est un peu gros ton Serpent de Sang là...


Certes, mais c'en était un.

Chase dit :
Bon, que vas-tu faire? Me prouver que tu as raison ou l'aider?


Et si c'était une illusion créée par les Mystique... si on en crois Tilith, leur magie est basée sur les sentiments, et l'illusion, donc...

Tout en parlant, j'avais armé mon arbalète et tiré le carreau dans la gueule béante de la bête.


On s'attaque pas à mon apprentie. Déclarais-je froidement.

Puis mon regard alla derechef vers Livie...


-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Luang 23 Jayar 1508 à 00h45

 
*** Les chevaucheurs arkoniens avaient réagit comme l'attendait Fenrir: ils s'étaient séparé pour affronter chacun des binômes de Chevaucheur, ce qui leur offrait donc une chance de s'en sortir. Cependant, je timing devais être parfais pour réussir à désarçonner les cavaliers sans être blessé ou mourir.

Observant chacun des groupes de poussiéreux. ***


« Préparez-vous!
Pensez à éviter de vous faire piétiner par les montures, ou à vous faire embrocher par les lances!
»


*** Cela aller bien évidement de soit, mais la remarque de Fenrir eut pour effet de faire baisser la tension que ressentaient les hommes qui affrontaient la mort.

Fenrir observait l'arkoniens qui fonçait sur lui. Celui-ci semblait être le chef du groupe, et il semblait déterminé à l'embrocher. Le Nelda se pencha sur celui sur lequel il se tenait.
Il n'arrivait toujours pas à se souvenir de son prénom, mais qu'elle importance? ***


« Tournes encore un un peu un droite.
...
Encore un peu...
Voilà!
Maintenant dès que je quitte ton dos, roule sur le côté pour éviter d'être piétiné, puis tenter d'anéantir la monture comme tu peux.
Coupes lui les pattes, attaches les lui, tout ce que tu veux du moment que tu réussis.
»


*** Puis le symbiosé se concentra uniquement sur l'affrontement qui suivait.

L'arkoniens arrivait à vive allure.
Plus que dix mètres.
5 mètres.
4 mètres.
3 mètres.

Fenir sauta subitement en direction du chevaucheur de sanglier. La manœuvre surpris l'Arkonien durant quelques instant, puis un sourire de victoire illumina sans visage et il pointa sa lance droit vers la poitrine du Chevauheur qui n'affichait absolument aucune expression.

Celui qui était au sol roula subitement sur le côté.

1 mètres séparé désormais Fenrir, en position aérienne, de la lance que tenait le "chef" Arkoniens. Soudain le Nelda se mit à pivoter sur lui même en profitant de son centre de gravité. Son visage qui, quelques instant plutôt n'affichait aucune expression, présentait un sourire dément.

Le Cheuvaucheur au sol se mit à genoux puis prépara une dague.

0.75 mètres.

Le pied de Fenrir s'abattit subitement sur la lance, puis pris appui dessus pour se propulser à nouveau en l'air. La lance continua donc sa course vers le bas sans toucher le Nelda qui s'était maintenu à la hauteur de l'Arkonien surpris par la manœuvre aérienne du poussiéreux.

Fenir projeta à nouveau la corde afin d'attraper la gorge de son adversaire, mais il compléta son attaque par un coup de pied circulaire vers la tête, profitant ainsi du mouvement de rotation engendré par son appui sur la lance.

Contacte!

Le pied du Nelda vint se planter dans le visage du cavalier, alors que la corde commençait à s'enrouler autour du cou. L'Arkonien bascula violemment en arrière mais ne fut pas désarçonné. La corde commença à se tendre, mais le Chef réagit prestement en tirant violemment celle-ci qui partit des mains du Symbiosé.

Au sol, la dague vint s'abattre sur le côté de l'animal, sans la blesser profondément.

Alors que Fenrir retombait au sol, le chef Arkonien s'éloigna sur sa monture, cependant moins vite que la première fois: la blessure de l'animal l'avait ralenti.

Remontant sur le dos de son partenaire, Fenrir observa comment s'était déroulé le combat.

Deux cavaliers Arkoniens avait était mis hors d'état de nuire, cependant du côté des poussiéreux, un groupe avait totalement était anéanti piétiné par la mouture et empaler par la lance, et un autre n'avait pas réussi à esquiver complètement la mouture et se retrouver avec une jambe brisé.

Total, deux Arkoniens tombés, plus que trois à défaire.
Deux poussiéreux morts, et un invalide. Trois groupes de poussiéreux dont un de trois, pour défaire trois cavaliers. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

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