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Le Sukra 8 Marigar 1508 à 22h29
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 | *** Le vieux Tchaë marchais dans les bois, appuyer de son bâton, il marchais le plus rapidement possible. Il été attendus.
Son oui entendais les bruits de rejetons plus féroces les un que les autres.
Certains osèrent foncer vers l'Archiviste pour le mordre, mais la Dame grise protégeais l'Archiviste. Et par sa magie il ne fit qu'un avec la Sainte Foret.
Soudain, l’ombre, dans laquelle Rhilath marchais depuis quelques temps, se transforma en lumière, la fin de la Forêt était visible.
Les pas du vieux Tchaë se firent plus rapide, sa magie donnait des forces à ses jambes, bien ramollis par les années.
Enfin, il était sortie, le point de rendez vous n'était plus loin. Rhilath continua sa marche, et au loin il aperçut un petit campement. Juste là où son ami Aspar l'avait demander de le rejoindre.
Rhilath s'avança, et reconnu de suite son ami.D'autre Equilibrien étaient présent. Il les salua avant de s'adresser à son compagnon. ***
Om’shir, mon ami.
J'ai enfin réussi à vous rejoindre.
Comment vous portez vous ? Et notre diplomate ?
La communication sera plus facile maintenant.
Bien je pense que nous pourrons reprendre la route vers votre Cité noble Archonte.
***
Après sa discutions avec Aspar, l'Archiviste se tourna vers le Tchaë. ***
Bien le bonjour, noble diplomate.
Je me nomme Rhilath de Uryviel, c'est moi votre interlocuteur pour cette affaire.
comment allez vous ? Votre séjour se déroule bien pour le moment ?
Je vous souhaite la bienvenue en Equilibrium. | |
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Le Sukra 8 Marigar 1508 à 23h09
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Heureux d'entendre qu'il ne serait obligé de traduire les paroles durant des heures, Leriv acquiesça doucement.
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Bien, dans ce cas...
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Il se tourna vers le diplomate pour traduire les paroles de l'Archonte lorsqu'un autre Tchaë plus agé arriva, et s'adressa d'abord à Aspar, puis à Krym, en Tchaë, et malgré l'accent, Leriv compris ses paroles, où il s'autoproclama interlocuteur.
Mi-soulagé, mi-agacé, le marqué lacha un soupir, avant de, malgré tout, transmettre les paroles du Tydale.
***
Maitre diplomate, Aspar, Archonte de Zarlif, vous salue, et vous informe que sa cité se trouve à deux ou trois jours en empruntant le chemin au nord.
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Attendant si, au final, il serait utile à la suite des événements, Leriv attendit une quelconque instruction, réponse, ou moindre autre signe.
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Le Dhiwara 9 Marigar 1508 à 01h38
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Le visage d'Aldarin d'ordinaire assez ténébreux s'illumina pour une fois d'un bref sourir.
Mulot n'a en effet causé aucune gêne, même au contraire, il a bien divertie Riemta Voroshk lors de son séjour à Zarlif.
La Némésis s'est d'ailleur très attaché a lui.
Elle m'a demandé de veiller sur lui, mais ce sera difficile, puisque je suis pratiquement constament en voyage...
Je ne vais pas demander a vous de le faire, bien sure que non, mais j'ai quand même un peu peur pour lui.
Ayant eu un peu près son tempérament a son âge, je sais qu'il risque de faire de grosses bêtises malgrés lui. Tôt ou tard.
*Entre temps une fugure est arrivé au camps, Aldarin était sur le point de sortir sa lame du foureau, lorsqu'Aspar le reconnu comme un certain Rhilath De Uryviel. Aldarin avait déja entendu ce nom quelque part... Puis la mémoire lui identifia le seule Rhilath De Uryviel qu'il connaissait, l'Archiviste.*
Aldarin ne comprenait pas, un Initié, un Archonte, un diplomate de la confrérie et a présent l'Archiviste qui vient de déparquer de pratiquement nul part.
Quelquechose devait se passer si tant de dignitaires se retrouvaient au même moment et même endroit. Il aurait bien voulu demander quoi, mais il savait que si il en était pas informé, c'est sans doute qu'il ne devait pas en être informé. Donc en bon soldat, il garda le silence, mis a part un;
Om'Shir maître Archiviste, décidément c'est ma soirée VIP!
Je suis enchanté de votre rencontre, asseillez vous prés du feu le temps de la nuit. Nous pouront reprendre la route dès l'aube. D'ici là, profitez de notre hospitalité.
** La troupe d'explorateurs semblait bien surprise par l'arrivé de l'Archonte et du diplomate, mais ils furent intrigué quand à l'arrivé de L'Archiviste.
Le plus intrépide (ou le plus inbibé d'alcool), Toa se leva et commença a parler,
J'vous salut archiviste! Mais je délire ou quoi? Que faites vous dans mon encampement? *HIC!*
ça fait tout drôle d'voire tout les dignitaires d'Zarlif ici. Moi j'ai rien a faire d'vous, j'ai payé ma licence d'chasse, en r'tard, mais payé!
Ce fut ses dernièrs mots, puisqu'un de ses compagnon l'a fait taire d'un coups dans l'arrière du genou et Toa Manë s'étala par terre comme un sac de farine. Puis resta ainsi. Un simple "ZZZZZZzzzzzz" indiquait qu'il a bu sa dose pour la jounrnée.**
***La soirée a continué, jusqu'il ne reste plus qu'un tas d'os prés du feu et un ammas de coprs affalé tout autour.
Seul les invités, les gardes, Aldarin et Härkl dormaient correctement.***
Le matin, aux premières lueurs du soleil, une boule verte aparût de nouveau à une coudé de la tête d'Aldarin, qui se reveilla quelques secondes plus tard.
Il était temps de reprendre la route et de laisser Aspar, Rhilath et Krym poursuivre leur chemin.
Avant de partir, Aldarin s'adréssa a tout les invités de la veille en Shaï, traduit par Härkl en Tchaë,
Ce fut un réél plaisir d'avoir croisé vos chemins et ce fut un honneur d'avoir pu partager un repas avec vous.
Que la Dame veille sur vous!
Aurevoir et bonne route.
Puis lentement la caravane se remit en route vers Krell, le véritable voyage ne fesait que commencer. La caravane rentra dans la région de Syrinth.
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Le Dhiwara 9 Marigar 1508 à 14h45
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La route était tortueuse, mais en bon état, la caravane avançait assez vite.
Le but était d'arriver a Krell au plus tôt, puisque ce ne sera qu'à ce moment que la véritable expédition débutera.
Le corps expéditionnaire fort de 14 individus devra parcourir les terres sauvages, les rives de la baie des Glaces et peu être inspecter les flanc du Mont des Dieux à la recherche de denrées rares.
***
Krell en vu chef! s'époumona soudainement Toa. Tout le monde sursauta.
En effet, au bout de cette seconde journée Krell était enfin en vue.
***
Les habitants de la cité accuillérent les nouveaux venus avec grande joie et enthousiasme.
A peine les charrette se sont arrêtés un garde tydale était venu, de sa tenu on pouvait reconnaitre le blason de Krell et de ses nombreuses ornements sur son armure il s'agissait certainement du capitaine de la milice de Krell.
Un casque de styl cor'hintien lui cachait le visage, seul ses yeux bleu extrêmement claire regardait Aldarin d'un air martial.
***
Om'Shir soldat,
Je suis Voron Romen, capitaine en chef de la garde mondaine, actuellement rattaché à la garde de Krell.
A qui ai-je affaire?
Aldarin sauta en bas de la charrette et vint se tenir en face du capitaine.
Je me nome Aldarin Mor'Nathil, Griffe du Margay. ...Aldarin tendit au capitaine ses légitimas, puis poursuivit,
Je suis chargé de supérviser l'expédition que voici. Nous sommes mandaté par la ville de Zarlif d'explorer les régions au Sud de la Baie des Glace et Krell sera notre base temporaire.
Le capitaine regarda longuement les papiers, puis les rendit à la Griffe.
Très bien, ce n'est pas vous qu'on attendaient, mais vos documents semblent être en ordre, entrez.
Vous pouvez vous installer dans les casernes, elle sont pour une bonne part inoccupé à présent...
Cette dernière partie de la phrase fut souligné par un sous-ton d'amertume ou peu être tristesse. Le capitaine marquât un court silence avant de reprendre la parole,
Vous pouvez y demeurer le temps que des renforts arrivent de Syrinth,
en vous voyant j'avais espéré que ce soit déjà eux.
La ville a subie quelques séries de raids des Arkoniens. Ils se sont retranché au Nord de la ville et depuis là, ils nous harcellent périodiquement.
Aldarin écoutait attentivement le propos du capitaine, cela l'intriguait.
Une léger sourire se dessina sur son visage et son Mou commença a sauter sur place,
Kurrare dit : Un deux trois Arkoniens, tout va bien.
Quatre cinq six, comm'du pastis.
Sept huit neuf, moins qu'un bœuf! Non. | |
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Le Dhiwara 9 Marigar 1508 à 15h55
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Apprenant que des engeances du S'Sarkh attaquaient Krell, le sang de Leriv ne fit qu'un tour, Il se rua sans mot dire en direction du nord, se préparant au combat. Simple témérité? Sûrement, mais Leriv, depuis quelques temps, ne pouvait rester de marbre lorsqu'il entendait le mot "Arkonien". Pourquoi? Même lui l'ignorait.
Dès qu'il eut aperçu l'une des créatures, le marqué fit apparaitre un arc de lumière dans ses mains, se préparant à lancer un projectile magique vers sa cible. Il attendit quelques secondes malgré tout, afin de permettre à un quelconque renfort d'arriver, mais manquant de patience, seule une dizaine de secondes s'écoulèrent avant que la flèche fantomatique fondit sur la "proie", se plantant dans le dos de la créature, qui, se retournant, ne put apercevoir pour autant son assaillant, dissimulé derrière un rocher à une bonne distance de lui.
So le sort n'avait que légèrement blessé sa cible, cela avait surtout servit à tester la résistance à la magie des Arkoniens, information qu'il nota dans un coin de son esprit, au cas où il en rencontrerait d'autres, ce qu'il ne doutait aucunement.
Le Tchaë se dit alors que le prochain sort risquait d'être bien plus efficace, alors qu'il commençait à former une sphère noirâtre dans la paume de sa main.
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Le Dhiwara 9 Marigar 1508 à 19h00
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| Le jeune Leriv Härkl entra dans la salle où s'entretenait Aldarin avec Voron. La discution s'arréta lorsque les deux soldats se retournerent vers Leriv,
Om'Shir kielno! Alors bien arrivé? le saluat Aldarin, le second soldat ne fit qu'incliner la tête en signe de bienvenu.
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Aldarin entreprit de présenter le Chicot du Marque au capitaine de la garde, puis l'incita immédiatement par les informations dont il disposait, concernant les Arkoniens.
A cela le tchaë impétueux déclara d'aller combattre les Arkoniens sur le champs. En deux battements de cœur, il courait déjà vers le nord.
Aldarin qui souhaitait prendre d'assaut le camps des rejetons plus en soirée avec un plan d'attaque et une approche furtive avant de fondre sur un ennemi pour lui porter le coups de grâce.
Mais non... cela sera un affrontement de ce qu'il y a de plus commun, un face-à-face sanglant et que le meilleur gagne.
Sachant ne pas pouvoir arrêter son compagnon magicien, Aldarin ajusta sa nouvelle armure serpent, dégainât l'épée et se rua sur l'ennemi.
Bien sure, celui ci les vit venir et tenta de stopper la charge d'Aldarin avec un javelot primitif lancé si mal,qu'Aldarin n'a même pas eu à l'esquiver.
Pas surprenant, on a du mal à bien viser, alors qu'il y a une boule verte qui vous apparait sur la tête.
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Les Mous ne peuvent combattre, mais Aldarin et Kurrare savait faire équipe ensemble, en usant des capacités innée des Mous a leur avantage, celle de pouvoir embêter quiconque, et la teleportation.
Les ennemis ainsi déconcentré avait plus de mal a viser correctement.
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Aldarin était enfin arrivé au corps-à-corps, son épée brandi haut audessu de sa tête afin de fendre la tête de l'Arkonien, mais ce dernièr se décala un peu au dernièr moment pour ne perdre que son bras.
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La mêlé était engagé, mais Aldarin regarda rapidement aux alentours pour voir l'étendu des forces du camps Arkonien.
Il vit qu'un Sanglier furieux et un Sykramen. Cela le remplis de confiance, pas de renforts conséquents, le combat pouvait facilement tourner en la faveur des attaquants.
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Le Luang 10 Marigar 1508 à 15h19
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Si le tydale maniait l'épée avec Maestria, on ne pouvait en dire autant de Leriv avec ses sorts. Il tenta à deux reprises de lancer le sort d'affaiblissement sur l'Arkonien, et si la première tentative avec été esquivée, la seconde avait atteint la cible, mais sans avoir aucun effet.
Le Tchaë opta alors pour des blessures légères, qui firent cette fois mouche, juste avant qu'Aldarin achève la créature d'un énième assaut.
Suite à ce combat, les deux équilibriens n'étaient que légèrement blessés, mais décidèrent de se reposer quelques instants avant de s'en prendre aux autres engeances environnantes : Sykramen, Sanglier furieux, Chiroptère assoiffé... Il y avait le choix.
Leriv en profita pour s'assoir en tailleurs tout en fermant les yeux, et commença à récupérer autant de mana que possible, puisqu'il était presque à cours.
Le marqué avait déjà affronté une Sykramen, et savait que les blessures qu'elle infligeait pouvait s'infecter en moins de temps qu'il en fallait pour le dire. Il commença à passer en revue les différents sorts qui pourraient lui être utile face à cette créature, gardant le silence, et se coupant totalement de ce qui l'entourait.
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Le Luang 10 Marigar 1508 à 15h21
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Une bordée de projectiles magiques et un enchaînement de parades et contre-attaques, fit qu'il ne resta plus un seul Arkonien sur pied dans le camps, littéralement.
Les malheureux Arkoniens touché par les flèches magiques de Leriv Härkl explosait en arrosant leurs camarades de leurs fluides vitaux.
Ceux qui se trouvaient ensuite confronté à la lame d'Aldarin ne connurent meilleur sort. La maigre armure de cuir ne pouvait protéger contre un tel déchainement, les membres furent arrachés, des têtes fendus, les organes vitaux percé ou se répandaient sur la terre battu du camps.
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Aldarin fit avaler les 40 pouces de son épée à un Arkonien armé d'une massue primitive, puis d'une torsion de poignée la tête de la bête s'envola, laissant son ancien corps s'affaler au pieds de son meurtrier.
Instinctivement, Aldarin scrutait les environs à la recherche de nouveaux ennemis de la Dame.
Mais, presque avec regrées il remarquât qu'il n'en restait plus.
Un peu plus loin, Leriv abattit dans le dos les derniers feuillards Arkoniens avec sa magie.
Le calme était retombé sur le camps.
Seuls quelques gémissements des rares survivants le troublait le temps que la Griffe et les gades de la cité qui avaient suivit l'assault virent les achever.
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C'est ainsi que commençait le rituelle classique de chaque après-bataille.
Les gardes rassemblaient les cadavres des Arkoniens sur une pille afin de les brûler, le autres, dont Aldarin et Leriv, inspectaient les restes du camps.
La tente la plus grande était assurément celle du chef et donc ce fut la le premier arrêt d'Aldarin. En entrant, le tydale fut frappé par une puanteur d'excrément qui avait été tenté être caché pas des encens de plantes suspendus au milieux de la hutte.
La paille et des peaux recouvraient un coin de la pièce, le "lit" du chef. Puis du côté opposé se trouvait un grand tas de quelque chose recouvert par une épaisse toile sale.
De la pointe de son épée, Aldarin soulevait le toile, lorsque d'en dessous tomba une sorte de balle métallique qui s'est arrête a ses pieds.
Aldarin regarda l'objet et avec stupeur reconnu qu'il s'agissait d'un casque de style cor'hintien, bien moins décoré que celui du capitaine, mais définitivement appartenant à un de ses soldats. D'ailleurs ce qui frappa encore plus la Griffe c'est que la tête du propriétaire était toujours encastré a l'intérieur, la bouche figé dans un ultime rictus de stupeur...
En voyant cela, Aldarin se figea, son regard revint sur le tas caché par la toile, mais dont la taille rivalisait avec cette du tydale lui même. L'idée était claire, Aldarin souleva le drap pour voir charnier.
Les membres tydales, tchaë, et nelda dépassait de la masse immonde, leurs armures étaient entassé sur le côté de la masse de chaire en début de décomposition.
Aldarin ne savait pas ce que ces rejetons voulaient faire de tout ces corps, il ne le voulait pas savoir d'ailleurs...
Aldarin sortis de la tente d'un pas perturbé, il allat chercher le capitaine Romen, qu'il trouva au dessus d'un de ses soldats gravement blessé lors de la dernière attaque contre le camps.
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Aldarin s'arrêta devant lui et parla d'un ton neutre, mais avec un sous-ton réprobateur,
Capitaine, je crois avoir trouvé vos hommes... du moins ce qu'il en reste se trouve dans la grande tente au milieux.
Ce n'est donc pas le premier assaut que vous meniez contre ce camps, combien de sorties vous avez faites?
Levant les yeux vers Aldarin, le capitaine fronça les sourcilles, mais ne fit rien de plus, puis répondit d'un ton irrité à la Griffe,
Nous avons tenté trois attaques au total contre ce camps, mais ces bêtes nous ont tenu face et nous ont contourné de flanc, on pouvait rien faire. J'ai perdu plus de la moitié de mes hommes Griffe, je sais ce que vous pensez, mais auriez vous tenté autre chose à ma place?!?
Aldarin reconnu une once de égo cassé du capitaine, qui tentait de se justifier. Sur ce Aldarin lui répondit,
Je ne suis pas à votre place, vous avez fait ce que vous pensiez être bien, mais ce n'était malheureusement pas assez.
Dans le combat contre le S'Sarkh, de nombreuses vies sont et vont tomber, les vies de vos soldats ont peu être pu être épargnés, mais il ne demeure pas moins qu'ils se sont battu en apportant l'ultime sacrifice à Assia dans le combat contre l'arch-ennemi. Et pour cela, que ça vous sert de leçon pour le future.
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Suite a cela, Aldarin se retourna pour aller chercher Leriv, pour revenir au village afin de se reposer et soigner les nombreuses lacérations et écorchures due aux Arkoniens...
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Le Luang 10 Marigar 1508 à 21h26
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| De retour du "front", Aldarin et Lariv arrivèrent dans la caserne où les attendaient les artisans.
Yoo! V'zavez passé un p'tit moment sans Toa et v'la que vous revenez avec un tas de sang sur vous, 'zetes passé à la boucherie ou quoi? se fit entendre la remarque de Toa Manë lorsqu' Aldarin entra dans leur compartiment.
***
Le pas d' Aldarin fut suivie de celui de Leriv, qui ressemblait bien moins à un boucher, mais dont les combats n'ont pas complètement épargné, mal grès la prolonge notable de ses sorts sur la lame d'Aldarin, ses vêtements noirs étaient maculé de taches de sang et de boue.
Les deux symbiosé se posèrent sur chacun son coin respectif du baraquement.
***
Une idée traversa la tête d'Aldarin,
Je comprend mieux pour quoi on a tant de place dans cette caserne...
Le regard de l'assemblé l'avertit qu'il a pensé un peu trop fort son idée...
Aldarin enleva sa cape et son armure un peu abîmé et sur tout ensanglanté. Selon sa démarche assez fluide , le sang n'était principalement pas le sien.
La ville avait des problèmes avec un camps Arkonien au Nord. Les gardes avaient échoué de le déloger de la.
Aldarin commença a nettoyer son équipement, puis releva la tête pour voir qu'on le fixait et attendait la suite de l'histoire.
Et bien Leriv et moi, plus les quelques gardes de la cité, on les a délogé. Suite a ça, on a découvert les dépouilles des précédents occupants de cette pièce.
Puis il repris son nettoyage, puis s'arrêta une fois encore pour dire,
Les patrouilles de la ville m'ont indiqué une forte concentration de rejetons mineurs au Nord, Nord-Ouest ce sera un peu pénible, mais on peut forcer le passage, moi et Leriv. Sinon on peut prendre la route vers le Nord-Est pour déboucher sur la sorte de péninsule, qui se prolonge dans la Baie des Glace.
Je propose qu'on vote, un voyage dur, mais on explore les rives de cette rivière qui descend du Lac au Pic; ou sinon un voyage plus tranquille, mais en omettant une bonne part de la région. | |
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Le Luang 10 Marigar 1508 à 22h34
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Leriv écouta les propos de la griffe, et lorsqu'il fit ses proposions, il pris brièvement la parole.
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Plus nous en tuerons, moins les habitants souffrirons. Le choix se désigne de lui même.
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Sur ce, le Tchaë se leva, scrutant les visages de ceux qui l'entourait, se rendant compte que partir ainsi ne mènerait à rien. Il ramassa son sac, puis se dirigea vers la sortie, ajoutant sans se retourner à l'intention d'Aldarin :
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Nous verrons ça demain, mieux vaut se reposer, sinon nous auront des pertes plus que consequentes lors du combat.
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Le marqué quitta la salle, et se rendit à l'exterieur du village, où il sortit son livre de voyage, et commença à écrire dessus.
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Le Luang 10 Marigar 1508 à 23h27
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| Peu de temps était nécessaire pour que presque tous se mettent d'accord de prendre la route le long de la rivière, les paroles du mage avait fait effet.
Très bien. acquièssât Aldarin,
Le future sera meilleur demain... compléta Toa.
Sur ce, Turin Layq'uendi, l'herboriste vint s'assoir à côté de la Griffe, il souleva le bras de ce dernière,
Hmmm... cette entaille est assez vilaine, elle n'est pas infecté, mais si vous la lavez avec l'eau qu'on nous a donné, elle le sera avant l'aube...
Laissez moi nettoyer ça un instant.
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L'herboriste prit un bout de tissu blanc et puis fit bouillir l'eau, il nettoya soigneusement les petites plaies sur les bras et les jambes d'Aldarin, rien de grave, mais il fallait profiter encore d'un bon toit au dessus de leur tête et certains ont sans doute compris que la Griffe et le Chicot en bon étaient était leur meilleurs boucliers contre les monstres du S'Sarkh, et qu'il fallait bien s'en occuper.
Aldarin aperçut le maître tanneur et le bûcheron... euh... le maître ébéniste remettre en état son armure. Ce fut étrange pour Aldarin, d'habitude solitaire, qu'on s'occupe de lui de la sorte.
Plus tard en soirée, une lettre est parvenu à la caserne de la part du Maire de Krell, où il souhaitait la bienvenu a l'expédition et remerciait la Griffe du Margay Aldarin Mor'Nathil et le Chicot du Masque Leriv Härkl pour leur bravoure et courage exemplaire et ... blablabla... et qu'il les invite a déjeuner chez lui le lendemain midi.
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Et bien, il semble que les autorités nous ont remarqué. Je ne sais pas si c'est bon ou pas... espérons que cela ne nous retiendra pas plus que nécessaire...
Mais bon, bonne nuit compagnons.
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Un silence s'installa dans la caserne. La Dame garnit chacun d'un bon sommeil réparateur. Pour ce petit groupe, ce sera sans doute leur dernière bonne nuit sous un toit en sécurité...
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Le Matal 11 Marigar 1508 à 12h52
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La mâtiné du jour suivant était tranquille, rien d'exceptionnelle ne s'était passé. Les aventuriers s'étaient très bien reposé.
Il n'y avait que Aldarin qui eut un sommeille agité et pourtant si lourd. Ses blessures, malgré tout le soin apporté par Turin ne voulaient pas guérir, mais au moins elles se ne sont pas infecté.
Quand Aldarin ouvrit les yeux, la mâtiné était déjà bien avancé, ils l'ont laissé dormir plus longtemps, pour qu'il se rétablisse mieux sans doute.
Toa Manë était bien agité dehors, durant le sommeil profond, mais sans rêve de la Griffe il a prix le commandement de son propre chef.
Il organisait le rassemblement des affaires et l'achat de nouvelles provisions pour le voyage prochain.
Le regard d'Aldarin se posa a côté du paillasson qui lui a servie de lit.
Une bassine d'eau pure était posé par terre et sur une chaise ses compagnons ont étendu son armure serpent nettoyé et propre, ainsi des serviettes pour se rincer.
L'eau était déjà froide, même glacé, mais cela revigora la Griffe et le tira de l'état de somnolence.
Aldrin se lava le corps, puis s'habilla des vêtements propres.
Il sera bientôt midi et le maire de Krell les attendra bientôt.
Aldarin sortie de la caserne, vêtu d'une chemise noire légèrement brodé de fil pourpre et allât chercher kielno Leriv.
Il le trouva près du fleuve, en train d'écrire dans son carnet de bord sans doute.
Om'Shir Kielno!
Désolé de vous interrompre, nous avons été invité par le maire de cette ville pour un déjeuner. On va devoir le rejoindre devant son manoir dans quelque heures.
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Le Matal 11 Marigar 1508 à 14h15
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Sur le coup, Leriv n'eut aucune réaction, continuant imperturbablement d'écrire. Quelques secondes passèrent avant qu'il comprenne qu'on lui avait adressé la parole. A ce moment, il se concentra pour garder son calme. Ce genre d'interruption l'énervait au plus au point, et entrainait parfois des sorts lancés "accidentellement". Malgré tout, il redressa la tête, et dévisagea son interlocuteur comme s'il ne l'avait jamais vu, puis, son attention retournant à ses écrits, répondit sèchement :
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Sans moi. Les mondanités ne sont pas pour moi.
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Après les quelques instants qu'il fallu au marqué pour relire la phrase en cours, sa plume s'agita de nouveau alors que le Tchaë était de nouveau pleinement concentré sur son livre, ignorant tout bonnement le reste du monde.
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Le Merakih 12 Marigar 1508 à 00h28
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[action]Aldarin est arrivé devant la maison, une bien belle bâtisse en Partie en pierre et terminé en bois, deux petites tourelles s'élevaient de la façade. Un garde à l'entrée avertit de l'arrivée d'Aldarin, puis le laissât entrer.
La Griffe remarquant que le jeun soldat a participé à l'assault du camps Arkonien la vielle. Quelques entailles sur son armure étaient encore visibles.
Le garde l'escorta vers une seconde porte à l'intérieur. Plaqué de bronze et richement décoré, un clivage parfait entre esthétique et utilité, pensa le tydale.
Puis la porte s'ouvrit sur une longue salle, bordé de six paires de piliers soutenaient un plafond décoré d'une illustration d'un affrontement entre les nemens et les rejetons du S'Sarkh.
Sur chaque pilier, une torche allumé projetait des ombres lugubres.
Au fond de la salle, une bûche brûlait dans l'âtre et réchauffait agréablement la pièce.
En son milieux se trouvait une table. Un tchaë et le capitaine de la garde y étaient assis. Deux chaises vide attendaient les invités.
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Om'Shir Griffe du Margay Aldarin!
Je me nome Gomarel Nitschë, je suis le Maire de cette petite ville. Je suis vraiment enchanté de faire votre connaissance, le capitaine Romen m'a parlé de vos talent lors de l'extermination des Arkoniens...
Il fit une pause et comme s'il tenterait de regarder derrière Aldarin, puis poursuivit,
Riemto Leriv Härkl ne devait pas venir avec vous? Pourtant je suis sûr de l'avoir invité également...
Aldarin fit une révérence pour honorer son hôte, puis répondit sur un ton diplomatique,
Derynn, mais c'est un bien grand honneur que vous me faites Nêrhe.
Riemto Härkl n'a malheureusement pas pu venir pour cause une vilaine blessure après la bataille d'hier. Il s'en excuse.
Le tchaë fit une mine triste, puis invita Aldarin s'assoir.
Des serviteurs enlevèrent discrètement la chaise et les fournitures superflus, puis le tchaë s'adressa de nouveau à Aldarin,
Capitaine Romen m'a rapporté que vous êtes venus pour une expédition. De quoi s'agit-il en faite? La saison est pas la mieux choisie pour une entreprise de cette nature il me semble.
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Aldarin expliqua les buts (imprécis) de son expédition. Puis répondit à une longue série d'interrogations qu'avait le Maire sur les événements récents de l'Equilibrium.
De cette curiosité, Aldarin pu comprendre que durant l'hiver, lui et Leriv doivent être les premiers symbiosés a être venu à Krell.
Puis les serviteurs apportèrent les premiers plats et le festin commença. La discutions était devenu plus relâché, les sujets partaient en digressions, et les plats en digestion.
Enfin au bout de bonnes deux heures et demi de festin royal, le repas fut terminé.
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L'hôte accompagna la Griffe jusqu'à la porte, puis Gomarel Nitschë lui s'adressa,
Je vous remercie d'avoir accepté mon invitation, mais sur tout et principalement, d'avoir défait ce camps de rejetons. Je dois admettre que le capitaine Romen est un bon guerrier, mais une tête brûlé. Ce n'était pas la première incursion Arkoniene dans la région, les précédentes ont été repoussé grâce au capitaine. Mais ces rejetons son pas si bête si je puis dire, a force d'user la même stratégie, ils se sont adapté. Voici un tube de parchemin que je souhaiterais faire parvenir a l'archonte de Syrinth où a la rigueur de Zarlif. J'y est transcrit les observation des mouvements de l'ennemi durant cette saison. Je vous fait confiance pour la ramener a destination une fois votre mission ici terminé.
D'ailleurs, la cité de Krell a une dette envers vous, donc la moindre chose que je peux vous offrir pour vous aider sont de quoi vous protéger sur ce voyage. Vous savez qu'un bon nombre de soldats sont mort, donc je ne peux en assigner pour vous accompagner, mais on a des armures qui sont relativement intactes. Le capitaine m'as dit que vous, vous avez une armure serpent, mais que vos amis artisans sont pratiquement sans défense.
Je peux vous fournir un peu d'équipement a vos protégés.
Je vous assure, ils en auront besoin au Nord.
Aldrin ne su quoi dire, il réussit a sortir un
Derynn Nêrhe, Votre message parviendra a destination, je vous le promet.
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Puis la Griffe fit une nouvelle révérence, se retourna et partit rejoindre ses compagnons. Les gardes ont déjà apporté les armures légères et des casques, tous tapissé de fourrures pour protéger du froid comme des coups.
Finalement la troupe se mit doucement en route.
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Le Merakih 12 Marigar 1508 à 09h05
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De son coté, le Tchaë ne vit pas le temps passer. Plonger dans son écriture, il aurait pu rester ainsi une bonne semaine sans se rendre compte de rien. Cependant, lorsqu'il sentit qu'il avait une petite faim, il se décida de fermer son livre et de chercher de quoi se sustenter. Malheureusement, il ne trouvât que quelques baies vivant dans la saison des glaces, mais guère très appréciables, ainsi que des fruits secs, poussant comme des mauvaises herbes en certains endroit.
Alors qu'il comptait en rester là, faute de mieux, il trouva au sol un poisson mort, mais nullement décomposé. Certainement le butin d'un pêcheur s'étant échappé. Ramassant quelques brindilles, et fit un petit feu de camp, dont la lumière ne pourrait être vue à plus d'une dizaine de mètres, lui permettant de cuire son repas.
S'il s'y connaissait en magie, le domaine de la cuisine n'était pas du tout son fort. Le poisson était à la fois grillé vers l'extérieur et cru à l'intérieur, mais au moins, son ventre ne crierai pas famine. Laissant uniquement la tête et les tripes du poisson, et éteignant les flammes grâce à l'eau de la Distria.
Il rejoint alors la troupe, comme si de rien était, et marcha en silence, ouvrant l'œil afin d'éviter, ou au moins de voir venir, d'éventuels problèmes
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Le Dhiwara 16 Marigar 1508 à 16h29
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Les jours commençaient à ce suivre, comme des gouttes d'eau...
Chaque jours et un nouveau problème et pourtant le même. La région était infesté de monstres du S'Sarkh aux quels se mêlaient les prédateurs natifs de Syfaria, des meutes de Kronides de feu étaient abondantes, au loin Aldarin entraperçu une tribu d'Arkoniens, les sangliers furieux étaient une menace constante aux explorateurs et ce n'était souvent les talents de tire de précision de Toa Manë et Leriv Härkl qui les maintenaient a distance respectable.
Le 7eme jours, la caravane avait effleuré ses plus vilaines attaques de la part d'un couple de Chiroptères Assoiffées, ce qui obligeât la caravane d'accelérer la cadence tout en évitant que les passagers des charriots soit blessés, Aldarin avait tendance a s'interposer entre les bêtes et les autres pour maintenir une distance et pour permettre aux archers d'user de leur arcs, arbalète et projectiles magiques.
Les gardes neldas ont étés aussi un peu touché et le maître hérbaliste s'occupait de leurs cas pendant les temps de répit. Le resté du temps il soutenait Toa et Härkl au tir avec son arc court.
Il n'était pas un grand archer, mais toute contribution était la bienvenu.
Enfin quand ils eurent échappé aux Chiroptères, le corps (blessé) expéditionnaire établie un campement pratiquement aux bord de la mer des Glaces. Les poussiéreux ne la voyaient pas encore, mais on pouvait sentir le sel et le vent frais qui en émanait, tout comme le bruit des vagueuse qui se casse sur les récifs.
Une fois le camps monté les artisans tiraient au sort pour déterminer qui va partir en tourné de reconnaissance des environs en premier.
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Le Dhiwara 16 Marigar 1508 à 22h02
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Comme à son habitude, le marqué s'installa à l'écart des autres, sans être trop loin en cas de problèmes. Assis torse nu à même le sol, celui-ci soignait ses blessures par la magie, blessures peu profondes, mais relativement gênantes malgré tout.
Une fois que les plaies eurent toutes disparues, le Tchaë s'avisa que la chaleur ambiante ne prêtait pas à rester dans cette tenue très longtemps, il se rhabilla au plus vite, puis s'allongea dans la neige, les mains croisées derrière la tête, contemplant le ciel de façon presque mélancolique.
Une fine neige commença à tomber, une de ces neiges qui ne tiendrait pas une fois au sol, mais qui rendrait le sol plus boueux qu'il ne l'était déjà. Surement les dernières de la saison, ou du moins l'espérait-t-il.
Distraitement, Leriv sorti de son sac quelques baies de Neldoram qu'il avait cueilli peu de temps auparavant. La plupart n'était déjà plus comestibles, mais certaines gardaient encore leur gout. Malgré le bruit de l'activité du campement et de son mou sautillant dans tous les sens, le marqué commença à somnoler, s'imaginant être au chaud, chez lui, à lire un roman au coin du feu...
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