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Le Luang 23 Jayar 1508 à 22h03
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Du côté de Livie...
...une branche qui craque a gauche, puis une roulement de feuille derrière, des branches qui s'entrechoquent...
Décidément l'observateur doit être très rapide et pas expert en discrétion... a moins que... serait-ce intentionnelle? Mais quelle but recherchait-il, ou elle? Ou bien sont-ils plusieurs? Nouvelles illusions ou bien réalité?
Toutes ces questions et bien d'autres traversaient l'esprit de Livie a toute allure. Parfois elle apercevait une silhouette à la périphérie de sa vision, mais à chaque fois qu'elle tournait la tête celle-ci disparaissait.
Au bout de quelque minutes des ce va et viens, une silhouette apparut enfin devant Livie, elle avançait doucement vers la chevaucheuse...
***
- Om'shir Livie, que fait tu avec ce couteau? Tu ne voulait pas graver ce beau chêne, n'est pas? Il ne t'as rien fait pour tant...
Livie regardait la figure devant elle sans rien dire dans un premier temps. La personne encapuchonnée sourit.
- Tes sens sont devenus assez précis et vifs, tu as régit à chaque mouvement que j'ai provoqué... Une vrai forestière... mais pour tant tu ne me reconnais toujours pas? Je t'accorde que cela fait bien longtemps que tu m'as vu, sœurette...
Livia enleva sa capuche et regarda dans les yeux vert émeraude de Livie...
- Tu as toujours ton compagnon a ce que je vois, il s'appelle déjà comment ton Mou? Ils sont quand même étranges ces créatures, s'attachent a certains et non a d'autres... je t'envie un peu pour ça...mais enfin, je suis contente de t'avoir trouvé.
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Devant les écuries de Krell...
...Célégorne s'empara du premier cheval et monta dessus. La question du capitaine venait d'être répondu de manière tacite. Un bon point dans l'affaire, mais ensuite la Griffe sans dire un mon poussa le mestengo au galop en se dirigeant vers la porte de la ville...
- C'est ton subordonné ça? Pas bavard et encore moins discipliné... il sais pas que les portes sont verrouillées? Et même, il y a toujours cette armée entre la porte et ce bosquet dont tu m'as parlé tout a l'heure sur le mur...
Aldarin baissa sa tête et expira profondément, il répondit sur un ton calme, qui cachait mal sa frustration.
- Oui, et décidément c'est pas le seul, j'en connait un aussi qui ne respectait pas trop la hiérarchie dans son temps... Mais enfin, a moins de faire quelque chose de bête, il comprendra bien que les portes sont fermés... Mais je vais quand même communiquer avec lui télépathiquement pour lui dire de rebrousser le chemin pour un rendez vous sur les berges de la Disfria, les fortification s'étendent jusqu'à elle pour protéger les précieuses scieries de Krell.
- En tout cas dites lui que le cheval qu'il a pris est le mien et que cette selle qu'il a si habilement découpé m'a couté une petite fortune, du cuir de Solérénne bon sang! Sinon le cheval se nomme Strident. Qu'il fasse attention a lui... dans la mesure du possible...
- Très bien...
Aldarin se concentra donc pour contacter Célégorn.
Jïrhe, vous allez dans la mauvaise direction, les portes de la ville sont verrouillées et les arkoniens vous verraient si vous sortiez par là. Je vous propose de se rejoindre près des scieries de Krell, on a un autre moyen de vous faire passer vers le bosquet sans trop vous mouiller, hehehe...
Ah... et au passage, très bon choix pour le mestengo, il se nomme Strident et c'est un beau pur-sang.
Donc venez sur la berge de la Disfria, on vous y attends.
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Le vieux chamane observa Nils...
...hacher un mystique à l'orée de la forêt, non sans un sincère sourire sur le visage. Puis une fois qu'il ne restait plus que du hachis-parmentier du malheureux et de sa suite d'acolytes, il s'approcha vers le nelda.
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- Sans vouloir être désobligeant ou vous déranger, mais je vous déconseille de poursuivre davantage dans ce bois. En dehors vous pourriez visiblement vaincre même le plus puissant mystique, mais à l'intérieur, le dernier des acolytes vous plierait à sa botte...
Venez avec moi, on va libérer votre ville si vous voulez bien... | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 03h02
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Le chamane et Nils...
...marchaient durant une bonne heure, enfin le terme de trotter serait plus approprié à leur déplacement. Ce qui pouvait surprendre Nils, c'est que lui, un nelda dans la force de l'age semblait plus fatigué que le (très?) vieux chamane a ses côtés... Cependant ils marchèrent prestement pratiquement sans se parler, excepté bien sur les répliques "C'est encore loin?-Non, on y est presque...".
Enfin le chamane déboucha sur une route mal entretenu. Il s'arrêta et entama un court chant dans sa langue. En réponse trois voix lui répondirent dans la même tonalité. Une nouvelle réplique du chamane et une dernière de la part de ses interlocuteurs jusque là cachés.
Puis Nils pouvait distinguer trois silhouettes arkoniennes sortit de derrière un buisson, ils rangèrent leurs dagues de lancé à leurs ceinture.
L'un était enchâssé dans une massive armure noire articulé et décoré de divers gravures, c'était visiblement le plus fort des trois. Le second portait un gilet de cuir clouté et de grandes plaques d'os lui recouvraient les flanc des cuisses. Un peu dans le même style que portait le chef des arkoniens sur sanglier à l'entrée du pont, sauf que cette tenu était bien plus élaboré, indiquant un statut sans doute supérieur au petit chef de troupe qu'Oda a habilement exécuté. Enfin le troisième était par rapport à sa taille a mi chemin entre la grande brute et le chevaucheur sauvage. Vêtu d'une côte de maille garnie d'importantes ornements sur les épaules, notamment un crâne tydale et un morceau de cristal noire qui étaient attachés ensemble.
Ils parlèrent au chamane, puis ce dernier se retourna vers Nils avec un grand sourire.
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- Je vous présent vos nouveaux alliés de circonstance, comme vous dites chez vous.
Voici Kourkhan, c'est le Chef de troupe des Poings de fer, c'est lui qui est le chef des guerriers à l'armure noire. Ensuite voila Fussik, son frère et Chef de troupe des Coureurs du vent, sa troupe compte de nombreux sangliers dompté. Et puis enfin voila Akralik, il est le Chef de troupe des Fils de la terre. A présent il possède la seconde troupe après celle de Grott et c'est lui qui a réunit ses deux Chef a sa et donc a notre cause.
- Seiia beïto. saluèrent les trois arkoniens tout en se frappant la poitrine.
- Il ne savent pas parler votre langue, reprit le chamane, mais en tout cas ils m'ont demandé comment pouvez vous vous rendre utile dans la bataille pour la Cave-Mère. Je leur ai parlé un peu de vous, ils savent que vous êtes un possédé, enfin un élu comme on dit chez vous...
Ils veulent savoir si ils peuvent vous faire confiance. A vous et a vos espèces.
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Sur le bord de la Disfria...
... le Capitaine Romen et Aldarin attendait la Griffe. Des écuries c'était un pas pour rejoindre la rivière. Lorsque Célégorn arriva, il trouva son supérieur en train de pousser une sorte d'embarcation sur l'eau, avec l'aide du capitaine.
Aldarin se retourna lorsque Célégorn approcha plus près.
***
- Célégorn, content de te revoir.
- Ouai! ravie de voir que Strident est encore entier... grommela le capitaine dans sa barbe.
Sans prèter attention aux Capitaine, Aldarin expliqua le chemin a prendre au tydale.
- Alors voici le plan. Ce radeau devrait être assez grand et robuste pour supporter ton poids et celui du cheval,... tu ne sera pas dessus bien sur pendant la traversé, sur ton cheval je parle.
Il y a une corde et un système de poulies qui relie les deux berges, à la base il sert a attraper les tronc d'arbres flottant dans le fleuve et les ramener vers la scierie. Ce qu'on a fait, c'est d'attacher ce radeau à ces cordages et utiliser la puissance de l'eau non pour remorquer vers la scierie, comme cela fonctionne d'habitude, mais vers la berge opposée.
Par contre il faudra que tu tiens le mestengo tranquille, sinon vous risqueriez de chavirer tout les deux... Tu crois pouvoir le faire?
En tout cas pour rejoindre le bosquet, tu va remonter le courant et traverser le pont comme tu est d'ailleurs venu, puis tu tournera à l'Est. Avec Strident tu peux y arriver en quelques heures. | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 10h10
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| Nils avait suivis le Shaman, étrangement, il ne paraissait pas fatigué. Cela intrigua Nils.
Arrivé prés de la route, ils s'arrêtèrent et après quelques instants, Nils aperçu des Arkoniens venant dans leur direction, en rangeant leurs armes.
Nils se positionna derrière le Shaman, légèrement sur le coté afin de suivre leurs mouvements.
La discution ne dura pas longtemps, le Shaman s'adressa à Nils.
Nils regarda les Arkhoniens et les salua.
touquette dit : eh, Nils, ils ont l'air costaudsAh pour sur, et avec ta belle armure ça en jète
Puis il dit ces quelques mots
Vous nous aidez, Nous vous aiderons, ma parole est en jeu et je ne suis pas du genre à la reprendre. Je suis sur que certain de mes amis se joindrons à nous pour vous aider à retrouver votre liberté dans les caves mères.
Nils avait dit cela en regardant les Arkhoniens avec un sourire léger afin de montrer son acceptation.
Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien. | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 11h13
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| *** Quelque part dans la forêt... ***
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Phyldia est à terre, surplombée par cette chienne du Matriarcat, les bras liés dans le dos, les yeux emplis de rage. Elle n'abandonnera pas, jamais !
Dans un immense effort de volonté, elle envoie un coup de pied dans le ventre de la matriarcale, envoyant cette dernière au tapis pendant un instant. Profitant de ce vague instant de confusion, elle se jette sur Perce-Coeur et tranche la corde en tenant la lame entre ses pieds.
Cinq mêtres plus loin, les mâles commencent à approcher, une lueur malsaine dans le regard... mais la voila sur pied, fermement décidée à en découdre.
***
Vous me voulez ? Par la Dame vous allez en payer le prix fort !
*** Puis, regardant sa lame, ***
Allons-y Perce-Coeur, montrons à ces dégénérés ce qu'est une mort violente !
*** La voila déjà en plein combat, tranchant le premier tydale qui l'approche et l'envoyant cogner contre un arbre d'un coup de pied dans les rotules. *** | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 12h15
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| Elle voulait juste... m'aider?
"Imbécile, c'est faux."
Comment avais-je pu lui nuire? Elle m'aimait, c'était évident... et je l'avais tué.
"Cette naïveté, comment peut-on être aussi candide?!"
Je souhaitais m'agenouiller et la serrer dans mes bras, mais au fond de moi, je ne pouvais pas le faire; quelque chose me retenait.
"ça suffit maintenant reprends-toi!"
Je saisis soudain la femme par le cou, et d'une voix ferme et froide, je déclarais:
Très habile, c'était donc là l'étendue de la magie des Mystiques: manipuler les émotions?
Puis, comme pour me justifier auprès de moi-même:
Tu comptais pour moi, mais tu n'étais plus la même, et celle que j'aimais, tu me l'as enlevé aussi. Pas la peine de m'implorer, je vais simplement t'expédier derechef là où tu devrais être.
Et sache, pour ta gouverne, que j'ai enfin trouvé un but à ma vie en servant la justice; si je l'ai fais, c'est pour que des monstres comme toi ne puissent nuire à personne.
Désormais les choses étaient claires dans mon cœur: jamais plus je ne me laisserais duper de la sorte par des fantômes d'un lointain passé.
Elle disparut tout d'un coup, me laissant au milieu du bosquet, vide de toute énergie.
Chase dit : Oda? Comment te sens-tu?
Ce que je fis instamment.
Chase dit :Oui, tu l'as bien mérité Oda, repose-toi.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 14h29
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| junior dit : Euhhh je crois que tout le monde est parties....
Tilith plonger dans ses idées et gardant son esprit ouvert pour savoir où était Livie et Celegorn, n'avait pas remarquer le départ de Nils, le shaman et Kvethan.
Ils sont déjà tous partis. le nelda regarda autour de lui un peu perdu et perplexe. sans m'attendre
junior dit :Nils et l'arkonien sont parti vers le buisson et Kvethan à pris la direction du camp. Héhé c'est des rapides, il vaut mieux ne pas te déconcentrer.
Aller en route on va essayer de les rattraper.
L'apprenti chevaucheur pris la direction, au pas de course, suivi par Nils . Mais au bout de plusieurs heures de course dans les hautes herbes il du se rendre à l'évidence qu'il avait du se tromper de chemin.
junior dit :Bravo le sens de l'orientation.
Je te rappelle que c'est toi qui ma indiquer la direction à suivre.
Un nuage de fumer attira l'attention du nelda. Quelque mètre plus loin de l'incendie il distingua plusieurs silhouette qui livraient bataille.
Regarde là bas des neldas affronte des arkoniens
Tilith se baissa pour rester cacher dans les herbes haute et s'approcha le plus vite possible de l'affrontement. Il reconnu le groupe de Fenrir, qui étaient en prise avec plusieurs cavaliers arkonien.
Deux arkoniens était visiblement mort et trois autres cavaliers leur faisait face. Toujours cacher Tilith les contourna pour se retrouver sur le flan des cavaliers, arriver à une dizaine de mètres du premiers ennemi, il banda son arc et sortit brusquement des hautes herbes. En une fraction de seconde il visa le cavalier et tira.
Son attaque surpris les trois arkoniens qui ne purent réagir. Son trait alla se planter en plein dans le crâne du sanglier qui s'écroula instantanément.
junior dit :Félicitations ça c'est du tire tu t'améliore
L'arkonien qui venait de perdre sa monture se mit à hurler en pointant du doigt le nelda..
Tu parle d'un tire c'est l'arkonien que je visais pas son sanglier . Tilith prépara une autre flèche.
L'un des cavaliers dont la monture se mit à vociférer dans leur dialecte. L'arkoniens à pied sorti son épée et fonça sur Tilith tendit que leur chef et le derniers cavaliers se mirent à charger le groupe de Fenrir. | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 21h04
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| Après un petit temps de marche, le jeune trouvère arriva au camp de guerre arkonien, et vu la taille du camp, l'armée devait être énorme.....
C'est parti pour le grand bordel acte I scène I!
P'tit truc dit : J'sais pas pourquoi mais j'le sens très mal.....fais quand même gaffe à ta peau mon grand....
Un éclair de "génie" lui traversa l'esprit, du moins c'est ce qu'il pensa sur le moment....Il se dandina sensuellement jusqu'au garde, lui sourit et lui caressa le menton tout en lui sussurant.
Taribido tytoro....zog-zog....
Vu la trombine du garde il ne comprit pas un mot de la première parti de la phrase.Mais le sourire béat qu'il affichait commençait à sérieusement foutre les jetons à Kvethan, lui qui pensait faire fuir le garde en moins de deux, était peut être tombé que le seul garde homosexuel du camp....La deuxième partie de la phrase réveilla le garde de sa suave torpeur, lui arrachant un sourire jusqu'aux oreilles.
ZOG-ZOG!
Il choppa le tydale par le bras et l'entraina à grand pas vers une tente toute proche....Mais bordel pourquoi j'ai dit ça?....
P'tit truc dit :J'suis impressionné, tu sais même le dire en arkonien...héhéhéhé....C'est le destin....hahaha....dommage que tu ne sois pas la dame, parce qu'elle ses voies sont impénétrables....
A peine arrivé sous la tente, le puant commença à se désharnacher, le musicien n'avait jamais vu quelqu'un se déshabiller aussi vite....Mais comment je vais me sortir de là moi....pensa-t-il tandis que le puant approchait...
La séduction est un art, laissez cela aux professionnels | |
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Le Matal 24 Jayar 1508 à 21h45
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| Livia !
Erween dit :
Eh m.... c’est reparti.
Tout en parlant, Livie s’avança vers Livia. Elle planta son regard Emeraude dans les yeux de sa soeur.
Erween dit :Livie ? houhouuu...
Ce n'était pas un garçon hein ?
Livia.... j'ai tellement de questions a te poser.... expliue moi....
Pourquoi tu ne me réponds pas ? Sert moi contre toi. fort, tu m'as tellement manqué
Livie tendit les bras pour prendre sa sœur dans ses bras.
Tu ne me réponds pas parce que tu n’es pas Livia !!!!
Jamais ma sœur n’aurait pu dégager une telle puanteur ! Créve chien d’Arkonnien et retourne dans l’antre dont tu n’aurais jamais du sortir !!!!
Livie abattie le poignard qu’elle tenait toujours dans la main. La lame se planta entre les côtes de Livia. Un sang épais et noir gicla. Son visage grimaçant, se contorsionna sous la douleur. Dans un cris de rage le visage d’un mage arkonnien remplaça progressivement celui de Livia.
Créve ordure !!!
Livie tourna le poignard, le sortie et le replanta violemment. Elle frappa, frappa, frappa... le sang avait recouvert ses mains. Elle pleurait a nouveaux, agenouillé sur le corps du mage. les images du passé l'avait retournée. l'émotion était trop forte.
Erween dit :Alors là tu m’as bluffé ! comment t’as su ?
Elle contacta Anty pour lui envoyer l’image télépathique de l’inscription. Peut-être aura-t-il une explication ?
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Le Merakih 25 Jayar 1508 à 03h25
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| *** Dans le bosquet maudit. ***
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Phyldia transperçait les six inaptes en une belle chorégraphie de passes, de parades et de contre-attaques fulgurantes. Pour les inaptes désarmé, il n'y avait pas une ombre d'espoir de survie, leur morts étaient délivré avec aisance et facilité... Phyldia ne put s'empêcher que ce fut même trop facile, comme si les inaptes se déplaçaient pour la placer à un endroit précis.
D'un coups sans que la jeune tydale ne compètent pour quoi, elle sentit une vive douleur dans sont flanc. Un visage tydale était apparut devant elle, la Maîtresse du harem... elle l'a poignardé sans que Phyldia voit l'attaquante venir.
***
- Créve ordure !!! cria la folle matriarcale tout en poignardant encore et encore la jeune tydale.
***
La douleur traversa tout le corps de Phyldia comme une vague paralysante. Son corps chuta par terre. Elle ne pouvait pas bouger, mais demeurait encore consciente. C'est a ce moment que la matriarcale parut satisfaite de son travail, elle s'agenouilla au dessus de Phyldia et parla au corps, le considérant visiblement comme mort.
***
- Tes chimères se jouent de ton esprit. Mais tu ne peux inventer les techniques que tu connaissait pas. Je ne sais pas pour quoi tu es partie, mais tu ne pourra plus me répondre a cette question. Et puis reste ici pourriture...
***
Puis la matriarcale enjamba le supposé-cadavre de Phyldia pour faire quelques pas de plus et puis s'affaisser au près d'un arbre. Elle semblait de le contempler...
Entre temps Phyldia retrouva le contrôle de ses membres et c'est avec beaucoup de mal qu'elle se releva. Ses blessures étaient graves et sans soins experts, elle ne tiendrait pas la journée, en faite vu la quantité de sang , elle de tiendra pas plus de quelques heures...
Curieusement la matriarcale semblait en contemplation ou communion avec l'arbre et ne prêtait pas attention a la jeune tydale emplie de haine et de douleur. C'était là une occasion rêvée pour emporter la Maïtresse du Harem avec elle dans la tombe, a défaut de mieux...
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La Griffe cavalait a toute allure vers le bosquet, par chance, nul entrava majeure ne perturba la chevauché et Célégorn arriva rapidement à l'orée du bois en question, un arkonien en cape rouge et une armure pourrie en dessus autour de lui était des sortes d'acolytes. Tous étaient dans mort, des blessures de hache pouvant correspondre a celle de Nils, mais ces traces partaient ensuite ailleurs, fausse piste donc.
Cependant il remarqua que le mystique mort, n'est guère différent des soldats arkoniens qu'il a tué par dizaines devant Krell...
De plus pour un mystique, il ne portait aucun talisman.
Le guerrier en conclut que c'est un faux mystique, tout comme la suite d'acolytes sans doutes... Un leurre donc, les mystiques utilisent des faux mystiques pour augmenter leur chance de survie car les défenseurs étaient focalisés sur les leurres... c'était bon a savoir. Mais la Griffe continua sa recherche.
Finalement Célégorn trouva deux autres cadavres arkoniens, des faux mystiques encore, un les organes habilement transpercé par une fine lame, un Stylet ou une rapière jugea le tydale; l'autre un carreau dans le crâne. Là des traces bien dissimulées entraient dans le bosquet, c'était la bonne piste.
Célégorn marcha dans la forêt, il remarquât que sur certains arbres étaient gravées de runes, en s'approchant d'une d'elle, il sentit son tatouage se chauffer puis la rune s'irradia et disparut. Une marque de brûlure était tout ce qu'il en restait.
En continuant sur la piste, il découvrit que le groupe s'était séparé, une personne est allé d'un côté, une autre en courant dans l'autre mais en s'étant préalablement roulé dans un tas d'herbe, la troisième personne avait disparût sans laisser de traces...
Il fallait choisir par où aller.
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Aldarin et Anty ...
... venaient de recevoir le message de Kvethan suivant:
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Om'shir kielnos Aldarin et Anty
Il me semble que vous êtes tous deux à Krell. Je suis actuellement dans le camp de campagne arkonien, je vais tenter de mettre assez de chambard pour qu'une partie de l'armée revienne, donc si vous voulez consolider vos positions ou faire une sortie, ce sera le bon moment. Pas de signal, mais vous reconnaitrez le bon moment lorsqu'il viendra, soyez attentifs!
J'espère que Krell regorge de jolie filles et de boissons, il faudra bien ça après!
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Un peu perplexe d'entendre cette voix, en plus avec ce plan et pour couronner le tout en provenance d'un camps arkonien? Kvethan???
Aldarin en tout cas pensait qu'il devait avoir mal compris le message, sinon cela ne donnait pas de sens. Que peux bien faire Kvethan près de Krell?! Pire, que fait-il dans un camps arkonien!
Aldarin contacta sur le champs Anty.
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Anty? toi aussi tu as entendu Kvethan dans ta tête? Si oui, tu crois qu'il est sérieux?!?
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Sur la route,...
...le chamane traduisit les paroles du nelda aux trois arkoniens présent. Ensuite ils le regardèrent comme pour juger sa sincérité. Au but de quelques minutes d'observation mutuelle, le dénommé Akralik parla au chamane, qui se retourna vers Nils.
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- Ils ont acceptent de vous faire confiance, Akralik dit que vous devez contacter deux possédés dans la ville, un tr'paslik mage avec une marque sur le front et un ouchovek avec une armure d'écailles d'argent. Il dit qu'il les connait d'une rencontre près de la mer apparemment. Ils doivent pouvoir tenter une sortie en force par la porte Est pendant que vous Nils accompagniez leurs soldats sur les troupes de Grott du Nord. Il dit qu'il faut tuer Grott, ensuite les autres petits chefs de troupe arrêterons de combattre et se joindrons a vous. Qu'ils les épargnent donc, du moins ceux qui voudrons ensuite suivre Akralik à la maison... | |
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Le Merakih 25 Jayar 1508 à 12h29
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| *** Phyldia, se relevant lentement, profite du bruit de la forêt pour s'approcher discrêtement de son ennemie. Prenant tout son soin pour viser, elle puise dans ce qu'il lui reste de forces pour enfoncer Perce-Coeur jusqu'à la garde dans le dos de la matriarcale, exactement à l'emplacement du coeur, transperçant un poumon au passage. Approchant alors sa bouche de l'oreille de sa victime alors qu'une série de convulsions commencent à agiter ses membres, elle lui murmure quelques mots. ***
La Dame ait pitié de ta folie ma soeur. J'ai tourné la page sur ton souvenir, sur tes châtiments et sur ton autorité.
*** Elle laisse Perce-Coeur enfoncée dans le bustre de la matriarcale jusqu'à ce qu'elle laisse échapper son dernier souffle, puis retire précautionneusement la lame, l'essuie à l'aide d'un tissus blanc, et la rengaine. Elle se crispe un instant, un spasme douloureux traverse son corps. Elle fait quelques pas, prend appui sur un tronc et relève les yeux vers le soleil. Elle parle à voix haute, certainement pour se rassurer. ***
Krell est dans cette direction, je ne dois pas m'en écarter et mes souvenirs ne me rattraperont pas !
*** Emplie d'une nouvelle volonté, laissant une dizaine de cadavres derrière elle, elle commence à se trainer vers la sortie du bois, résolue à ne pas se laisser piéger à nouveau ! *** | |
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Le Merakih 25 Jayar 1508 à 14h00
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| Les méninges du jeune tydale marchaient à plein régime, il fallait se sortir de là sans passer à la casserole.....Oui mais comment?...Il jeta un bref coup d'oeil autour de lui, il y avait des bras de rechange pour catapulte et des espèces de grosses boules en terre cuite avec des mèches.....De l'huile!
Il recula légèrement tandis que le puant approchait, les yeux fermés et la bouche en coeur, et se saisit d'une boule remplie d'huile.Il l'ouvrit et mit un doigt sur les lèvres de l'arkonien qui ouvrit les yeux se demandant ce qui se passait.
Tarouf?Zog-zog!
Zog-zog, sed primo andouiduile!
Lui répondit Kvethan avec un sourire prometteur aux lèvres.
Andouiduile?Kézako?
Le trouvère trempa sa main dans la boule, la ressortit pleine d'huile et commença à tartiner le torse du puant, enlevant au passage une substantielle couche de crasse.
Haaaa....andouiduile!Haha!Hmmmmm....ANDOUIDUILE!
L'idée ne se révéla pas si bonne que ça, les beuglements du puant attirèrent un autre garde grand et hirsute.
Ké passa Mogtul?
Zog-zog.....Il leva l'indexAndouiduile!
Ceci dit il se renversa la jarre sur la tronche et prit la main du musicien pour étaler.Tu parles d'une idée à la con!Il est complètement jeté ce type....
L'autre éclata de rire, attrappa une jarre et fit comme l'autre en beuglant.
Zog-zog andouiduile!Hahahaha
C'est pas vrai!Ils sont tous gais les arkoniens ou quoi?!En tout cas 'faudra que j'me lave la main beuhaLes deux arko,iens se tournèrent vers lui et dire en coeur les yeux pleins d'espoir.
Zog-zog!
Bon il ne lui restait plus maintenant qu'à continuer son plan, un petit sort d'entropie et ce sera la torche arkonienne.Il leva son index pour leur faire signe d'attendre.
Neî tusouite pyro pyro.
Il incanta sur le puant qui bombait déjà le torse s'attendant à une petite douceur et.....C'est ce qu'il eut, l'arkonien eut le droit à un joli sort de soin au lieu d'une flamme.
P'tit truc dit :J'te l'ai déjà dit...héhé...tu ne peux rien contre la destinée
******BAOUM*****
....trop bien d'ailleurs....Le sort provoqua une belle explosion de feu, embrasant les deux andouilles recouverts d'huile, la tente et alluma les mèches des projectiles de la catapulte.Propulsant le tout dans toutes les directions à quelques dizaines de mètre.
Le musicien atterrit à une bonne dizaine de mètres de la tente, enfin de là où elle se trouvait avant, sentant une vive chaleur sur le torse.
Par la dame je prends feu!
Il regarda autour de lui et vit un espèce de bac plein d'eau, il s'y jeta vite fait.
Aaaaaaah, bon alors voyons voir ce que ça donne dans le camp......Oh la vache ça brûle de partout.....Je suis super efficace quand je veux!Alors 'T'ruc toujours aussi sceptique?Comment tu le trouves mon plan?
P'tit truc dit :Un plan....oui biensûr....en tout cas en impro tu te débrouilles....au fait c'est agréable de caresser un arkonien mon chou?
La séduction est un art, laissez cela aux professionnels | |
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Le Merakih 25 Jayar 1508 à 16h47
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Dans le bosquet maudit.
Ce fut au tour de Livie de ressentir d'un coup une vive douleur dans le dos. Elle n'as rien entendu, aucun bruit, rien qui puisse l'avertir d'une quelconque danger. Elle poussa un cris de douleur et elle s'affaissa sur l'arbre. Mais même si elle avait d'un coup mal a respirer, elle a senti que le coup n'est pas passé loin du cœur, mais par chance, il l'a évité.
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- La Dame ait pitié de ta folie ma sœur. J'ai tourné la page de ton souvenir, sur tes enchantements et sur ton autorité. lui dit une jeune voix a l'oreille.
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En se retournant, elle ne voyait pas l'arkonien au sol, juste un mare de sang rouge, tout comme celui qui recouvrait ses mains, et une Phyldia mortellement blessé au flanc et au regard dément dans les yeux.
Quelques mètres derrière Phyldia, une autre silhouette attira l'attention de la cheuvaucheuse, un arkonien en robe rouge s'appuyant sur un bâton richement décoré de cristaux du S'Sarkh taillés. Il regardait visiblement la scène depuis déjà un bon moment et semblait bien s'amuser.
Il pencha son bâton sur son torse et applaudit. Puis il se retourna et disparût entre les arbres...
Une nouvelle illusion? pensa la tydale, mais en levant la tête elle vit que la rune au dessus d'elle était entaillé et semblait avoir perdu sa puissance. Sans doute Livie a due la trancher par mégarde en tombant...
En tout cas elle pouvait sentir que la jeune tydale était toujours sous le charme. Elle s'éloignait, mais une grande quantité de sang se déversait de ses cinq ou six blessures, quoi qu'elle ne semblait pas s'en préoccuper, ni même de tenter de se soigner...
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- Krell est dans cette direction, je ne dois pas m'en écarter et mes souvenirs ne me rattraperont pas !disait -elle.
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Et Livie était là, affaissé dos a un arbre, mais impuissante, la blessure que Phyldia lui a infligé était vraiment pas belle et l'empêchait de se lever.
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Un peu plus loin dans le bosquet, Célégorn venait d'entendre un cris, il s'agissait probablement de la voix de Livie...
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Le Merakih 25 Jayar 1508 à 22h18
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| Celegórn entendit des cris et se dirigea dans cette direction en toute hâte.
Il semblait très bien ce mouvoir dans la forêt comme si c'était son élément et il ne tarda pas à trouver Livie.
Dès qu'il la vit, il fit ce qu'il pu pour qu'elle perde le moins de sang.
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