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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 03h10
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 | *** Sur la route abandonnée. ***
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Les trois arkoniens et le chamane ne discutèrent plus beaucoup depuis que Nils leur a confirmé sur leur honneur de les soutenir dans leur entreprise. Sur ce la quinte de personnages se mit en route vers Krell, les trois chefs se sont séparés et Nils, le chamane suivaient Akralik vers sa troupe.
En faite Nils arriva à la lisière d'une petit bosquet qui donnait vu sur Krell. La vu était surprenante, une masse noirâtre d'arkoniens se mijotait devant les murs en tentant de l'assaillir avec des cordes et échelles.
A ce moment Akralik sortie un cor de braxat et dit quelque chose au chamane, qui traduisit immédiatement a Nils.
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- Akralik va sonner la rébellion de ses forces ainsi que des troupes de Fussik et Kourkhan, plus quelques autres chefs insignifiants. Contacte les possédés de la ville pour vite trouver Grott et le tuer.
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Sur ces mots, l'arkonien souffla de toutes ses forces dans la cor, deux autres cors se joignirent a lui.
Instantanément dans les rangs arkoniens éclata le chaos, trois grands bloques de troupes entrèrent en collision avec le reste de l'armée. A ce moment là un puissant hurlement de colère se fit entendre du milieux de la mêlé.
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- Ah, c'est Grott. Dites donc qu'il est vers le milieux d'un grand régiment des guerriers a l'armure décoré de crocs de sangliers. C'était a attendre, c'est sa troupe originale... parla Khoulkoul sans détourner le regard de la bataille. Ensuite Nils, vous pouvez aller combattre si vous souhaitez, moi j'ai passé l'âge,... mais n'oubliez pas ce que je vous ai dit sur le pont...
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A ce moment, a Krell.
Aldarin avait emmené Persmerga dans l'hôpital, se pieds étaient dans un mauvais état, malgré l'intervention du parangon.
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- Kielno Anty devrait venir d'un instant a l'autre, soit fort soldat, tu retrouvera bien la force pour combattre. Le Preux m'as raconté ce qui s'est passé sur e mur Nord l'autre jour... Sache simplement que tu n'avais rien pu faire, des forces dépassant notre entendement ont agis et Anty et d'autres en furent victimes, tu n'as pas a t'en morfondre. Rééquilibre la balance de cet affront avec un bain de sang dans le vrais sang arkonien. Tu as tué des poussiéreux, mais la seule reproche que tu peux te faire, c'est que tu ne t'es pas encore vengé de la malice et perfidie de ces arkoniens!
... mais où est ce Anty...
Mes obligations m'attendent, je ne peux rester ici jusqu'à ce qu'Anty arrive, le médecin Turin s'occupera de toi d'ici là. Tiens bon Surveilleur! finit par dire Aldarin avec un franc sourire au nelda. En effet, il fallait préparer les cavaliers pour la sortie. C'est sur cette pensée que le parangon et le capitaine laissèrent derrière eux le nelda Parsmerga et accoururent vers les écuries.
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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 11h56
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| Sans mots dire, Phyldia s'était écroulé. La Tydale était vraiment mal en point.
Chase dit : On dirait que tu vas devoir l'aider.
Sur ce, je me lançais périlleusement dans les premiers soins de la jeune Tydale mal en point.
Chase dit :C'est plutôt sommaire, mais on dirait que ça a marché; t'es pas si mauvais finalement. J'ai réussi à localiser Erween; Livie ne devrait pas être loin.
Et pour Glin, le Mou de Phyldia, je n'ai rien pu apprendre... on dirait que soit il ne me fait pas confiance et pense être toujours hypnotisé, soit il est sous le choc...
Je déboulais donc à proximité de plusieurs silhouettes encordées; l'une fluette, l'autre massive.
Etant trop à découvert, la possibilité de rebrousser discrètement chemin était à exclure.
Il ne restait plus qu'à savoir si Livie et Celegorn étaient bel et bien présent, ou si c'était derechef une illusion.
Déposant Phyldia près d'un arbre à proximité, je vérifiais mon arsenal avant de m'approcher des deux Tydales.
Livie, Celegorn! Déclarais-je gaiement. Nous nous croisons enfin; je me sentais un peu seul...
Détaillant chacun de leurs traits pour distinguer à quoi m'en tenir, je pris conscience que ce n'était guère la bonne solution pour déceler le vrai du faux.
Quoi qu'il puisse en être, aux dernières nouvelles, Celegorn s'était enfermé à Krell, avec les troupes de libération...
-Oda Nobunaga- | |
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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 14h51
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| Alors que Livie et Célégorn approchait des deux silhouettes, Célégron prit Livie par la main.
Citation :"Ces marques n'aime pas mes réseaux."
Alors qe Livie n’y avait pas prêté attention plus tôt, elle constata avec surprise l’effet de la glyphe. En quelques instant la rune se calcinat et la peaux autour du symbole de Célégron rougit. Ce phénoméne étrange etait peut-être leur salut. Voilà pourquoi le vieux Shamane voulait que l’Argent vienne ici. Il est insensible à cette magie, mais en plus il semble la repoussé.
Si cela était vraiment fondé, alors ceux qui resteraient aux cotés de Célégorn ne serait plus victimes d’illusions. Une sorte d’imunité. Plus besoins de corde ni même de sentir ses ennemis. Tant mieux car Livie n’avait pas un odora trés dévelopé et celui-ci lui avaut joué un drole de tour quelques minutes avant. Il sera beaucoups plus facile d’affronter les mages avec cette arme secréte à ses côtés.
Une voix familiére fit trésotter la chevauheuse :
Citation :Livie, Celegorn! Nous nous croisons enfin; je me sentais un peu seu
Les deux silhouette étaient maintenant toutes proche. Si la théorie de Livie était vraie, il s’agissait bien d’Oda et Phyldia et non d’une illusion.
Contente de te revoir Oda ! laisse moi m’occuper un peu de Phyldia, aprés tout c’est à cause de moi si elle se trouve dans cet état.
Sur ce Livie invoqua plusieurs sorts de soins.
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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 21h53
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| Eh bien de mon coté, je dirais que les choses ne se sont pas très bien passés. Pour faire court, j’ai été abusé par les mages et j’ai pris Phyldia pour mon ennemie. C’est moi qui l’ai tailladé comme ça. Mais je te rassure, ta nouvelle recrue à du répondant. Elle a faillie me faire trépasser, et mes coups ne l’ont pas empêcher de poursuivre son chemin. T’a intérêt à être gentil avec elle sinon tu vas passer de sale moments à l’avenir!
Livie s’agenouilla prés de Phyldia.
Excuse-moi, c’est pas toi que je visais. Je vais te remettre sur pieds en moins de deux et tu pourra décharger ta haine sur ces maudits arkonniens. Par contre, évite de me prendre pour ton ancienne maîtresse de ruche la prochaine fois. J’en ai encore mal au cœur, si tu voies ce que je veux dire.
Livie sortie son alambic de voyage et son mortier et commença à broyer quelques plantes puis à les distillés. Tout en faisant sa petite tambouille, Livie continua à parler à l’attention d’Oda.
Sinon tout c’est calmé quand Célégorn est arrivé. Je crois qu’il possède un étrange pouvoir capable de brouiller la magie utilisée par les arkonniens. Je ne comprends pas pourquoi ni comment, mais ça semble marché. Restons donc prés de lui. Je vais demander à Eldiran de chercher un peu dans cette voie. Cette glyphe renferme de drôles de secrets.
Livie tendis une potion à Pyhldia et chargea Erween de contacter Eldiran, ce qu’il fit tout de suite. Le chevaucheuse se redressa et s’adressa à tout le groupe.
Par où on continue ? l’arkonniens que nous cherchons est habillé de rouge et possède un bâton avec des cristaux de S'sark.
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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 22h03
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| *** Ayant repris son souffle, Phyldia avale la potion d'une traite et bondit presque immédiatement sur ses jambes. ***
*** Elle s'approche alors de Livie et pose une main sur son épaule. ***
Excuse-moi kielna... Jamais je n'aurai du...
*** Elle ne fini pas sa phrase, se retourne et empoigne son arme. ***
Allons rendre une petite visite à ces arkoniens, Perce-Coeur souhaite faire son office, et personnellement j'aime assez cette idée ! | |
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Le Dhiwara 29 Jayar 1508 à 22h40
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| *** En regardant autour de lui, il remarqua que le deuxième Arkonien avait été mis hors d'état de nuire. Il faut dire qu'ils s'y étaient mis à cinq pour l'abattre. Néanmoins, il était à déplorer un blessé léger supplémentaire dont le bras avait été blessé par la lance Arkonienne.
Fenrir comptabilisa les pertes.
Deux morts et trois blessés dont un critique.
Du fait de l'hécatombe de la première passe, il avait crains plus, mais l'apparition du tireur embusqué avait déstabilisé l'ennemi et leur avait permis de s'en tirer finalement sans trop de dommages.
Fenrir se tourna alors vers le tireur, et il lui sembla le reconnaître.
Se retourna vers le Nelda au pelage brun qui l'avait aidé à vaincre le chef Arkonien. ***
« Grégor, va voir les autres et prépares le rapatriement des blessés et du corps de notre amis...
Je vais aller voir ce tireur de plus près. »
Bien!
*** Le Nelda partit alors en direction des autres Chevaucheurs puis commença à brailler des ordres. Fenrir quant à lui se dirigea vers ce qu'il lui semblait être un Nelda menaçant l'Arkonien avec son arme. S'approchant plus, il fini par reconnaître Tilith, l'Apprenti de Nils. ***
« Jïrhe Tilith, content de vous voir!
Vous avez vraiment débloqué la situation avec votre flèche...
Néanmoins, que faites vous ici? Et puis, qu'êtes vous en train de faire à cet Arkonien? »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Luang 30 Jayar 1508 à 08h24
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| L'arkonien regardait Tilith droit dans les yeux. Le nelda sentait sa haine pour cette espéces monter en lui.
junior dit : Arrête ça il ne comprend pas ce que tu dis, calme toi.
Cela n'avait pas grande importance qu'il comprenne ou pas, il n'avait que faire des réponse que pouvait lui faire l'arkonien. Tilith ressentait une terrible envie de le faire souffrir, comme lui avait souffert à cause de son espèces. Il était à sa merci, il souhaite que sa mort soi lente et douloureuse, comme celle de ses parents avaient dut être .
junior dit :Relâche ton arc, il ne te comprend pas je t'en supplie ne fait pas ça, tu vaux mieux.
Tilith était tellement concentré sur sa haine qu'il n'avait pas entendu Fenrir se rapprocher de lui. Ces paroles le ramena à la réalité. Il releva la tête surpris de voir le nelda à côté de lui.
L'apprentie chevaucheur relâcha doucement son arc, mais maintenant toujours le poignet de l'arkonien il lui saisi son épée qu'il balança plus loin.
Je suis navré Fenrir, je me suis laisser emporter par la colère et la vengeance. J'ai une haine tenace vis à vis de son espèces. Tout en prononçant ses paroles il n'osait regarder Fenrir dans les yeux, il avait honte de s'être laisser ainsi.
Il se tourna vers l'arkonien qui était toujours à terre Tu peux partir il fit un geste de la main pour lui signifie qu'il avait à la vie sauve, mais l'arkonien resta allongé regardant tour à tour les 2 neldas. Il n'avait aucune confiance en eux
Je voulais rattraper Nêrhe Nils mais visiblement je me suis perdu en chemin et je suis tombé sur votre groupe, comme vous sembliez avoir besoins d'aide. Je suis intervenu.
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Le Luang 30 Jayar 1508 à 10h35
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| Lorsqu'il reçu la réponse de Livie, Eldiran fut étonné tant son l'interlocuteur que par le message lui même. Pourquoi donc un inconnu le contactait-il sur un sujet aussi sensible? Il se dit que Livie devait avoir ses raisons.
Pour ce qui était du message, Eldiran était encore plus étonné. C'était la première fois qu'il entendait parler d'un cas pareil. Il se dit qu'il fallait enquêter.
Riem, dites à Livie de lancer un sort au contact de la glyphe. De préférence un sort persistant et utilisant peu d'énergie. Vous me ferez parvenir immédiatement les informations sur ce cas.
Sinon, dites à Livie que je ne sais rien, pour l'instant, sur cette glyphe.
Mais surtout faites l'expérience. Peut être que ma théorie s'avèrera juste.
Au revoir.
Eldiran retourna farfouiller dans les livres de la bibliothèque.
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Le Luang 30 Jayar 1508 à 14h37
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| *** Dans le bosquet maudit. ***
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Le groupe composé de Livie, Phyldia, Oda et Célégorn se remettait doucement de leur chocs et blessures, qui étaient tout sauf illusoires, quand un léger tremblement de terre secoua la forêt, suivi immédiatement d'un hurlement de terreur, probablement nelda.
Quelques secondes plus tard, le cri se tût brutalement...
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Près de Krell, Nils et le chamane.
Khoulkoul se retourna vers le nelda, il n'y avait aucun mauvais rictus, juste un air un peu blasé, propre aux personnes d'une âges respectable.
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- Aujourd'hui la bonne fortune vous suis. Par deux fois vous avez marché a côté d'une vipère sans qu'elle ne vous attaque. C'est un bon présage. Par contre tout comme le serpent tue facilement un oiseau, il en digère très mal les plumes...
Sur le pont je te disais donc, évite les plumes... | |
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Le Luang 30 Jayar 1508 à 22h34
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| *** C'est un nelda particulièrement sale qui se fraya enfin un chemin jusqu'à l'infirmerie, un barde équilibrien bailloné sur l'épaule. En effet non content d'avoir précipité le Preux au beau milieu d'une flaque de boue lors de la réception improvisée de Kvethan, ce dernier n'avait rien trouvé de mieux que de reprendre son souffle pour entoner une comptine quelconque à la gloire de l'alcool et des sangliers amateurs dudit breuvage...
...ç'en fut trop pour Anty, qui ne trouva pas de meilleure solution sur le moment que de bailloner le très indiscret barde avant de se tailler un chemin à travers l'armée arkonienne occupée à se reformer tant bien que mal. Il est des situations plus faciles pour combattre que de devoir se trimbaler un vermisseau gigotant sur l'épaule gauche tout en parant de la droite, le tout collé de près par un énorme plantigrade herbivore et alcoolique, mais les deux compèrent parvirent à la sécurité relative des murs de la ville sans trop de mal... la plupart des arkoniens durent avoir du mal à en croire leurs yeux, soit dit en passant.
Déposant son fardeau ainsi libéré de ses liens, le Preux se pencha sur Persmerga. A quelques mêtres de là une scène dramatique se jouait entre Râleur, lui même grand amateur devant l'éternel de tout produit liquide à base de fruits fermentés, et l'imposant chef de harde, nouvellement introduit aux joies d'une bonne cuite par l'inadvertance - mais fut-ce réellement un accident - de Kvethan. Le chétif mou couvrait à présent d'injure le sanglier qui défonçait les barils de bière abandonnés les uns après les autres pour apaiser sa soif, au grand déplaisir du symbiote d'Anty qui avait bien cru pouvoir se les garder au frais jusqu'à ce que les choses se fussent tassées...
Le nelda se fit la réflexion que ces deux-là étaient bien partis pour devenir les meilleurs amis du monde... ***
Se penchant sur Persmerga :
C'est pire que ce que je pensais... pas irréparable, la Déesse soit louée. Mais cela prendra du temps, et je vais devoir agir dans l'urgence. Serre les dents, kielno, tu en aura besoin...
*** Le Preux eut le réflexe de tâtonner à la recherche d'un cruchon d'hydromel fort pour alléger les souffrances à venir de son subordonné, cependant le duo de créatures dégénérées n'avait pas laissé grand chose dans son sillage... ne restait plus qu'à tenir pendant que la magie ferait son oeuvre... ***
Aldarin, je suis au chevet de Persmerga... la bataille attendra. Bon courage.
*** Puis à nouveau vers le Surveilleur. ***
Tu ne t'es pas fait cette blessure au front, mais des jambes brisées ne sont pas la marque d'un lâche non plus. Il faudra que tu me raconte ce qu'il s'est passé... | |
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Le Matal 1 Julantir 1508 à 11h30
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| Le trouvère, une fois libèré, recommença à chanter de plus belle, buvant au passage quelques rasades dans les fûts éclater par Picolo, poussant même le vice jusqu'à faire boire le fameux râleur qui se tut d'un coup.
Une fois rassasier il s'approcha du surveilleur et du preux une scie à la main déclarant d'un ton sérieux à Persmerga.
C'est bon kielno Anty je suis prêt à amputer!
Un hoquet de frayeur saisit le malade tandis que le preux posait sur le tydale un regard à la fois énervé et blasé.
Rooo ça va, si on ne peut plus déconner....
Il se saisit d'une des outres qui pendouillait à sa ceinture, qu'il venait de remplir dans les barrils et la lança à Anty.
Ça c'est pour l'anesthésie, vu l'état de ses guiboles il en aura besoin!
Bon c'est pas l'tout mais il va falloir que je ressorte moi!
Aux deux visageS étonnés, Kvethan répondit par un large sourire.
Et oui, la douce Livie est toujours dans le fameux bosquet magique!Je ne voudrai pas qu'il lui arrive quelque chose, et puis je suis curieux de savoir quel effet provoque ce fameux bosquet.
La séduction est un art, laissez cela aux professionnels | |
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Le Matal 1 Julantir 1508 à 14h24
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| *** Répondant à Tilith. ***
« Je ne connais pas votre histoire personnelle, mais vu comment vous les haïssez, j'en déduit que les Arkoniens y sont pour quelques chose dans les horreurs que vous avez vécu.
Cependant, croyez vous réellement que vous pourrez jamais apaiser ce sentiment dans le sang du peuple de ceux qui vous firent du mal?
N'oubliez jamais que les fautes d'un individu ou d'un groupe d'individus ne sont pas les fautes de tout un peuple. Sans oublier que si vous les tuez par vengeance, leurs amis et leurs familles voudront également les venger et au final, cela ne sera qu'un éternel cercle de vengeance...
Pensez-vous que cela puisse réellement satisfaire ceux que vous semblez vouloir venger?
Néanmoins... Qui suis-je pour juger? Après tout je n'ai probablement pas vécu ce que vous avez vous même vécu... »
*** Puis observant l'Arkonien couché au sol avec une jambe blessé. ***
« On dirait que celui-ci ne pourra plus rien tenter durant un bon moment vu l'état de sa jambe. »
*** Après quelques instant de réflexion et constatant que l'Arkonien n'avait plus d'intentions hostilles, Fenrir se pencha sur lui. ***
« Kielno, aidez moi, je vais nettoyer sa plaie. Vous n'aurez qu'à le maintenir tranquille.
Vous en profiterez pour me raconter les nouvelles que vous possédez peut-être. »
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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