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Le Merakih 2 Julantir 1508 à 22h50
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| Tilith écouta les paroles de Fenrir sans dire un mot. Il se pencha pour maintenir L'arkonien.
Je sais que vous avez raisons, cela ne me ramènera pas mes proches, ni ne calmera ma haine . Je sais aussi que vous ne me jugez pas Kielnos Fenrir. Dans le feu de la bataille certains sentiments sont plus difficile à contrôler.
Le nelda déchira un morceaux de sa chemise et le tendit au chevaucheur.
Tenez pour arrêter le saignements.
Vous êtes un grand chevaucheur Fenrir et un Nelda beaucoup plus sage que moi. Je vous l'ais dit quand j'ai souhaité intégrer l'ordre des chevaucheurs. Je n'ais pas encore trouver mon équilibre comme vous. Mais je suis heureux d'être à vos côtés pour progresser.
Il regarda autour de lui, prenant conscience que le reste des arkoniens avait été abattus.
Malheureusement je ne dispose pas d'informations. Je pense que vous avez reçu la mise en garde du Shaman à propos du bosquet et de la magie de leur mystiques.Nils à suivit le Shaman je pense pour arrêter l'attaque de Krell. Je n'ais plus de nouvelle de Livie ni de son groupe et cela m'inquiète car je ne sais pas si elle à reçu mon message.
junior dit :je n'arrive pas à joindre son mou je pense que la magie des mystiques bloque les échanges télépathiques et je n'aime pas ça. | |
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Le Julung 3 Julantir 1508 à 06h54
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| *** Dans le bosquet maudit. ***
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En suivant les traces laissées par le mystique au bâton, notre groupe d'infiltration pénétra dans une sorte de petite clairière.
A priori ce serait un clairière comme une autre, excepté si il n'y aurait pas des dizaines voir de centaines de runes gravés sur les écorces des arbres tout aux alentours... De même, au milieux de cette clairière se tenait six mystiques arkoniens autour d'un arbre, cette fois ci pas de doutes, il devait bien s'agir de véritables mystiques, car de nombreuses auras de protection les entouraient, faisant onduler l'aire autour d'eux.
Le plus grand des mystiques se retourna vers les poussiéreux, un sourire de victoire sur les lèvres.
***
- Vous venez trop tard! Le seigneur Sior'kak nous a déjà entendu et accepte nos offrandes, donc je vous remercie, sans votre contribution nous aurions bien plus de mal a trouver les... ingrédients...
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Et en effet, derrière lui l'arbre s'anima et dans un dernier important tremblement sortie ses racines de la terre. Une bouche remplie de crocs s'ouvrit, deux globes d'un rouge flamboyant posèrent leur regard ardent sur un troisième prisonnier que les poussiéreux venaient de remarquer, un petit tchaë qui faisait partie des chevaucheurs de Livie. Ce dernier se réveilla a ce moment là. Une main griffue se saisit de lui, des épines lui transperçaient la chaire et le petit bonhomme poussa un effroyable cri de douleur et de peur, hélas pour lui, pas pour longtemps car la mâchoire de l'arbre coupa net le fil de la vie du malheureux.
C'est a ce moment là que l'arbre pervertie par les effluves, enchainée a la volonté des mystiques et abreuvé de sang des poussiéreux, se réveilla pleinement.
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- Vous aller gouter a la force de notre maître! s'écria le grand mystique lorsque l'Arbre commença a marcher vers les élus...
De plus comme si cela ne suffisait pas, chaque mystique se dédoubla en six images identiques, mais eux, se tenaient en retrait... | |
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Le Julung 3 Julantir 1508 à 08h12
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| *** Pendant ce temps sur le champs de bataille devant Krell. ***
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Aux tentatives de dissimulation de Nils, une main lui tapota l'épaule.
Ce fut l'arkonien Akralik:
Pas très beau de loin, encore moins de près, cependant une aura de commandement émanait de lui que même Nils pouvait ressentir.
Il indiqua au chevaucheur de le suivre dans la charge, sans trop de subtilité, mais au moins cela avait le mérite de mieux convenir a la stature du nelda que l'approche "furtive" en armure de plate complète...
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De l'autre bout de Krell, Aldarin sellait Fekett. A ses côtés une maigre vingtaine de cavaliers. Il venait d'entendre les cors de guerre arkoniens marquant le début de la révolte dans l'armée ennemi. Aldarin monta enfin Fekett et regarda autour de lui, ce qui le surprit c'est qu'il est le seul symbiosé parmi les cavaliers. D'un autre côté, l'équitation n'est pas une aptitude trop couramment pratiquée par les poussiéreux. Aldarin se demandait toujours pour quoi, mais nul réponse ne lui venait à l'esprit...
Par conséquent il laissa cette méditation pour un autre jour et en levant le poing et en indiquant la direction, sa colonne de cavaliers se partirent en trot vers la porte Est.
Les fantassins, dont quelques de ses amis symbiosés et d'autres non devaient l'attendre pour la sortie. Pour confirmer, il contacta les symbiosés sur les murs (Leriv, Laekh, Arvalec, Biad et Nimuë) quelle position voulaient-ils prendre. Sur les murs, parmi les cavaliers ou chez les fantassins. En cas de non réponse ou bien de mauvaise organisation, Aldarin savait déjà comment répartir les élus, mais il préférait leur donner un peu de libre arbitre pour voir leur esprit tactique et leur courage.
Enfin il contacta Anty pour avoir plus de précisions sur l'état de Persmerga. La sortie était imminente...
Le reste du chemin il pria la Dame pour donner force a ses soldats, déjà bien épuisés par les combats interminables... Aldarin sentait qu'une fin était proche, de qui ou de quoi? il l'ignorait...
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Le Julung 3 Julantir 1508 à 11h22
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| Votre maitre... est un arbre?Déclarais-je sur un ton moqueur, avant de partir dans un rire franc.
Mais au fond, les choses étaient bien moins gaies, et la chose n'avait rien d'un vulgaire arbre; preuve en était le tronc du Tchaë qui gisait encore sur le sol, dans une marre de sang.
Chase dit :Vous avez le choix: trente-six Mystiques, ou l'arbre...
Parce que tu crois vraiment qu'on a le choix? Si on attaque les Mystique, et en supposant que tous soient tangibles, on va se faire tuer d'entrée de jeu.
Là on dirait qu'ils veulent nous voir nous débrouiller face à leur seigneur...
Mais bon, si nous le battons, ils vont prendre le relais.
Chase dit :Ou alors ils vont prendre peur, qui sait?
Ouais, on pourrait même voir débarquer La Déesse pour nous filer un coup de main aussi.
Mieux vaut ne pas compter sur des facteurs aussi hypothétiques.
On dirait bien qu'on s'est fait avoir sur ce coup-là. Déclarais-je, avant de poursuivre à l'attention de Livie, N'aurais-tu pas un sort magique dans ta besace qui pourrait nous aider?
Sachant pertinemment que non, je me préparais à ce qui s'avérait inévitable.
-Oda Nobunaga- | |
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Le Vayang 4 Julantir 1508 à 00h07
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| *** Répondant à Tilith. ***
« Et bien j'espère que vous arriverez à trouver l'équilibre que vous recherchez. Mais je pense que vous venez de faire un pas dans la bonne direction. »
*** Fenrir avait terminé de retirer la flèches de la jambe de l'Arkonien, puis il l'avait désinfecté ainsi que pansé la plaie.
Alors qu'il terminait de nouer la bande autour de la jambe, Grégor revint à ses côtés, avant de tiquer à la vue du Chevaucheur soignant l'Arkonien. ***
« Kielno...
Vous êtes sûr de vouloir faire ce que vous êtes en train de faire?
Après tout il fait parti de ceux qui tué deux des notres... »
*** Sans le regarder et en terminant de nouer le bandage. ***
Et nous nous faisons partie de ceux qui ont tuer quatre des siens.
La "vérité" dépend de celui-ci qui la ressent, mais la "réalité", comme souvent, se trouve plutôt au croisement la de "vérité" de chacun des protagonistes.
Quoiqu'il en soit, il n'est plus dangereux pour le moment.
*** Sur ces paroles, Fenrir montra d'un signe de la tête les armes et armures de l'Arkonien retiré de celui-ci par les soins conjugués de Tilith et lui même.
Puis ayant enfin terminé le bandage, Fenrir se releva. ***
« Quoiqu'il en soit, qu'étiez vous venu me dire? »
« Et bien, nous avons terminé de préparer les blessés ainsi que les morts pour les transporter. »
« Ok.
Vous allez retourner au pont pour mieux les prendre en charge.
Avec cet incendie qui ravage la plaine, vous ne devriez plus guère rencontrer de problème maintenant.
De mon côté, je vais continuer vers le bosquet où nous attend l'autre groupe. »
« Cela me semble en effet un bon compromis.
Bonne chance à vous kielno Fenrir. »
*** Puis le Nelda au pelage brun s'en retourna auprès des autres Chevaucheurs qui commencèrent alors à se mettre en route vers le pont.
Se tournant ensuite vers Tilith. ***
« Je suppose que vous m'accompagnez jïrhe. »
*** Fenrir commença alors à se diriger vers le bosquet, laissant derrière lui un Arkonien surpris, tout en pensant que peut-être, ce minuscule acte de bonté pourrait avoir des répercutions bien plus grandes sur l'ensemble de Syfaria. ***
*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. *** | |
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Le Vayang 4 Julantir 1508 à 19h18
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| *** Dans un reflexe, Livie se jetta au sol et roula en boule un peu plus loin. Le projectile magique était passée à quelques centimétres d’elle, heureusement sans autres dégats que quelques cheveux roussi. Le projectile avait fini sa course dans un arbre centenaire. Sous le choc, il s’était fendu en deux et s’était embrasé tel un fétu de paille.QUelques instants pus tard, il s'effondra en continuant à se consummer ***
La force n’est pas de notre coté.... utilisons donc la ruse...
A voie basse Livie s’adressa à Oda :
Tient toi prêt, je vais le perturber. Ce sera alors à toi de jouer.
*** Elle lanca rapidement un sort visant à augmenter les dégâts que l’arbalète infligerait dans quelques secondes. ***
*** Alors, Livie éclata d’un rire forcé. ***
Ahahaha, c’est tout ce dont tu es capable ? t’es vraiment minable !
*** Les 6 mages la regardaient incrédule, sans comprendre ce qui se passait dans la tête de la chevaucheuse. Elle se redressa et avança, contournant l’arbre vivant que Célégorn tentait de maîtriser et et se placa juste entre le monstre et le mage principal. ***
Célégorn ! Reste pas là, ça va chauffer !
Puis à l’attention du mage :
Tiens attrape donc ça !!!!
*** Et Livie invoqua un autre projectile magique, espérant que la réponse du mage serait identique à la première fois et qu’elle aurait de nouveau le temps d’esquiver.... ***
Erween dit :Que la dame soit avec toi Livie....
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 06h56
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| S'adressant à Fenrir
Je vous suit Nêrhe Fenrir
Tilith eu un dernier regard pour l'arkonien puis rejoignit Fenrir.
junior dit :je suis fier de toi
Ils se mirent en route au pas de course en direction du bosquet. Tout en courant Tilith tenta à nouveau de prendre contact avec Livie, sans succès.
Nous n'avons aucune nouvelle de Livie et de son groupe. J'espère que ma mise en garde leur est parvenu.
Les deux chevaucheurs ne mirent que quelque heures à atteindre la bosquet.
je ne suis pas un spécialiste de la magie mais il émane de ce bosquet de drôle de vibration. S'adressant à Fenrir Vous avez des connaissances en magie ? Le shaman m'a expliquer qu'il se servait de nos sentiments. Livie devait être en mesure de comprendre cette magie. Enfin c'est ce qu'il prétendait.
Tilith posa sa main sur le premier arbre à l'entrée du bosquet. Il était tordu et semblait complètement déformer.
On a l'impression que les arbres sont torturé, il me donne l'impression de souffir
Il se trouna vers Fenrir
Vous en pensez quoi Nêrhe Fenrir ? | |
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 21h38
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Dans le bosquet maudit.
Le petit groupe de têtes brûlés venait d'engager le combat, quatre symbiosés contre six vrais mystiques et un arbre géant animée et maudit...
Même Célégorn de ses pratiquement deux mètres de haut se faisait aisément dominer par l'imposant arbre d'au moins cinq fois sa taille. En tentant de passer a côté pour s'attaquer aux mystiques, Livie et Phyldia durent essuyer un fouettage intensif des longues branches et racines de l'arbre. Heureusement pour elles, les branches-mains aux grandes griffes et autres protubérances épineuses s'occupaient principalement du guerrier tydale.
Le grand mystique regardait Livie se moquer de lui et releva sa main pour lui faire subir le sort qu'elle avait évité quelques secondes plus tôt. Mais au dernier moment, une jeune tydale s'approcha du groupe de mystiques avec sa rapière. Elle piqua dans la direction du grand mystique avec vitesse et lui infligeât une estafilade sur l'avant bras. Cela ne lui fit a peine plus mal que le carreau d'Oda qui lui avait raflé la cuisse...
Puis la tydale commença a danser autour des autres mystiques.
Le grand mystique recula, il évita ainsi le projectile magique de Livie, puis attrapa son bâton a deux mains en le pointant vers la jeune tydale. Une puissante bourrasque de vent et de poussière percuta Phyldia. Au même instant, un autre mystique profita de la déstabilisation de la tydale pour lui envoyer son bâton a une vitesse incroyable dans le front, l'envoyant au sol.
Pendant ce temps, trois des mystiques se positionnèrent en triangle et incantèrent ensemble ce qui sembla être un dragon fait de flammes qui se jeta furieusement sur Livie.
Même en se jetant sur le côté pour éviter les langues de flamme, celles-ci se tournèrent aussi au dernier moment pour happer la chevaucheuse dans une tourbillon ardent... La peau de Livie boursouflait sous la chaleur, ses vêtements se consumaient rapidement, alimentée par la graisse sous la peau, puis la chaire commença a tomber des os, la douleur était insupportable et Livie sentait que sa vision se réduit a un simple tunnel et la noirceur tout autours...
Puis... tout disparût. Les os était de nouveau recouverts de chaire, les vêtements ne semblait pas brûlé et la peau de Livie était de nouveau lisse, il ne restait que le souffle coupé et les muscles contractés sous la douleur, qui petit a petit quittait le corps. Encore de la chimère...
Dix mètres plus loin, le grand tydale luttait contre le géant végétal.
Il tranchait, coupait, sectionnait, cisaillait et fendait les innombrables branches qui le harcelaient, mais c'était comme raser un buisson qui repousse instantanément. Les compagnons du tydale se sont éloigné, Célégorn ne les voyait plus, trop occupé par l'arbre.
C'est alors qu'une racine s'enroula vilement autour de la cheville du guerrier. Sans comprendre quoi, ni comment, Célégorn se retrouva soulevé a près de cinq-six mètre au dessus de la terre la tête en bas.
Puis la racine lâcha prise...
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Le Sukra 5 Julantir 1508 à 22h11
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| Laekh était toujours en train de tenir la brèche le mieux possible face aux assauts ennemis. Il était gratifié, en plus d'écorchures en grand nombre, de deux grosses taillades, une à la jambe droite et une au flanc gauche, mais semblait continuer le combat sans apparemment s'en soucier.
Le tydale n'était plus lui même. Bien qu'il fut conscient de la nature de ses ennemis ou amis, il paraissait effectuer une danse de guerre à l'aide de ses deux hachoirs arkoniens. Il ne regardait pas ses ennemis dans les yeux, restant la tête braquée vers le tronc de ses proies afin d'en percer tous les mouvements. Il n'exprimait plus aucun son, aucun cri de douleur lorsqu'il était touché. La seule trace de sa présence était la pile de cadavres qui s'étendait derrière lui et le sifflement de ses primitives armes.
Lorsqu'il ressentit le message télépathique de son supérieur, la réalité consciente lui revint brusquement, et douloureusement. Il se rendit compte qu'il était en mauvais état, et ses jambes se dérobèrent sous lui par l'effet de la douleur. Un arkonien choisit ce moment pour tenter de mettre un terme à l'orgie destructrice de cet étrange danseur inondé de sang arkonien. Optant pour une attaque frontale, il pris son hachoir à l'envers afin de l'enfoncer dans le thorax du Hérault, qui se demandait toujours ce qu'il se passait.
Cependant, bien que la situation soit confuse et trouble, Laekh commençait à être bien rodé, et, grimaçant de douleur, roula sur le côté, rompant l'élan de son adversaire. Il accompagna le mouvement par un croc-en-jambes et mit l'arkonien au sol. Les deux combattants étaient à terre, dans un mélange de boue, de sang et de viscères.
Ce fut rapide. Laekh fut le plus rapide, et trancha la gorge de l'infortuné arkonien. Le tydale n'était pas pour autant au bout de ses peines, et sentit son heure arriver en voyant un gros hachoir se rapprocher de sa tête à toute vitesse.
Une gerbe de sang. Un cri. Un corps s'effondre par terre et reste, mort, le thorax ouvert et sanguinolent.
Auriez-vous besoin d'aide, par hasard?
C'était Karin, la jolie tydale aventurière. Elle avait subitement surgi et avait défait le futur assassin de Laekh. La jeune femme l'aida à se relever.
Merci Karin, sans ton aide je serai probablement bon pour le pilier de poussière.
Vous me tutoyez maintenant?
Tu m'as sauvé la vie, et nous sommes camarades de guerre. Tutoyons-nous.
La tydale émit son rire cristallin.
Bien, éloignons-nous d'abord, il me faut soigner ces blessures, sinon vous allez...tu vas perdre ton sang et mourir.
Les deux tydales s'écartèrent un peu du conflit, et se placèrent derrière un gros rocher. Laekh attrapa quelques carreaux standard disséminés aux environs afin de continuer à se battre, à distance.
Karin, quant à elle, plaça ses mains jointes au dessus de la jambe blessée du Hérault et marmonna quelques syllabes. Aussitôt, ses mains commencèrent à briller d'une lueur bleutée. Au dessous d'elles, la blessure se referma rapidement. Elle réitéra l'opération sur le flanc de Laekh.
Tu n'es pas mauvaise en soins, dis-moi...
Merci. C'est un domaine très important pour moi, presque plus que l'habileté au combat. Il faut savoir guérir ses blessures pour continuer le combat.
à ce moment, Les deux tydales entendirent le deuxième appel de leur Nêrhe.
Kielnos, je n'ai pas eu de vos réponses, que cela signifie? N'y a-t-il aucun volontaire pour faire la percée? Si oui, dépêchez vous de rejoindre la porte Est, nous ne vous attendrons pas longtemps...
Laekh répondit en premier.
Ah, Nêrhe Aldarin, content de vous entendre. Navré de n'avoir pas réagi plus tôt, mais j'étais en train d'essayer de rester en vie. Je suis déjà au mur est, et vais accompagner les fantassins au combat pour la percée.
Karin commença elle aussi à répondre.
Je viens aussi au combat!
Pas au combat, Karin. On a besoin de guérisseurs. Restes en retrait, nous aurons besoin de toi pour soigner les blessés qui viendront.
Hum...je vous accompagnerai, mais de plus loin alors...
Bien, comme tu veux.
Les deux compagnons d'armes se relevèrent et vinrent se placer à leur emplacement en attendant l'ordre d'attaquer.
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Le Dhiwara 6 Julantir 1508 à 13h22
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| Celegórn tomba alors du haut de ces 5 mètres, cependant, à l'approche du sol il se rattrapa avec son bras gauche et en une pirouette il se retrouvais debout.
L'agilité du Tydale était très impressionnante et ses mouvements témoignaient de longues heures d'entrainement acharné.
Le guerrier s'élança de nouveau contre l'arbre, lui grimpant dessus tout en le tailladant avec autant d'aisance qu'un être qui aurait passé sa vie dans la forêt et les arbres.
Les branches tombait pendant que le golem faisait son possible pour éviter tout coup de l'arbre qui lui serait destiné.
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