Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Oda Nobunaga

Le Dhiwara 6 Julantir 1508 à 14h09

 
Les choses allaient très mal...

Celegorn avait manqué s'écraser, et ses coups ne semblaient pas gêner son ennemi boisé outre mesure.

Contre les mystiques, le combat au corps-à-corps ne semblait guère fructueux; au contraire ils semblaient prendre un malin plaisir à éviter les cous et à harceler les deux Tydales.

Jusqu'au moment où Livie se mit à ne plus bouger, semblant être en état de choc.


Chase dit :
On dirait qu'ils ont utilisés leurs pouvoir d'illusion.


C'est mauvais tout ça...

Initialement au nombre de trente-six, le nombre de mystique avait diminué drastiquement; la faute à une Livie qui avait ingénieusement proposé de lapider les images pour les faire disparaitre.

Certains mystique ne possédaient quasiment plus de clones à leur côté; mon attention se focalisa sur le plus esseulé du groupe: seul un autre mystique se tenait près de lui.


Chase dit :
Tu vas tenter le coup?


Si j'ai bien compris le truc, j'ai une chance sur deux d'atteindre le bon; comme j'ai toujours eu pas mal de chance, ça me dit bien de tenter le coup.
D'autant plus que les bougres ne semblent plus s'être focalisé sur moi...


Chase dit :
En même temps, comme tu ne fais rien depuis le début...


Cet affront va leur être fatal, héhé. Armant mon arbalète dans un mouvement rapide et fluide, je mis en joue... celui de droite, qui se trouvait imperceptiblement en retrait.

Une chance sur deux... ne me déçois pas, murmurais-je en pressant la détente.

-Oda Nobunaga-

 
Fenrir

Le Dhiwara 6 Julantir 1508 à 14h53

 
*** Dorénavant arrivé au abord du bosquet où se cachaient les Mystiques, Tilith et Fenrir observaient celle-ci pour constater à quel point l'Equilibre y avait été rompu.

Répondant à l'Apprenti Chevaucheur. ***


« Je ne suis malheureusement guère versé dans l'art de la sorcellerie... Livie s'y sens bien plus à l'aise que moi même.
Cependant, son absence de réponse ne présage rien de bon. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé...
»


*** Fenrir commença à pénétrer dans le bosquet. ***


« Bon, c'est pas tout ça, mais essayons de retrouver les autres.
Pour ce qui est de la magie des mystiques, et si ce que vous m'en avez dit est vrai, alors je vous conseil de faire fi de vos sentiments durant notre séjour en ce lieu. Pour cela, vous devez rationaliser au maximum ceux-ci afin que les mystiques ne puissent les exploiter contre nous.
»



*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Livie

Le Dhiwara 6 Julantir 1508 à 21h19

 
*** Livie se remit péniblement de son expérience de crémation vivante. La douleur physique avait été si réelle, qu’elle laissa la jeune tydale dans un état de choc psychologique. Décidément ses mages étaient vraiment puissants.

Après quelques instant resté tétanisé, le regard hagard, la chevaucheuse repris peu à peu ses esprits. ***


Hum... rusé en plus. Ils m’ont vu venir et les choses n’ont pas tourné comme je l’espérais. Par la déesse, il faut les déstabiliser, mais comment ?

Erween dit :
Nils est peut-être encore avec le vieux shaman. Il saura peut-être lui
.

T’as raison.

*** Livie se concentra est envoya un message de détresse à Nils. Elle le conviait à demander des conseils auprès de Koukoul ***
.

Bon en attendant la réponse, ou qu’une idée géniale me vienne (on ne sait jamais) on va quand même essayer de réchauffer un peu l’ambiance. Puisque ces mages sont trop forts pour moi, je vais voir un peu du coté de cet arbre.
Je me rappel quand papa allait faire des coupes de bois.... dommage qu’il n’est pas là ! il aurait réduit cet arbre en planche en deux coups de scie.
Moi, j’ai jamais été douée avec une hache dans les mains, mais par contre, pour ce qui est d’allumer les feux de camps pour préparer les saucisses pendant que les hommes travaillaient....

Eh, la buche géante, tu vas voir un peu de quel bois je me chauffe moi...

*** Livie invoqua une nouvelle décharge de mana qui partie en direction de l’arbre. Ce que Livie espérait c’est qu’il prenne feu.... ***


Tiens tu vas voir si c'est une illusion c’elle là !


 
Nils

Le Dhiwara 6 Julantir 1508 à 23h01

 
Nils avait reçu le message de Livie, mais il n'était plus avec le Shaman, il gambadait, façon de parler derrière un Arkhonien aussi impressionnant que lui.

Il répondit donc à Livie qu'il ne pouvait rien pour elle pour l'instant. Mais qu'il ferait son possible pour en savoir plus.

Le groupe se rapprochait de Grott, et le plus gros restait à venir


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Fenrir

Le Luang 7 Julantir 1508 à 08h37

 
*** Tilith et Fenrir avançaient donc, aussi silencieusement que leurs talents le leur permettaient, vers le centre du bosquet.

Nul être vivant ne se faisait entendre ou sentir, comme si seul les arbres étaient resté en ce lieu. Fenrir ressentait lui aussi le besoins de quitter ce lieu qui le mettait mal à l'aise. Ressenti exacerbé par l'apparence torturée des arbres qui les entouraient.

En y regardant de plus près, Fenrir se rendit compte que l'état du bosquet se dégradait au fur et à mesure qu'ils avançaient vers son centre.

Les deux symbiosés continuaient donc à avancer vers ce qui semblait être l'origine du mal de ce bosquet. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 7 Julantir 1508 à 17h41

 
***
Dans le bosquet.

Le groupe de Kvethan et le groupe de Fernir progressaient dans les bois imprégné de corruption. Par endroit, ils s'aperçurent des runes gravés sur les tronc des arbres, mais elles semblait éteintes. Comme si la puissance qui les habitaient se serait brutalement vidé quelques instants plus tôt.

Ce que les groupes ne savaient pas, c'est que ces runes venaient de servir a éveiller un vieux mal qu'ils devraient affronter... très bientôt.

En progressant, les groupes tombaient sur des cadavres de poussiéreux, tous présentaient des signes de mort violente qu'on leur a infligé dans le dos, et, parfois, les blessures étaient auto-infligées...
Les personnes à l'ouïe fin ont d'un coups entendu des bruit de bataille. des explosions, des cris... une odeur de fumée, non LA fumée se faufilait entre les arbres rendant l'atmosphère lugubre du bois encore plus oppressante, plus opaque.

Puis enfin, une clairière s'ouvrit droit devant eux. Les deux groupes venait de rentrer pratiquement au même moment pour voir une "drôle" de scène.
Un groupe d'arkoniens en cape rouge et bâton difforme semblaient observer un arbre géant qui combattait un tydale de forte stature, une tydale visiblement magicienne venait de lancer un projectile magique. Il y eut un bruit de détente d'une corde l'arbalète d'un tireur embusqué et un arkonien se saisit la gorge en titubant. Kvethan remarqua un corps pas loin allongé dans l'herbe... cela semblait être une jeune fille, inerte, les arkoniens ne s'en occupaient pas...
Fenrir remarquât de son côté un veux arbre fendu et en feu approximativement derrière le tydale combattant le végétal perverti, mais aussi un grand cratère au milieux de la clairière, trois cadavres a moitié déchiquetés gisaient tour, un nelda, un tchaë et un tydale...

Le projectile magique de Livie toucha la cible, l'écorce de l'arbre se noircit mais sans déclencher de feu...
***


*** ***************************************************** ***

***
A Krell.

Aldarin ne pouvait plus attendre, s'il tarderait a sortir, les arkoniens et ce chamane pourrait penser que les poussiéreux tentent de les berner et se retourner un fois de plus contre eux.
Le parangon était déçu, entre tout les poussiéreux encore a Krell, seul Laekh lui avait répondu, pour Anty et Persmerga, il savait où ils étaient... mais pas les autres... Il contacta alors rapidement tout les poussiéreux qui ne donnaient pas de signes de vie.
***

Kielnos, je comprend que vous tenez a votre vie, par conséquent sachez que aujourd'hui des gens du peuple vont aller combattre a vôtre place, pour préserver vôtre précieux derrière.

Aldarin posa alors son heaume et vérifia ses ceintures et se retourna vers les cavaliers un peu nerveux.

- Soldats! Je sais ce que vous ressentez, je ressent la même chose. Mais sachez que la peur, tant qu'elle est assumé, est l'ami du soldat qui se bat pour une cause juste! Vous-battez-vous pour une cause juste?!

- Oui... répondirent les soldats assez timidement...

- Je n'entends rien! Pour quoi battez-vous?!

- Pour nos vie et celles de nos familles? répondit un soldat.

- Je n'entends toujours rien! Je dois être sourd, car sinon je ne vends pas chère vôtre peau! Je veux entendre des hommes! Des vrais! ALORS, POUR QUOI BATTEZ-VOUS DÉFENSEURS DE KRELL?!?!!

- POUR LA VIE! POUR NOTRE TERRE! POUR L'EQUILIBRIUM! POUR LA DAME!!! hurlèrent les soldats montés, mais aussi l'infanterie qui s'apprêtait a suivre la cavalerie dans la mêlé.

- Trèèèès bien, voila qui me plait davantage. Maintenant a vos armes fiers poussiéreux! Nous allons au combat de notre vie! EN AVANT!
***
Et Aldarin assena un coups dans les flancs de Fékétt, son impétueux mestengo noir et toute la troupe d'une vingtaine de cavaliers le suivirent en traversant la porte Est. L'infanterie emboita le pas tout de suite après.
Ce fut beau a voir...
***


 
Phyldia

Le Luang 7 Julantir 1508 à 18h06

 
*** Les minutes passent, Phyldia reste au sol. Ses ennemis semblent l'avoir oublié, grosse erreur...
Car malgré son immobilisme, elle prépare son plan d'attaque, et pendant que les arkoniens se battent, l'un d'eux s'approche de la tydale.

Encore deux mêtres...
Plus qu'un mêtre...
Le voila en train d'enjamber Phyldia.
C'est alors que la tydale lui bondit dessus, passant le fil de sa lame sur son cou, découpant finement mais profondément la gorge de l'ennemi, le rendant muet par la même occasion.

Suivant ensuite son instinct, Phyldia quitte la clairière pour se cacher à ses abords. Elle saute dans un buisson et avance encore de quelques mêtres puis commence à faire le tour, cherchant une nouvelle opportunité pour frapper. ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 7 Julantir 1508 à 18h49

 
***
Devant Krell.

Aldarin tourna son cheval dès qu'il a franchit la dernière zone piégé qui longeait le mur. Les combats des derniers jours avait sans doute dû désamorcer la majorité des pièges, mais il n'est jamais bon de tenter le S'Srakh...

Il chevaucha vers le gros des troupes arkoniennes. Nils lui a parlé d'une faction d'arkoniens qui s'étaient rebellé contre leur chef. Mais le tydale a la tête des krellois n'avait strictement aucune idée a quoi ressemblaient ces rebelles! Si ça se trouverait, il chargerait dans la mauvaises formation causant un désastre pour Krell...

Pour cela il contacta mentalement Nils.
***


Riemto Nils, vous m'entendez? J'ai besoin de savoir a quoi ressemble nos ennemis! Quels arkoniens doit-on combattre et les quelles sont nos "alliés"? De plus, vous avez des informations sur leur général? A quoi il ressemble? Où il pourrait se trouver?
Répondez vite, bientôt ma cavalerie atteins les premiers arkoniens!!


 
Nils

Le Luang 7 Julantir 1508 à 21h34

 
Nils reçu le message, la réflexion de Aldarin lui arriva en plein la figure, comment avait il pu oublier se détail.

Enfin, c'est comme cela que l'on apprend se dit il.

touquette dit :

heu, oui j'aurai du t'y faire penser aussi. trop occupé à suivre les Arkhoniens.

Tu as raison, il faut que je saches pour le dire à Aldarin, aides moi.

Nils regarda l'Arkhonien qui était devant lui. et regarde ensuite les arkhoniens sur le champ de bataille.

Il fit la relation entre entre les habits des chefs et celui des combattants Akhoniens.

Tout en continuant à suivre, il communiqua les différents signes et marques qui permettaient de reconnaître les amis des ennemis.

Pour ce qui est de Grott il le décrit assez précisément et lui donna l'endroit ou il se trouvait.

En espérant qu'Aldarin puisse arriver à temps avec les Krellois.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Luang 7 Julantir 1508 à 22h07

 
*** L’arbre vivant semblait bien résistant. L’écorce était noirçit par l’impact du projectile magique, mais avait plutôt bien résisté. Qu’a celà ne tienne, Livie frapperai encore plus fort !

La tydale fouilla dans sa besace et un sortie une petite fiole d’huile dont elle se servait pour distiller ses potions.
Elle invoqua un vent de changement pour perturber l’arbre dans ses attaques, puis s’élanca dans une course effrénée. Elle s’avança au plus prés de lui et zizagant, roulant, sautillant. Elle esquivait avec habilité les coups de branches et en quelques instants se faufilla jusqu’au tronc.
Elle empoigna son couteau et le planta le plus fort possible dans l’écorce du monstre. Un rugissment de douleur retentie. Profitant de la surprise et de la rage du monstre, Live jetta la fiole d’huile dans la gueule béante du monstre et eu juste le temps d’invoquer une boule de feu avant qu’une énorme branche ne vienne s’abattre sur elle.

La chevaucheuse fit un rouler bouler un peu improvisé et se redressa vivement un peu plus loin, titubant légérement l’esprit embrouillé par le choc. Son crâne résonnait d’un bruit sourt. La tydale avait l’impression que ses tempes allaient éclater à chaque battement de son coeur. Un fin filet de sang coulais le long de son visage, qu’elle ressuya du revére de la main. Malgrés la douleur, Livie savoura cet instant où elle apperçue les flammes jaillissant de la bouche monstreuse de l’arbre.

Elle lança un regard furieux vers son ennemie fumant, cracha rageusement une giclée de sang et déclara séchement : ***



Digére un peu ça cure dent ! j’éspére que t’en aura une bonne brûlure d’estomac.

Tu commence à me chauffer toi et tes copains.... et ça, c’est pas bon pour vous !


*** Livie fit deux pas en arriére pour reprendre un peu son souffle. aillant prit un peu de recule, elle apperçue deux groupes qui venaient de rentrer dans la clairiére. Un peu de renfort ne ferait pas de mal car l’affaire était mal partie. ***



 
Eldiran

Le Luang 7 Julantir 1508 à 22h16

 
Eldiran s'étonna de ne pas avoir de réponse de Livie. Cela faisait déjà deux bougies qui s'étaient consumées depuis qu'il l'avait contacté. Pourquoi ne l'avait elle pas contacté? Eldiran espérait qu'elle ne soit pas morte.

Heyjoe dit :
Espère d'idiot!!! Il suffit que tu la contactes et on sera vite si elle est morte!!!


Tu utilises toujours ton tact légendaire dans ce genre de situation...

Heyjoe dit :
Peut-être mais si tu ne peux pas la contacter c'est qu'elle sera morte.


Après réflexion, Eldiran décida de contacter Livie:
Pourquoi maintenez-vous un silence si long, kielna?


 
Tilith

Le Luang 7 Julantir 1508 à 23h30

 
Le spectacle qui s'offra aux deux chevaucheurs coupa le souffle de Tilith. Il reconnu Celegorn et Livie qui affrontaient la pire abominations qu'il ait jamais vu. L'apprentie chevaucheur eut l'impression d'être entrée dans l'antre du S'sarkh.
Il arma son arc par réflexe conscient qu'il ne ferait pas grand mal à l'arbre géant avec des flèches, puis il s'adressa à Fenrir avec un ton légèrement ironique pour calmer la tension qui montait en lui.

et moi qui pensait qu'ils avaient des soucis, mais en faite, ils font juste un peu de jardinage.

D'un seul coup Livie se jeta sur la l'arbre géant tout en lui lançant quelque choses. Elle fût balayer par le revers d'une branche. L'arbre se mit à cracher des flammes se qui rendit la scène encore plus apocalyptique.

Tilith se glissa dans les buissons qui bordaient la clairière, il contourna l'arbre le plus discrètement possible. Les mystiques ne semblait pas avoir remarqué l'arrivée des deux neldas et il comptait bien se servir de cette avantage, pour donner l'impression aux arkoniens que de nombreux renforts était arrivées.
Tout en restant cacher il visa un arkonien et tira. Il ne prit pas le temps de voir si son trait avait fait mouche, il se déplaça à nouveau dans les buissons. Il répéta l'opération sur deux autres mystiques changeant de positions à chaque tires.

 
Oda Nobunaga

Le Matal 8 Julantir 1508 à 00h34

 
"Touché."

Le Mystique avait été atteint, et Phyldia avait pris le relais: une vraie tigresse!

Les choses s'arrangeaient finalement: Livie et Celegorn s'occupaient du l'arbre, Phyldia et moi-même des mystiques, et deux Neldas venaient nous prêter main forte -mais à cette distance, il était ardu de les identifier; peut-être y'avait-il des survivants après tout-; dans ce binôme se trouvait un archer qui semblait surexcité.

Il se déplaçait rapidement, mais ne semblait pas prendre soin de viser.
Mais le résultat était là: les mystiques semblaient surpris par cette "pluie de flèche".

"C'est ma chance, avec cette panique, on devrait pouvoir discerner les vrais."


Chase dit :
Si tu ne te prends pas de flèches avant...


"N'exagérons rien, il ne tire pas au jugé non plus. Ses tirs ont beau être approximatifs, ils sont tout de même localisés."

Armant derechef un carreau dans l'arbalète, je me préparais à tirer, guettant un quelconque moyen de repérer les cibles parmi les illusions.

"Si d'aventure mes tirs ne leur étaient pas fatals, Phyldia les finiras -et je leur souhaite de mourir de mes carreaux que de son épée, héhé, les pauvres."


-Oda Nobunaga-

 
Gianduja

Le Matal 8 Julantir 1508 à 02h08

 
Voici ma grande, voici l'action à laquelle tu es appelée.

*** Gianduja embrassa la scène d'un premier regard, puis rapidement focalisa son attention sur l'arbre corrompu. Cette insulte à la Dame, pervertir un arbre, cette chose est si abjecte et infâme que Gianduja crût fondre en larme. C'est la gorge nouée qu'elle laisse filer à l'attention de son mou : ***


C'est cent fois pire qu'un loup malfaisant. C'est un crime cruel contre la Déesse.
dit :

Cent fois pire, cent fois plus grand aussi.


Cent fois plus mort, puisse la Dame nous y aider.

*** Gianduja essayait de réfléchir vite, elle s'en voulait de ne pas avoir l'habitude des combats, de ne pas avoir l'instinct de porter ses coups où il le fallait. Elle aurait dû suivre l'apprentissage de sa mère, se dit-elle enfin.
***

Cette tydale semble savoir se battre, elle, autant qu'elle semble vulnérable. Quel est ce Riemto qui paraît escalader cette malédiction sylvestre ? Les aider, oui mais comment ?

*** Gianduja se met à courir en direction de la tydale qui venait d'essuyer un mauvais coup de l'arbre. Arrivée à sa hauteur elle lui dit, en tendant la main :
***

Om'shir Riemta. Que la Déesse vous protège contre cette horreur. Profitez un peu de mon énergie, vous saurez mieux vous en servir que moi.
*** Touchant la tydale, elle psalmodie les vers appris récemment, tentant de lui donner sa magie, et surtout un réconfort utile pour ces heures catastrophiques. ***




 
Phyldia

Le Matal 8 Julantir 1508 à 12h35

 
*** Sortant des fourrés, Phyldia court en direction des mystiques, saute de côté pour éviter un projectile qui explose à quelques mêtres d'elle, alors qu'une odeur de chair grillée se fait sentir. Elle se retrouve maintenant sur le flanc du groupe d'arkonien, et d'un coup de taille, en fauche deux sans pour autant les tuer. Puis, comme prise de folie, elle rugit littéralement et en perfore un troisième avant d'être repoussé d'un vigoureux coup de baton.
Phyldia termine sa course sonnée, dans les buissons. ***


 
Livie

Le Matal 8 Julantir 1508 à 21h35

 
Merci riemta... nous n’avons pas eu la chance d’être présenté... enfin pour l’heure faisons simple, moi je suis Livie, chevaucheuse dans le pétrin.... vous éloignez pas de trop, je crois que vos dont vont nous être utile.

*** Livie ne continua pas plus loin les présentations car elle venait de capter l’appel d’Eldiran. ***


Excusez moi...

*** Livie se détourna de la main inattendue qui venait de se tendre pour se concentrer avec Eldiran.Elle gardait au cons de l'oeil l'arbre qui commencait à crépiter ***


Veu...veuillez me pardonner kielno Eldiran, mais ici les choses se sont enchaînées rapidement. J’ai...j’ai pas .... trouvé le temps de ...

*** Livie était affreusement gênée, sans osez l’avouer elle avait complètement oublié le tydale qu’elle avait appelé au secours. Certes, les événements lui avaient fait perdre tous ses repères, mais cela ne justifiait pas tout. Elle avait manqué de respect à ce maître et elle s’en voulait. Pour tenter de se rattraper, elle voulait faire un point des plus précis au maître des arcanes, pour lui montrer qu’elle n'avait pas pris ces conseis à la légére. ***



Kielno Eldiran, je me suis livré à l’essais que vous m’aviez demandé. J’ai donc lancé un sort persistant d’essencialis sur Célégorn. Celui-ci c’est déroulé normalement. Je me suis ensuite lancé un sort de chimère, car le seul que j’aurais pu lui lancer était un vent de changement... c’était pas vraiment le moment. Tout c’est à nouveau déroulé normalement. J’ai quand même remarqué que la glyphe avait réagit au second sort. Nous avons ensuite progressé vers le cœur du bosquet où le nombre de runes s’est intensifié. C’elles-ci on continué à se consumer à son passage.

Pour l’instant nous sommes aux prises avec les 6 mages qui ont organisé toutes ces illusions. Au passage ils ont réussi à réveiller une étrange créature, un arbre monstrueux qui à prit vit et fait preuve d’une agressivité et d’une résistance incroyable.

Les 6 mages semblent être menés par un chef. Leur puissance est gigantesque, et je ne comprends toujours pas pourquoi ils ne nous ont pas encore balayé de leur route. La seule explication que je vois, et que la présence de Célégorn les affaiblis, ou du moins les gênent dans les actions.
Nous sommes engagés dans un combat impitoyable, et il faudrait 10 Célégorn et 20 Livie pour en sortir vainqueur. Heureusement, un renfort inattendu vient d’arrivé et m’a permis de me mettre un peu en retrait pour établir un plan avec vous.
Je crois qu’il faut commencer par réduire ces mages au silence, cela permettra aux guerriers présent de les envoyés mordre la poussière. Puis après il nous faudra nous occuper à révoquer cette aberration, mais je ne connais pas tous ces sorts.
Vos aviez évoquez la possibilité de lancer un sort par mon intermédiaire. Si vous avez trouvé le moyen, je suis prêt à prendre le risque, si pour votre par, vous acceptez de partager une partie de votre vie avec la mienne. N’ayez pas peur de mes souvenirs, il y en a que très peu qui sont redoutable. Le dernier en date m’a été infligé par ses mages d’ailleurs, ils m’ont fait brûler vivante...grâce à une illusion plus que réaliste. Je ne souhaite à personne de vivre ça. Heureusement pour moi, ce moment a été tés court. Célégorn est certainement pour quelque chose dans la durée très courte.







 
Fenrir

Le Matal 8 Julantir 1508 à 23h10

 
*** Fenrir était resté à l'abri, juste en dehors de la clairière où se déroulait tout ce chaos.

Il observait ce qu'il se passait, réfléchissant sur ce qui avait pu se produire avant son arrivé, mais guettant également l'occasion pour que son entrée soit des plus utile.

Ce qui intriguait profondément le Nelda, c'était ce cratère au centre de la clairière, ainsi que les trois corps déchiquetés. Un de chaque race... Comme si cela avait une signification particulière.

Observant ensuite l'arbre pervertie, il lui vint alors à l'esprit que ce cratère devait être le lieu où il avait auparavant racine. En ce cas, les corps avaient dû servir à un quelconque rituel afin d'animer la plante. ***


*** Se murmurant à lui même. ***


« Ce qui a été fait par un procédé, peut être défait par un procédé semblable...
S'il a fallu utiliser l'essence d'un poussiéreux de chaque race, ainsi que la magie pour faire venir au monde cette aberration, alors peut-être qu'en utilisant à nouveau l'essence d'une personne de chaque race conjugué à de la magie, alors nous pourrions remettre cette arbre à sa place...
»


Loki dit :
« ...
Sacrifier à nouveau trois vie pour arrêter un arbre?!
»

«
...
Par essence, ce peut être, comme pour ces cadavres, le sang ou la vie, mais ce pourrait être aussi le mana...
»


*** Son esprit revint quelques temps sur l'arbre explosé et en feu qu'il avait vu quelques instant derrière le Tydale combattant l'aberration. Celui-ci semblait avoir été frappé par un puissant sortilège. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Gianduja

Le Merakih 9 Julantir 1508 à 00h09

 
*** Gianduja voulu répondre à Livie et se présenter à son tour, mais l'expérience inédite pour elle d'un transfert de mana la marqua d'une telle sensation de vide qu'elle dû s'asseoir pour reprendre ses esprits. ***


dit :
Hé oh, ma grande, c'est pas un bon endroit pour se reposer, accroche-toi !

*** Au contact du sol, la pensée affolée, Gianduja commença par laisser revenir en elle un peu d'énergie, pendant quelques secondes, comme pour se rassurer. Puis, sentant le sang revenir en elle, elle adressa à Livie un beau sourire et lui répondit : ***


Derynn à vous, Riemta. Mon nom est Gianduja, modeste suivante envoyée par Nêrhe Amalthur.

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 9 Julantir 1508 à 00h31

 
*** Quelques minutes avant le début de la boucherie de Krell... ***

***
Aldarin reçut le message de Nils vraiment au dernier moment, il dégaina son épée enchanté dont la lame crépitait d'une aura bleu claire. Les arkonien devant lui étaient belle et bien des ennemis...
Aldarin cria en vitesse la description rapide des troupes alliées aux cavaliers, qui se le faisaient passer le message entre eux.

Puis quand les premiers arkoniens étaient plus qu'à vingt mètres, Aldarin leva haut son épée et les cavaliers abaissèrent leurs lances.
En face d'eux, les arkoniens se formèrent en phalange, formation serré d'où dépassaient un mure de vouges, formation idéale pour intercepter une quelconque cavalerie. Cependant une voie au fond du parangon lui disait de poursuivre dans cette charge visiblement suicidaire... sans trop savoir pour quoi, Aldarin continua quand même dans cette charge face a la mort...
Ses hommes était tout d'abord hésitant, mais voyant leur commandant charger sans tourner, ni même ralentir dans sa course, l'épée levé, ils le suivirent. Déterminés que quelle que soit l'issue de ce combat, ils serons chanté en héros...

Nul ne saura si c'est l'excitation ou une intervention de la Dame qui incita cette réaction, mais les arkoniens en voyant les fiers cavaliers de Krell fondre sur eux a toute allure, brisèrent la formation et se mirent a courir vers les cavaliers...

Deux battements de cœur plus tard, les cavaliers entrèrent en collision avec les ennemis.

La cavalerie piètina les premiers malheureux sous les sabots de leurs montures et s'enfonça profondément dans l'unité arkonienne dans le plus grand fracas de lances brisés, de cris de guerre et de panique, de chocs entre les armes et armures, les sons de chaire perforées et déchiquetés... Aldarin faisait tournoyer son épée dans de larges moulinets sanglants. Les armures n'offraient que peu de protection face a la force du tydale et le fil tranchant de la lame.
Mais les arkoniens étaient eux aussi redoutables, certains ont pensé a user de leurs lances pour désarçonner quelques cavaliers ou tuaient les chevaux. Le nombre déjà faible de cavaliers s'amenuisait rapidement. Dans cette cohue, Aldarin se retrouva coupé des autres krellois. Selon le bruit, il pouvait supposer que l'infanterie était arrivée, d'ailleurs une musique de flute raisonnait dans l'aire. Aldarin ne comprenait pas comment il arrivait a entendre cette mélodie au milieux de ce carnage, mais cette douce mélodie l'emplissait de vitalité et de courage...
En revanche,les arkoniens ne semblait pas autant l'apprécier. Pour punir un arkonien particulièrement bruyant, Aldarin lui fendit le crane en deux, avant de poursuivre son chemin.
Au bout d'un moment de combat, il aperçu le Capitaine Romen sur son nouveau cheval. Le parangon entreprit alors rejoindre son frère d'arme, a deux leurs chances de survie étaient plus grandes.
***

***
De l'autre côté du champs de bataille...

Nils et l'arkonien Akralik venait eux aussi de croiser les premiers fer avec les arkoniens sous les ordres de Grott. Il était presque surprenant avec quelle aisance les arkoniens ne ressentent aucun remord a tuer leurs frères d'arme d'il y a quelques minutes.
Akralik maniait un cimeterre dentelé et un bouclier de poing eux contours dentelés. Sa rapidité était également impressionnante, ses coups s'enchainaient dans un déluge de frapes dont certaines déstabilisaient ses ennemis, puis il leur tranchait les tendons et articulations avant de les achever d'un coup sec.
Soudainement, un sifflement se fit entendre. Le Nelda regarda la source de l'étrange bruit et a la grande surprise du chevaucheur, une figure encore plus étrange se tortillait face a lui.
Un arkonien en robe rougeâtre, un bâton noir dans les mains, et a l'extrémité du bâton deux protubérances de cristaux formaient une sorte de paire d'ailes étirés.
L'arkonien regarda le chevaucheur d'un air malin puis il tendit sa main vers le chevaucheur, puis il fit signe du doigt au chevaucheur d'approcher. Les corps de quelques arkoniens de la troupe d'Akralik indiquait au nelda qu'il ne s'agit pas là d'un amateur... qu'elle que soit la discipline qu'il use au combat.
L'arkonien tournoya le bâton autour de lui es te plaça en position de garde, attendant le grand nelda...
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Dans la clairière du bosquet.

L'arbre réagissait aussi mal a l'assaut de Livie que les mystiques aux harcèlements de Phyldia.
Quand les flèches commençaient a pleuvoir et un grand nombre de mouvements étaient repérables aux abords de la clairière, les quatre mystiques survivants semblaient agités autour de leur chef.
A près ce qui semblait comme une argumentation rapide entre les mystiques, ils se sont placé en carré et s'attrapèrent par les bras et entamèrent un chant grave. Très rapidement une brume sombre et opaque commença a les entourer, la brume entoura les mystiques dans un tourbillon et puis quatre flux de cette brume jaillirent vers les quatre coins de la clairière. En un clin d'œil il était impossible de voir au delà de son nez, puis aussi soudainement que les brunes sont apparut, elle se dissipa laissant derrière elle le même paysage, excepté que les mystiques étaient partis, même leurs deux cadavres avait disparut.
Cependant le danger était loin d'être partis, chose qui se concrétisa quand une puissante branche venait de percuter la jeune suivante nelda. Se reposer en plein milieux du champs de combat était visiblement une mauvaise idée, faisant d'elle une cible de choix...

L'arbre en question semblait d'une fureur redoublé, il crachait en permanence des boules de flammes de sa bouche, cela semblait le faire souffrir un martyr et il comptait bien vouloir désomatiser sur les petits êtres qui lui courraient tout autour.

L'observation de Fenrir était intéressante, mais il faillait contacter des personnes plus compétentes dans le domaine de magie pour plus de renseignements... ***



 
Gianduja

Le Merakih 9 Julantir 1508 à 01h38

 
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Noir.

Presque comme si le sourd fracas ne se fit entendre qu'après ce noir. Gianduja fût littéralement happée hors de la conscience par la lourde branche. C'est la douleur, chantant dans tout son corps, qui lui rouvre les yeux.


Douleur.

La première fois qu'elle avait ressenti quelque chose d'aussi intense, ce fut à la suite d'une rencontre avec un malfaisant. Il y a toujours une première fois. Elle se souvint de la meilleure chose à faire : se relever.

Courir, peut-être, claudiquer seulement. Cette douleur, est-ce cassé ? Saigné-je ? Se retourner, faire face, non par courage, mais par prudence. L'ouïe revient à présent, le bourdonnement s'estompant. Le goût ensuite, celui du sang dans sa bouche. Se mettre à l'abri, juste le temps de se soigner. Il est trop tôt pour quitter ce combat, même dans la mort. Par bonheur, la gifle sylvestre l'avait éloignée de l'agresseur.

Pardonne-moi, arbre, ceux qui ont violé ton essence se sont enfuis. L'injustice est que je ne sais pas te soigner, et tu ne peux continuer à exister ainsi. Si on ne peut guérir une plaie dans Syfaria, il faut la couper, pour sauver le reste. C'est donc toi que nous allons couper, pour la gloire de la Déesse.
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Livie, LIVIE, nous devons réussir !



dit :

Et dire qu'en quittant Syrinth tu avais renoncé à acheter cette hache...

*** Ja'Alkaline venait de rendre le sourire, un sourire un peu rouge, à Gianduja. ***


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