Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Aldarin Mor'Nathil

Le Luang 14 Julantir 1508 à 17h20

 
***
Un peu plus loin sur le champs de bataille...

... Nils combattait le mystique arkonien, le combat était équilibré.
Ce n est qu'après une habille passe et une feinte de Nils que la hache du nelda entailla l l'abdomen du mystique, sa robe tomba en lambeau et il l arracha d une main. Le torse de l arkonien était recouvert de cicatrices en spirales et autres dessins ésotériques.
Nils remarqua que sur les pectoraux le mystique avait un tatouage en forme de plume de laquelle coulait un liquide dans une abysse remplie d ossements...
Le sorcier leva son bâton et le fit tournoyer rapidement, de la sculpture en tête du bâton commençaient a se détacher des fines lamelles qui s organiser autour du mystique comme une sphère/bouclier. enfin, le gros bloque de cristal se détacha et se positionna au centre du-dit bouclier. A présent, l arkonien était entièrement entouré de cette sphère de lamelles en forme de plumes tout autour du mystique. Tout ce bouclier semblait très fragile, excepté la bout de cristal brut qui semblait garnir le centre de ce bouclier.

A ce moment, le mystique s avenca. Frappant le nelda d une manière surprenament maladroite, il exposa tout son flanc au guerrier a la hache...
***


 
Persmerga

Le Luang 14 Julantir 1508 à 18h13

 


L'heure était enfin venus et c'est avec un pas décidé qu'il avance vers la sortit de l'hôpital
La hache sur son épaule il descend rapidement les escaliers et commence a courir en direction du champs de batailles, les rues près de l'hôpital était recouverte de blesser et ils savait qu'il allait bientôt pouvoir ce battre


 
Livie

Le Luang 14 Julantir 1508 à 22h15

 
*** Quelques minutes avant que l’arbre ne se calme, Livie s’était concentrée. Elle avait fermé les yeux et ne voyait plus le végétale. Elle fit le vide en elle et écouta son esprit. Elle perçut Eldiran au plus profond d’elle. ***


Erween dit :
Giuanduja c’est le moment


*** Un sortilège inconnu éveilla son esprit comme sortie de son inconscient, comme si elle l’avait toujours connue mais l’avait oublié dans les méandres de son esprit. Dans tout son être le sort jaillissait. Des lumières multicolores apparurent derrière ses paupières, une voix masculine sortie de sa bouche récitant des vers d’arcan. Livie entrait en transe. Une piéce sombre éclairé par des bougies posées au sol pour seul éclairage. Plus loin deux pile d livre posé sur une table. Elle fut prit de spasme. La vision disparue, le noir revient. Elle tremblait de tout son corps, ses mains se contractèrent sur les mains de Merlin et giuanduja. L’énergie s’engouffra en elle et son esprit se mélangea au plus profond d’elle avec celui d’Eldiran. Pendant quelques minutes, elle continua à vociférer l’arcan d’une voix grave, tremblante, l’âmes loin de toute réalité.

La paix revient peu à peu en elle, son corps redevint sien. Calmée elle rouvrie les yeux, le regard perdu sur un énorme végétal immobile. Une étrange sensation la parcourait, il lui semblait qu’il lui parlait, a moins que ce ne soit quelqu’un d’autre....

Ses genoux plièrent, la chevaucheuse tomba à quatre pattes. Des convulsions la secouèrent, la bile remonta de ses entrailles lui brûlant la trachée et la bouche. Le liquide jaillit de ses lèvres, éclaboussant le sol et ses mains. La tête lui tournait, des souvenirs inconnus l’inondèrent, sans queue ni tête. Venu de nul part, sans aucune cohérence, toutes les images du passé se mélangèrent en un patchwork incompréhensible. La réalité se mélangeait au passé, plus de début, plus de fin, tout s’embrouillait. Elle ne savait plus ce qu’elle faisait là. Elle jeta un regard baigné de larmes aux alentour, aperçu de nouveau l’imposant arbre, un tchaé en toge grise, une nelda, puis plus loin un nelda au coté d’un tydale dont les visages lui disait vaguement quelque chose. Un colosse en armure et un archer. Que faisait tous ces gens ? Que ce passait-il donc ici ? Des taches noires apparurent devant ses yeux, un nouveau spasme et se liquide chaud qui inondait ses mains. Son esprit s’engourdie, et dans un dernier râle, Livie perdit connaissance. ***



 
Tilith

Le Luang 14 Julantir 1508 à 23h02

 
Les flèches de Tilith n'avait pas eu l'effet escomptés. Fenrir s'était retrouvé balayer, Oda ligoter et Celegorn avaler par l'arbre.
Le nelda se précipita sur l'arbre pour tenter une dernière diversion pendant que ce dernier ce retournait pour s'en prendre au groupe de Live. C'est alors qu'un puissant éclaire de lumière inonda toute la clairière.
Eblouit Tilith trébucha et roula jusqu'aux pied de l'arbre qui semblait maintenant sans vie.

junior dit :
Bravo super intervention, c'est une nouvelle attaque ?


....

L'apprenti Chevaucheur se redressa et regarda autour de lui. Fenrir se trouvait juste à côté de lui.

Nêrhe comment allez vous ? Il l'aida à se relever Le sort de Livie semble avoir été efficace.

L'abomination était redevenu un simple arbre. Il se rapprocha d'oda et l'aida lui aussi à se remettre debout.

Comment vous sentez vous ? Où est Celegorn ?

Un bruit de vomissement attira l'intention des trois combattants qui firent le tour de l'arbre pour trouver Livie inconsciente auprès d'une nelda et d'un Tchaë.

 
Gianduja

Le Matal 15 Julantir 1508 à 01h22

 
*** Gianduja crut sentir en elle une grande joie. Elle se précipita au côté de Livie, lui maintenant la tête de sorte à ce qu'elle ne s'étouffe point. ***


Livie, cela semble avoir fonctionné. Livie ? Livie ?

dit :
Son esprit est en éruption, il faut attendre.



*** Gianduja songeait avec un pincement au cœur aux sortilèges de soin qu'elle n'a pas pris le temps d'apprendre... ***


 
Oda Nobunaga

Le Matal 15 Julantir 1508 à 01h51

 
En sautant sur l'arbre, j'aurais dû m'attendre à un pépin comme celui-ci...

J'aurais dû.

La perversion excellait dans un domaine où nous autres, mâles de Syfaria, avions toutes les peines du monde: se concentrer sur plusieurs actions séparées et qui nécessitent une concentration totale dans chacune d'elles; ainsi, les protagonistes que nous étions tous devaient essuyer divers assaut.

Cependant, la diversion avait eu l'air de fonctionner.


Chase dit :
Et maintenant? tu es en très mauvaise posture là.


En effet, ayant raté un atterrissage, je me retrouvais après une périlleuse chute enlacé par la mortelle étreinte de ce qui semblait être l'un des nombreux organes préhensiles de la bête.

Non content de me lacérer, l'immondice tentait désormais de s'insinuer perfidement dans ma cavité buccale.

"On se connait à peine mon joli Seigneur mystique, et en plus, je ne mange pas de ce pain là mon grand", pensais-je en essayant d'attraper mon couteau de chasse.


Chase dit :
Oda, tu n'y arriveras pas ainsi.


Et que suggères-tu?

Chase dit :
De recourir au seul et unique moyen qui pourrais te sauver...


Tu parles de la magie? Non, je ne suis pas prêt encore...

Chase dit :
Bien au contraire, je peux t'assurer que tu es fin prêt.


Si je commence...

Chase dit :
Je sais, rien ne sera pareil, mais il est temps de voir les choses en face, la magie peut-t-être bien plus qu'utile... malgré ce que t'as dit ton père.


Alors, je vais accéder au "Niveau Supérieur"? Après tout tu as raison, je me sens prêt.

Mobilisant ma volonté, je fis déferler toute mon énergie dans ma main droite; il en résultat une sphère noire qui s'insinua dans la branche principale, qui relâcha aussitôt sa prise, me laissant le temps de me sais de mon arme et de me dégager de ce bourbier.

Je sautais donc des quelques mètres qui me séparaient de la terre ferme, et me dirigeais vers Livie; cette dernière avait perdu connaissance.

Malgré le fait que nous n'étions bien sûr pas tirés d'affaire, je ne pus m'empêcher de sourire en réalisant que désormais je venais d'ouvrir une toute nouvelle porte, qui menait sur un monde mystérieux, mais que j'avais à cœur de maitriser en raison de tous les avantages qu'il pourrait me procurer...


-Oda Nobunaga-

 
Phyldia

Le Matal 15 Julantir 1508 à 10h28

 
*** Une fumée commence à s'élever des fourrés et bientôt une odeur de feu se fait sentir. C'est à ce moment là que Phyldia surgit des buissons, tenant d'une main Perce-Coeur et de l'autre une grosse branche de bois sec enflammé. Elle se tient face à l'arbre et observe la scène, attendant en garde, prête à se battre. ***


 
Fenrir

Le Matal 15 Julantir 1508 à 14h01

 
*** Après son détour temporaire par les branches de l'arbre puis son retour au sol, Fenrir accepta l'aide de Tilith pour se relever. ***


Tilith a dit :
« Nêrhe comment allez vous ? Le sort de Livie semble avoir été efficace. »


« Je vous remercie jïrhe, et je remercie Livie d'avoir terminé de qu'elle devait faire avant que l'arbre ne me termine... »


*** Toujours aveuglé par la poussière qu'il avait dans les yeux, l'aide de Loki lui était indispensable pour comprendre ce qu'il se passait autour de lui, mais également pour se déplacer. Il suivit donc l'Apprenti jusqu'au Muet. ***


Tilith a dit :
« Comment vous sentez vous ? Où est Celegórn ? »


Loki dit :
« Celegórn? il me semble l'avoir vu se faire avaler par l'aberration juste avant que Livie ne lance son sort. »


*** Le vomissement de Livie se fit entendre, Fenrir s'y dirigea donc accompagné de Tilith et grâce aux yeux du mou. ***


Loki dit :
« Il faudrait vraiment traiter tes yeux... »


« De l'eau clair devrait suffire à les nettoyer. »


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Eldiran

Le Matal 15 Julantir 1508 à 21h18

 
Eldiran était toujours évanoui dans la salle de la bibliothèque avec des images de forêts dans l’esprit. Il avait quelques étés derrière lui. Une dizaine peut être. Mais par le S’sarkh que pouvait-il bien foutre dans une forêt à cet âge. Il ne pratiquait pas l’alchimie, il n’avait donc rien à foutre dans les bois !!! Son monde n’était pas celui-là. Et comme dans un cauchemar il se sentait épier. Des esprits, des brumes… C’est quoi ce foutoir !!! Le flou s’empara de sa mémoire. Il se retrouva dans une bibliothèque, mais pas celle de Zarlif. Mais il était à Zarlif, il en était certain. Il était assis devant un bureau long de trois mettre. Celui-ci était recouvert de livres. C’était son environnement. Mais quelque chose n’allait pas. Les ombres étaient là. Mais ce n’était pas leur place. Puis le flou se fit à nouveau. Eldiran vit une personne qu’il ne connaissait pas. Une jeune tydale. Mais, là encore, ce n’était pas son univers. Mais c’était réel, il le sentait. Et il parlait à cette personne. Mais rien à faire, il ne savait pas qui s’était. Et il avait également l’étrange sensation de ne pas être lui. Les souvenirs s’étalèrent. Une vaste mare de souvenirs. Des souvenirs partout. Des réels, des irréels, des à lui et d’autres qui ne l’étaient pas. Mais plus ça allait et moins ça allait !!! Tout devenait un méli-mélo de souvenirs entrelacés comme un couple au clair de lune. A ne plus savoir qui était qui !!!

Puis une lueur se fit. Ce n’était pas un phare, plutôt un petite flamme dansante au loin. Une sorte de lueur vers la réalité. Mais la réalité n’en était pas une. Une sorte de synthèse de fait qui n’allait pas ensemble. Un chaos où se côtoyait tellement d’éléments différents qu’Eldiran en eu la tête qui tourne. Un sort fusa. Une explosion fit tournoyer des morceaux de souvenirs qui commencèrent à s’agglomérer à nouveau. C’était comme essayer de démêler une pelote de laine. Il fallait être patient. Eldiran commença donc à trier ces souvenirs. Les siens d’un côté, cette partie était la plus simple. Un tas pour les souvenirs d’une autre personne et un troisième pour ceux qu’Eldiran ne comprenaient pas.

Après ce qui lui sembla une éternité dans son esprit, Eldiran avait reconstitué son histoire et avait une histoire partielle d’une tierce personne. Mais il ne savait pas qui c’était. Il était également le maître d’un monde sans queue ni tête où tout semblait vouloir le mener vers un univers dont les lois lui étaient étrangères. Mais ce qui inquiétait Eldiran était les ombres qui peuplaient les souvenirs de cette tierce personne. Qu’est-ce que cela pouvait bien signifier ? Et d’où venait ces êtres à la fois réels et intangibles ?



 
Livie

Le Matal 15 Julantir 1508 à 22h13

 
*** La lumière s’engouffra jusqu’au fond de sa tête en un éclair douloureux. Livie referma les paupières. Elle revécut quelques instant la dispute avec son pére.... quel pére, ce n’était pas le sien, elle en était sure, mais qui était ce tydale ? et pourquoi l’appelait-il Eldiran. Quelque battement de cils, puis Livie arriva à gardé les yeux ouverts. Les rayons solaires se firent plus doux, reportant à plus tard la compréhension de ses souvenirs étrangés. Une tâche floue vient s’intégrer dans le ciel doré qui s’ofrait aux yeux de Livie. Les pupilles de la chevaucheuse se contractèrent, la tache devient plus nette. Elle avait une forme ovale, deux petits triangles posé au-dessus. Encore une contraction de ses petits muscles ronds et verts, et Livie discerna le visage doux d’une jeune nelda. Elle avait un sourire compatissant au coin des babines. ***


Om’shir, vous auriez un peu d’eau ? j’ai comme un mauvais goût dans la bouche.

Erween dit :
Houaaaa !!!!! Livie on a réussi !!!!


Tiens, t’es qui toi ? Qu’es ce que l’on a réussi ?

Erween dit :
Beuhhh... tu me fais marcher ?


Pourquoi ?

Erween dit :
?????


*** Livie qui était encore allongée, roula sur le coté et s’assie, la tête entre les mains. ***


J’ai la tête lourde, toute embrouillée, j’ai plein d’images qui se mélangent, comme si j’avais prit un fameux coup de bâton sur le crâne, sans en avoir la bosse... qu’es ce qu’il m’est arrivé ?

Erween dit :
Quelque chose dans ce goût là.


....


 
Gianduja

Le Merakih 16 Julantir 1508 à 02h25

 
Livie, kielna, vous venez de lancer un sort d'une puissance grandiose qui semble avoir chassé le mal qui rongeait cet arbre animé, juste là, et qui nous combattait. Voici un peu d'eau. La Déesse est avec vous.
***
Gianduja exprime un sourire sincère et profond, marqué d'une joie très pieuse. ***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 16 Julantir 1508 à 14h36

 
***
Devant Krell.

Le capitaine Romen venait d 'abattre son sabre de cavalerie sur la clavicule d'un guerrier arkonien, quand le Grand Chef Grott arriva enfin en vue.
Il etait impossible de le confondre avec un quelconque autre arkonien. Il depassait largement meme les plus grands de ses congeneres, aussi haut que large, sa masse etait vraiment impressionnante.
Grott se frayait un chemin vers le capitaine.
Ce dernier se retourna vers Aldarin.
***

- Laisse le moi, aussi gros qu'il est, il ne doit pas etre bien rapide...
***
Avant qu'Aldarin lui fasse part de son desaccord, le capitaine poussa son mestengo a la charge, le sabre leve vers Grott.
Le grand arkonien sembla sourire et d'un puissant coup a sa gauche et droite, il degagea le terrain, puis sortit ses deux palaches.

Romen chargea Grott et abatit son sabre sur l'epaule droite de son ennemi. A sa grande surprise, Grott se decala de sorte que le coup ne tranche que l'air et il riposta avec une vitesse fulgurante. La frappe eventra la monture et faillit couper la jambe du cavalier.
Romen roula dans la boue une fois que son cheval s'effondra, puis il repartit aussitot a l'assaut.

Pendant ce temps, Aldarin tentait desesperement de se degager de la melee arkonienne pour venir soutenir son ami, pour le moment en vain...

Romen para un puissant coup d'estoc qui lui explosa son bouclier, le second palache de Grott vint frapper le bras directeur du capitaine, le tranchant net.
Sans laisser le temps au capitaine de reagir, Grott plongea ses deux palaches dans la cage thoracique du capitaine incredule...
***


- Grott fort, toi mort.
***
Quand Aldarin vit la fin de son compagnon, il se figea une seconde et un voile rouge lui embruma l'esprit. Poussant un cri de rage, il planta son epee dans l'orbite d'un soldat arkonien, tourna pour la degager et en se tournant il fendit le crane d'un autre. Enfin Aldarin poussa son mestengo Fekett a la course. Le cheval se leva sur ses arrieres et assoma une paire d'arkoniens devant lui, avant de se lancer a la charge de Grott.
***


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 16 Julantir 1508 à 14h45

 
***
Dans le bosquet.

L'arbre bougeait de moins en moins jusqu'a se figer completement.
Un semblant de calme se posa sur la clairiere, les mystiques semblaient avoir effectivement fui, mais les restes de leurs agissements etaient encore bien presents...

Les runes sur les arbres semblaient doucement se vider de leur reserve de pouvoir, en regardant davantage, les poussiereux pouvaient distinguer des centaines de runes sur de nombreux arbres dont les branches noircissaient a vue d'oeil.
***


 
Nils

Le Merakih 16 Julantir 1508 à 20h45

 
Nils combattait comme un forcené. Puis sur un coup un peu plus appuyer que les autres. l'arkhonien se recula et une chose étrange se produisit.

Ce fut quelques secondes qui durèrent une éternité. Encore sous le coup de la surprise, Nils avait quand même eu le temps de réfléchir à ce qui arrivait. L'arkhonien s'était fait un carapace semblant fragile. Mais avec l'expérience de Nils, il n'y cru pas.

Le coup qu'il reçu, fut étrangement, faible. Nils se dégageant, fit faire un demi tour à sa hache qui vint se fracasser sur ce qui semblait être l'origine le la carapace.

Qu'allait il se passer.

On pouvait entendre autour les combats qui faisait rages. La, un combat de titan était sur le point de finir, mais de quel façon, nul ne le savait à ce moment précis.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Livie

Le Merakih 16 Julantir 1508 à 22h31

 
Ah.... très bien...très bien.....

Erween dit :
Oulalala, t’es pas dans ton assiette toi. Tu pédale dans la choucroute ma pauvre.


?????

Erween dit :
**** ;-) *****


***** :-( ****

Erween dit :
**** pas T_T ****


**** ???? *****

Erween dit :
**** ;-P ****


**** :-) ****

Erween dit :
ben voilà !!!!



n’empêche j’ai les neurones en compote. Je me souviens vaguement de mon départ de Zarlif, l’armée de libération, le pont, l’entrée dans le bosquet, ma sœur, puis tout s’assombrie, c’est vague. Et puis tu ne m’as toujours pas dit qui tu étais drôle de petit être ?

Erween dit :
Bon, alors je vais tout te raconté. En fait je suis un mou et tu me vénère. En quelque sorte je suis ton lien avec la dame et tu me fais des offrandes tous les jours pour que je sois heureux, et donc la déesse aussi.
En règle générale, tu me fais des offrandes en nature. Au petit déjeuné j’aime bien le pain chaud juste sortie du fournil, puis le soir j’aime bien les petits plats cuisinés.
Hier quand tu es rentré dans ce bosquet, tu m’a cuisiné un pigeon au miel de jypska et aux épices de Korsine avec une semoule d’une finesse... hum j’en salive encore. Bon revenons à nos moutons, après être rentré dans ce bosquet, tu m’as offert un bon repas, et j’étais particulièrement bien, alors quand se montre t’as attaqué et que j’ai vu que tu allais y passer, eh bien, je t’ai sauvé la vie. J’ai bannie les effluves du S’sark qui était en lui grâce à mes super pouvoir et le voilà aussi inoffensif qu’une brindille. Tu peux me remercier, c’est grace à moi si tu es encore en vie.


Erween dit :
Voilà, maintenant j’ai un petit creux, et une nouvelle offrande serait la bienvenue, disons un pigeon farci aux amandes avec une pointe de ce miel délicieux que tu cache dans ta besace.


Dis donc petit bout, t’en rajoute pas un peu ?

Erween dit :
Non non, c’est la vérité !!!


Mouai, je me mélange un peu les pinceaux mais je ne suis pas complètement amnésique, Erween.

Erween dit :
Zut... tu te souviens de mon nom... ça valais quand même le coups d’essayer.


*** Erween baissa les yeux et rougit.
La chevaucheuse se désintéressa alors de son mou et regarda a nouveau Gianduja. ***


Merci pour l’eau. Je crois que tout ne c’est pas vraiment passé comme Erween le prétend même si je ne me souviens pas de tout. En tout cas, merci pour tout.

*** Livie jeta un oeil à Merlin, lui tendit la main. Il l’attrapa et elle se redressa. ***


Merci mon brave.



 
Fenrir

Le Julung 17 Julantir 1508 à 13h54

 
*** A quelques mètres de Livie, Fenrir était en train de se nettoyer les yeux grâce à l'eau que contenait sa gourde.
Après quelques minutes passait à les rincer à l'eau clair, il pouvait à nouveau ouvrir les yeux. ***


« Et bien. Ça fait du bien de pouvoir à nouveau voir. »


*** S'adressant ensuite à Loki. ***


« Ça donne quoi? »


Loki dit :
« T'es yeux son rouge. Enfin je parle de la partie blanche, pas de l'iris. »


« Hum... Ça devrait revenir à la normale si je prends du repos.
L'important pour le moment, c'est que je puisse à nouveau voir.
»


*** Le Nelda se mit alors à observer les environs.
La première chose qu'il vérifia, c'était que l'arbre était à nouveau un arbre.
Il remarqua ensuite la présence des runes ainsi que de l'étrange comportement de ceux-ci. Il s'approcha donc afin d'observer cela de plus près. ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Julung 17 Julantir 1508 à 15h55

 
***
Sur la pleine devant Krell, pratiquement au milieux de la melee...

Le mystique chancela devant Nils, il avait tue tellement d'ennemis de cette manière, le prenant pour vulnérable, l'ennemi touchait son bouclier et se retrouvait instentanement empoisonne par les échardes. Mais celui-la, pour quoi?! Ce guerrier avait frappe le seul endroit vulnérable, le centre de cristal... Sa hache avait éclaté le joyau que les pères de ses pères avaient enchante... A présent la hache dépassait dans son torse.
La vision du mystique se troublait alors que le nelda se rapprocha et dégagea sa hache. Le mystique le pointa du doigt dans une ultime tentative de tuer son ennemi, mais aussi tôt la hache siffla et le mystique vit sa main se détacher du poignet. Il jura et les ténèbres s'emparèrent de lui...


Dans le même temps...


Grott avait dégagé ses deux lames du corps du capitaine et se retourna pour voir un second tydale se rapprocher de lui.
Il tourna la tete vers ses guerriers. ***

- Encore un qui va rejoindre son ami très rapidement... fit-il et regarda les mouvements du guerrier sur le cheval noir, et peut être pas.
***
Aldarin chevaucha a une dizaine de mètres de Grott, puis sauta a terre de son cheval. Il marchait doucement vers la masse de muscles et acier, son regard meurtrier plonge dans celui de Grott.
Deux arkoniens se jetèrent sur lui, mais ils moururent le cou tranche sans même que le tydale détourne son regard du Grand Chef... ***

- Enfin un adversaire digne de ce nom, se dit Grott.
***
A ce moment, Grott montra le cadavre du capitaine, tout en glisant son palache sous son cou et désigna Aldarin. Enfin il se tapa le poitrail.
Le message etait claire, "tu va mourir comme lui, je suis le boss!"
Puis Grott regarda le tydale de plus près et ses petits yeux s'ecartillerent. ***


- Toi etre le cavalier démon? Toi apporter cranes sur lance? Hmm... Toi un possédé redoutable, mais Grott pas peur, Grott te défier!

- Un duel? C'est parfait, je voulait te tuer vite, me voila servi. Fait tes prières arkonien. J'accepte.
***
Grott parut satisfait, il tourna sa têtes vers ses soldats et leurs hurla dessus, que si quelqu'un intervient dans le combat, il allait le découper en fines tranches en commençant avec les membres pour finir par la tête... Aldarin en fit autant, mais avec un ton plus amicale et moins insultant pour ses soldats qui venaient de s'approcher.

C'est ainsi que le combat des deux généraux débuta.
Un cercle d'environ six mètres de diamètre se forma autour des deux protagonistes, qui ne faisaient que se tourner autour, jugeant leur adversaire respectif.

Ce fut Aldarin qui chargeât en premier. Son épée enchantée siffla vers le ventre de l'arkonien et dans un battement de cil, elle commença a monter vers la gorge de Grott. Mais le palache de l'arkonien vint s'interposer et dévia le coup. Le second palache vola vers la tete du tydale, mais son bouclier para la frappe.
Sur cet echange rapide, les deux ennemis se desengagerent. ***

- Toi te battre bien, demi-portion, fit Grott.
- Toi aussi tu es bien rapide pour ce que tu est... repplica Aldarin.
***
Les deux adversaires croisèrent de nouveaux les fers, de sorte de des etincelles volaient lorsque leurs lames s'entre-choquaient.
Autour d'eux, les arkoniens comme les poussiereux cesserent de se battre pour assister au combat de leurs generaux. Chaque camps tentait de vaincre l'autre en scandant plus fort le nom de leur champion respectif.
Un entropiste pourait meme voire dans cette cacophonie de sons metaliques et des aclamations
une symphonie en honeur a la guerre...
Mais le combat dans "l'arene" etait plus tot bien equilibre. A un moment Aldarin trouva une faille dans la defense de Grott et le coupa au niveau de la hanche. A cela Grott riposta et brisa la garde d'Aldarin pour lui lacerer l'avant-bras.
Les deux guerriers se desengagerent de neuveaux pour souffler un peu.
***


- Toi te battre vraiment bien pour une demi-portion ouchovek, toi avoir un nom? Moi vouloir savoir qui moi expedier bientot chez ses ancetres.
gloussa Grott
- Je suis le Parangon Aldarin Mor'nathil, souviens-t'en car je serais le dernier etre que tu verra.
- Ha! Moi esperer pour toi, mais en faite non. Grott a encore jamais perdu!
- Jamais trop tard pour une premiere fois Grott, et la derniere aussi...
***
A ces propos Grott chargeat le tydale avec une furie de niveau superieur. Aldarin parvenait a peine de parrer ses nobreux assaut et bientot son corps souffrait de nombreuses lacerations.
Puis un coups de revers surprit le tydale et une des grandes palaches s'abatit sur le casque magique. Aldarin se sentit comme dans une cloche que l'on sonne. Son haume s'envola et lui chutta a terre. Un cri de joie et de stupeur monta de l'assemble.

Soudainement Aldarin se rendit comte de sa folie et se faiblesse. Folie, car jamais il n'aurait du accepter ce duel et faiblesse, car la force de l'arkonien etait quoi, cinq foir superieure a la sienne? Il allait mourir a present, c'etait son constant...
Mais une pensee se rebela contre cette vague de defetisme, une etincelle qui venait de son coeur et qui grandissait a chaque battement. Une promesse... oui, il a donne une promesse... il devait revenir vivant, retrouver Moniia, vivre sa vie avec elle... Aldarin s'imagina comment elle reagirait aprenant sa mort et il la vit pleurer. Cela il ne pouvait le supporter, la torche dans son ceur se transforma en un brasier enflamment tut son etre. Non, Aldarin ne pouvait pas mourir ici, pas comme ca, pas maintenant, il l'la jure!

Grott etait sur le point d'abattre ses palaches sur Aldarin au sol, quand celui-ci se releva et evita les coups. Grott remarqua que le regard du tydale avait change, une emotion effleura son ame, il ne la reconnu pas tout de suite.
Le guerrier tydale semblait diferent, ses mouvements etait devenir plus rapides et plus precis, il dansait autour de Grott comme un tourbillon d'ete, evitqit ou parrait chaque coup de Grott, mais n'ommettant aucune faille aucune conte-attaque contre le grand arkonien, de sorte que Grott saignait de nombreuses plaie et etait frustre.
Grott plongeat sa main pour transperser le petit tydale en compareison, mais il eut de la chance et retira asser vite sa main avant qu'elle ne se fasse trancher par l'epee d'Aldarin.
Cela dit, l'epee enchante percuta le lourd palache et le fit lacher a Grott.
La meme sensation que tout a l'heure vint se nicher dans l'ame de Grott et la il remarquat que ses mais tremblaient et une enfie folle de fuire s'emparait de lui.

"Pas possible, Grott a pas peur! Grott a jamais eut peur! Grott doit gagner, Grott est INVINCIBLE!!!" hurla mentalement le Grand Chef arkonien et s'efforca de reprendre le controle de son corps.

A ce moment Grott mobilisa toute sa force et adresse et envoya son palache sur les pieds du tydale, celui-ci l'esquiva en sautant, comme l'avait prevu l'arkonien.
***


- Dans air, pas apuis donc pas changements de direction, tiens!
***
Et sur ces paroles le second palache percuta violament le tydale.
Avec tant de force, Grott aurait pu trancher en deux un veau, mais l'armure etincelante du tydale se mit a briller. A la grande surprise de tous, l'armure tint bon et ne ceda pas, cependant Aldarin fur envoye sur plusieurs metres avent d'aterir lourdement.

En tentant de se relever, Aldarin resentit une extreme douleur dans son flanc, "bien plus que quelques cotes cassees..." pensa le tydale.
Grott s'avenca vers Aldarin et en l'attrapant par les cheveux, le monta a la hoteur de ses yeux. Aldarin ne touchait plus le sol... ***

- Grott meilleur, au revoir Parangon Aldarin Mor'nathil...
***
Le puissant poing de Grott percuta le tydale dans l'estomac et il fut de nouveau progete. Grott s'approcha de nouveau et repeta l'action une, deux, troi fois... encore et encore Aldarin avait le sentiment que chaque os de son corps etait en train de se briser, il n'etait pas si loin de la realite.

Enfin quand Grott se lassa de jeter son adversaire comme un vulguere chiffon, il prit son palache respant et se raprochait doucement vers le parangon.

Par terre, en visage en sang, Aldarin attendait plus qu'un miracle, il senti des larmes chaudes lui couler sir le visage, heuresement il etait face contre terre et donc ses soldats ne pouvaient le voir. Il avait mal partout, la respiration etait pour lui une souffrance...
D'un coup, il senti quelque chose lui toucher la main. En levant peniblement la tete, Aldarin vir le capitaine Romen. En etant jete dans tout les sens, Aldarin s'etait retrouve aux cotes du capitaine mort... puis le corps de Romen bouga. Aldarin remarqua que c'est la main du capitaine qui lui serrait le poignet. Romen ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais juste un sifflement accompagne d'une boule de sang en sortit, puis, doucement, le capitaine retracta son bras valide et se saisi de son propre sabre, il le poussa jusqu'a la main d'Aldarin, sourit et puis son arme quita son corps meurtri pour de bon...

Aldarin le regarda un instant et soudenement il senti l'ombre de Grott le recouvrir.

Il eut un sifflement dans l'air suivit d'un bruit de chaire transperce...

Grott etait satisfait, la foule l'aclamait et il venait de tuer son plus redoutable adversaire. Les armees de cette maudite ville seront demoralises et se rendrons ou seront masacres...
Puis il regarda en bas, et se raidit.
Son palache etait profondement plante dans la terre, ou reposait inerte le corps de cet ouchovek...
Il regarda la foule et vis que c'etaient les poussiereux qui aclamait a la victoire... cela ne donnait pas de sens...
Brusquement il fut prit d'une douleur aux coeur et c'est la qu'il realisa ce qui s'etait passe.

Aldarin Etait debout, mais affese sur le cote de Grott, une de ses main tenait l'erkonien autour de la taille et d'autre tenait le sabre enfonce entre deux plaques d'armure. Du sang rouge sombre en coulait.
Grott tourna la tete et regarda dans les yeux de son ennemi. A sa grande surprise, il n'y voyait plus de haine a present. ***

- Parangon Aldarin Mor'Nathil etre vraiment tres bon guerrier pour une demi-portion, fit Grott, mais toi me dire comment toi faire?
- Je me bat pour une cause juste et bonne, mais je crains que tu ne pourra pas le comprendre arkonien... repondit Aldarin d'un ton las.
- HA! Akronien pas les plus civilise, mais pas sauvage. Grott comprendre toi. Proteger sa terre et sa decendance... Grott comprendre... il soupira, maintenant toi finir Grott. Bien?
***
Aldarin acquiessa et tourna la lame, ce qui arracha un autre soupir a l'arkonien, qui s'effondra. Aldarin etait reste encore quelques seconde debout, le temps de lever la main vers le ciel en signe de victoire et d'envoyer un bref message aux symbioses.
***

*** C'est fini...Krell est libre... ***


 
Nils

Le Julung 17 Julantir 1508 à 23h25

 
Nils avait vu juste, pourquoi? nul ne le sait. La dame accompagnait surement ses Enfants.

L'Akhonien qui, tout à l'heure, était sur de gagner, gisait dans son sang.

les autres regardaient incrédules leur champion mordre la poussière. ils commencèrent à reculer laissant le champ de bataille aux vainqueurs.

Quelques minutes après, on entendit des clameurs, plus au nord ouest. Nils couru, comme il pouvait et arriva au moment ou Aldarin transperçait le corps de Grott.

Leurs chef était mort, il fallait prendre les devant. Prenant une voix forte et grave, Nils cria.


Votre chef est mort, GROTT EST MORT ! C'était une folie de s'attaquer à l'équilibrium. Il vous faut maintenant rebatir votre peuple.

Le Shaman et le chef Arkhonien qui s'étaient battus avec lui s'étaient positionnés de part et d'autre.

Voici Akralik, chef de troupe, et Khoukhoul, un shaman dévoué à votre peuple. Ils sont là pour reconstruire avec vous. ils vous guideront vers la paix et le respect de tous. Ils vous aideront à éradiquer l'usurpateur qui se trouve dans vos grottes mères.

SUIVAIENT LES !

Nils se tourne vers le Shaman.

Voila, nous y sommes arrivés, non sans votre aide bien évidemment. Khoukhoul nous serons toujours redevable de ce que vous avait fait pour nous. Je serais toujours là en cas de besoin.
Il est temps pour vous de reprendre les reines de votre nation avec l'aide des chefs Arkhoniens.


Nils reprit son souffle.

Khoukhoul, pourriez vous remercier Akralic, et dites lui que ce fut un honneur pour moi de me battre à ses cotés. J'irai un jour visiter votre demeure, j'en fais le serment.

Nils se tourna vers Akralic et baissa la tête en signe de remerciement.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Tilith

Le Vayang 18 Julantir 1508 à 11h32

 
Tilith regarda Livie reprendre ses esprits, lorsqu'il entendit le message de Parangon. S'adressant au reste du groupe.

Vous avez entendu Krell est libre. Les arkoniens ont été battu. Tout devrait rentré dans l'ordre maintenant. Tilith remarqua les runes Enfin j'espère.

Il s'approcha d'un des arbres marquer et observa les inscriptions.S'adressant à Livie.

Nêrhe vous comprenez ses runes ?

L'apprenti chevaucheur approcha sa main d'une des runes, hésita une seconde puis posa la main sur l'une d'elles.

 
Persmerga

Le Vayang 18 Julantir 1508 à 14h12

 
*** Persmerga était arrivé devant les remparts, sa hache dans les mains.
La bataille était terminé et il n'y avait pas participé.
Il avança regardant la scène Aldarin était en face du chef de guerre ennemie. ***


Hé bien j'arrive trop tard.

Il regarda les bâtisses au alentour et c'est avec un sourire qu'il termina sa phrase

Il ne reste plus cas tous reconstruire.

*** Il se dirigea ensuite vers l'une des tours encore intacte, enfin presque.
Il remarqua de nombreux cadavre dont plusieurs nelda mais aussi de Tydale, l'un deux un arc a la main respirait encore s'accrochant a la vie ***


Tien bon je vais te sortir de la



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