Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

A la découverte de nouveaux horizons

ou tout simplement une expédition vers Krell.
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Sujet lancé par Aldarin Mor'Nathil
Le 05-03-1508 à 01h16
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Posté par Gianduja,
Le 25-07-1508 à 14h46
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Livie

Le Luang 21 Julantir 1508 à 22h36

 
*** Livie avait à peine eu le temps de s’accrocher à son cavalier inconnu que le porcin démarra en trombe. Elle manqua de glissé de l’arrière train de la bête mais s’accrocha de toute ses forces au conducteur du quadripéde. Elle était ballottée dans tous les sens. Autant de secousses n’allaient pas arranger son mal de crâne. Elle s’agrippa encore plus fort à son pilote lorsque l’animal fit une embardée pour éviter un arbre. Ils frôlèrent le dit arbre et Livie manqua à nouveau de choir. La pression qu’exerçais la jeune tydale autour du torse du tydale ne semblais pas déplaire à ce dernier, et il nh’ésiata pas à relever les bras pour mieux permettre à la demoiselle de mieux l’enlacer.
C’est dans cet exercice d’équilibre inconfortable que Livie tenta de joindre Nils. ***


Niiilllls.....hhhooooo..... j’ARRiv...vvvveeee...... ollllalalalallalal...... mais je sAAAIiIIS pas dans quel ....olmolollala étaaaaaaaaat je vais Eêêêêêetre.....

Erween dit :
Olllala je croiiiiiis bien que c’eeest moi... qui µ..... vais Aaaavoir besoins de soiiiiins...


*** La bête tanguait dans tous les sens, mais il fallut peut de temps à l’équipage pour atteindre la lisière du bosquet. Livie passa la tête au-dessus de l’épaule du commandant de bord qui jouait avec une perche et une outre pour guider la barque. Elle aperçu la grande plaine avec dans son fond Krell qui se dressait fièrement. Un peu partout dans la plaine Livie pouvait voir des petits groupes clodiquants qui quittaient le macabre champ. Ca et là, des petits groupes s’affairaient autour des corps allongés soit pour sauver un compagnon, soit pour lui abréger ses souffrances. D’autres, plus rares heureusement, s’étaient déjà mis à leur mauvaise oeuvre : le piage des morts. Ils se dépêchaient avant que les religieux ne viennent faire leur triste besogne.
Les combats avaient été d’une rare violence, et le nombre de mort était impressionnant. Certes Krell restait libre , mais a qu’elle prix. Livie n’avait plus vraiment envie de fêter une victoire si tristement obtenue.

Livie, toujours ballottée par le gibier qu’elle chevauchait en direction de Krell, admirait le triste spectacle de la plaine, lorsque son regard fut accroché par le reflet du soleil sur une cuirasse. Elle était porté par un imposant nelda, qu’elle reconnue immédiatement.

Elle tapa sur l’épaule du chef cochon et tendit le doigt en direction de Nils : ***


LaaaaAAABaaa..... CCC’Est lUUiiiii....

*** Le tydale qui semblait plus a son aise que Livie, tourna adroitement sa perche en direction du point montré par la chevaucheuse. Le sanglier prit aussitôt la bonne direction.

Quelques enjambées plus tard, il fallait songer à arrêter le drôle de destrier car les passagers étaient arrivés à bon port.
Le tydale s’adressa à Livie : ***


- C’est le moment de lancer l’outre !

- Qu’ellllle ouuuuutre ????

- Celle que je t'ai donné tout à l’heure !

- Falllaiiiis me dire de la gaaardé.....il YY a longtemps que jeeeEEE l’ai jetée.... t’as pas remarqué..... que j’avais les mAIns autour de ta tAAAille et ce que tu sens dAnnns ton dos c’est pas deuuuux outres !!!!!!


*** Nul ne sait ce qui se passa à ce moment dans l’esprit du conducteur, mais lacha sa perche, faisant tomber l’outre qui était au bout. Le quadripéde alcoolique piqua sur la réserve de liquide et la perça d’un coup de défense. L’arrêt brutal du porcin propulsa ses deux passagers dans les airs. Ils effectuèrent de superbes soleils, vrilles et autres figures artistiques avant de se vautrer lamentablement dans une flaque de boue.
Livie atterrit durement sur son nouveau compagnon compagnon de route. Elle releva les yeux et tomba sur les yeux de ce dernier. Il souriait béatement, l’œil pétillant. Il fallu quelques seconde à la jouvencelle pour comprendre dans qu’elle position cocasse le couple se trouvait. Bien sur, il avait fallu beaucoup moins de temps au tydale pour comprendre la situation, et il semblait savourer l’instant.
Le chef cochon était allongé sur le dos, alors que Livie le chevauchait à quatre pattes, tel deux amants en pleins coïte. Livie sentie alors quelques chose de long et dur vibrer au creux de ses cuisses. La vibration s’accentua et le sourire du conducteur désarçonné grandit encore un peu plus. Sur ce, Livie devint rouge colère, gifla alors le goujat et se redressa vivement. C’est alors qu’elle aperçue la perche sur laquelle elle était assise et qui était agité à son autre extrémité par le cochon alcoolique cherchant son breuvage.

Livie devint rouge de honte. Elle s’ébroua pour chassé la boue qui la recouvra, ajusta sa robe, tourna le dos au rustre et alla enfin soigner ce fameux Aldarin pour qui elle venait de vivre un drôle de voyage. ***


*** Au passage elle gratifia Eldiran d'une courte réponse pour le rassurer : ***

Ne vous inquiété pas, je n'ai pas l'intention d'entreprendre des fouilles pour l'instant. Par contre faudra que je fasse un peu de rangement dans tout ces suvenir un de ces quatres. Comptés sur mas discrétion si j tombe sur des choses trés personnels.


 
Nils

Le Luang 21 Julantir 1508 à 23h28

 
Nils s'affairait à nettoyer et à bander les plaies les plus vilaines. Quand il entendit dans son dos une cavalcade.

Il se retourne et voit arriver à une belle vistesse un des sanglier de combat des Arkhoniens. Son premier réflexe fut de prendre son arme, car de loin il ne vit pas qui montait cette créature. Petit à petit, l'équipage s'approchait, quand tout à coup il reconnu la voie de Livie qui criait

Citation :

LaaaaAAABaaa..... CCC’Est lUUiiiii....


Soufflant de soulagement, il regarda s'avancer la monture. Celle-ci était conduite de main de maître. Quand arrivé près de lui, la bête s'arrêta net. Il vit Lidie et un autre personnage faire une figure d'acrobatie que seul Fenrir était capable de faire, mais lui intentionnellement.

L'atterrissage fut brutal, surtout pour l'homme car Livie, elle se retrouvait dans une situation somme toute cocasse quand on la connaissait.

Nils partie dans un fou rire, quand il vit la claque que prit le chef d'équipage, Nils s'étant aperçu de la méprise de Livie


AH AH AH AH AH AH

Et bien Livieee, ç'e..çest, ah ah , du jolie, ahah , devant tout le monde, ah ah

AH AH AH , non ah ah ah , t'en rates.... ah ah pas une !


Nils était plié en deux.

La connaissant, il se demandait ce qu'il allait lui tomber sur la tête à se moquer comme cela d'elle, mais c'était plus fort que lui


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Celegórn Deléndil

Le Luang 21 Julantir 1508 à 23h31

 
Celegórn avait pris pas mal d'avance et de plus, il courrait vite, très vite.
Le guerrier se retrouva donc bien assez tôt dans la plaine qui abritait Krell. Un grand nelda portant une armure reluisante était plus que repérable, il se dirigea donc en toute hâte vers celui-ci afin de demander renseignement sur la localisation de son superieur.

Des bruits de sabots...
Ils allaient à toute allure, Celegórn s'arrêta dans pour regarder vers la forêt, afin de savoir ce qui allait en jaillir.

Un gros cochon poilu, chevauchée d'un homme sale et de la femme à qui il a proposé la propriété de son âme et son corps.

Le couple chevaucheurs de cochon atterri dans la boue à quelques mètres de lui, il regarda la scène qui en aurait fait rire plus d'un, mais lui, comme à son habitude, resta de marbre.

Le guerrier Tydale attendit que la jeune femme se relève et se remette en marche, il emboita donc le pas et resta aux côtés de la femme.

"J'ignorais que vous possédiez déjà un mâle. J'imagine donc que vous n'aurez nullement besoin que je vous jure fidélité." Ces mots devaient être tout sauf compréhensible pour une personne en bon étât, mais pour quelqu'un qui avait les souvenirs plongé dans un épais brouillard, cela ne voulais sans doute rien dire.

Peu importe, le grand Nelda était maintenant tout proche.


 
Kvethan

Le Matal 22 Julantir 1508 à 01h36

 
Le jeune tydale était passé de la Jérusalem céleste au purgatoire en moins de temps qu'il n'en fallait pour dire bibine.La claque de la chevaucheuse faillit lui décrocher la machoir, mais il ne se départit pas de son sourire béat.

Aaaaah les femmes!

Ceci dit, après cet évènement et ajoutant le fait que la donzelle était chevaucheuse, Kvethan put en déduire l'identité de sa passagère à la poigne d'enfer.Toujours vautré dans la boue, il tourna la tête vers la tydale et l'interpella.

Douce Livie, cette gifle non méritée vaut bien un diner, c'est la moindre des choses....

Le ton de sa voix devint rigolard tandis qu'il reprit.

....Au final l'avenir vous a donné tord, je n'ai pas eu à l'attendre quatre cents cycle ma chevauchée fantastique.Même si elle n'était pas exactement comme je l'espèrai.....

Le trouvère partit dans un fou rire énorme, faisant écho à celui de Nils.

En tout cas....hihi....Bien joué Picolo....hihi

Grumph?...hic....

La séduction est un art, laissez cela aux professionnels

 
Phyldia

Le Matal 22 Julantir 1508 à 08h25

 
*** Un peu plus loin, Phyldia sort enfin de la forêt en suivant le trou béant que le sanglier a creusé dans la végétation. Elle découvre Livie vautrée sur Kvethan et rougit un peu devant cette situation. Elle arrive enfin aux abords de Krell et retrouve Nils, ainsi que Celegórn et les deux chevaucheurs. ***

Om'shir...

*** Puis elle attend, ne sachant pas trop quoi faire. Il semble qu'elle n'ait pas pris le temps de se laver, à en juger par le sang qui recouvre son visage et ses cheveux. Ses vêtements ne sont pas en reste eux non plus, maculés d'hémoglobine et déchirés en divers endroits. ***


 
Livie

Le Matal 22 Julantir 1508 à 21h31

 
*** Livie regarda avec fureur les hilares et le gris. ***


Je vois que les amateurs de baffes sont légions par ici. Réjouissez-vous, ajourd’hui, je suis généreuse, je les distribue gratuitement. Faite la queue je commence de suite et n’ayez pas peur il y en aura pour tous, ça vous changera du jour où la déesse à distribuée l’intelligence !


*** Sans attendre de réponse, Le chevaucheuse se dirigea vers le guerrier à terre et qui lui, avait eu la sagesse de ne rien dire, enfin le pouvait-il ?
Livie s’agenouilla prés du mourrant et invoqua plusieurs sorts de soins. Quelques instants plus tard, il fut entouré d’une aura bienfaitrice. Les plaies se resserrèrent, les saignements s’arrêtèrent, la vie reprenait le dessus peu à peu. Le plus dur était fait, maintenant la nature et les soignants de Krell feraient le reste.

Livie se redressa, et se retourna vers les membres du groupe pour voir s’ils étaient calmés.
Elle observa minutieusement l’arrogant couché dans la boue. Son visage ne lui disait rien, mais cette voix... hum, il était grand temps d’ouvrir un nouvel ouvrage tombé au sol de sa mémoire. Un puis deux puis trois souvenirs plus loin, elle tomba sur un drôle de souvenir...hum, hum, intéressant.... hum, Livie se mit à sourire légèrement. Cet étrange souvenir d’un autre l’amusait, il fallait qu’elle en discute avec le maître des arcanes un jour, ça pourrait être intéressant. Bon ça ne réglait pas son problème, elle n’avait toujours pas mis un nom sur l’individu qui se trouvait vautré dans la boue. Pas même une vague histoire, malgré l’allusion qu’il avait faite sur une chevauchée fantastique de 400 cycles. Pas clair tout ça, et ça ne lui plaisait pas beaucoup. ***


Erween dit :
Youhou..... Livie, t’as vue la belle couronne de fleur que j’ai fabriqué pour notre soirée de fête !!! Enfin, je parle surtout pour moi, car pour toi se serait plutôt un diner galant qui t’attends...


Jamais de la vie, et puis elles sont pas assorties avec ta couleur de peau ces fleurs ! Allez on dégage de là, direction Zarlif !

Erween dit :
Oh nonnn.... j’étais tout content de festoyer moi. Tu sais bien que toute bonne aventure fini toujours par un banquait en mangeant des sangliers.


Ouais et on ligote le barde aussi, t’as trop lu de BD étant petit mon bon Erween. Allez hop ! on bouge.

Erween dit :
Mouai ça me donne des idées ta réflexion sur le barde. Chemin faisant, je te dirais qui est allongé dans la boue, car moi je m’en souviens.



 
Celegórn Deléndil

Le Matal 22 Julantir 1508 à 23h11

 
"Il y a de nombreux blessé à Krell, les guérisseurs ne sont pas tous aussi compétant que vous. Vous devriez y aller et aider." Dit le golem Tydale tout en regardant la jeune femme dans les yeux.

Sur ces paroles il se dirigea vers Krell.

"Je vais à la taverne, je partirais tôt pour aller voir Lia."



 
Oda Nobunaga

Le Matal 22 Julantir 1508 à 23h39

 
Chase dit :
Et nous, que faisons-nous?


Eh bien, j'en sais rien...
C'est bien que Krell ait été libérée, mais je n'ai pas le cœur à faire la fête.


Chase dit :
Et où se trouve-t-il, ton cœur?


Celegorn m'a donné envie de voir Lia, il faudrait que je me renseigne sur l'endroit où elle se trouve.
Il faudrait aussi que j'aille rendre une petite visite à Eldiran.


Chase dit :
Ah bon? Et pourquoi faire?


N'étais-tu pas au courant que ce bon Eldiran avait acquis une renommée incontestée à travers toute l'ile en tant que couturier? Je meurs d'envie de tricoter un pull avec lui.

Non mais sans déconner, pourquoi irais-je voir le Maitre des Arcanes, selon toi?


Chase dit :
Oh...


Ouais c'est ça, oh.

Bon, c'est pas le tout, mais mettons nous en route pour Zarlif.


Chase dit :
Euh... dans ces cas-là, on pourrait peut-être faire un bout de chemin avec?


Hein? Oh, tu veux dire avec ton ami Erween, héhé.
Tu n'as qu'à aller le voir si ça te chante, je ne vais pas m'incruster alors que Livie semble tant s'amuser avec Kvethan.


Je m'en vais à Zarlif, dis-je à l'attention de Phyldia.
Je ne sais pas ce que tu comptes faire, mais ta compagnie serait la bienvenue, et puis, ton apparence barbare -bien que te saillant à merveille- aurait sûrement besoin d'un bon bain, héhé.

Je pars devant.


Joignant le geste à la parole, je partis vers Zarlif, à quelques mètres derrière Livie, les mains dans les poches et sifflotant gaiement.

Chase, quant à lui, s'était téléporte à côté d'Erween.


Chase dit :
Très joli, ta couronne de fleur...


C'était amusant de voir ce petit Mou en mal d'amitié.

-Oda Nobunaga-

 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 23 Julantir 1508 à 00h56

 
***
Livie soignait Aldarin, celui-ci avait repris un peu de ses esprits et sa douleur s'était estompée, un peu...
***

- Je vous remercie kielna... fit le parangon, mais ses mots ne semblaient même pas être parvenus a la tydale, qui se leva et se mit en route vers le pont et puis au-delà. D'autres symbiosés la suivirent doucement.
Quelques guerriers dont Aldarin reconnu le nelda Pazurik et le vieux tchaë Toa Manë se rapprocha vers Aldarin.


- Beau combat mon général, hehe... mais te voila en miettes main'tent. Allez, on t'ramène a l'hôsto'. Aide moi Paz', fit le tchaë.
***
Les guerriers levèrent Aldarin sur les épaules et le transportèrent jusqu'à l'hôpital.

En quelques heures, la plupart des blesses y furent aussi transporté et les morts poussiéreux fut empile sur des chariots et disposés devant le petit temple dédié a la Déesse dans Krell. Sur les pratiquement deux cents guerriers qui ont participé a la bataille, soixante-quatorze étaient au-près de la Dame a présent...
De plus, une quarantaine était dans un état grave et il ne demeurait pas plus d'une poignée de gens qui se sont sortie de ce siège complètement indemne. Ceux là aidaient les blessés dans un hôpital de campagne qui s'était étendu a la plupart des granges, dortoirs et casernes libres.
Cela dit, la joie se lisait sur les visages des gens de Krell. Malgré ce qu'ils ont enduré, malgré les destructions, ils étaient libres et en vie.

Les arkoniens, eux, ramassaient les tombés et achevaient leurs blessés, pas de place pour les faibles...
Selon les premières estimations, plus de deux cents d'entre eux avaient rejoints leurs ancêtres, peut être plus, mais les arkoniens ne semblaient pas vouloir perdre leur temps avec te tels calcules.
***

***
A la tomé de la nuit, comme il se doit, le maire de Krell organisa un grand banquet, enfin "grand" dans la mesure des ressources disponible. En tant qu'invités étaient présents aussi les quatre principaux leader arkoniens, Akralik, Kourkhan, Fusik et le chamane Khoulkoul. Leur présence mettait mal a l'aise les poussiéreux, mais sans leur aide, il faut bien le reconnaitre, Krell serait sans doute tombé.
Au milieux de ce banquet, le maire Gomarel Nitschë fit sonner une clochette pour demander le silence.
***

- Mes amis, chers invités, en tant que maire de Krell je me dois lever mon verre en votre honneur. Vous vous êtes tous bravement battu pour la survie de notre communauté et nous vous sommes éternellement reconnaissants. Je tiens a remercier quelques personnes en particulier. Tout d'abord les parangons Leriv Härkl et Aldarin Mor'Nathil pour leur avertissements et dévouement pour l'organisation de la défense de la ville, le preux du crépuscule Anty pour son soutient magique, la Griffe Célégorn Déléndhil et le Hérault Laekh Hildin pour leur bravoure exceptionnelle, j'honore tous les chevaucheurs et les surveilleurs, dont Fenrir, Nils,Livie, Tilith et Arvalec. Je n'omettrait certainement pas notre cher riemto Nobunaga et riemta Phyldia, et les autres personnes qui ont participé a cet bataille, a savoir les remarquables artistes Nimuë, Kvethan et Biad Sieben, le maire fit une pause et regarda dans la direction des quatre arkoniens, Je dois remercier également a nos alliés, pour ainsi dire, tout a fait inattendu le chef Akralik et Khoulkoul son chamane sans qui notre victoire serait bien plus difficile.
Pour finir, je voudrais encore remercier le surveilleur Persmerga, qui , dans ce tumulte de la guerre a risqué sa vie et a subie de graves blessures pour sauver ma très chère femme d'une mort certaine.

Encore une fois a tous ceux que j'ai cité, a tous ceux qui sont ici présents et ceux qui ne le sont plus...
Krell est vôtre débitrice. Et a présent, buvons et mangeons mes amis!


 
Phyldia

Le Merakih 23 Julantir 1508 à 08h26

 
*** Phyldia emboite le pas d'Oda et le suit en direction du pont. ***

Je te suis kielno, j'ai moi aussi envie de revoir Zarlif.

dit :
Youpi ! On rentre à la maison !


Et ne nous indique pas de faux raccourci cette fois ou je te jette dans une rivière.

dit :
Brrr t'es effrayante toi par moment...


 
Aldarin Mor'Nathil

Le Merakih 23 Julantir 1508 à 10h12

 
***
Quelques jours s'écoulèrent depuis la terrible bataille. De nombreux bûchers funéraires furent allumés pour rendre un dernier hommage aux guerriers tombés au combat. Du milieux des petits brasiers, un cairne surplombait les autres. Devant lui se tenaient plusieurs personnes, il s'agissait des proches et amis du vaillant capitaine Voron Romen, qui est mort sur le champs d'honneur.
Malgré les interdictions des médecins, Aldarin y avait aussi assisté. Soutenu par Moniia, il regardait comment les flammes entours le corps de son ami recouvert par un drap blanc.
***

- Tu pense qu'il est en paix? demanda Moniia, elle pleurait.

- Il s'est battu comme un lion, Voron était fort dans la vie, il sera fort dans l'au-delà. Il est aux cotés de la Dame et un jour nous le révérons,... mais pas encore... , dit Aldarin. Son visage souriait pour réconforter Moniia, mais dans son fort intérieur Aldarin était affligé. Il s'est promis de protéger ses amis, mais il a échoué de sauver Voron.

"Pour quoi devait-il mourir? Si seulement je me serait parvenu a dégager plus tôt, Voron vivrait peut-être encore... si seulement..."


Kurrare dit :
Tu n'aurais rien changé, tu as vu la vitesse avec laquelle l'arkonien l'a haché? Il s'était mesuré a bien trop fort que soi. D'ailleurs toi aussi, mais tu as eu plus de bol toi...
Pleurer le passé sert pas a grand chose mon vieux, tu le changera plus.


***
Kurrare avait raison. Encore a Kryg, a l'académie on lui a enseigné l'importance du stoïcisme pour les officiers. La bataille n'est pas un jeu, des vie y son perdus. C'est une règle. Il faut l'accepter et continuer a vivre avec.
***


"Je comprends ce que tu pense Kurrare, mais je ne vais pas oublier."

***
Aldarin récita mentalement une courte prière pour les défunts avant de se retourner et marcher lentement vers la ville.

Le soir on on le convoqua a une réunion. Cela lui semblait étrange, car normalement avait légué toutes ses responsabilités a son ami Leriv Härkl, le temps de sa convalescences.

En arrivant sur le lieux du la réunion, il s'aperçut que la majorité des symbiosés encore présents a Krell y étaient aussi invités. Aldarin jeta un regard froid a quatre arkoniens qui étaient aussi présents.
***


- Om'shir riemto Mor'Nathil, fit le maire aussi sur place, Nous voila pratiquement tous au complet. Bien.
Nos amis arkoniens vont bientôt lever camps, mais désirent encore nous parler. Ils tenaient a ce que les élus qui ont combattus soit présents. Je leur laisse donc la parole...


Le chamane Khoulkoul se leva.


- J'ai eut une vision la nuit dernière. L'esprit de la cave-mère m'a avertie du danger que devient le perfide Patriarche de notre cave et son serviteur renégat... Mais l'esprit m'a aussi appris qu'il ne serait pas sage de les tuer maintenant... ils doivent encore faire des choses qui auront une bonne incidence pour nous tous, si toute fois ils ne terminent pas entièrement leur projets. Et c'est pour cela que Akralik et moi devons partir maintenant. Nous aussi nous avons des desseins a accomplir pour pouvoir réclamer notre cave-mère.
Ainsi donc nous nous retrouverons peut-être avec certains d'entre vous pour remplir vôtre part du marché en nous aidant a votre tour.
Dans trois de vos mois, nous reviendrons ici.
Rétablissez vous et n'oubliez pas que vous avez donné votre parole. Nous avons tenu la votre.

***
Sur ces derniers mots, les arkoniens se levèrent tous et sortirent de la ville.
Au petit matin, leurs camps étaient désert...
***


 
Celegórn Deléndil

Le Julung 24 Julantir 1508 à 22h16

 
Après une petite journée passé à Krell, Celegórn s'en alla.
Il aperçus tout de même Veiglaigh accompagné Lessien Singollo, mais il ne leurs adressa qu'un bref regard, son attitude ne changeait pas d'un poil, il était toujours inexpressif et froid.

Le grand guerrier sorti de la ville et prit la direction de Syrinth.


 
Nils

Le Vayang 25 Julantir 1508 à 09h34

 
Nils avait attendu l'arrivée d'Aldarin à cette réunion.

Après les paroles de Khoukhoul, Nils n'eut qu'une réponse.

Il salua d'un signe de tête approbatif.

Oui, Nils avait donné sa parole et oui, il ira les aider si nécessaire.


Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.

 
Gianduja

Le Vayang 25 Julantir 1508 à 14h46

 
Gianduja rayonnait de bonheur dans les cérémonies qui lui sont plus familières que les batailles.

Sa brève mission achevée, elle décidât de partir pour Zarlif, où le Maître des Arcanes saurait la faire progresser dans l'art magique.


Au revoir Krell, que la Déesse soit avec toi, et toi avec Elle !

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