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Le Dhiwara 18 Manhur 1508 à 00h34
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 | Je suis arrivé avec ma sitar à la main et mon épée courte, récemment acheté et pendant à ma ceinture, sur les bords d une rivière, la Disfria, On m a parlé d'un combat que s'apprêtait à livrer un petit village contre toute une armée d'Arkoniens. Ce village s'appelle Krell et a besoin d'un conteur pour qu il reste, que ce soit dans la victoire ou dans la défaite, dans l'histoire, dans l'imaginaire et dans les archives de l' Equilibrium.
Et puis peut-être que je me mêlerai au combat ...
Je vais voir une bataille désespérée , raconter l'histoire de guerriers au courage hors normes, chanter leurs épopées et me battre aussi, bref je vais me sentir vivant, j ai hâte...Attendez moi , il vous faut le guerrier conteur, le poète amant des combats, j'arrive ...
dit :
Pff, c'est çà, c'est çà, en attendant le conteur devrait apprendre à marcher sans s'essouffler avant d'espérer de faire un combat digne de ce nom, si tu te bats, je préfère fermer mes yeux car je ne veux pas voir le rire de tes adversaires...
Je suis impatient de te prouver le contraire, et pas qu'à toi, n'est ce pas Hakim?...
dit :De qui parles tu ? | |
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Le Dhiwara 18 Manhur 1508 à 17h53
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Le repas commençait a venir vers sa fin, les invités se sont bien rassasié. La maire s'essuya la bouche et s'adressa au parangon tydale.
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- Riemto, c'est bien de vouloir se défendre, mais dites moi, avez vous une idée pour quoi cette invasion a lieu?
Aldarin piocha dans sa veste pour sortir un parchemin et l'ouvrir sur la table en la poussant vers le maire.
- Je ne suis pas sure, mais en regardant la carte de la région j'ai remarqué des détailles intéressants... regardez...
- Selon moi, il n'est pas impossible que les arkoniens tentent "simplement" de nous expulser de ce territoire. Ils ont déjà détruit Dia, il y a des années et si Krell est prise, ils contrôlerons le pont qui est facile a tenir même contre une importante armée poussiéreuse...La Disfria est une pseudo-douve naturelle difficilement traversable même en bateaux et elle ne gèle pas en hiver, Les Montagnes sont une muraille naturelle de côté du Matriarcat et au nord, la route des îles est facilement défendables également.
Si ça se trouve, nous subissons le fruit de l'ambition d'un Chef de guerre arkonien issue son entreprise pour se créer un royaume que j'ai délimité sur le plan...
Et si je ne me trompe pas, abandonner Krell serait comme faire un cadeau à ce chef. Il nous faudrait alors tenir la ville, même si on évacue la population civile. | |
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Le Merakih 21 Manhur 1508 à 01h33
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| Aldarin regarda le nelda prendre la parole, mais il ne pue s'empêcher de sourire quand au nombre de soldats évoqué par Persmerga.
- Oula mon brave! Vous êtes bien enthousiaste et optimiste ce soir.
Vous avez bien raison, il nous faut poster les soldats sur les mures d'enceinte. Mais n'oublions pas la taille de la besogne. Du Nord vont venir environ deux-cents arkoniens et une belle centaine viendra de l'Est, des deux camps secondaires.
Je vous propose d'emmener vingt-cinq archers et une vingtaine d'hommes d'armes. Riemto Anty et Arvalec se positionneront avec vous.
Sur le flanc Est nous pourrons poster quinze archers et autant d'hommes d'armes et j'y attribuerais riemto Härkl et moi même. Ainsi les Surveilleurs se chargerons du Nord et nous les soldats d'escorte de l'Est.
Cela vous convient? Bien entendu je prevois environ vingt-cinq soldats en réserve sous le commandement de riemto Veiglaigh.
A ces mots le capitaine se leva de son siège et s'adressa d'une voie emprunte d'indignation a parngon.
- Je ne vous ai pas entendu dire quelle serai MA position?! Que dois-je en comprendre?
- Allons donc nom ami, je comprend vos sentiments, mais vous n'êtes pas encore apte a vous battre dans l'état où vous êtes... Et en vous exposant a une mort certaine, priver Krell de son capitaine ne contribuerait pas aux moral de vos troupes dans les jours a venir. Vous devez être d'accord avec moi sur ce point, Capitaine.
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Le capitaine Romen marmonna quelque chose sous sa barde, mais ne se prononça pas davantage.
La table était a présent pratiquement vide, a moins que quelqu'un aie encore quelque chose a rajouter ou demander, cette entrevu serait terminée. Et les invités pourraient (enfin?) prendre congé.
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Le Merakih 21 Manhur 1508 à 20h01
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Leriv soupira d'aise. Etre placé sur le même front que le nelda ne l'enchantait guère, et ce fut avec joie, bien que ce fut imperceptible, qu'il acquiesça de la tête lorsqu'il fut assigné à la défense de l'est.
Il ne pris cependant pas la parole, trop heureux de pouvoir vaquer à ses occupations, et régler quelques différents avec un voleur de livre.
Il garda cependant en tête que le gros du combat restait à venir, et qu'il ne reviendrait peut-être pas vivant. Mais tout cela importait-il?
Voulant montrer qu'il considérait que l'entretien était fini, , le marqué se leva, et, sans un mot, se dirigea vers la porte de sortie.
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Le Julung 22 Manhur 1508 à 19h03
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| La cité de Krell n'est plus qu' à cent mètres, l'état de guerre est évident, des personnes approfondissent un fossé, des gardes se tiennent sur la palissade, en scrutant l horizon, j ai du être vu...
Comment vais je donc me présenter ?
Biad sourit.
dit :Mais tu es vraiment sénil , tu vas te faire abattre par le camp que tu viens rejoindre, vu qu ils ne sont pas au courant de qui tu es, et cela te réjouis en plus !!!
Me voici, me voilà,
Biad pour vous servir,
Et peut être même mourir,
Et donner sa vie, à toi,
Krell!!
Un vieux garde vint à la rencontre de ce curieux musicien, qui chantait bien mais qui apparaissait curieusement comme un guerrier accompli en plus d'être chanteur ...
Un exalté, vu notre nombre cela ne nous fera pas de mal, songe le vieux soldat ...
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Le Julung 22 Manhur 1508 à 20h56
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Il semblait a Aldarin que tout fut dit. Il ne semblait pas y avoir de questions. Il regarda comment Leriv Härkl quitte la table, le tchaë semblait presque heureux et souriant, imperceptiblement certes,mais assez pour que le tydale qui a passé un bon bout de temps avec ce magicien, le remarque.
Aldarin restait encore un peu pour éclairer quelques détailles techniques avec le Capitaine. Il ne remarqua pas le moment précis quand le Preux du crépuscule remercia l'hôte pour la soirée et sortie suivie par les surveilleurs.
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*** Pendant ce temps aux portes de la ville... ***
En s'approchant, le vieux garde ne pouvaient toujours pas distinguer nettement le visiteur nocturne. Arrivé a une longueur d'épée, il s'adressa à l'étranger.
- Om'shir riemto, quelle bon vent vous amène? Etes vous un guerrier? Un barde? Un mercenaire peut-être? Quoi-qu'il en soit, vous tombez très bien! Krell a besoin de bras capables de se battre, le maire vous payera si vous nous aidez...
Qu'en dites vous? | |
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Le Sukra 24 Manhur 1508 à 01h17
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| Le garde écouta le tydale et hocha la tête à la dernière phrase.
- Je vois, je vois... un exalté, comme je pensait... se dit il. Et bien suivez moi riemto.
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Le grade se dirigeât vers l'intérieur de la cité, le tydale le suivait. En passant le portail, Biad pouvait remarquer l'épaisseur respectueuse de la palissade de Krell. Ils marchaient un court instant pour arriver devant une large maison, qui pouvait faire penser a un petit palais.
Le garde salua son camarade et se retourna vers Biad.
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- Suivez mon ami, il vous conduira vers le maire. Je retourne a mon poste
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Le second garde, un jeune nelda, incita Biad de le suivre a son tour vers l'intérieure de la maison.
Celle-ci était richement décoré, avec goût il fallait dire. Enfin Biad arriva devant une massif porte qui s'ouvrit sur un somptueux salon, une cheminé projetait une lueur rougeâtre dans la pièce, un tchaë et deux tydale étaient assit autour d'une table de laquelle des domestiques enlevaient les reste de ce qui devaient être un grand repas.
Le petit tchaë se leva et le garde lui chuchota quelques mots. Il regarda le tydale barde de la tête aux pieds, puis ses yeux se fixèrent sur un cube gris qui regardait la scène du haut de l'épaule. Pour l'occasion, on pouvait vraiment dire "hauteur", car le tydale mince était particulièrement grand.
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- Om'shir voyageur élu! Tu viens donc apporter main forte a ma ville, c'est bien cela? Hmm...
Je me présente, je suis Gomarel Nitschë, le Maire de Krell; voici le Capitaine de la garde Voron Romen et à ma gauche se trouve le Parangon Aldarin Mor'Nathil. A qui ai-je l'honneur? | |
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Le Sukra 24 Manhur 1508 à 18h31
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| *** Comme émergeant d'une longue transe, Anty laissa tomber son masque d'indifférence pour s'adresser à ses subordonnés, l'air sombre. ***
La bataille n'a pas encore commencée que déjà des dissentions plânent. Mais peut-être n'était-ce qu'une fausse impression...
*** Il prit une ample respiration, avant de se tourner vers Persmerga et de reprendre : ***
Le nombre importera peu, comparé à la force morale qu'il nous faudra déployer. Les Arkoniens sont une menace, certes. Ils ont déjà prouvés par le passé être capable de se montrer aussi cruels que lâches... mais que cherchent-ils réellement ? Nous parlons d'un peuple, pas d'un ramassis de créatures sauvages, ils doivent avoir des chefs et des lois. Leurs meneurs ont certainement une idée en tête, on ne met jamais en péril sa propre survie en ayant rien à gagner en échange...
*** Le groupe de Surveilleurs émergea alors hors du bâtiment, la brise fraiche tira le Preux de ses réflexions. ***
Je vais aller inspecter une fois encore les défenses, vous devriez aller prendre du repos... ce sera une longue journée, une de plus, et sans doute pas la dernière. | |
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Le Dhiwara 25 Manhur 1508 à 10h25
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| Il faisait nuit, une nuit sombre dont les nuages couvraient la Lune. La troupe de renforts, accompagnée des deux chariots, évoluait maintenant rapidement, débarrassée du ralentissement que causait la marche en forêt: en effet, les soixante soldats parcouraient maintenant la plaine qui les séparait de Krell. On pouvait déjà voir les lumières de la ville, ce qui redonnait du moral aux troupes. Premièrement, la ville n'était pas rasée ou en ruine, et deuxièmement, le groupe y serait sous peu.
...eh bien, voilà une affaire pas si mal menée!...soixante soldats, des armes et des vivres, c'est parfait!...
dit :
...mouais, t'as été un peu long quand même tu trouves pas?...
Ils ouvrirent rapidement la porte, heureux de voir de nouveaux soldats venir leur prêter main forte.
On s'arrêta, on fit le compte...
Soixante soldats, déjà équipés, dont quatre symbiosés; deux chariots avec au moins assez d'armes et d'armures pour une cinquantaine de personnes, des munitions, des vivres pour un peu plus d'une semaine, voire deux en mangeant peu, et aussi des médicaments.
La troupe s'engagea vers la grand' place de la ville afin d'avoir le maximum de place pour répartir tout le matériel. | |
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Le Dhiwara 25 Manhur 1508 à 15h59
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Avant que le barde/guerrier aie le temps de se présenter, un garde entra précipitamment dans la sale et oubliant même de saluer qui que ce soit, il annonça au maire.
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- Nêrhe! Nous avons une soixantaine de soldats aux portes de la ville, ils prétendent être les renforts menés par un certain Lak Hild...Que doit-on faire?
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Le capitaine se leva de la chaise comme un ressort, en colère pour le manque de discipline du garde, mais le maire leva une main pour lui indiquer de ne rien dire. Gomarel se tourna vers le Parangon, celui ci semblait se concentrer puis ses traits du visage se détendirent pour laisser place à un franc sourire.
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- Riemtos, il s'agit de mon Jïrhe Laekh Hildin. Il viens de Syrinth. Un peu en retard que prévus, mais a temps pour la bataille, c'est ce qui compte.
Nos soucis d'approvisionnement seront résolus pour un temps avec lui. répondit le tydale à la question tacite du maire.
- Et bien laissez les entrer, vite vite! Soixante hommes, nom de nom! Krell n'a jamais accueillit autant de soldats depuis bien des années, pas en tout cas le temps que je suis maire... dit le maire.
- Je le pense pas qu'il y a assez de place dans la caserne pour tout ce beau monde. Se prononça le Capitaine.
- Allons, la place se trouvera si on cherche un peu. Vous pouvez toujours réquisitionner une grange ou deux. Vous pouvez vous en occuper capitaine?
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Le capitaine hocha la tête en signe d'approbation et en saluant le maire et le parangon, il s'en allât vers le nouveau cortège de guerriers. "De toute manière, après demain il y aura déjà plus de place..." se dit-il en rapport avec les prévisions de pertes qu'a évoqué riemto Mor'Nathil plus tôt dans la soirée.
Dans la sale il resta donc que le maire, Aldarin et le nouveau barde. L'attention du maire se reporta de nouveau vers ce dernier.
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- Excusez nous de cette interruption, alors reprenons, comment vous appelez vous et que voulez vous en échange de vos services riemto mercenaire? | |
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Le Dhiwara 25 Manhur 1508 à 16h12
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Veiglaigh, installé discrètement sur le toit d'un bâtiment du bourg afin de surveiller les environs, vit avec satisfaction les renforts arriver.
N'ayant rien observé de particulier et voyant le Preux du Crépuscule se diriger sur la grande place, il descendit prestement afin de le rejoindre pour prendre ses ordres.
Anty expliqua au Tydale qu'il devrait rester dans le bourg afin de coordonner les envois de renforts sur le lieu des combats et prodiguer des soins à ceux qui en auraient besoin....Le Surveilleur rappela à cette occasion qu'il pouvait aussi réparer le matériel endommagé.
Puis Veig' partit aider à la mise en place des barricades et condamner les accès de la cité.
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Le Dhiwara 25 Manhur 1508 à 17h58
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Le Capitaine observa le Hérault un court instant et à priori il paraissait satisfait du guerrier qui se tenait devant lui. Le capitaine quand a lui était pratiquement aussi grand que Laekh, mais son corps semblait taillé dans un bloque de granite, un cou de taureau attachait une tête rasé de prés à de larges épaules. Leakh pouvait estimer que le capitaine pouvaient avoir autour de la trentaine.
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- Om'shir jïrhe Hildin. C'est bien que vous soyez arrivé encore a temps. On commençaient a penser que vous vous êtes égaré en route.
Il fit une courte pause avant de reprendre.
Mais quoi qu'il en soit, nous devons vous trouver un logis. Nos casernes ne sont pas assez grandes pour accommoder tant de soldats, vous viendrez avec moi pour que je vous montre des granges où une part de vos troupes devra s'installer. Sur vos soixante hommes, vous choisirez quarante pour s'installer ici, il pointa du doigt un bâtiment, et ici, en pointant un autre bâtiment en face du premier.
C'est pas le grand luxe, mais c'est le mieux que nous avons a vous proposer.
Ensuite, pour demain, il faudra réparir voter groupe en trois sous groupes, un ira au mure Nord, un au mure Est et un en réserve.
Maintenant suivez moi, je vais vous montrer où déposer tout ce bazar que vous avez apporté... | |
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Le Luang 26 Manhur 1508 à 00h24
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Un peu plus loin de nouveau devant la porte Est de Krell, si souvent emprunté, encore et toujours avec ce vieux garde tydale.
Les derniers travailleurs étaient rentrés dans la ville, ils ont œuvré depuis une semaine pratiquement sans arrêt pour terminer les défenses, chose enfin faite.
Mais curieusement, le garde ne pouvait s'empêcher d'entendre des voix au loin, pas des hurlements, par moment il croyait distinguer même quelque mots en shaÏ. C'était impossible, tout les soldats et ouvriers sont rentré. Cette nuit était la première nuit de permission - et la dernière sans doute aussi.
Mais pourtant, les voix semblaient venir de plus en plus fortes pour enfin devenir des demandes d'aide articulé à la hâte par une gorge sans doute tydale.
Le vieux garde se leva pour scruter le terrain devant la porte. Au bout de quelque minutes il distingua une bande de personnages qui se rapprochaient de la ville. Peu de temps a cela, le vieux remarqua d'autres figures, plus grandes et plus volumineuses. Une chimère? songeât le garde, en distinguant six membres et les deux têtes des créatures. Affolé, il porta un clairon usée a ses lèvres et fit sonner l'alarme.
Le son du clairon se répandit au travers Krell, les sentinelles commençaient immédiatement à s'affairer.
Qu'allaient faire les élus?
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