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Le Vayang 28 Marigar 1508 à 19h59
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| *** Après la beuverie de la veille, Adrian eu du mal à se décider de quitter la perle, mais s'il ne suivait pas le mouvement, il se ferait rapidement distancer!
C'est la tête dans un étau qu'Adrian fit les premiers pas dans le désert.
Après quelques centaines de mètre, Adrian se retourna vers Arameth, une expression triste dans le regard ***
A bientôt...
***
Après quelques secondes, Adrian se retourna, en route pour de nouvelles contrées.
Tout en sachant qu'il ne reverrait pas la perle pendant de nombreux mois, Adrian s'imagina déjà les fabuleuses aventures qu'ils allaient vivre tous ensemble.
Et après deux heures de marche, Adrian reprit son air guilleret et commença à chanter ***
Dans le port d'Arameth
Y a des filles qui m'regrètent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Arameth
Dans le port d'Arameth
Y a des tapins qui dorment
Ma pensée les enflammant
Le long des rêves ardents
La vie n'est qu'un perpétuel essai, alors essayons!
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Le Sukra 29 Marigar 1508 à 00h50
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| *** Une chanson terminée, une autre devait suivre...
***
«
"un kilomètre à pied... ca use ca use
un kilomètre à pied... ca n'use pas un Tchae!!" »
*** Ad libitum... arreter avant de devenir pénible est souhaitable... Arthur vous dirait vers deux ou trois mille kilomètres... ***
Le chambellan se tourna vers ses acolytes:
Voyons voir... qui va faire la cuisine ce soir... j'ai hâte d'y être...
alors? qui se dévoue ? | |
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Le Sukra 29 Marigar 1508 à 23h27
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| *** Adrian continua à marcher tranquillement, peu avant de quitter le désert, Adrian se baissa et ramassa une poignée de sable qu'il fourra dans sa poche ***
Une petit souvenir çà ne fait pas de mal...
*** Adrian arriva prêt du feu de camp et s'assit, las, aux côtés de Sandolphan ***
Pfiouuuuu... je suis éreinté, nous sommes déjà bien loin de la perle, nous menons peut être un rythme de marche un peu trop élevé pour l'ensemble de nos confrères. Il faudrait peut être ralentir!
Quand aux Tchaës que nous avons croisés sur la route, d'ailleurs je les vois encore d'ici, il ne me semble pas être des mendiants, mais plutôt des tueurs de la fraternité du désordre!
On ne sait jamais, on attend que tout le monde arrive, une fois regroupé on pourra continuer à avancer!
La vie n'est qu'un perpétuel essai, alors essayons!
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Le Luang 31 Marigar 1508 à 22h32
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| Soupir...
Elle y était.
De nouveau sur les routes.
Cela faisait si longtemps, presque une autre vie si elle prenait en compte sa "résurrection" - à cette pensée la tydale ne put s'empêcher de prodiguer une petite caresse de gratitude à la petite chose molle cachée au fin fond d'une de ses poche et à l'origine de ce "nouveau départ"- ... Mais les conditions n'étaient plus du tout les mêmes...et les objectifs non plus...
Mearha évita de s'appesantir sur ce sujet, et tout en marchant elle se mit à repenser à la façon dont s'était déroulé ce départ, c'est à dire dans la plus complète dispersion!
Elle ne comprenait pas pourquoi il n'y avait pas eu un ordre de rassemblement général de la part du Chambellan à tous les participants de l'expédition afin de permettre un départ groupé. La hâte et l'euphorie du départ avait certainement dû troubler le responsable de la Recherche pour qu'il déroge ainsi à cette règle simple. Et puis... elle s'était un peu attendu à prendre le départ de l'expédition au côté de son confrère et collaborateur Adrian Stase, mais... soit.
Ainsi le ton de l'expédition était donné: il n'y aurait pas d'attention particulière à son égard et c'était probablement bien mieux ainsi.
Cheminer seule n'effrayait pas outre mesure la tydale, mais après quelques heures de marches dans le désert et le soir tombant elle fut tout de même soulagée d'apercevoir le camp de fortune que ces confrères avaient montés pour passer la nuit. En s'approchant du petit groupe elle constata qu'elle n'était pas la dernière à arriver: il manquait encore plusieurs participants.
Arrivée à leur hauteur, elle les dévisagea brièvement un par un en lançant un simple « Aysh'hin à vous confrères » Puis elle déposa son barda près du feu qu'ils avaient dû allumer il y a peu, et son regard de cuivre ne tarda pas à se perdre dans la danse des flammes... Au bout de quelques instants elle parut se resaisir et demanda à la cantonnade « le départ s'est-il bien déroulé pour vous tous? »
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Le Matal 1 Astawir 1508 à 01h55
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| Quelle joie de vous compter enfin parmis nous chère Mehara
*** commenca le chambellan ***
La première partie du trajet étant pour nous tous confrères symbiosés une sinécure, il n'était pas necessaire de plus de précaution, mais à partir de maintenant les choses se corsent...
***
Il jeta une poignée d'herbes odorantes dans le feu d'Adrian, et se répandit alors une étrange odeur souffrée plutôt désagréable... ***
Voila qui devrait tenir à l'écart les moutiques et autres désagréables suceurs de sang...
Hum ou en étais-je... Ha oui bien sur, la sécurité...
Hum seront désignés comme éclaireurs pour le moment:
Sandolphan et Adrian... leur talent en la matière n'est plus à démontrer, ce qui siginifie que personne ne devra se trouver sur la route avant eux...
Je jouerais pour le moment le rôle de serfile tout en conservant ma tache de navigateur...
Chacun est il bien au fait de ses devoirs et autes joyeusetés?
*** Un sourcil se leva... le gauche... et lui seulement *** | |
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