Les Mémoires de Syfaria
Hors de toute région civilisée

le Berceau des Illusions

où l'on trouve un enfant abandonné
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Sujet lancé par Narrateur
Le 04-04-1508 à 05h58
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Posté par Aspar,
Le 24-05-1508 à 22h03
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Fenrir

Le Matal 6 Manhur 1508 à 13h20

 
*** Finalement la stratégie du Chevaucheur avait fonctionné: la situation avait désormais quelques peu changé. Quoique...

Grommelant tout bas. ***


Pfff après une fillette, voilà la bête... Et en plus il ne semble pas pouvoir nous être utile à quoique ce soit...

Je trouve la question de mon ami ici présent assez pertinente: Vous êtes quoi? Je ne reconnais pas votre espèce...

Et puis j'aurais moi même une interrogation: après nous avoir poser la question "Qu'est-ce qui existe vraiment ?", vous nous sortez ensuite la la fillette que nous recherchons "n'as jamais existé" mais vous nous avez également dit qu'elle "a été l'offrande"... Alors deux points sur tout ceci:
- Dans quel but aurait-elle servi d'offrande?
- De plus si elle "a jamais existé", comment aurait-elle pu servir d'offrande?


*** Fenrir regardait la créature sans montrer la moindre frayeur, mais l'absence d'intérêt pour celle-ci commençait à pointer dans ses yeux, les non sens multiples commençant à l'exaspérer... ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Livie

Le Matal 6 Manhur 1508 à 21h14

 
Celegorn, maintenant que tu es devant, ne pert pas ton temps à défoncer cette porte. Prend donc ce trousseau de clé et sert toi-en.

Livie joignit le geste à la parole.

Erween regarda chase tout émoustillé


Erween dit :
Ah oui tu as remarqué, quel oeil... moi aussi elle me plaît. J’espère pouvoir m’offrir une coiffe un de ses jours. Et toi, qui a déjà un grand et beau sourire, tu rêve de quoi ?



 
Oda Nobunaga

Le Matal 6 Manhur 1508 à 21h43

 
La route s'arrêtait là, devant cette massive porte...

Ohoh, on va enfin pouvoir utiliser sa dextérité mon p'tit Oda, héhé! Elle a l'air imposante, en plus! Mais elle ne résistera pas longtemps à mon doigté!


"Prends donc ce trousseau de clé", avait dit Livie à Celégorn.

Tu avais des clés?! Je vais finir par me dire que je ne sers vraiment à rien ma petite Livie.
Enfin, je suppose que c'est plus facile comme ça, héhé.


L'air blasé, et les mains dans les poches, j'attendais donc la suite des évènements.

De son côté, chase discutait avec Erween.


Chase dit :
Moi? Eh bien... c'est d'une couronne que je rêve...








-Oda Nobunaga-

 
Livie

Le Matal 6 Manhur 1508 à 21h58

 
je te sens déçu Oda. Une trappe au sol, on a les clés, c'est trop simple pour toi.
Pour moi aussi. ça cache quelque chose. Je ne sais pas ce que l'on va trouver derriére cette porte, mais je m'attends à des difficultés.


Erween dit :
Une couronne... pas mal... ça me donne des idées... je crois que ça m'irai bien aussi.



 
Celegórn Deléndil

Le Matal 6 Manhur 1508 à 22h37

 
Celegórn pris alors les clef et commença a ouvrir la porte.

"C'est justement parce qu'on ne sais pas ce qui nous attend que je suis devant, si y'a une volée de flèche, je serait touché, mais vous serez un minimum protégée, la belle demoiselle le sera le plus en tout cas, quant a la personne qui ne sert a rien, il est très probable qu'elle se prenne le reste des flèches, en tout cas, les flèches hautes, ce qui protégera Lia."
Dit-il en finissant d'ouvrir la porte, jetant un coup d'oeil a ce qui se trouve au delà.


 
Narrateur

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 00h05

 
Dans l'Hatoshal

Flottement, le bruit du vent et des feuilles. La créature ne semble porter aucune attention à l'ironie de Ner'hion ou à l'agacement de Fenrir, en supposant qu'elle soit réceptive à de telles émotions. Elle reprend au bout de quelques secondes, répondant tranquillement aux questions de ses deux interlocuteurs.

Je suis ce que vos pairs nomment une
Chimère. Mais les poussiéreux des alentours m'affublent de bien d'autres noms. L'offrande a scellé le pacte . Elle était la contrepartie. L'enfant n'a jamais existé. D'ici une ou deux générations, peut-être moins, elle et les siens seront tombés dans l'Oubli. Bannis de l'histoire, bannis des mémoires. Le monde poursuivra sa course comme si ils n'avaient jamais existé.

Puis elle se tait, laissant de nouveau les sons étranges de la forêt et des éléments envahir l'espace, laissant de nouveau la parole aux deux neldas. Le vent continue de souffler, un peu plus fort, et les nuages de l'orage se concentrent au-dessus de leurs têtes dans un ballet sombre.


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Dans le Moulin

Après les nombreuses serrures ouvertes, pas toujours aisément, le trio peut enfin pénétrer dans une grande salle, visiblement unique. Une caverne sombre et large un peu plus accueillante, couvertes de tapisseries chaleureuses. La pièce est aménagée comme une salle secrète, avec un large lit et un bureau, des coffres et des armoires. Ainsi qu'une foule d'objets décoratifs en tout genre. Le tout est riche et précieux, mais ne semble pas avoir été visité depuis bien longtemps. L'humidité n'a pas prise ici et c'est davantage de la terre et du bois qui constituent les murs que de la pierre froide. Il y a plusieurs bougies ici et là, ainsi que des lampes à huile qui, une fois allumées, donnent un bon aperçu de l'étrange cavité au trésor. Nul danger, nulle menace. Sa seule protection semble être le secret dans lequel elle est enterrée.

Nos aventuriers ont devant eux la fameuse pièce, mais encore faut-il trouver ce qu'ils cherchent.


 
Fenrir

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 08h46

 
*** L'intérêt du Chevaucheur se réveilla soudain à l'énoncé du mot "pacte". ***


Un pacte?! De quel genre de pacte s'agit-il? Un pacte avec qui? Avec vous? Et puis qui a conclu se pacte en utilisant la jeune fille?
Par contre quelques chose me chiffonne quant à ce que vous avez dit:
Les membres de sa famille ont commencé à mourir bien avant qu'elle ne disparaisse elle même dans cette forêt. Après sa disparition, il ne restait guère plus que sa propre sœur. Est-ce ce que vous voulez dire par "contrepartie"? Qu'elle était la récompense pour tout ces morts?!
Enfin, doit-on comprendre qu'elle même est morte? En ce cas pourriez-vous nous conduire auprès de sa dépouille?


*** Les questions affluait dans l'esprit du Nelda, et il les balançait aussi vite qu'elle lui venait sans se préoccuper de l'ordre dans lequel il les énonçait. ***


Loki dit :
Faudrait vraiment que tu apprennes à mettre un peu d'ordre dans tes pensées...


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Oda Nobunaga

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 10h51

 
Ohoh! Fis-je gaiement en entrant dans la salle secrète.

On ne rencontrera pas de danger ici, mais nous n'avons pas perdu notre journée pour autant, héhé. Si vous le permettez, je m'en vais examiner les coffres et les tiroir pour... trouver quelque chose; un souvenir des Novogeld... pour Lia bien sûr.

Mais si elle n'en veux pas...

C'est donc en chantonnant que j'entamais ma quête.


-Oda Nobunaga-

 
Celegórn Deléndil

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 15h46

 
Celegórn regardait l'ensemble de la pièce, observant minutieusement le sol, les murs et le plafond.

"Si tu voles quelque chose, je te couperai la main."
Dit-il en continuant son inspection.


 
Aspar

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 15h59

 
*** Aspar reste au centre de la pièce, il tient Lia contre lui et regarde un peu partout sans rien oser toucher. Il laisse échapper un bref éclat de rire cristalin pour toute réponse à la menace proférée par Celegórn, rire qui vient se répercuter sur les parois de la salle en un étrange échos. Finalement, il s'approche du meuble le plus proche de lui et commence à ouvrir une première porte, puis une seconde, notant ce qu'il découvre. ***


Puisse la Dame nous soutenir pendant ces heures sombres,
Alors que l'ennemi avance vers nous sous forme d'ombres.

 
Oda Nobunaga

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 16h43

 
Tout en inspectant, je répondit au Tydale avec un air faussement vexé:

Alors c'est comme ça que tu me considère... comme... comme un vulgaire voleur...
Après tout ce qu'on a vécu ensemble...


Puis, avec un léger rictus et sur un ton narquois:

Mais bon! Quoiqu'il en soit, je prends note de ton avertissement, fier parangon de la veuve et l'orphelin, héhé.
Mais dis-toi bien que de toute façon, avant même que tu n'aie pu faire un semblant de mouvement agressif -et ça c'est notre combat contre les Mandragoras qui me le dit-, tu te retrouveras en train de frapper le vide -mais j'ai cru constater que ça te plaisait...

Héhé, si tu permets, j'ai d'autres Chiroptères à fouetter.


-Oda Nobunaga-

 
Ner'hion

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 17h46

 
*** Une chimère, un pacte, une offrande... ***


Il me manque une information...

opal dit :
A parce que tu comprend quelquechose là...


Oui, enfin presque... il me manque une information. Tais-toi!.

opal dit :
S'toi qui m'a reveillé pendant que je faisait ma sieste... t'avais qu'a penser moins fort...


...

*** D'autres noms... ***

Il me fait penser a une légende Equilibrienne...

Le Fifrelin...

opal dit :
C'est un compte pour faire peur au enfant ca... huhu


possible, mais il dois bien y avoir du vrai dans toute légende.

opal dit :
Si tu le dis...


Je te le dis, je ne sait même pas pourquoi je te parle...

opal dit :
Alors cesse de me deranger pendant ma sieste, c'est mauvais pour la digestion.


Comment vous appelle-t-on dans ces alentours chimère?

*** Ces paroles était adressé à la créature qui semble innafecté par les deux neldas tant qu'il ne s'approchent pas plus d'elle. Ner'hion reste quasiment immobile, sa patte caresse doucement l'écorce de l'arbre d'une manière presque inconsciente alors qu'il reflechi. ***


Simple curiosité.... qu'elle digestion?

opal dit :
Le bosquet de mures que j'ai trouvé à midi... Laisse moi dormir.


Ma vie pour l'équilibre, Mon âme pour la Déesse.

 
Narrateur

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 18h55

 
Dans l'Hatoshal

Encore un silence, le sifflement du vent entre les arbres qui vient fouetter la carcasse du géant de bois et de tissus et les corps velus des deux neldas. Il y a un parfum d'automne orageux, électrique, pourtant il n'existe aucune tension entre les trois êtres. Peut-être une tension naturelle, tout au plus. Il déploie un peu plus son corps, son aura inquiétante. Grincements, échos, sa voix porte de nouveau. Il répond tout d'abord à l'Ombre.

Ils parlent de moi, du Croque-Mitaine ou de l'Épouvantail. Ils chuchotent Il viendra te dévorer dans les champs ou près des moulins. Sa nuée de corbeaux te dévoreront les yeux, le foie et le coeur. Il mange les esprits. Ils racontent. Qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui ne l'est pas ? Un pacte a été scellé avec un être de poussière, un être de haine et d'amertume. Cet être voulait que le mauvais oeil tombe sur une enfant. En échange, il y avait une offrande. La soeur n'existe plus.

Un temps. Bruissements, souffles.

Je ne comprends pas... dépouille.

Le ton était clame, ni même interrogatif ni même mystérieux. Il énonçait des faits avec évidence, comme si tout cela était normal alors que pour les équilibriens, ça ne l'était pas. Du moins pas hors des légendes qu'on leur contait étant petits. Un éclair dans le ciel, suivi du bruit du tonnerre, lent mais assourdissant.


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Dans le Moulin

En faisant jouer de ses habiletés diverses, Oda parvint à ouvrir bien des armoires et des coffres scellés, révélant souvent d'autres petites coffres remplis de pièces, d'anciens hyalins ou de bijoux. Mais il y avait aussi beaucoup d'oeuvres d'art soigneusement préservée, des petits tableaux, des statuettes, des artisanats précieux et étranges. Il y avait également beaucoup d'ouvrages, de livres de comptes, de paperasses familiales, Celegòrn et Aspar ne cessaient d'en trier et d'en dévoiler. De tout ceux là, la groupe tomba finalement sur un élément qui pouvait peut-être les intéressés, vu le flou dans lequel ils demeuraient encore. Il y avait un vieux livre avec cadenas qui semblait être de toute importance. Il y était dessus inscrit le blason des Novogeld. D'une façon ou d'une autre, il respirait un savoir intéressant.

À son allure, cela devait être une sorte de journal intime ou d'historique familial....


 
Fenrir

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 19h06

 
*** Après la question de Ner'hion, un fait apparu subitement à Fenrir.
Il entreprit donc de demander, l'avis de l'Ombre. ***


Kielno, je viens de penser à une chose qui me semble étrange.
Cette créature à bien dit que certains la nommaient la chimère non?
Or j'ai l'impression qu'il parle souvent de ce qui n'existe pas, ce qui n'a jamais existé, et de ce qui n'existera jamais. La dernière fois il parlait ainsi de la fillette que nous recherchons, et il me semble que "Chimère" peut être une définition de la description qu'il en a faite. J'ai l'étrange sentiment que le sens de "Chimère" revient souvent autour de lui...
Se pourrait-il que la fillette qu'il décrit finalement comme une "Chimère" et lui même qui se définit comme une "Chimère", puissent être une seul et même personne?


*** Le Nelda semblait interloqué par sa propre réflexion.
Mais le temps que Fenrir pose sa question à Ner'hion, la créature répondit au deux protagonistes.

Retournant son attention sur celle-ci, il lui demanda finalement une seul est simple question. ***


Puisque vous parlez d'un "être de haine et d'amertume" seriez vous en mesure de nous le présenter, vous qui maniait avec grâce les illusions?

*** Etait-ce fait exprès? Ou par pur innocence? En tout cas l'innocence qu'affichait le visage de celui-ci laissait librement planer le doute quant à une tentative de manipulation de la "Chimère". ***


*** Fenrir, Chevaucheur de l'Equilibrium. ***

 
Ner'hion

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 20h01

 
Voila une information de plus...

opal dit :
Tu comprend maintenant?


Non, mais ca devient de plus en plus clair... Tu dors plus?

opal dit :
Avec tout le bruit que tu fait en pensant... faudra que je t'aprenne a te chuchoter tes saleté de pensées.


On verra...

*** Un chuchotement, la voix de Ner'hion parviens doucement au oreille du chevaucheur en attendant la réponse de l'être. ***

Kielno, il n'est pas la fille. Regardez-le, son corps est fait de bois et de brindilles, mais également de peau. Je pense qu'il a... absorber dirons nous... la fillette en question, c'était aprés tout selon lui une offrande.
Chimère... ce n'est qu'une description. J'ai l'impression que sa voix ou son être manipule la réalité autour de lui, il peu nous montrer ce qu'il veux, a nous de discerner ce qui est vrai.

Une chose me parait évidente. La soeur est morte avant tout les autres... C'est l'élement déclancheur de tout ceci...


*** Ner'hion fixait l'être que son esprit avait nommé Fifrelin. Il correspondait certainement à ce que son imagination d'enfance avait concocté... ***


Ma vie pour l'équilibre, Mon âme pour la Déesse.

 
Celegórn Deléndil

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 20h02

 
Le mou de Celegórn s'approcha d'Oda et le scruta quelque instant.

Firith dit :

"C'est étrange... Vous êtes toujours vivant... "


Le mou fit le tour d'Oda en l'inspectant.

Firith dit :

"Pourquoi n'a-t-il pas réagis comme d'habitude... ?"


Le mou revint alors regarder le visage du Muet.

Firith dit :

"C'est pas la peine d'essayer de faire de l'humour avec lui, il comprendrait pas, pas plus qu'il ne sais ce qu'est l'amour, la tendresse, le vraie rôle d'une mère, la joie et bien d'autre sentiment. On ne les lui a pas appris ou plutôt réappris devrais-je dire."



 
Livie

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 21h57

 
Bon quand vous aurez fini votre combat de coq, on pourrait peut-être s’intéresser à ce livre fermé à clé.

Tiens en parlant de clé, peut-être y en a-t-il une dans le trousseau qui l’ouvre. Et puis, Célégorn, si ça ne te dérange pas, j’aimerais bien que tu fermes la porte d’entrée à clé. Je ne sais pas si nous avons été suivis, mais une chose est sure, si les 3 tydales qui ont orchestré les differents meurtres sont encore dans les parages, ils n’auront pas manquer de nous remarquer. Mon petit doigt me dit qu’il cherchait cette pièce, alors j’ai pas vraiment envie de les voir débarquer ici et nous prendre à revers.

Allez, ouvrez-moi ce beau petit livre, je suis impatiente de voir ce qu’il renferme.


Pendant ce temps là, Livie c’était installé sur le lit.

Erween dit :
MMMMhhhhh.... il a longtemps que l’on a pas goûté à un lit comme ça. On dirait presque un lit de roi
.




 
Celegórn Deléndil

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 22h21

 
Celegórn alla tranquillement vers la porte et la referma a clef.
Puis a son tour il alla s'asseoir sur le lit, mais il se releva tout de suite et regarda le matela étonné.

"Il est mou..." Dit-il, visiblement pas habitué a voir un lit confortable.


 
Oda Nobunaga

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 22h48

 
Après avoir soigneusement subtilisé un anneau en or frappé du sceau de Novogeld, une autre bague incrusté d'une quelconque pierre précieuse, et quelques espèces sonnantes et trébuchantes, je fermais les divers tiroirs.

Chase dit :
N'as-tu pas honte?


Non.

Me dirigeant ensuite vers le lit, et le journal, je dis nonchalamment:


Je vais vous paraitre un peu... rustique, mais ce n'est qu'un cadenas; on pourrait peut-être arrêter d'utiliser des clés et... non, laissez tomber en fait.

Songeant ensuite à la remarque de Livie:

Finalement, nous aurions peut-être dû laisser la porte ouverte pour nos amis -enfin, dans l'hypothèse où ils n'auraient pas été impressionné par Celégorn-, cela nous aurait permis de le interroger ensuite...

-Oda Nobunaga-

 
Celegórn Deléndil

Le Merakih 7 Manhur 1508 à 23h02

 
Celegórn se figea lorsqu'il entendit Oda se rapprocher.
Une fois qu'il était assez prêt, il l'attrapa par le col et le secoue vivement, puis semblant écouter quelque chose, puis il regarda avec rage.

Il ne fallut pas longtemps au golem Tydale pour donner un coup de coude dans le visage du Muet avec une rapidité de une force incroyable.

"Qu'est ce que tu as pris !!?"
Dit-il en sortant son épée.


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