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Le Vayang 4 Astawir 1508 à 23h33
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Demain, des l’aube, à l’heure ou blanchit la montagne, elle partira.
Elle sait que je l’attend, car dans ses pensés, ses pieds caressants le sable fin, elle s’approche de moi, et de cette tour, que jadis certains convoitez, elle m’admirera, aussi fidel qu’elle est, de sa beauté que je lui confiait, alors qu’elle n’était pas encore née.
Comme tout les jours Ligendia, fille d’Ada se lève du pied qu’il lui plait, elle prend son bain, empreint d’une odeur qui lui est propre, voir qui la caractérise.
Et délicatement, un Voile de poussière se dépose sur ses joues, aussi blanches que certains galets sur les plages de Lerth.
.L’eau refroidie elle se coiffe, contemple ses symptômes plutôt satisfaisant en ce jour de grâce et coiffe sa robe non pas noire comme à ses habitudes mais blanche.
Elle reflète le lever de l’astre n’éclairant pas encore les cimes des montagnes.
Un pas légers parcours l’escalier de marbre encore froid.
L’ascension d’une muraille, puis sa descente vers les plages, la jeune fille s’impatiente, elle accélère le pas.
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Le Sukra 5 Astawir 1508 à 09h03
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| Vien à moi au douce déesse, choisit le chemin de ta destiné, ce chemin qui, depuis tant d’années n’a pas était emprunté
Au bout d’une heure de marche, la femme semble grimper une montagne dans un petit chemin escarpé, donnant un coup d’œil derrière son épaule elle peu admirer la scintillante briller de mille feux sous l’astre lumineux à présent bien levé.
Ô père que j’ai tant aimé, donne moi la force de venir jusqu'à toi.
Et comme tout les matins la femme se met à chanter, accompagnant de ses douces mélodies les chants naturels du vent, et des être vivant l’entourant, continuant sa marche elle ne voit plus le temps passer, comme englobé dans une sphère, entouré d’une bulle, elle s’emble pour une foi envoûtée.
La colline franchise elle entame la descente en pente douce.
La vue est magnifique, une calanque blanche, ou les vagues se jettent avec plaisir sur le sable fin, encore froid de la nuit.
Une zone que peu perturbée depuis quelques années, ou la végétation luxuriante contraste avec les montagnes d’une pierre grisonnante.
Ainsi c’est une muraille de végétation qui entoure la plage ainsi que l’eau quasi transparente.
Quelques dunes de si de là poussent comme des champignons, formations capricieuses, conséquence d’un vent parfois capricieux.
Et toujours cette descente, à la foi monotone et variable, courte mais qui semble interminable.
Des escaliers de bois font apparitions vers la fin du sentier, recouverts en partis par le sable, aussi lisse que le marbre, d’une douceur qui réconforte les pieds de la femme quand elle semble les souiller.
Et de sa marche, laissant à chaque pas une empreinte vague sur cette plage qui semble déjà l’accepter, elle se dirige vers le centre de la plage, vers la plus grosse dune, le vent caressant toujours son corps l’accompagnant comme un frère dans ses douces litanies.
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Le Dhiwara 6 Astawir 1508 à 09h53
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| La Dune apparente, plus grande que toutes les autres, se dresse devant la femme, terrifiée, immobile, elle observe les moindres fait et geste, car en son ventre, elle sait, elle sait ce qu’elle possède et ne désir point se soumettre.
L’ascension est lente voir marrante, le sable glisse entre les pieds, elle semble vouloir la piéger car en certains endroits des trous se forment, des pierres apparaissent, aussi dur, aussi tranchante qu’une lame.
La Femme, au dessus de tout, se dressant immobile sur la cime contemple les pierres formant un cercle autour d’elle.
C’est ici.
Elle descend, pressée comme elle est, elle passe à deux doigts de trébucher.
Elle va chercher un bout de bois et remonte aussitôt.
Une fusion entre l’effort et la foi, une épreuve donné de Dieu, une lutte acharné pour faire apparaître la vérité, et ce sont déjà plusieurs pierres qui se dégagent du sable, comme des animaux enfermés depuis trop longtemps, elle semblent rugir de plaisir quand le soleil caresse leurs peaux.
Ainsi, quand le soleil vint à se coucher, le bâtiment est presque entièrement dégagé.
Une lueur rougeâtre qui vient échouer sur un édifice pas comme les autres, car au centre de la plage, gît une tour, aussi glorieuse qu’avant, renaissant de ses cendres, haute de 3 mètres, mélange de pierres noires et de marbre, la partis faisant face aux montagnes à moitié détruite, celle faisant face à l’océan bien intact.
La femme, elle, à présent nue, sa robe noyée par la sueur de son âme, se tient droite, au dessus du sable.
Elle Admire le spectacle face à elle, dans cette crique, seul, l’astre éclairant à moitié noyez dans Ses eaux, levant les bras comme pour l’appeler, car en ce jour, ou la foi d’une femme triomphe sur la nature, ou les efforts fusionnels passent clin d’œil aux yeux de S’Sarkh, Naquit la Septième Tour De Lerth.
Ô très cher père,
Voila pour toi si faible présent
Que de te restaurer cette tour bordant l’océan
Ô Roi des Roi
Je me prosterne à nouveaux devant toi
En l’attente d’un de tes signes
Ô moi ta si jeune fille
Qui souffre de ne plus jamais te voir
Apporte moi satisfaction en ce jour de grâce
Je ne puis rester loin de toi plus longtemps.
Les genoux se posent sur le planchet quasi intact de l’édifice
De son doigt, sur la fine couche de sable, accroché encore à son ancienne demeure, elle trace un nom, celui d’Ada
L’astre de la Nuit commence à prendre place, éclairant un tatouage en perpétuel mouvement sur le bras pâle de la femme lorsque soudain au fond de la crique au niveau de l’eau, se fait entendre un bruit intense, le vent s’engouffre dans le creux que forme la roche.
Un bras nue se place devant les yeux pour se protéger du sable volant et comme un raz de marrais, le vent s’abat sur la tour violement, projetant la femme en arrière, se laissant choir de plus de trois mètres de haut, retombant désespérément sur le sable perturbé.
Elle voudrait ouvrir les yeux, mais ne le peut. C’est avec un sourire frêle, qu’elle s’abandonne à un songe éternel.
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Le Vayang 11 Astawir 1508 à 03h09
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| *** Un rêve troublé sans image. La sensation d'un néan à la fois familier et terrifiant. L'impression de voler sans aucun contrôle.
Ligendia ouvrit les yeux sur un tableau d'étoiles. Le corps ankilosé soutenu dans sa forme par le sable, une sensation de flotter près du sol. Dans un tel contexte, peu importait si le ciel recouvrait bel et bien Syfaria. Elle pouvait être debout et non couchée. Le ciel pouvait être un pan vertical du monde et non un voile au-dessus de celui-ci. Le ciel pouvait être une marre et, en y regardant de près, elle pouvait y plonger. Ses bras blancs se tendirent vers le firmamaent, vers le haut, vers le bas, droit devant, et sans qu'elle comprit tout à fait comment, elle se retrouva debout sous la voûte étoilée, les pieds dans le sable, le vent dans la tête.
Le vent...
La tour était toujours là, montrant quelques pierres à travers son drapé de sable qui s'était refermé quelque peu sur elle. Toute trace des efforts de Ligendia avait disparu dans le sable et dans le vent. Pieds, mains, outils de fortune. Rien de tout cela n'avait laissé de marque sur la dune maintenant aussi lisse qu'avant son passage à la différence près qu'une tour y pointait maintenant le bout du nez. Elle pouvait ne jamais avoir été ici. Selon ce que ses yeux lui disaient, tout ceci aurait pu se produire sans elle.
Non... une seule trace. Celle de la chute. Celle qui il y a un moment la retenait au sol.
Son regard se posa là où elle avait git inconsciente pour un temps incertain. Sa forme était bel et bien dessinée à même la plage. La seule marque que le vent n'avait effacé. Une seule marque clarifié par l'absence totale de semblable. Un signe ?
Elle était tombée sur le dos, les images de sa propre personne tentant de s'aggiper à même l'air alors qu'elle chutait lui traversèrent l'esprit. Puis elle s'était affalée pour y laisser sa marque. Un "X" presque parfait tracé par ses membres, comme pour marque un emplacement de son corps. Comme si elle même avait tracé l'emplacement de ce qu'elle cherchait.
Ou alors le vent.
Un signe ? Oui... peut-être. Mais comment en être certain si ce n'est qu'en conjurant sa foi ? Et comment être certain d'interpréter le signe comme il devait-être lu ? Un doute l'envahit, voire même une réelle frayeur. Ce n'était pourtant pas dans sa nature. Et pourtant, en ce moment même, face à ce qui ne pouvait être qu'un signe, elle se surprit à douter de sa capacité à le lire. *** | |
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Le Vayang 11 Astawir 1508 à 20h18
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| Un trou noir semblable aux yeux du S’Sarkh, entouré de volutes rouges et blanches, se dissipant petit à petit pour ne laisser apparaître qu’étoiles et obscurité.
Le froid laisse place à la chaleur, le voile noir s’efface sur la plage qui se met petit à petit à scintiller. L’astre éclairant se lève petit à petit
Combien de temps était elle restée la, comment avait elle réussit à se relever.
Absorbant l’énergie lumineuse sur sa peau rougie à quelques endroits, abîmée par la force fusionnelle du sable et du vent, elle se retourne. Son ombre s’étale sur la marque qu’elle vient de poser, un « X » sur le sol ce mouvant légèrement au grès du vent.
La Tour, elle, reste debout, fier, comme si elle était toujours la.
Les traces des labeurs de la femme ont disparues, tout semble naturellement, naturel.
Sauf ce « X » sur cette plage, et sa nudité.
Heureusement qu’elle est seule, toute seule.
Soudain la boule au ventre, elle se met à rugir, à pleurer, à se griffer, sa peau noircit, ses mains s’imprègnent d’un tatouage noir, son visage semble englouti par cette encre vivante, la malédiction recommence, et comme à son habitude, elle la touche au moment le plus improbable.
Les heures passent, son visage n’est pas ridé, aucune expression ne se lit dessus, seul ses yeux laissent percevoir une très grande frayeur.
Assise sur un rocher elle ne cesse de contempler ce signe divin, elle est la seule à en connaître l’existence, mais elle n’en comprend pas la signification, elle est seule, toute seule.
La Tour se dresse fièrement, comme si elle était toujours la.
Le calme envahit la plage et d’un geste naturel elle finie par se lever.
Elle contemple ce « X » qui ne semble pas vouloir s’effacer.
Les mains derrière le dos elle part en quête d’indice se remémorant en même temps les moindres faits. Elle cherche aux alentours, et ramasse un bout de bois, fin et pointu.
A genoux devant cette croix, elle psaume les mains croisées.
Ô toi mon père
Qui jadis me créa
Pourquoi me taire
Quand tu te soucis de moi
C’est à genoux devant cette croix
Sur cette plage non loin de cette ville marbrée
Que tu nous à laissé le choix
Et nous avions échoué.
Et maintenant je viens vers toi
En donnant vie à cette tour
Tu me repousses d’un joli tour
Je ne faillirais pas cette fois
Car dans ses nuits sans signes
Ou je pensais être sans vie
J’ai rencontré deux voix fines
Qui m’on amener jusqu’ici
Deux serviteurs aussi dévoués que moi
L’un Serphone Fidel Transcient
L’autre Thymias gardien des lois
Je vous appelle, vous, qui êtes anciens
Je trouverais l’indice, au Roi des Roi
Mais pas toute seule comme la dernière foi
A ses mots elle planta la pointe de son bâton au milieu de la croix, comme pour titiller un dieu qui ne pardonne pas.
Deux messages télépathiques partent dans Ses plaines, toutes porteuses du même message.
Une plage, une tour, une croix, non loin de Lerth se cache Le S’Sarkh, de son indice nous devons êtres prudents, de sa compréhension nous tirerons des leçons.
Une croix posée sur le sable, une tour qui se redresse fièrement, un vent qui, au rythme cardiaque, ne cesse de battre.
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Le Matal 29 Astawir 1508 à 14h33
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| Ligendia sort de la Bibliothèque rénovée, respirant un bol d’air frais, un air marin comme elle l’aime.
Cela faisait déjà quelques jours qu’elle était partie du lieu dit pour rejoindre son maître Serphone afin de lui parler de sa découverte, elle espérait que le signe serait encore là.
Qu’importe, elle savait que quelqu’un l’avait vu et qu’il pouvait témoigner en sa faveur, car elle sentait une méfiance de la part du Transcient.
Il en savait rien d’elle, elle ne connais rien de lui, tout reste un mystère à dévoiler, des choses communes qui divergent, des choses individuelles qui convergent, là était la relation entre ses deux êtres.
Bientôt ils seraient sur les lieux, bientôt ils analyseraient le signe du S’Sarkh, bientôt, ils découvriront qu’est ce qui se cache derrière tout ça.
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Le Matal 29 Astawir 1508 à 22h55
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| La Tydale se tient debout le sourire aux lèvres au centre de la plage, ses pieds à présent nue se laissent caresser par le sable fin de la plage.
Ses yeux, rivés vers l’océan pétillent d’émotion. De la joie, voila ce qu’elle ressent.
Des larmes y découlent laissant une trace noire sur ses joues, ce n’est pas un maquillage mais bien ses larmes qui semblent déteindre sur elle.
Elle se souvient avoir planter un bâton au centre de la croix, elle veut se retourner, mais ses membres semblent bloqués.
Elle sait que ses voisins ne voient rien, comment pourrait elle être crédible face à eux maintenant.
Toujours cette immobilité, un vent qui semble glisser sur elle, elle ne sent rien.
S’Sarkh que tu es rusé, Mon Dieu, je t’applaudit, regarde moi, qui suis ta fille, qu’essaye tu de me montrer en ce jour ou j’ai prié pour toi, ou je me suis soumise à ta volonté.
Elle veut se retourner vers Serphone, sa nuque ne semble pas bouger, ses membres ne répondent plus, qu’elle aime cette sensation comme si il était en elle, comme si il contrôlait son corps.
Ta tour disparaît et je ne peut voir le seul indice que tu aurais pu me laisser, car derrière moi ce trouve sûrement l’arme qui ta vexée, et tu ne me laisse point me retourner toi ô Roi des Roi.
Un sanglot mêler d’un rire discret.
Maître Serphone n’approchez plus, il est la je le sent, observez vous derrière moi à quelques mètre de là, un bâton planté dans le sable?
Elle s’arrêta la manquant de s’étouffer, son coup semble se contracter petit à petit, elle attend la réponse.
Tic Tac Tic Tac….
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Le Merakih 30 Astawir 1508 à 05h43
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| Rien, il n'y avait rien. Pas de vestiges anciens sur la plage de sable blanc. Seulement le bruit du ressac contre les récifs non loin et le chuchotement des vagues contre la plage sous leurs pieds. Y avait-il autre chose ? Non, rien. Mais il devait bien accorder quelque chose à la jeune femme. Elle était convaincue de ce qu'elle avait vu et un Serviteur de la Vision avait rapporté des bribes dans le consensus. Tout cela ne devait pas être pure folie. Serphone le savait d'autant plus qu'il était aussi sujet à des visions et autres révélations mystiques qui ne laissaient pas toujours leur nom et leur adresse derrière elles. Mais qu'avait dit Shankar ? Les traces d'une croix féminine. Ligendia lui parlait aussi de bâton. Deux choses que la mer avait, semble-t-il, emporté. C'était peut-être là que les choses devenaient intéressantes. Le manque de concret était toujours plus intéressant. L'abstraction...
En attendant, il devait bien répondre à l'inquiétude de la libertaire, qui allait se faire plus profonde encore. Pas de bâton, rien. Il répondit par une funeste négation.
Nihil.
Il ne chercha pas à la rassurer, considérant que cela était inutile et inapproprié. Les éléments avaient pu emporter sa marque dans la matière et son piquet de signalisation. Mais il était préférable qu'elle mène toute seule ses propres conclusions. Elle irait sans doute imaginer quelque étrange fantaisie, mais son cheminement et ses actes prochains était tout ce qui éveillait l'intérêt du tydale décharné.
Il envoya une pensée parallèle à son apprenti, lui signifiant avec son verbe abscons que tout ceci était peut-être l'expression parfaite de sa première leçon. "Voir et croire sont tout les deux trompeurs".
Puis son attention se reconcentra pleinement sur Ligendia, dans l'attente de S'sarkh savait quoi.
Il demeure dans notre esprit et erre dans l'océan, car les ombres du premier sont infiniment plus profondes que les eaux du second
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Le Merakih 30 Astawir 1508 à 09h36
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| Serpent de mer toi qui caresse mon corps, de ta noirceur tangible il ne restera plus rien.
Parcourt le chemin qui mène à la déraison, car pour le S’Sarkh elle est la clef de toute solutions. De mes larmes tu sembles t’échapper et vers mes ongles tu trouveras ta destiné.
Couleur de l’âme d’un noir carbone, tu n’en fini pas de te répandre sur une peau fine et rasée.
Toi qui me commandes montre moi la voie et sert toi de moi, si pour toi je ne suis qu’un objet alors joue, car même le plus fort de tous ne peut rien contre ta volonté.
Les larmes coulent sur un visage qui semble noircir de plus en plus, les bras les jambes le torse, le cou, toute la surface d’une peau soyeuse semble s’imprégner de cette couleur, comme un serpent, une mer agité, qui se faufile dans les moindres méandres d’une foi sans faille, la femme tourne de l’œil, son sourire éclatant à disparut, elle est neutre, trop neutre.
Toujours debout, à présent mutée, son blanc de peau dissipé, ne reste plus que le noir et l’obscurité.
Et comme un souffle, un amusement, un légère brise se fait, le murmure du S’Sarkh ne s’entend pas, il se ressent, il s’absorbe, il se dévore.
Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, pas en arrière et la femme s’écroule sur le sable, formant un X de ses jambes et de ses bras, un X parfait, un X qui en dit long.
La poussière de sable se lève et retombe sur la tunique de la femme toujours pied nue, et comme un signe venu de l’océan, comme une habitude, une répétition, la poussière forme sur cette tapisserie brodée trois lettres : ada
Inconscience qui es tu pour me troubler à chaque moment de ma vie, et par ta faute, au lieu de suivre les éléments, j’en deviens un à mon tour, suis-je signe ambulant ?
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