SYFARIA, La rédemption : Jeu de rôle en ligne multijoueurs gratuit

Les Mémoires de Syfaria

La Région de Farnya

En route vers Oriandre.

Sauf si la flemme me rattrappe en route.

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Sujet lancé par Arda Oria
Le 20-04-1508 à 11h39
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Posté par Mixtli,
Le 21-04-1508 à 23h05
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Arda Oria

Le Dhiwara 20 Astawir 1508 à 11h39


	* Devant les murs est de la cité de Farnya. * dit : Une gourde pleine ?! Dans le sac dit : Une cape ?! Sur le dos dit : Des vivres ?! Dans le sac. dit : Une arme et une armure ?! A là ceinture et sur le dos. dit : Prêt à partir ?! Paré. dit : En avant ! Vas y je te suis. dit : Quoi, moi marcher ? Tu es mon valet, tu dois me porter. Si tu veux j’ai un coffre à la maison pour t’y installer ? dit : Sauf que y’a rien à manger. Et qui pourra m’écouter après ? On y va alors. dit : Vas y je te suis. Comme tu veux. * Il prit alors la route, enfin plutôt les montagnes, il n’avait pas prévus d’arriver rapidement. *

Arda Oria

Le Luang 21 Astawir 1508 à 11h23


	Oh ras le bol de cette armure, elle m’empêche de bouger ! * Arda enlève son armure et la range dans un sac supplémentaire, devenant ainsi un sac sur pâte. * C’est quand même beaucoup mieux pour marcher et courir. dit : Bon nous n’avons pas fait beaucoup de chemin le premier jour. Cela va changer, maintenant que je vais pouvoir accélérer. dit : Tu aurais pu y penser plus tôt, non ? Oh c’est bon, les monstres sont assez dangereux, j’voulais me sentir en sécurité. dit : Hu hu hu, Arda le Tchaë peureux. On en reparlera. * Les deux amis marchaient maintenant depuis plusieurs heures, le village de Verkit n’était plus qu’à quelques lieus, ils avançaient en rigolant, sortant des blagues plus ou moins drôle, lorsque tout à coup, un bruit les interpellas, comme une langue étrangère inconnue, ils se retournèrent donc tout sourire pour faire face à l’interlocuteur. * Heu, ah … * Celui-ci leur fit un signe de main … enfin de pâte. * * Arda lui répondit. * Bonjour ... il fait beau aujourd’hui, passez une bonne journée. * Puis il reprit la route tout sourire forcé. Un peu plus loin il s’arrêta. * Pfiouuuu, j’ai flippé, ta vu la taille de ce truc ! Même les Nelda sont des Tchaë à côté d’eux ! Esrtin ? Erstin ? dit : Pfiouu, j’ai eu la peur de ma vie ! Hein ? hu hu hu, c’est qui le peureux maintenant ? dit : Rho tais toi et avance, Verkit ne doit plus être bien loin. * Ils arrivèrent à Verkit alors que le troisième soleil avec entamé au trois quart sa course vers le crépuscule, ils arrivèrent au village et furent bien accueilli. La taverne était le première et unique lieu qu’il allait visiter, ils étaient fatigué de leur journée, qui fût bien drôle. Il alla voir la tenancière. * Bonjours mademoiselle, je chercherai une chambre pour la nuit, et un repas chaud aussi. JeuneTenancière a dit : Attendez jeun’garçon, j’vais d’mander à ma mère ‘il reste des chambr. °°°Jeune garçon, elle vit chez sa mère, et c’est encore moi le gamin, sa façon de parler à quand même un charme, même si c’est dût à un manque d’éducation.°°° JeuneTenancière a dit : C’est bon, ça vous fera 5 Girasols la nuit et le repas. Je vous remercie jeune demoiselle, dineriez vous avec moi ? * La patronne arriva derrière. * Patronne a dit : Jeune homme, je me demande bien déjà comment un gamin comme toi à bien pu arriver seul ici, mais attend de grandir un peu avant de faire la cours à une jeune fille plus âgée que toi. Aller va à cette table, mange et couche toi tôt. °°°Décidément, tout le monde me prenait pour un gamin, mais je n’avais pas le droit au fantasme du : « Té trop meugnon, hop calin ! », tant pis !°°° * Arda mangea puis se coucha, sans demander plus. *

Arda Oria

Le Luang 21 Astawir 1508 à 21h11


	* Arda ouvrit les yeux, il faisait sombre, mais la lumière commençait à éclairer le ciel, il jeta un œil par la fenêtre, les lunes était au plus bas, le jour allais se lever. Il s’habilla, puis pris Erstin avec lui, encore endormie, il reprit le chemin en laissant un pourboire sur le comptoir avant de sortir. L’aube se leva après Arda, qui était partie très tôt pour admirer le levé de Maelia, le premier soleil à illuminé Syfaria de bon matin. Le Tchaë s’était arrêté sur la côte en bord de la mer sans fin qui entourait le continent. Le soleil surgit de l’eau réchauffant alors le visage du jeune Tchaë, qui se sentit revigoré par la lumière, encore plus que par le petit déjeuné. * * Il reprit la route une fois que le soleil surplombait la mer de deux fois son diamètre. Il marcha sans pouvoir discuter avec sa Mou endormie depuis un bon moment. Lorsqu’il fit une rencontre inattendue. * Mixtli ! Salut à toi Mixtli, je ne pensais pas te rencontrer sur la route d'Oriandre, ça tombe bien, je m'ennuyais un peu tout seul! Allons y ensemble! Au départ j’était pas censé aller à Oriandre, mais je me suis dit que ça faisait longtemps que je n’avais pas vu ma ville natale, alors j’vais y faire un p’tit tour.

Mixtli

Le Luang 21 Astawir 1508 à 23h05


	* Après la rencontre avec Arda à la taverne, Mixtli était resté plusieurs jours à farnya, il s'était mis dans l'idée de faire progresser ses talents somme toute modeste d'artisan histoire de s'occuper entre deux courses, muni de tous les outils nécessaires, il était allé voir un marchand sur la place du marché, après d'apres discussions il avait obtenu un beau rabais sur les ingrédients nécessaires à son art. Il avait également l'idée de se préparer à des voyages plus ambitieux et de s'aguerrir aux périples qu'il devrait accomplir. Progresser dans son art lui permettrait de passer le temps au bivouac avant de s'endormir ou s'il était bloqué par les intempéries. * * Première halte : * Et voila, il suffit de mettre un petit coup de ciseau délicatement en haut de la bille de bois et .... * TCHAK, le coup de ciseau mal ajusté coupa en deux la fragile construction. * Saperlipopette ! * Deuxième halte * Bon un petit tour de la lanière de cuir avant de ... * TZONG la lanière cassa avec un bruit sec tandis que le haut de la structure s'encastrait dans un rocher voisin. * Par la molaire cariée du grand Anastasin !!!! * s'écria Mixtli Au moment où il prononcait son juron, son sac se mit à luire étrangement tandis qu'un petit crépitement d'électricité statique se faisait entendre. Mixtli s'apprétait à regarder de plus près le phénomène lorsqu'il vit Arda qui s'approchait. * Bonjour Arda, encore en plein travail ?

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