Les Mémoires de Syfaria
La Région de Farnya

Le défouloir.

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Sujet lancé par Arda Oria
Le 26-05-1508 à 18h38
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Posté par Arda Oria,
Le 26-05-1508 à 18h38
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Arda Oria

Le Luang 26 Manhur 1508 à 18h38

 
dit :
Bon alors que ce passe t’il, c’est bien la première fois que je te vois partir de chez toi aussi rapidement sans la moindre explication de ta part.


C’est la remise en route de la loge du Clephte qui me met dans cette état, nous n’avons encore rien fait que déjà nous somme emmerdez par des vieux connards en quête de divertissement oral, ils ont qu’à aller sucer des Nelda si ils veulent s’occuper la bouche.

dit :
Je te trouve bien vulgaire aujourd’hui, je sais que c’est dans tes habitudes d’insulter les personnes du sexe masculin, et je sais que si tu étais une femme il ne ferait aucun doute que tu serais une féministe confirmée, mais tu exagère.


C’est pour cela que j’suis ici, je vais me défouler un peut pour me relaxer, la chasse aux aberrations est un bon sport pour oublier les ennuis, puis cela fait longtemps que je n’ai pas chassée, le coup de l’armure n’était qu’une gaminerie.

Cette fois-ci je pars à la chasse seul, et je vais pouvoir tester ces petits bijoux.

*** Arda commença à charger deux pistolets de base, taillé dans un bois rouge exotique, il les avait fait faire par le marchant de l’armurerie, ce n’était pas de l’artisanat à proprement parler puisque c’était un modèle de base, juste un peu plus beau. ***


dit :
Oh tu as abandonné le fléau, moi qui pensais que tu allais vraiment finir comme ton père, un guerrier, dans la bulle noir qui plus est.


Le combat au corps à corps, je ne suis pas mauvais, mais on ne peut pas dire que ce soit ma spécialité, disons que je vais plutôt me spécialiser dans le combat à sens unique.

dit :
En même temps, si tu as plus de chance de survis c’est sans doute un meilleur choix.


*** Arda pris alors la route des plaines de Farnya, il sortit par la portes ouest de la ville, celle si était en aciers et portait le motif de la fraternité, les allés et venues pas la portes était peu nombreuse aujourd’hui, pas de touriste, juste quelques Tchaës venant sans doute des transports Nemens.

Au loin, le pilier de poussière s’élevait de toute sa masse, mais je n’allais pas aller à sa rencontre, je bifurquais vers le nord en espérant trouver une proie au sud du bras de mer.

Les herbes était haute dans cette partie de la plaine, les champs était plus au sud, et leur traversée avait é été longue et ennuyeuse, c’était le genre de passage obligé dans lequel aucun monstres ne se montrait, ou plutôt, ceux-ci étaient chassé dès leur venue.

Le vent soufflait fort dans mon dos, la chance était avec moi, j’aurais bien aimé dire le talent mais le jour ou je maîtriserai le vent, je m’amuserais en ville plutôt qu’en plaine.

J’approchait alors prêt du bras de mer, décidément la vent était avec moi, mais pas le S’saark s’était décidé à me laisser en paix. Enfin, comme quoi c’est toujours lorsque l’on commence à baisser sa garde que ces saloperies apparaissent. ***


Un Cornutus sortie alors devant moi un espère de coquillage géant, Cette bestiole pour le moins curieuse jaillit de sa coquille protectrice pour vous laminer avec de petits crocs, de façon fort sournoise ! Caparaçonné, pas très violent, son attaque a néanmoins le gros défaut de vous injecter un poison très long à se dissiper... , j’étais heureusement toujours camouflé, et je put déclencher un premier tir qui fit mouche. Malheureusement j’avais touché une partie résistante de sa coquille et le dégât causé était simplement respectable, le bruit causé par la détonation dévoila ma position, il chargea alors, mais j’esquivais sans peine.

dit :
Et bien tu as failli être empoisonnée, on passe au second round ?


Ouai, on va se le faire.

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